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Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale

Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale

I).  —  Introduction : la provocation à la haine raciale, un délit pénal majeur

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

La provocation à la haine raciale constitue une atteinte grave aux principes fondamentaux de la République, notamment à l’égalité et à la dignité humaine. Elle

est réprimée par les articles 23 à 24 bis de la loi de 1881 sur la liberté de la presse, complétés par les dispositions du Code pénal.

Ces infractions se manifestent sous diverses formes : discours publics, propos tenus sur internet, publications, affiches, ou encore contenus audiovisuels. La

provocation à la haine ou à la violence raciale vise des personnes à raison de leur origine, de leur appartenance ou non-appartenance à une ethnie, une nation,

une race ou une religion déterminée.

Le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, traite régulièrement ce type de contentieux sensible, exigeant une stratégie de défense rigoureuse et une mobilisation

probatoire adaptée aux spécificités des infractions racistes.

II).  —  Cadre juridique applicable

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

L’article 24 al. 6 de la loi de 1881 prévoit : « Seront punis de cinq ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende ceux qui auront, par l’un des moyens énoncés à

l’article 23, provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur

appartenance ou non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».

La provocation peut être directe ou indirecte, explicite ou implicite, et suppose la volonté de séduire, de convaincre ou de manipuler un public. Il n’est pas

nécessaire que la haine ait effectivement produit ses effets pour que l’infraction soit constituée : l’intention suffit.

Le délit est aggravé lorsqu’il est commis via internet ou un service de communication au public en ligne. Le droit européen et les conventions internationales

imposent également aux États des obligations de répression efficace contre les propos racistes.

III).  —  Exemple de modèle de plainte structurée

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

Madame, Monsieur le Procureur de la République,

Je soussigné(e), [Nom, prénom], né(e) le [date] à [lieu], domicilié(e) à [adresse], dépose plainte à l’encontre de [nom ou pseudonyme], auteur de propos publics

incitant à la haine raciale à mon encontre ou envers la communauté [préciser], par le biais de [préciser le support : publication, réseaux sociaux, vidéo, etc.], diffusé le

[date] à [lieu ou URL].

Les propos suivants ont été tenus [reproduire les extraits incriminés], lesquels, par leur contenu, visent à susciter la haine, la discrimination et la violence contre les

personnes de [préciser l’appartenance ethnique, religieuse, ou autre].

Ces faits, constitutifs du délit prévu à l’article 24 de la loi du 29 juillet 1881, sont d’une extrême gravité et ont porté atteinte à ma dignité, à ma tranquillité et à ma

sécurité.

Je joins à la présente plainte les captures d’écran, enregistrements et témoignages disponibles.

Je sollicite l’ouverture d’une enquête et la poursuite de l’auteur des faits.

Veuillez croire, Madame, Monsieur le Procureur, en l’assurance de ma considération distinguée.

IV).  —  Jurisprudence et exemples récents

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

1).  Cass. crim., 4 novembre 2020, n° 19-82.328 : condamnation pour provocation à la haine via un blog appelant à « chasser les étrangers ».

2)  CA Paris, 7 février 2019, n° 18/02752 : propos anti-musulmans dans une vidéo en ligne constituant une incitation à la haine.

3).  Tribunal correctionnel de Paris, 25 mai 2022 : condamnation d’un influenceur pour propos racistes et incitation à la haine sur Twitter.

La jurisprudence sanctionne très fermement les auteurs de contenus publics racistes, même lorsque ceux-ci sont masqués derrière un humour provocateur ou une

prétendue liberté d’expression. Les tribunaux prennent en compte le contexte, l’audience, et les effets potentiels sur l’ordre public.

V).  —  Caractérisation du délit et éléments à prouver

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

Pour qu’une plainte pour provocation à la haine raciale soit recevable, il faut prouver :

1).  L’existence de propos publics clairement accessibles,

2).  Une incitation à la haine, à la discrimination ou à la violence,

3).  Un lien entre les propos et l’appartenance ou non-appartenance à un groupe protégé (ethnie, religion, nation, etc.),

4).  L’intention de provoquer la haine (directe ou indirecte).

L’enjeu réside dans la qualification des propos : les critiques générales ou polémiques ne suffisent pas, sauf s’il existe un appel explicite ou insinué à la haine. La

jurisprudence admet des condamnations même pour des propos voilés ou déguisés.

