Discrimination

discrimination :
I). — La définition de la discrimination (discrimination)
L’article 225-1 du Code pénal dispose :
« Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe,
de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de leur patronyme, de leur lieu de résidence,
de leur état de santé, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs mœurs, de leur orientation
ou identité sexuelle, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur appartenance
ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.
Constitue également une discrimination toute distinction opérée entre les personnes morales à raison de l’origine, du sexe,
de la situation de famille, de l’apparence physique, du patronyme, du lieu de résidence, de l’état de santé,
du handicap, des caractéristiques génétiques, des mœurs, de l’orientation ou identité sexuelle, de l’âge,
des opinions politiques, des activités syndicales, de l’appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée,
à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée des membres
ou de certains membres de ces personnes morales ».
II). — Comment prouver la discrimination ? (discrimination)
A). — Élément matériel de la discrimination
Délit commis par un particulier
L’article 225-2 du Code pénal pose que la discrimination, telle qu’elle est définie par l’article 225-1, est
répréhensible lorsqu’il s’agit de :
– d’abord, refuser la fourniture d’un bien ou d’un service,
– ensuite, entraver l’exercice normal d’une activité économique quelconque,
– encore, refuser d’embaucher, sanctionner ou licencier une personne,
– puis, subordonner la fourniture d’un bien ou d’un service à une condition discriminatoire,
– et encore, subordonner une offre d’emploi, une demande de stage ou une période de formation en entreprise à une condition discriminatoire,
– enfin, refuser une personne à l’un des stages visés par le 2° de l’article L412-8 du Code de la sécurité sociale.
Dans la majorité des cas, les discriminations sont commises par des agents économiques fournissant des biens et des prestations
de service, ou des employeurs qui recrutent ou congédient leur personnel.
1) Infractions des fournisseurs de biens et de prestataires de service :
La matérialité du délit prend ici trois formes différentes :
– D’abord, Refus pur et simple d’un bien ou d’un service,
– Ensuite, Soumission de l’offre de contracter à des conditions discriminatoires,
– Puis, Entrave à une activité économique quelconque.
2) Infractions des employeurs :
Le délit des employeurs prend alors quatre formes différentes :
– Tout d’abord, Refus d’embauche discriminatoire,
– Et ensuite, Sanction discriminatoire,
– Mais aussi, Licenciement discriminatoire,
– Également, Soumission d’une offre d’emploi ou de stage à une condition discriminatoire.
– Enfin, Délit commis par un dépositaire de l’autorité publique
L’article 432-7 du Code pénal envisage « la discrimination […] commise à l’égard d’une personne physique ou morale
par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, dans l’exercice
ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission », qu’il punit « de cinq ans d’emprisonnement
et de 75000 euros d’amende », en cas de refus du bénéfice d’un droit accordé par la loi ou d’entrave à l’exercice normal
d’une activité économique quelconque.
B). — Élément moral de la discrimination (discrimination)
Qu’il soit commis par un particulier ou par un fonctionnaire, le délit de discrimination est toujours une infraction intentionnelle.
a.) La nature de l’intention discriminatoire
La raison qui forge l’intention chez l’auteur de la discrimination peut être variée. En effet, la discrimination peut être inspirée
par une hostilité à l’égard d’une catégorie de personnes, mais aussi par des sentiments d’intolérance ou de rejet
dirigés contre une personne précise pour des raisons liées à ses choix de vie, ou encore à ses caractéristiques physiques ou mentales.
1) La discrimination à raison d’une situation catégorielle :
Les sentiments de rejet et d’hostilité sont ici dirigés davantage contre le groupe humain auquel l’individu se rattache, que contre
l’individu lui-même. L’agent qui commet alors la discrimination est ici animé par un état d’esprit hostile à un sexe, une race,
une ethnie, une nationalité, ou une religion. Le législateur parle « d’appartenance ou de non-appartenance », de sorte qu’il importe
peu que l’agent reproche à son interlocuteur d’être ou de ne pas être de tel sexe, ou de telle race, ethnie, nationalité, ou religion.
2) La discrimination à raison d’une situation personnelle :
Les sentiments de rejet et d’hostilité ne sont pas ici dirigés contre un groupe humain tout entier, mais concentrés sur un
individu déterminé, s’expliquant par des raisons inhérentes à sa personnalité. Ces discriminations peuvent alors
se rapporter à la situation familiale de l’individu, son orientation sexuelle, son apparence physique, son état de santé,
son handicap éventuel, ses opinions politiques et activités syndicales, son âge, son patronyme, ou encore ses caractéristiques génétiques.
b.) La preuve de l’intention discriminatoire
1) La preuve déductible des faits :
L’intention discriminatoire peut être exprimée par écrit ou verbalement, mais peut aussi se déduire d’autres comportements
révélateurs, comme par exemple, le fait pour un employeur de ne fournir aucune explication au refus d’employer une personne de couleur.
