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Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux

Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux

Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux

Introduction

La maltraitance des enfants constitue l’une des infractions les plus graves en droit pénal de la famille. Elle recouvre des violences physiques, psychologiques, sexuelles, des

négligences graves ou encore des atteintes à la dignité et au développement de l’enfant. La gravité des faits, l’extrême vulnérabilité des victimes et les conséquences durables de ces

violences justifient une répression renforcée et un arsenal législatif étendu, tant en matière répressive que protectrice.

Le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, intervient pour défendre les intérêts des enfants victimes, assister les familles dans leurs démarches judiciaires, ou encore représenter les

personnes mises en cause de manière injustifiée. Cet article présente les fondements juridiques de la lutte contre la maltraitance des mineurs, les procédures applicables et les droits

ouverts aux victimes.

I).  —  Définition et typologie juridique de la maltraitance des enfants

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

    A).  —  Une notion plurielle en droit pénal

Il n’existe pas de définition unique de la maltraitance dans les textes de loi. Le terme recouvre un ensemble de comportements : violences volontaires, négligence grave, abus

sexuels, atteinte à la santé, humiliation, privation de soins, etc.

Juridiquement, chaque type de maltraitance correspond à une infraction autonome prévue par le Code pénal :

1).  Violences sur mineur (articles 222-7 à 222-13),

2).  Agression sexuelle ou viol sur mineur (articles 222-22 à 222-31),

3).  Abandon moral ou matériel (article 227-17),

4).  Soustraction à l’obligation parentale (article 227-17),

5).  Privation de soins ou d’aliments (article 227-15),

6).  Harcèlement moral ou psychologique (article 222-33-2-2).

B. Les formes de maltraitance reconnues

La jurisprudence, les rapports sociaux et les experts médicaux distinguent plusieurs formes :

1).  Maltraitance physique : coups, brûlures, secousses, blessures volontaires.

2).  *Maltraitance psychologique : insultes, humiliations, isolement, chantage affectif.

3).  Maltraitance sexuelle : attouchements, viol, incitation, exposition à des actes sexuels.

4)3  Négligence grave : privation de soins, d’hygiène, d’alimentation, défaut de surveillance.

La circularité de ces violences (combinaisons entre maltraitance physique et psychologique par exemple) complique leur identification et justifie des enquêtes multidisciplinaires.

II).  —  Répression pénale de la maltraitance des mineurs

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

     A).  —  Les infractions pénales principales

Les textes pénaux prévoient des peines aggravées lorsqu’un enfant est victime, en raison de sa vulnérabilité :

1).  Violences habituelles sur mineur de moins de 15 ans : jusqu’à 10 ans de prison et 150 000 € d’amende (article 222-14).

2).  Harcèlement moral sur mineur : 3 ans de prison (article 222-33-2-2).

3).  Agressions sexuelles aggravées : 7 à 10 ans selon les circonstances (article 222-28).

4).  Viol sur mineur de moins de 15 ans : 20 ans de réclusion criminelle (article 222-24).

5).  Abandon moral ou privation de soins : 5 ans d’emprisonnement (article 227-15 à 227-17).

6).  Exploitation d’enfant ou usage d’un mineur à des fins dégradantes : jusqu’à 10 ans de prison.

     B).  —  Jurisprudences récentes

1).  Cass. crim., 9 mars 2022, n°21-81.216 : condamnation d’un beau-père pour violences physiques quotidiennes sur un enfant de 8 ans, assorties de privation alimentaire et

d’humiliations.

2).  CA Versailles, 23 nov. 2021 : retrait de l’autorité parentale après des sévices récurrents dissimulés sous une éducation stricte.

3).  Cour d’assises de Paris, 2023 : peine de 25 ans de réclusion pour viols répétés sur mineure confiée à un foyer familial.

La jurisprudence met l’accent sur l’intention, la répétition, la disproportion et la souffrance durable infligée à l’enfant.

III).  —  La protection de l’enfant victime

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

     A).  —  Mesures judiciaires civiles et pénales

L’enfant victime bénéficie d’un dispositif de protection immédiate, combinant droit civil et droit pénal :

1).  Signalement au procureur (article 40 du CPP),

2).  Saisine du juge des enfants pour placement ou mesures éducatives (article 375 C. civ.),

3).  Interdiction de contact, éloignement du domicile, retrait provisoire de l’enfant,

4).  Nomination d’un administrateur ad hoc,

5).  Audition du mineur, si sa maturité le permet (article 388-1 C. civ.).

     B).  —  Accompagnement médico-psychologique

La réponse judiciaire doit s’accompagner d’un suivi médical et psychologique spécialisé :

1).  Cellules d’urgence médico-judiciaires,

2).  Unités pédiatriques de victimologie,

3).  Psychologues des tribunaux ou de l’aide sociale à l’enfance (ASE).