VI).  —  Procédure pénale et suites possibles

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

Une fois la plainte déposée, le procureur peut ouvrir une enquête préliminaire, ordonner une expertise informatique ou saisir la plateforme PHAROS en cas

de diffusion sur internet. Les auteurs peuvent être convoqués, perquisitionnés, voire placés en garde à vue.

Le parquet peut :

1).  classer sans suite,

2).  ordonner une comparution immédiate,

3).  saisir le juge d’instruction,

4).  proposer une alternative aux poursuites (rappel à la loi, stage de citoyenneté).

Les peines encourues vont jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende si l’infraction est aggravée (internet, mineur, autorité publique, etc.). Les

condamnations peuvent inclure des dommages et intérêts pour la victime, une interdiction d’exercer ou une confiscation de matériel.

VII).  —  Rôle de l’avocat et constitution de partie civile

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

Le recours à un avocat pénaliste spécialisé est fondamental. Le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, assure :

1).  l’analyse juridique des propos,

2).  la qualification pénale,

3).  la rédaction de plainte détaillée,

4).  le suivi de l’enquête et des auditions,

5).  la représentation en audience correctionnelle.

L’avocat peut aussi initier une plainte avec constitution de partie civile pour obtenir la nomination d’un juge d’instruction, accélérer la procédure et demander

une indemnisation. Cette voie oblige le parquet à réagir.

VIII).  —  Droit des victimes et mesures de soutien

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

La victime peut saisir :

1).  le défenseur des droits,

2).  la CNCDH,

3).  les associations antiracistes,

4).  les juridictions civiles en cas de dommage moral.

Elle peut demander :

1).  la suppression du contenu litigieux,

2).  des mesures d’éloignement ou de protection,

3).  l’aide juridictionnelle,

4).  un accompagnement psychologique.

Des stages de citoyenneté sont parfois imposés aux auteurs pour les sensibiliser aux valeurs républicaines.

IX).  —  Prescription et réouverture du dossier

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

Le délai de prescription est de un an à compter de la publication des propos. Toutefois, la jurisprudence permet d’invoquer une infraction continue si le

contenu reste accessible (site internet, vidéo en ligne). Cela prolonge le délai.

En cas de classement sans suite, il est possible de :

1).  saisir directement le doyen des juges d’instruction,

2).  engager une action civile,

3). relancer la plainte en apportant de nouveaux éléments.

X).  —  Enjeux sociétaux et responsabilité collective

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

La répression des propos haineux contribue à la défense de la cohésion nationale, de la paix civile et du respect de la diversité. Les acteurs publics, les plateformes, les

citoyens ont une responsabilité commune.

Le droit pénal reste l’ultime rempart, mais il ne remplace ni l’éducation, ni le dialogue, ni la vigilance sociale. C’est dans cet esprit que le Cabinet ACI agit pour

protéger les victimes, rétablir la légalité, et faire condamner les dérives haineuses avec la plus grande fermeté.

XI).  —  Contactez un avocat

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

pour votre défense

A).  —  LES MOTS CLES JURIDIQUES : 

1).  Infractions principales

provocation à la haine, provocation à la violence, incitation à la haine, incitation à la violence, haine raciale, violence raciale, propos discriminatoires, discours

haineux, infraction raciste, délit de haine, publication haineuse, propos publics racistes, propos antisémites, propos islamophobes, propos xénophobes, haine sur

internet, appel à la haine, propos injurieux racistes, incitation raciale, propagande haineuse, vidéos haineuses, menaces racistes, insultes racistes, propos raciaux,

agissements haineux

2).  Actes aggravants et circonstances aggravées

circonstance aggravante, infraction aggravée, diffusion numérique, publication en ligne, réseau social, audience publique, victime mineure, récidive, organisation

raciste, groupe haineux, intention manifeste, violence verbale, atteinte à la dignité, contexte sensible, propos persistants, propos répétés, relai médiatique,

provocation continue, impact collectif, propos choquants, minorité ciblée, attaque ethnique, propos antireligieux, propos stigmatisants, audience massive

3).  Victime et statut de la partie civile

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

victime, préjudice moral, atteinte à la personne, dignité blessée, trouble psychologique, partie civile, dépôt de plainte, droit des victimes, assistance juridique, soutien

psychologique, accompagnement, réparation, indemnisation, constitution de partie civile, dommage moral, sécurité personnelle, traumatisme, isolement social, aide

juridictionnelle, parole de victime, reconnaissance du statut, plainte recevable, dépôt auprès du procureur, preuves fournies, protection de la victime