2) La preuve non-déductible des faits :
Dans de nombreux cas, l’agent dissimule habilement son sentiment profond derrière des prétextes ou arguments de façade
dont le caractère fallacieux n’est pas toujours aisément démontrable.
On distingue ici trois cas de figure :
1.) premièrement, le refus opposé à toutes sortes de personnes: Tout d’abord, le refus opposé à une personne ou un groupe de personnes
appartenant aux catégories protégées peut avoir été opposé pareillement à d’autres personnes n’appartenant pas à ces catégories.
2.) deuxièmement, le refus fondé sur des considérations non-discriminatoires: Le refus paraît ici se fonder sur une raison objective
et totalement étrangère à l’esprit discriminatoire caractérisé par l’article 225-1 du Code pénal, mais s’accompagne
d’une circonstance qui crée le doute. Tout dépend alors de la vraisemblance des raisons invoquées
et de l’importance de la circonstance relevée.
3.) troisièmement, le refus fondé sur un motif légitime de discrimination:
Le refus se fonde alors sur une raison effectivement discriminatoire, mais il apparaît justifié.
III). — Comment la discrimination est-elle réprimée ?
(discrimination
I)- Les acteurs de la discrimination
A.) premièrement, la HALDE
La HALDE, Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité, est une autorité administrative indépendante
créée par la loi du 30 décembre 2004, compétente pour connaître de toutes les discriminations,
directes ou indirectes, prohibées par la loi ou un engagement international de la France. Il était prévu par cette loi qu’elle puisse
être saisie par les victimes de discrimination agissant d’elles-mêmes ou par l’intermédiaire d’une association régulièrement déclarée,
mais qu’elle puisse également se saisir elle-même.
La loi du 31 mars 2006 a ensuite prévu que lorsque la HALDE constatait des faits constitutifs d’une discrimination, elle pouvait,
si l’action publique n’avait pas encore été mise en mouvement, proposer à l’auteur de la discrimination le versement
d’une amende transactionnelle, dont le montant ne pouvait excéder 3 000€ s’il s’agit d’une personne physique, 15 000€ s’il s’agit
d’une personne morale. Cette transaction devait cependant être homologuée par le procureur de la République.
La HALDE a été absorbée par le Défenseur des droits, institution créée par la loi du 29 mars 2011.
Celui-ci a donc désormais pour mission de lutter contre les discriminations, directes ou indirectes, prohibées
par la loi ou par un engagement international ratifié ou approuvé par la France.
B.) deuxièmement, les associations de la discrimination
Depuis la loi du 1er juillet 1972, l’article 2-1 du Code de procédure pénale prévoit que « toute association régulièrement
déclarée depuis au moins 5 ans à la date des faits, se proposant par ses statuts de combattre le racisme
ou d’assister les victimes de discrimination fondée sur leur origine nationale, ethnique,
raciale ou religieuse peut exercer les droits reconnus à la partie civile en ce qui concerne […]
les discriminations réprimées par les articles 225-2 et 432-7 du Code pénal ».
Les lois du 25 juillet 1985 et du 12 juillet 1990 élargissent cette loi aux associations se proposant de combattre les discriminations
fondées sur le sexe ou les mœurs, ainsi qu’aux associations ayant pour objet de défendre ou d’assister
les personnes malades ou handicapées victimes des discriminations prévues par le Code pénal.
L’association doit cependant avoir reçu l’accord de la victime ou, si celle-ci est un mineur
ou un majeur protégé, celui de son représentant légal.
II)- Les peines de la discrimination (discrimination)
— Selon l’article 432-7 du Code pénal,
lorsque l’auteur du délit de discrimination est dépositaire de l’autorité publique,
il s’expose à une peine de 5 ans d’emprisonnement et de 75 000€ d’amende. L’article 432-17 du Code pénal
ajoute à ces peines des peines complémentaires, telles que l’interdiction des droits civils, civiques et de famille,
l’interdiction d’exercer une fonction publique ou l’activité dans l’exercice de laquelle l’infraction commise,
la confiscation de sommes ou objets irrégulièrement reçus, ou encore l’affichage et la diffusion de la décision prononcée.