L’objectif est d’éviter la revictimisation du mineur au fil des procédures judiciaires et d’initier un parcours de reconstruction stable.

IV).  —  Recours pour les proches de l’enfant maltraité

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

    A).  —  Dénonciation des faits et signalement

Tout proche peut signaler des faits de maltraitance :

1).  Par plainte ou courrier au procureur,

2).  Via le 119 Allô Enfance en Danger,

3).  En sollicitant un médecin scolaire, une assistante sociale ou une association.

Le secret professionnel est levé dans les cas de danger manifeste pour l’enfant (article 226-14 du Code pénal).

    B).  —  Constitution de partie civile

Un parent protecteur, un tuteur, ou une association peuvent :

1).  Se constituer partie civile,

2).  Exiger l’ouverture d’une instruction,

3).  Représenter l’enfant mineur non émancipé.

Le Cabinet ACI assiste régulièrement des parents dans des affaires complexes, notamment lorsque la maltraitance est niée ou minimisée par d’autres proches.

V).  —  Enjeux psychosociaux et reconstruction

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

    A).  —  Conséquences durables de la maltraitance

Les traumatismes liés à la maltraitance laissent des séquelles psychiques lourdes :

1).  Dépression, anxiété, troubles de l’attachement,

2).  Retards cognitifs, échec scolaire, isolement,

3).  Risques accrus de troubles de l’alimentation, conduites addictives ou suicidaires.

L’intervention judiciaire doit être rapide, ferme mais sensible à ces réalités.

    B).  —  Approche pluridisciplinaire

La justice ne peut agir seule. Il faut une synergie entre :

1).  École, hôpital, travailleurs sociaux, associations,

2).  Parquet, juge des enfants, avocat spécialisé,

3).  Psychologues formés au trauma infantile.

Le Cabinet ACI s’intègre dans cette approche interprofessionnelle en collaboration avec des référents de l’ASE, des unités pédiatriques, des éducateurs spécialisés.

VI).  —  Suspension et retrait de l’autorité parentale

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

    A).  —  Conditions légales du retrait

L’article 378 du Code civil prévoit le retrait total ou partiel de l’autorité parentale :

1).  Si un crime ou un délit est commis contre l’enfant,

2).  Si l’un des parents met en danger sa santé ou sa moralité,

3).  Si le parent ne remplit pas ses devoirs éducatifs et protecteurs.

     B).  —  Procédures de retrait et conséquences

Le retrait peut être :

1).  Décidé par un juge civil sur saisine du procureur,

2).  Demandé dans un jugement pénal, à titre complémentaire.

Il entraîne :

1).  La perte du droit de garde, de visite et de décision,

2).  L’interdiction d’approcher ou de contacter l’enfant,

3).  Le transfert à un tuteur ou aux services de l’ASE.

Le Cabinet ACI intervient pour protéger l’enfant, mais aussi pour réhabiliter des parents injustement accusés.

VII).  —  Droit international et coopération européenne

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

    A).  —  Textes applicables

La protection de l’enfant victime de maltraitance s’appuie aussi sur :

1).  La Convention des Nations Unies sur les droits de l’enfant (CIDE),

2).  L’article 3 de la CEDH (interdiction des traitements inhumains),

3).  Le règlement Bruxelles II ter pour les procédures transfrontalières,

4).  La Convention de La Haye (1980) sur les enlèvements parentaux.

    B).  —  Coopération judiciaire

En cas de maltraitance constatée à l’étranger ou d’enlèvement dans un pays tiers, l’avocat doit :

1).  Agir via les autorités centrales,

2).  S’appuyer sur les instruments européens d’exécution,

3).  Obtenir le retour de l’enfant ou la condamnation du parent défaillant.

VIII).  —  Le rôle renforcé du Cabinet ACI

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

Le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, intervient à tous les stades :

1).  Conseil, plainte, signalement au parquet,

2).  Constitution de partie civile,

3).  Assistance en garde à vue ou lors de l’audition du mineur,

4).  Représentation devant le juge des enfants ou le tribunal correctionnel.

Il agit avec une triple exigence :

1).  Protection intégrale du mineur,

2).  Procédures juridiquement irréprochables,

3).  Réparation morale et matérielle effective.

Conclusion

La maltraitance des enfants, qu’elle soit physique, psychologique ou sexuelle, exige une mobilisation totale de la justice. Le droit pénal, enrichi par la jurisprudence et les

instruments européens, offre aujourd’hui une panoplie de réponses fermes, mais encore trop peu connues ou déclenchées.

Le Cabinet ACI, fort de son expertise en droit pénal de la famille, accompagne chaque enfant, chaque parent protecteur, dans un combat à la fois juridique et humain.