4).  Défense pénale et rôle de l’avocat

avocat pénaliste, cabinet ACI, défense des droits, stratégie judiciaire, analyse juridique, accompagnement juridique, conseil juridique, qualification pénale, rédaction

de plainte, procédure pénale, expertise juridique, représentation en justice, défense des intérêts, protection pénale, avocat expérimenté, plainte circonstanciée,

assistance pénale, action civile, plainte directe, intervention au tribunal, audience correctionnelle, accompagnement en procédure, constitution de preuve, défense

rigoureuse, action rapide

5).  Procédure et traitement judiciaire

procureur de la République, plainte simple, enquête préliminaire, citation directe, instruction judiciaire, comparution immédiate, mesures alternatives, classement

sans suite, information judiciaire, plainte avec constitution, délai de prescription, infraction continue, ouverture d’enquête, expertise informatique, audition,

perquisition, convocation, commission rogatoire, décision judiciaire, ordonnance pénale, réquisition du parquet, poursuites pénales, dépôt numérique, acte

d’enquête, plainte écrite

6).  Droit de la presse et libertés publiques

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

loi de 1881, article 23, article 24, liberté d’expression, limites de la liberté, abus de droit, presse écrite, publication en ligne, médias sociaux, tribune publique,

responsabilité éditoriale, infraction de presse, procédure presse, délai court, support numérique, injure publique, diffamation raciale, exception de vérité, délit de

presse, citation en diffamation, abus de la liberté d’expression, propos non protégés, discours discriminatoire, contenu éditorial, contrôle judiciaire

7).  Discrimination et racisme

discrimination raciale, discrimination religieuse, racisme, antisémitisme, xénophobie, stigmatisation, hostilité ethnique, rejet de l’autre, exclusion, discours de haine,

intolérance, racisme ordinaire, discrimination systémique, égalité des droits, traitement inégal, minorité visée, harcèlement discriminatoire, climat de haine,

stéréotype raciste, signalement discriminatoire, combat contre le racisme, préjugé, racisme en ligne, racisme décomplexé, racisme latent

8).  Réseaux sociaux et internet

réseaux sociaux, publication Facebook, tweet haineux, message raciste, diffusion virale, modération en ligne, signalement de contenu, YouTube, vidéo virale,

audience numérique, cyberhaine, internet, plateformes numériques, responsabilité des hébergeurs, algorithmes, incitation en ligne, contenu litigieux, suppression de

contenu, publication publique, post injurieux, contenu partagé, incitation virale, capture d’écran, preuve numérique, modération insuffisante

9).  Jurisprudence et décisions judiciaires

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

arrêt de la Cour de cassation, jurisprudence récente, tribunal correctionnel, Cour d’appel, condamnation, relaxe, jugement motivé, décision judiciaire, antériorité,

décision de principe, jurisprudence constante, condamnation exemplaire, article 24 loi 1881, publication de jugement, jurisprudence médiatisée, audience publique,

instruction pénale, tendance jurisprudentielle, sanctions judiciaires, décisions comparables, peine prononcée, jurisprudence européenne, arrêt marquant, antécédent

judiciaire, cas emblématique

10).  Sanctions et mesures répressives

amende, emprisonnement, peine complémentaire, interdiction d’exercer, stage de citoyenneté, interdiction d’émettre, interdiction de publier, publication du

jugement, peine aggravée, confiscation, interdiction de paraître, sursis, mesure probatoire, condamnation pécuniaire, casier judiciaire, dommage et intérêt, sanction

civile, sanction disciplinaire, sanction exemplaire, mise à l’épreuve, obligation de formation, avertissement judiciaire, injonction judiciaire, sanction publique,

décision répressive

11).  Preuves et éléments matériels

preuve, preuve numérique, capture d’écran, enregistrement audio, vidéo incriminée, post archivé, témoignage, constat d’huissier, URL, lien hypertexte, contenu

sauvegardé, analyse linguistique, métadonnées, IP, source du message, appareil utilisé, chronologie des faits, publication originale, message répliqué, message

supprimé, publication datée, contexte de diffusion, analyse de publication, commentaire injurieux, trace numérique

12).  Droit international et européen

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

Convention européenne des droits de l’homme, Cour EDH, article 10 CEDH, limite à la liberté d’expression, Pacte international relatif aux droits civils et politiques,

lutte contre le racisme, ONU, directive européenne, droit comparé, jurisprudence européenne, principe de proportionnalité, standard européen, arrêt Handyside,

arrêt Féret, incitation condamnée, limite légitime, protection contre la haine, convention contre le racisme, discours de haine condamné, exigence démocratique