— Selon l’article 225-2 du Code pénal,
lorsque l’auteur du délit de discrimination est un particulier, il s’expose à
une peine de 3 ans d’emprisonnement et 45 000€ d’amende. Ces peines peuvent atteindre 5 ans d’emprisonnement et 75 000€
d’amende lorsque la discrimination est commise dans un lieu
accueillant du public ou aux fins d’en interdire l’accès. L’article 225-19 du Code pénal ajoute à ces peines
des peines complémentaires, telles que l’interdiction du droit d’éligibilité et du droit d’exercer une fonction juridictionnelle,
d’être expert devant une juridiction ou de représenter ou assister une partie devant la justice, l’affichage
ou la diffusion de la décision prononcée, la fermeture d’établissement de l’entreprise du condamné,
l’exclusion des marchés publics, ou encore l’obligation d’accomplir un stage de citoyenneté.
— En vertu de l’article 225-4 du Code pénal,
les personnes morales peuvent être déclarées responsables
pénalement du délit de discrimination. Les peines encourues sont alors l’amende, l’interdiction d’exercer
une activité professionnelle ou sociale, le placement sous surveillance judiciaire, la fermeture d’établissement,
l’exclusion des marchés publics, la confiscation de la chose ayant servi à commettre l’infraction ou produite par elle,
ainsi que l’affichage de la décision prononcée ou sa diffusion par presse écrite ou tout moyen de communication audiovisuelle.
IV). — Les incitations à la discrimination (discrimination)
I/ En premier lieu, le délit de provocation à la discrimination
L’article 24 de la loi du 29 juillet 1881 réprime le fait de provoquer à la discrimination, à l’égard d’une personne
ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine, ou bien de leur appartenance ou de leur non-appartenance
à une ethnie, nation, race, ou religion déterminée, mais aussi le fait de provoquer à la discrimination, à la haine
ou à la violence, à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur sexe, orientation sexuelle, ou handicap.
L’infraction d’incitation à la discrimination est une infraction intentionnelle et formelle,
qui suppose l’utilisation de l’un des moyens caractéristiques des infractions de presse figurant dans la liste établie
par l’article 23 de la loi du 29 juillet 1881.
Il n’est pas nécessaire que les propos tenus ou les écrits aient contenu une incitation à commettre des faits précis de
discrimination. Cependant, l’article 24 de la loi du 29 juillet 1881 n’interdit pas toute liberté d’expression, puisque
ne constitue pas le délit, la publication d’un écrit critique.
II/ En second lieu, la poursuite et la répression du délit
L’action publique ne peut être mise en mouvement que par le ministère public ou les associations habilitées en vertu
de l’article 48-1 de la loi du 29 juillet 1881, tandis que les personnes visées ne peuvent se constituer parties civiles
que par voie d’intervention. Les auteurs de provocation à la discrimination s’exposent
à une peine d’1 an d’emprisonnement et 45 000€ d’amende.
V). — Contactez un avocat (discrimination)
Pour votre défense
action en discrimination prescription
amende discrimination à l’embauche
amende discrimination syndicale
article 225-1 discrimination d’abord,
avocat contre discrimination
discrimination 225-1 puis,
discrimination à la personne
délit discrimination code pénal ensuite,
discrimination à l’embauche délit
discrimination à l’embauche personnes handicapées aussi,
délit discrimination
discrimination à l’embauche prescription
discrimination à l’embauche sanction
délit de discrimination droit pénal
discrimination à rebours
discrimination âge
délit de discrimination
discrimination âge loi
discrimination âge sanction
délai prescription discrimination syndicale
discrimination amende
discrimination amende handicap
délai de prescription discrimination à l’embauche
discrimination article l1132-1
discrimination au travail droit pénal
délai de prescription discrimination
discrimination autorisée
discrimination avocat
définition de discrimination (discrimination)
discrimination banlieue
discrimination ça veut dire quoi
conditions discrimination par les prix
discrimination code pénal
discrimination code pénal peine
condition pour discrimination
discrimination code pénal sanction
discrimination condamnation
cabinet avocat discriminations*
discrimination* condamnation
discrimination* condition des femmes
avocat spécialiste discrimination* au travail
discrimination* condition sociale
discrimination* conditionnelle
avocat spécialiste discrimination*
discrimination* conditionnement classique
discrimination* critères
avocat spécialisé en discrimination*
discrimination* de code pénal
discrimination* définition
avocat spécialisé discrimination*