Contactez un avocat

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

pour votre défense

1).  Infractions sexuelles

Les infractions sexuelles, telles que les agressions sexuelles, les atteintes sexuelles, et les violences sexuelles, constituent des actes graves et intolérables. De plus, l’exploitation de

l’image pornographique du mineur et le harcèlement sexuel représentent des formes d’abus particulièrement dégradantes, affectant de manière profonde les victimes. Sans compter

que le proxénétisme et le viol sont des crimes qui nécessitent des peines sévères pour dissuader toute récidive.

2).  Infractions liées aux stupéfiants

Les infractions liées aux stupéfiants, telles que la détention de drogues, le trafic de stupéfiants, et la consommation de drogues en public, sont des infractions qui nuisent

gravement à la santé publique. D’autant plus que la production et la vente de drogues de synthèse constituent une menace importante pour la sécurité et la société.

En raison de leur impact sur la santé des individus et l’ordre public, ces infractions sont sévèrement punies par le droit pénal.

3).  Infractions contre la personne

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

Les atteintes à l’intégrité de la personne comprennent des actes comme les violences volontaires, les violences involontaires, ainsi que les menaces et les appels téléphoniques

malveillants.

En outre, les atteintes à la vie privée et atteintes à l’inviolabilité du domicile touchent profondément les individus, en portant atteinte à leur sécurité et à leur intimité.

Par ailleurs, des infractions comme les atteintes à la santé et atteinte à l’intégrité physique sont des crimes qui compromettent gravement le bien-être des victimes.

4).  Infractions contre la famille

Les infractions contre la famille, telles que l‘abandon d’enfant, l’abandon de famille, et le délit de non-révélation de privations, montrent l’importance de protéger les enfants et de

garantir leur sécurité.

Non seulement l‘absence de représentation des enfants constitue un crime, mais aussi des actes tels que le détournement de l’enfant par un ascendant ou soustraction d’enfant sont

des infractions qui méritent une réponse pénale forte.

D’autant plus que la mise en danger du mineur est une violation flagrante de l’obligation de protéger les plus vulnérables

5).  Infractions contre les biens

Les infractions contre les biens, comme le blanchiment, le chantage, et la concussion, portent afinancière des victimes.

De surcroît, le détournement et l‘extorsion sont des infractions violentes, souvent accompagnées de menaces, qui nuisent à la sécurité publique.

En raison de la gravité de ces actes, des peines sévères sont prévues, notamment pour les infractions comme la fraude informatique et la contrefaçon.

6).  Infractions liées à la fraude et à la corruption 

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

Les infractions liées à la fraude et à la corruption, telles que l’abus de biens sociaux et l’abus de position dominante, sont particulièrement nuisibles à l’économie.

Qui plus est, la corruption active et le trafic d’influence représentent des violations graves des principes de justice et d’équité.

En conséquence, des actes comme le délit de publicité mensongère et le délit d’initié sont punis de manière stricte afin de maintenir la transparence dans les affaires économiques.

7).  Infractions liées à la fraude fiscale et douanière

Les infractions fiscales et douanières, telles que le délit douanier, la fraude à la TVA, et l’importation de marchandises interdites, constituent des atteintes graves aux

règles commerciales internationales.

D’autant plus que la mauvaise déclaration de la valeur des marchandises et le non-respect des normes douanières faussent le commerce mondial et portent atteinte à

l’économie.

Ainsi, des actes comme la contrebande et la contrefaçon sont réprimés avec une grande sévérité.

8).  Infractions liées aux droits et à la dignité humaine

Les infractions liées à la dignité humaine, telles que la diffamation, la dénonciation calomnieuse, et la discrimination, sont des actes qui détruisent le respect et la dignité de

l’individu.

Bien que ces infractions puissent paraître moins violentes physiquement, elles ont des répercussions psychologiques profondes.

En conséquence, des actes comme l’injure publique et la provocation à la discrimination sont des infractions graves, affectant directement la société dans son ensemble.

9).  Infractions routières et liées à la circulation 

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

Les infractions routières, telles que le délit de conduite en état d’ébriété, le délit de fuite, et les accidents de la circulation, représentent des dangers immédiats pour la sécurité

publique. Toutefois, des infractions plus graves, telles que les délits liés aux stupéfiants, peuvent avoir des conséquences encore plus dramatiques, mettant en danger la vie des

conducteurs et des piétons. Moyennant quoi, des peines d’emprisonnement et des amendes sont appliquées pour limiter ces comportements dangereux.

10).  Infractions en matière de travail et de conditions de travail

Les infractions en matière de travail, telles que le travail dissimulé, le harcèlement moral, et les conditions de travail contraires à la dignité de la personne, sont des crimes qui doivent

être sévèrement réprimés.

Par ailleurs, les accidents mortels et les délits liés au travail soulignent la nécessité d’une vigilance constante en matière de sécurité.

Ainsi que la non-assistance à personne en danger, ces actes témoignent de l’urgence de mettre en place des mesures de prévention strictes.

11).  Infractions liées aux droits de l’informatique et à la technologie

Les infractions liées à l’informatique, comme le, lincrimination pour consultation illégale de sites internet, et l‘exploitation de l’image pornographique d’un mineur,

montrent l’importance de la régulation dans le domaine numérique.

Cela étant, des infractions telles que la fraude informatique et la contrefaçon d’un logiciel ou d’une base de données perturbent l’ordre public et la protection des données

personnelles.

12).  Infractions liées aux abus de pouvoir

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

Les infractions liées aux abus de pouvoir, telles que l’abus d’autorité, l’abus de position dominante, et l’abus de confiance, mettent en lumière l’abus des fonctions de pouvoir pour

obtenir un gain personnel.

Quoique moins visibles, ces infractions ont un impact considérable sur la société et la confiance que les citoyens placent dans leurs dirigeants.

13).  Infractions de presse et de communication

Les infractions de presse, telles que le délit de presse, le délit de faciès, et le délit de diffamation, sont des violations de la liberté d’expression, souvent avec des conséquences graves

sur la réputation des individus.

Il est vrai que la contestation de crimes contre l’humanité et le délit d’entrave constituent des infractions qui entravent la recherche de la vérité et la justice.

14).  Infractions liées à la procédure pénale

Les infractions liées à la procédure pénale, comme l’entrave à l’exercice de la Justice, l’entrave à la saisine de la Justice, et le délit de fuite, sont des actes qui perturbent le bon

fonctionnement du système judiciaire.

Ainsi, ces infractions peuvent entraîner des sanctions pénales sévères afin de préserver l’intégrité du processus judiciaire.

15).  Infractions terroristes

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

Les infractions terroristes, telles que l’apologie d’actes terroristes, le délit de consultation des sites terroristes, et le terrorisme, sont des crimes qui mettent en péril la sécurité nationale.

De surcroît, ces infractions ont des répercussions mondiales, perturbant les relations internationales et la paix publique.

En raison de leur gravité, ces actes sont punis de manière stricte.

16).  Infractions liées à la sécurité publique

Les infractions liées à la sécurité publique, comme les nuisances sonores, le tapage nocturne, et les paroles outrageantes d’injures, affectent directement la tranquillité des

citoyens.

Au contraire, des actes plus graves tels que les appels téléphoniques malveillants ou les atteintes à la paix publique peuvent causer des troubles majeurs à l’ordre public.

17).  Autres infractions diverses

Les autres infractions, telles que la prostitution de rue, l’incitation à la discrimination, et l’incitation à la commission d’actes illicites, sont des crimes qui dégradent le tissu

social.

Tandis que des infractions comme le délit d’omission ou le non-témoignage peuvent sembler mineures, elles portent néanmoins atteinte aux principes fondamentaux de la justice.

18).  Manque d’infractions

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

Certaines infractions manquantes doivent être mentionnées pour compléter le tableau du droit pénal.

Quoique ces infractions, comme celles contre les systèmes de traitement automatisé de données (STAD), ne soient pas aussi fréquentes, elles représentent un domaine crucial en

raison de la dépendance croissante à la technologie.

D’autant plus que des infractions comme les tentatives criminelles, telles que la tentative de meurtre ou la tentative de vol, restent des aspects fondamentaux du droit pénal.

En raison de la complexité des infractions liées à la solidarité humaine, telles que le délit de solidarité humaine, il est primordial d’élargir les champs de la législation pour inclure ces

cas.

A).  LES PHRASES JURIDIQUES

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

1).  JURIDICTIONS

  1. Le juge des enfants peut ordonner des mesures de placement en urgence, même en l’absence d’audience.
  2. Le tribunal correctionnel statue sur les faits de violences n’atteignant pas le seuil criminel.
  3. La cour d’assises des mineurs est compétente pour les crimes commis contre des enfants.
  4. Le juge aux affaires familiales peut suspendre ou supprimer les droits de visite en cas de danger.
  5. La chambre des mineurs garantit la confidentialité des audiences impliquant des enfants.
  6. La cour d’appel réexamine les décisions civiles ou pénales relatives à la protection des mineurs.
  7. Le tribunal judiciaire est compétent pour l’ensemble des litiges liés à l’enfance maltraitée.
  8. Le juge des libertés et de la détention peut prolonger une mesure d’éloignement du parent violent.
  9. Le tribunal pour enfants statue sur les faits commis par des mineurs et sur les mesures éducatives.
  10. Le ministère public peut engager des poursuites même sans plainte en cas de signalement avéré.
  11. Le parquet de la famille centralise les dossiers relatifs à la protection de l’enfance.
  12. La chambre criminelle de la Cour de cassation peut censurer un arrêt insuffisamment motivé.
  13. Une juridiction spécialisée peut être saisie pour garantir la prise en compte des spécificités du dossier.
  14. L’auditeur judiciaire peut intervenir dans les décisions relatives aux mineurs en danger.
  15. Le juge de la mise en état oriente la procédure civile dans les affaires de retrait d’autorité.