discrimination* délai de prescription (discrimination)
discrimination* délit
avocat pour discrimination*
discrimination* délit ou crime
discrimination* délit pénal
avocat pénaliste discrimination*
discrimination* directe
discrimination* droit de la personne
avocat discrimination* travail
discrimination* droit pénal du travail
discrimination* d’une personne morale
avocat discrimination* syndicale
discrimination* école
discrimination* éducation
avocat discrimination* raciale
discrimination* égalité
discrimination* égalité homme femme
avocat discrimination* paris
discrimination* élément
discrimination* élément intentionnel
avocat discrimination* handicap
discrimination* éléments constitutifs
discrimination* en droit
avocat discrimination*
discrimination* en droit pénal
discrimination* envers toute personne âgées
avocat contre la discrimination*
discrimination* et code pénal (discrimination)
pénaliste avocat discrimination*
discrimination* et délit
discrimination* et délit d’entrave
avocat spécialiste discrimination*
discrimination* et malade
discrimination* et médiation
avocat pénaliste discrimination*
discrimination* et mépris
discrimination* et mode
stéréotypes discrimination* et relations intergroupes
discrimination* et prescription
discrimination* et reclassement
sanction discrimination* personne morale
discrimination* et recrutement
discrimination* et règlement intérieur
responsabilité sociale discrimination*
discrimination* et relations intergroupes
discrimination* et rémunération
prescription salaire discrimination*
discrimination* et responsabilité
discrimination* et rupture conventionnelle
prescription quinquennale discrimination*
discrimination* et santé mentale
discrimination* exemple
prescription pour discrimination*
discrimination* exploitation de personne vulnérable
discrimination* familiale
prescription médication discrimination*
discrimination* famille
discrimination* flagrant délit (discrimination)
prescription discrimination* travail
discrimination* fonction publique
discrimination* forme
prescription discrimination* syndicale premièrement,
discrimination* infraction deuxièmement,
discrimination* infraction pénale troisièmement,
prescription discrimination* salariale tout d’abord,
discrimination* intellectuelle puis,
discrimination*involontaire ensuite,
prescription* discrimination fonction publique
discrimination* jeunes aussi,
discrimination* juridique tout,
prescription discrimination* droit du travail surtout,
discrimination* justice
discrimination* justifiée par ailleurs,
prescription discrimination* code du travail également,
discrimination* liée à l’âge de même,
discrimination* lieu de résidence tout autant,
prescription discrimination* à l’embauche en dernier,
discrimination* linguistique enfin,
discrimination* liste
premièrement,
deuxièmement,
troisièmement,
tout d’abord,
puis,
ensuite,
aussi,
tout,
surtout,
par ailleurs, également,
premièrement,
deuxièmement,
troisièmement,
tout d’abord, (discrimination)
puis,
ensuite,
aussi,
tout,
surtout,
par ailleurs, également,
de même,
tout autant,
en dernier,
enfin,
de même,
tout autant,
en dernier,
enfin,
prescription discrimination*
discrimination* logement
discrimination* loi
prescription délit discrimination*
discrimination* maladie
discrimination* maladie mentale
prescription action discrimination*
discrimination* médicale
discrimination* mœurs
préjudice n discrimination*
discrimination* nationalité
discrimination* négative
une personne discrimination* définition
discrimination* non intentionnelle
discrimination* numérique
parme avocats discrimination*
discrimination* obligation employeur
discrimination* opinion politique
lutte contre les discriminations droit pénal (discrimination)
discrimination* ordinaire
discrimination* origine sociale
la notion de discrimination*
discrimination* par une personne dépositaire de l’autorité publique
discrimination* peine pénale
la discrimination* telle que définie aux articles 225-1 à 225-1-2 du code pénal est punie de
discrimination* pénale premièrement,
discrimination* personne âgée deuxièmement,
la discrimination* s’arrête ici troisièmement,
discrimination* personne handicapée d’abord,
discrimination* personne morale puis,
la discrimination* positive au travail ensuite,
discrimination* personne transgenre également,
discrimination* personnel soignant aussi,
la discrimination* est un délit de même,
discrimination* personnelle par ailleurs,
discrimination* personnes âgées également,
la discrimination* est-elle une infraction en dernier,
discrimination* personnes âgées au travail enfin,
discrimination* personnes en situation de handicap ainsi,
la discrimination* est-elle un délit et aussi,