2).  ACTEURS

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

  1. L’enfant victime peut être assisté d’un avocat désigné spécialement pour lui par le bâtonnier.
  2. Le parent protecteur peut saisir le juge des enfants sans attendre l’issue de la procédure pénale.
  3. Un parent maltraitant peut se voir interdire l’accès au domicile familial dès la phase d’enquête.
  4. L’avocat pénaliste joue un rôle essentiel dans la défense des droits de la victime mineure.
  5. Le juge des enfants coordonne les mesures d’assistance éducative et les signalements urgents.
  6. L’assistant social est tenu de signaler sans délai toute situation de maltraitance constatée.
  7. L’éducateur spécialisé accompagne le mineur dans son parcours de reconstruction après les faits.
  8. Le psychologue judiciaire peut être entendu à l’audience pour éclairer le juge sur l’état de l’enfant.
  9. Le médecin scolaire est souvent le premier à détecter des signes de maltraitance.
  10. Le responsable ASE organise le placement et le suivi des mineurs confiés à l’aide sociale à l’enfance.
  11. Le procureur de la République peut ouvrir une enquête dès qu’un doute sérieux existe.
  12. Le magistrat de permanence reçoit en urgence les signalements graves, même la nuit.
  13. L’officier de police judiciaire auditionne les parents, recueille les plaintes et saisit le parquet.
  14. L’administrateur ad hoc est désigné pour représenter un enfant dans une procédure pénale complexe.
  15. L’avocat de l’enfant est parfois distinct du représentant légal et intervient dans l’intérêt strict du mineur.

3).  TEXTES

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

  1. L’article 222-14 du Code pénal prévoit des peines aggravées en cas de violences habituelles sur mineur.
  2. L’article 222-24 réprime le viol sur mineur de moins de quinze ans par vingt ans de réclusion.
  3. L’article 227-15 sanctionne la privation volontaire d’aliments ou de soins envers un mineur.
  4. L’article 227-17 réprime l’abandon moral d’un enfant par un titulaire de l’autorité parentale.
  5. L’article 222-33-2-2 concerne le harcèlement moral, y compris lorsqu’il est infligé à un enfant.
  6. L’article 375 du Code civil permet au juge d’ordonner toute mesure de protection d’un mineur en danger.
  7. L’article 378 du Code civil énonce les conditions du retrait de l’autorité parentale.
  8. L’article 434-3 du Code pénal punit la non-dénonciation de mauvais traitements infligés à un mineur.
  9. L’article 40 du CPP oblige tout officier public à signaler un crime ou un délit dont il a connaissance.
  10. L’article 388-1 du Code civil consacre le droit du mineur à être entendu dans toute procédure le concernant.
  11. L’article 226-14 du Code pénal autorise la levée du secret professionnel pour signaler un danger.
  12. L’article 3 de la CEDH prohibe les traitements inhumains et dégradants, y compris sur mineur.
  13. La Convention de New York consacre les droits fondamentaux de l’enfant, notamment à la protection contre la violence.
  14. La Convention de La Haye prévoit des mécanismes contre l’enlèvement parental international.
  15. Le règlement Bruxelles II ter s’applique aux litiges transfrontaliers relatifs à l’autorité parentale.:

4).  NOTIONS JURIDIQUES

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

  1. La vulnérabilité du mineur est systématiquement prise en compte pour aggraver les peines.
  2. L’autorité parentale peut être retirée lorsque les agissements du titulaire mettent l’enfant en danger.
  3. L’intérêt supérieur de l’enfant guide l’ensemble des décisions judiciaires en matière de protection.
  4. Le défaut de surveillance prolongé peut être assimilé à une mise en danger de mineur.
  5. L’obligation éducative impose aux parents de garantir un cadre sécurisant et structurant.
  6. La non-assistance à personne en danger est constituée dès lors qu’un adulte omet d’intervenir pour un enfant.
  7. L’abus de pouvoir éducatif se manifeste lorsqu’un parent impose des violences sous couvert d’éducation.
  8. Une situation de danger justifie la saisine immédiate du juge des enfants.
  9. Les droits de l’enfant incluent la protection contre toute forme de violence, y compris familiale.
  10. Le droit à la sécurité du mineur prévaut sur les considérations d’autorité parentale.
  11. Un climat de terreur domestique peut constituer une maltraitance psychologique punissable.
  12. La rupture du lien parental causée par des violences peut entraîner un placement durable.
  13. La protection de l’enfance relève d’une mission prioritaire de l’État et des juridictions.
  14. Toute atteinte à l’intégrité morale d’un mineur est pénalement sanctionnée.
  15. Une privation d’éducation peut être retenue lorsque les carences sont volontaires et durables.

5).  DROIT EUROPÉEN

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

  1. L’article 3 de la CEDH interdit toute forme de traitement inhumain à l’égard des enfants.
  2. L’article 24 de la Charte des droits de l’UE renforce le droit des mineurs à être protégés.
  3. La Convention de Lanzarote oblige les États à criminaliser toutes les formes de violence sexuelle sur enfant.
  4. La CEDH reconnaît un droit effectif à la protection des mineurs vulnérables.
  5. Le règlement Bruxelles II ter s’applique à la reconnaissance des décisions parentales entre États.
  6. La Cour européenne des droits de l’homme sanctionne les États pour carence dans la protection des enfants.
  7. Le droit au respect de la vie privée de l’enfant implique une vigilance accrue dans les procédures.
  8. La coopération judiciaire européenne facilite l’exécution des décisions de protection transfrontalières.
  9. La coopération transfrontalière est essentielle dans les cas d’enlèvement parental avec violences.
  10. La convention sur les droits de l’enfant constitue le socle international des protections applicables.
  11. L’autorité centrale facilite les retours de mineurs déplacés illégalement à l’étranger.
  12. La directive sur les droits des victimes impose l’écoute spécialisée des enfants maltraités.
  13. Le droit de l’enfant entendu est consacré par plusieurs textes européens.
  14. La liberté de circulation de l’enfant doit être conciliée avec la sécurité et l’intérêt supérieur.
  15. La protection internationale de l’enfance suppose un encadrement juridique renforcé des États membres.

6).  VICTIMES

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

  1. Le mineur en danger peut être protégé sans délai par une mesure de placement provisoire.
  2. Un enfant battu présente souvent des signes cliniques révélateurs que le médecin doit signaler.
  3. Un enfant négligé sur le plan affectif ou médical peut faire l’objet d’une évaluation éducative urgente.
  4. La victime silencieuse ne doit jamais être ignorée : l’absence de parole n’exclut pas la souffrance.
  5. Tout mineur maltraité doit pouvoir bénéficier d’un suivi psychologique spécialisé.
  6. Un enfant traumatisé nécessite une prise en charge pluridisciplinaire coordonnée par les services de protection.
  7. Le récit d’un mineur violé doit être recueilli dans un cadre adapté et non intrusif.
  8. Un enfant harcelé dans sa propre famille doit être entendu séparément des adultes concernés.
  9. Un enfant humilié à répétition peut développer des troubles sévères justifiant un retrait du milieu familial.
  10. Le mineur privé de soins est reconnu comme victime de carence éducative grave.
  11. Une victime collatérale, frère ou sœur d’un enfant maltraité, peut également être placée à titre préventif.
  12. Le mineur sans repère issu d’un foyer violent peut être orienté vers un dispositif de reconstruction.
  13. Un enfant en souffrance ne verbalise pas toujours : l’observation comportementale est essentielle.
  14. Le mineur privé d’école par décision parentale peut faire l’objet d’une procédure pour délaissement.
  15. Un enfant déscolarisé par crainte ou isolement peut bénéficier d’une mesure d’accompagnement renforcé.

7).  SOLUTIONS

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

  1. Le signalement au 119 est accessible à tout citoyen, même de manière anonyme.
  2. Une audition spécialisée est obligatoire pour tout enfant victime présumée de violences sexuelles.
  3. La prise en charge ASE peut être ordonnée sans le consentement parental si l’enfant est en danger.
  4. Un placement d’urgence est souvent décidé dès les premières constatations de violences graves.
  5. La protection judiciaire de l’enfant repose sur une coordination entre le juge et les services sociaux.
  6. L’administrateur ad hoc veille aux intérêts de l’enfant dans les procédures pénales complexes.
  7. Le suivi psychologique d’un enfant victime doit être mis en place dès l’ouverture de l’enquête.
  8. Une médiation familiale n’est pas envisageable lorsque des violences sont caractérisées.
  9. La procédure éducative vise à restaurer un environnement stable et protecteur autour du mineur.
  10. L’aide juridictionnelle permet à la famille ou à l’enfant d’être assisté d’un avocat sans condition de ressources.
  11. Une cellule médico-judiciaire peut être sollicitée pour assurer une prise en charge globale de la victime.
  12. Une intervention du parquet peut se faire dès le premier signalement transmis par les services sociaux.
  13. Une expertise pédopsychiatrique permet d’évaluer l’impact des faits sur le développement psychique de l’enfant.
  14. Le projet pour l’enfant établi par les services de l’ASE fixe les objectifs éducatifs du placement.
  15. Un plan d’aide individualisé peut être élaboré pour chaque situation de vulnérabilité grave.