discrimination* personnes handicapées et puis,
discrimination* personnes handicapées travail aussi,
la discrimination* en droit pénal de même,
discrimination* politique davantage encore
discrimination* positive avocat
la discrimination* en droit
discrimination* positive science po
discrimination* pour personne handicapée
la discrimination* des personnes handicapées
discrimination* prescription charges
discrimination* prescription pénale
la discrimination* des personnes âgées
discrimination* professionnelle (discrimination)
discrimination* quartier populaire
la discrimination* au travail
discrimination* que dit la loi
discrimination* quel tribunal
la discrimination*
discrimination* question
discrimination* responsabilité de l’employeur
infraction pénale discrimination* d’abord,
discrimination* responsabilité employeur puis,
discrimination* salariale ensuite,
infraction discrimination* aussi,
discrimination* salariale et prescription de même,
discrimination* sanction également,
infraction de discrimination* par ailleurs,
discrimination* sanction pénale enfin,
discrimination* signification
flagrant délit discrimination*
discrimination* sur une personne handicapé
délai prescription discrimination* syndicale
discrimination* syndicale délit
élément moral discrimination*
discrimination* syndicale et harcèlement moral
discrimination* syndicale et prescription
élément matériel discrimination*
discrimination* syndicale infraction pénale
discrimination* syndicale prescription
droit pénal discrimination*
discrimination* télétravail
à cause de cela,
à cause de,
ainsi,
à nouveau, (discrimination)
à partir de là,
Ainsi,
Alors que,
Alors,
Après cela,
Après que,
Aussi,
bien que,
car,
Cependant,
c’est ainsi que,
c’est pour cela que,
par ailleurs,
c’est pourquoi,
Considérons,
Contraste,
D’autant plus,
d’après,
de ce fait,
de façon,
manière que,
De la même manière,
De même, (discrimination)
enfin,
de nouveau
de plus,
en dernier lieu,
De plus,
de sorte que,
deuxièmement,
Donc,
en ce qui concerne,
En conclusion,
par ailleurs,
En conséquence,
En dernier lieu,
dommage encore,
En fait,
puis,
En outre,
finalement,
en particulier,
En premier lieu,
finalement,
En revanche,
En somme,
encore une fois, (discrimination)
Enfin,
ensuite,
étant donné que,
Finalement,
grâce à,
il est question de,
de même,
Il s’agit de,
il y a aussi,
Mais,
Malgré cela,
Malgré tout,
Néanmoins,
Outre cela,
Par ailleurs ,
Par conséquent,
et aussi,
Par contre,
par exemple,
évidemment,
Par la suite,
par rapport à,
parce que,
plus précisément,
plus tard,
Pour commencer,
Pour conclure, (discrimination)
Pourtant,
Premièrement,
Prenons le cas de,
Puis,
puisque,
Qui plus est,
Selon,
Suivant,
Tandis que,
touchant à,
Tout d’abord,
Toutefois,
troisièmement
et ensuite,
Une fois de plus,
et puis,
et aussi,
discrimination* territoriale
du cabinet Aci assurera efficacement votre défense.
Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone ou bien en envoyant un mail.
Quelle que soit votre situation : auteur, co-auteur, complice, receleur ou victime d’infractions,
nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase d’enquête (garde à vue) ;
d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la chambre de jugement et enfin,
pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration pénitentiaire par exemple).
VI). — Les domaines d’activité du site Cabinet Aci ‘ (discrimination)
Avocats pénalistes parisiens
D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo
75003 PARIS
Puis, Tél : 01.42.71.51.05
Ensuite, Fax : 01.42.71.66.80
Aussi, Enfin, E-mail : contact@cabinetaci.com
Catégories
Premièrement, LE CABINET (discrimination)
Deuxièmement, SPÉCIALISTE DROIT PÉNAL (discrimination)
En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste (discrimination)
En second lieu, Droit pénal (discrimination)
Tout d’abord, pénal général (discrimination)
Ensuite, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal (discrimination)
Puis, pénal des affaires (discrimination)
Aussi, Droit pénal fiscal (discrimination)
Également, Droit pénal de l’urbanisme (discrimination)
De même, Le droit pénal douanier (discrimination)
Et aussi, Droit pénal de la presse (discrimination)
Et ensuite,
Et plus, pénal routier infractions
Après, Droit pénal du travail
Davantage encore, Droit pénal de l’environnement
Surtout, pénal de la famille
Par ailleurs, Droit pénal des mineurs
Ainsi, Droit pénal de l’informatique
Tout autant, pénal international
En dernier, Le droit pénal de la consommation
Troisièmement, Lexique de droit pénal
Quatrièmement, Principales infractions en droit pénal
Et puis, Procédure pénale
Ensuite, Notions de criminologie
Également, DÉFENSE PÉNALE
Aussi, AUTRES DOMAINES
Enfin, CONTACT