B).  Les mots-clés juridiques

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

1).  Infractions

  1. violences sur mineur
  2. harcèlement moral
  3. viol sur mineur
  4. agression sexuelle aggravée
  5. privation de soins
  6. abandons de famille
  7. non-assistance à mineur
  8. négligence grave
  9. maltraitance psychologique
  10. atteintes sexuelles
  11. violences éducatives
  12. enfermement abusif
  13. privation d’aliments
  14. traitement dégradant
  15. violences habituelles
  16. violence intrafamiliale
  17. violences sexuelles incestueuses
  18. exploitation d’enfant
  19. violences réitérées
  20. actes de barbarie
  21. soustraction à l’obligation parentale
  22. mise en danger du mineur
  23. abus de faiblesse sur mineur
  24. menaces sur mineur
  25. violences mentales

2).  Procédures

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

  1. dépôt de plainte
  2. signalement au procureur
  3. saisine du juge des enfants
  4. référé civil
  5. ordonnance de placement
  6. audition de l’enfant
  7. constitution de partie civile
  8. instruction pénale
  9. réquisition du parquet
  10. comparution immédiate
  11. enquête sociale
  12. référé protection
  13. suspension de l’autorité
  14. mandat de comparution
  15. instruction criminelle
  16. audition protégé
  17. interrogatoire du parent
  18. procédure de retrait
  19. plainte associative
  20. expertise psychologique
  21. placement ASE
  22. appel des mesures éducatives
  23. réexamen judiciaire
  24. délégation d’autorité parentale
  25. ordre de non-contact

3).  Sanctions

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

  1. peine de prison
  2. réclusion criminelle
  3. amende pénale
  4. interdiction de contact
  5. retrait de l’autorité parentale
  6. obligation de soins
  7. interdiction d’approcher
  8. dommages et intérêts
  9. peine complémentaire
  10. confiscation des droits parentaux
  11. sursis probatoire
  12. peine de substitution
  13. obligation de médiation
  14. injonction de soins
  15. peine d’interdiction professionnelle
  16. inscription au FIJAIS
  17. privation de droits civiques
  18. obligation de formation
  19. réparation du préjudice
  20. suspension du droit de visite
  21. interdiction scolaire
  22. interdiction de séjour
  23. peine ferme
  24. peine aménagée
  25. placement sous contrôle

4).  Juridictions

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

  1. juge des enfants
  2. tribunal correctionnel
  3. cour d’assises des mineurs
  4. juge aux affaires familiales
  5. chambre des mineurs
  6. cour d’appel
  7. tribunal judiciaire
  8. juge des libertés et de la détention
  9. tribunal pour enfants
  10. ministère public
  11. parquet de la famille
  12. chambre criminelle
  13. juridiction spécialisée
  14. auditeur judiciaire
  15. juge de la mise en état
  16. magistrat référent enfance
  17. juridiction de proximité
  18. tribunal de grande instance
  19. cour d’assises
  20. chambre d’instruction
  21. parquet général
  22. juge d’instruction
  23. bâtonnier
  24. juge civil
  25. audiencier

5).  Acteurs

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

  1. enfant victime
  2. parent protecteur
  3. parent maltraitant
  4. avocat pénaliste
  5. juge des enfants
  6. assistant social
  7. éducateur spécialisé
  8. psychologue judiciaire
  9. médecin scolaire
  10. responsable ASE
  11. procureur de la République
  12. magistrat de permanence
  13. officier de police judiciaire
  14. administrateur ad hoc
  15. avocat de l’enfant
  16. directeur d’établissement
  17. personnel éducatif
  18. témoin familial
  19. voisin vigilant
  20. médecin hospitalier
  21. enseignant référent
  22. médiateur familial
  23. expert psychiatre
  24. tuteur judiciaire
  25. auditeur social

6).  Textes

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

  1. article 222-14 du Code pénal
  2. article 222-24 du Code pénal
  3. article 227-15 du Code pénal
  4. article 227-17 du Code pénal
  5. article 222-33-2-2 du Code pénal
  6. article 375 du Code civil
  7. article 378 du Code civil
  8. article 434-3 du Code pénal
  9. article 40 du Code de procédure pénale
  10. article 388-1 du Code civil
  11. article 226-14 du Code pénal
  12. CEDH article 3
  13. Convention de New York
  14. Convention de La Haye
  15. règlement Bruxelles II ter
  16. Code de l’enfance
  17. directive européenne enfance
  18. charte des droits fondamentaux UE
  19. loi du 28 décembre 2019
  20. code de procédure pénale
  21. loi de protection de l’enfance
  22. loi contre les violences familiales
  23. loi sur l’audition du mineur
  24. Code de la santé publique
  25. convention internationale des droits de l’enfant

6).  Notions juridiques

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

  1. vulnérabilité du mineur
  2. autorité parentale
  3. intérêt supérieur de l’enfant
  4. défaut de surveillance
  5. obligation éducative
  6. non-assistance à personne en danger
  7. abus de pouvoir éducatif
  8. situation de danger
  9. droits de l’enfant
  10. droit à la sécurité
  11. climat de terreur domestique
  12. rupture du lien parental
  13. protection de l’enfance
  14. atteinte à l’intégrité morale
  15. privation d’éducation
  16. pression psychologique
  17. absence de soins
  18. souffrance non visible
  19. emprise parentale
  20. instrumentalisation de l’enfant
  21. conflit de loyauté
  22. domination parentale
  23. abus de droit familial
  24. condition d’indignité
  25. privation d’autonomie

7).  Droit européen

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

  1. article 3 CEDH
  2. article 24 de la Charte des droits UE
  3. Convention de Lanzarote
  4. CEDH
  5. règlement Bruxelles II ter
  6. Cour européenne des droits de l’homme
  7. droit au respect de la vie privée
  8. coopération judiciaire européenne
  9. coopération transfrontalière
  10. enlèvement parental international
  11. convention sur les droits de l’enfant
  12. autorité centrale
  13. reconnaissance mutuelle des décisions
  14. directive sur les droits des victimes
  15. droit de l’enfant entendu
  16. liberté de circulation de l’enfant
  17. règlement parental européen
  18. protection internationale de l’enfance
  19. normes de l’UE sur la maltraitance
  20. directive enfance vulnérable
  21. commission européenne
  22. CJUE
  23. Charte sociale européenne
  24. protection extraterritoriale
  25. tribunaux transfrontaliers

8).  Victimes

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

  1. mineur en danger
  2. enfant battu
  3. enfant négligé
  4. victime silencieuse
  5. mineur maltraité
  6. enfant traumatisé
  7. mineur violé
  8. enfant harcelé
  9. enfant humilié
  10. mineur privé de soins
  11. victime collatérale
  12. mineur sans repère
  13. enfant en souffrance
  14. mineur privé d’école
  15. enfant déscolarisé
  16. mineur isolé
  17. enfant en errance
  18. enfant retiré à sa famille
  19. mineur placé
  20. enfant en rupture familiale
  21. mineur victime de sévices
  22. enfant craintif
  23. mineur dépendant
  24. enfant brisé
  25. mineur abandonné

9).  Solutions

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

  1. signalement au 119
  2. audition spécialisée
  3. prise en charge ASE
  4. placement d’urgence
  5. protection judiciaire
  6. administrateur ad hoc
  7. suivi psychologique
  8. médiation familiale
  9. procédure éducative
  10. aide juridictionnelle
  11. cellule médico-judiciaire
  12. intervention du parquet
  13. expertise pédopsychiatrique
  14. projet pour l’enfant
  15. plan d’aide individualisé
  16. formation des familles
  17. prise en charge institutionnelle
  18. réparation du préjudice
  19. retrait du domicile
  20. revalorisation du lien familial
  21. refuge pour mineur
  22. hébergement éducatif
  23. soutien scolaire renforcé
  24. rétablissement du lien protecteur
  25. prise en charge pluridisciplinaire
à cause de cela,
 (Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

à cause de,

ainsi,

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à partir de là,

Ainsi,

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Aussi,

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car,

Cependant,
 (Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

c’est ainsi que,

c’est pour cela que,

par ailleurs,

c’est pourquoi,

Considérons,

Contraste,

D’autant plus,

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de ce fait,

de façon,

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 (Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

De même,

enfin,

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de sorte que,

deuxièmement,

Donc,

en ce qui concerne,

En conclusion,

par ailleurs,

En conséquence,

En dernier lieu,

dommage encore,

En fait,

puis,

En outre,

finalement,

en particulier,
(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

En premier lieu,

finalement,

En revanche,

En somme,

encore une fois,

Enfin,

ensuite,

étant donné que,

Finalement,

grâce à,

il est question de,

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Il s’agit de,

il y a aussi,

Mais,
(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs ,

Par conséquent,

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Par contre,

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évidemment,

Par la suite,

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Pour commencer,
 (Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

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Selon,

Suivant,

Tandis que,

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Tout d’abord,

Toutefois,
 (Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

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Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone, ou

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victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase

d’enquête (garde à vue) ; d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la

chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration

pénitentiaire par exemple).

Les domaines d’intervention du cabinet Aci

(Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

Cabinet d’avocats pénalistes parisiens 

D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo

 

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Engagement, E-mail : contact@cabinetaci.com

Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste  (Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

En somme, Droit pénal   (Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

Tout d’abord, pénal général  (Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal

Puis, pénal des affaires  (Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

Aussi, Droit pénal fiscal  (Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme  (Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

De même, Le droit pénal douanier  (Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

En outre, Droit pénal de la presse  (Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

                 Et ensuite  (Maltraitance des enfants : sanctions pénales et recours légaux)

Donc, pénal routier infractions

Outre cela, Droit pénal du travail

Malgré tout, Droit pénal de l’environnement

Cependant, pénal de la famille

En outre, Droit pénal des mineurs

Ainsi, Droit pénal de l’informatique

En fait, pénal international

Tandis que, Droit pénal des sociétés

Néanmoins, Le droit pénal de la consommation

Toutefois, Lexique de droit pénal

Alors, Principales infractions en droit pénal

Puis, Procédure pénale

Pourtant, Notions de criminologie

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