13).  Responsabilité des plateformes et hébergeurs

hébergeur, plateforme, modération, retrait de contenu, injonction judiciaire, signalement, obligation de retrait, responsabilité civile, responsabilité pénale, Facebook,

Twitter, YouTube, obligation de surveillance, délai de retrait, contenu illicite, refus de suppression, défaut de vigilance, hébergeur passif, contenu signalé, algorithme

de suggestion, contenu recommandé, canal de diffusion, relai fautif, ligne éditoriale, comportement délictueux

14).   Plaintes connexes et délits associés

injure publique, diffamation raciale, dénonciation calomnieuse, harcèlement moral, menace de mort, apologie de crimes, incitation à la discrimination, publication

injurieuse, atteinte à la réputation, trouble à l’ordre public, contestation de crimes, propagande raciste, message haineux, trouble social, faux et usage de faux,

usurpation d’identité, chantage, cyberharcèlement, diffusion de fausses nouvelles, trouble intentionnel, pression psychologique, intimidation, incivilité publique,

comportement violent

15).  Réparation et indemnisation

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

dommages et intérêts, indemnisation, préjudice moral, réparation du préjudice, évaluation du dommage, chiffrage des pertes, compensation, action civile,

constitution de partie civile, justice réparatrice, reconnaissance du préjudice, ordonnance de réparation, mesure civile, indemnité symbolique, accompagnement

judiciaire, jugement indemnitaire, souffrance morale, indemnisation intégrale, dommage collectif, condamnation pécuniaire, évaluation judiciaire, calcul du

préjudice, aide juridictionnelle, expertise psychologique, préjudice d’image

16).  Communication publique et contexte médiatique

déclaration publique, discours, média, blog, tribune, intervention filmée, forum public, tribune politique, événement médiatique, message public, conférence,

publication officielle, intervention enregistrée, prise de parole, débat, manifestation, campagne médiatique, contexte public, polémique publique, émission en direct,

opinion médiatisée, propos spontanés, vidéo partagée, événement viral, conférence de presse

17).  Psychologie et effets sur les victimes

trouble post-traumatique, stress, anxiété, repli sur soi, humiliation, peur, perte de confiance, choc émotionnel, syndrome dépressif, sentiment d’insécurité, isolement,

peur des représailles, déscolarisation, honte, stigmatisation vécue, détresse morale, sentiment d’abandon, agressivité subie, hypersensibilité, cauchemars, besoin de

soutien, trauma prolongé, violences verbales, impact psychique, besoin de reconnaissance

18).  Institutions et organismes compétents

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

police nationale, gendarmerie, procureur, juge d’instruction, tribunal correctionnel, cour d’appel, ministère de la justice, défenseur des droits, CNCDH, associations

de lutte contre le racisme, MRAP, LICRA, SOS Racisme, juridictions civiles, parquet, associations reconnues d’utilité publique, Commission européenne, Conseil de

l’Europe, PHAROS, Conseil constitutionnel, Conseil d’État, médiateur, autorités judiciaires, autorités administratives, justice pénale

19).  Prévention, éducation et sensibilisation

éducation civique, sensibilisation, école, intervention en milieu scolaire, formation citoyenne, prévention des discriminations, campagne de prévention, stage de

citoyenneté, valeurs républicaines, pédagogie, outils éducatifs, engagement citoyen, programme de sensibilisation, accompagnement scolaire, culture du respect,

égalité, transmission des valeurs, prévention numérique, politique éducative, prévention associative, initiative locale, programme public, atelier thématique,

conférence éducative, intervention de prévention

20).  Principes fondamentaux et droits protégés

égalité, dignité humaine, respect de l’autre, fraternité, droits de l’homme, liberté individuelle, pluralisme, tolérance, non-discrimination, cohésion sociale, paix civile,

vivre-ensemble, ordre public, respect des convictions, intégrité morale, sécurité, citoyenneté, démocratie, protection des minorités, laïcité, respect de la loi, liberté de

conscience, principe d’égalité, valeurs républicaines, intérêt général

B).  —  LES PHRASES JURIDIQUES :

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

1).  Infractions principales

  1. La provocation à la haine raciale constitue une infraction pénale autonome.
  2. Tout discours incitant à la violence contre un groupe ethnique est sanctionnable.
  3. La loi réprime la diffusion publique de propos discriminatoires.
  4. Les propos haineux sur internet relèvent de la loi de 1881.
  5. Une publication raciste peut suffire à engager des poursuites pénales.
  6. L’incitation à la haine n’exige pas que les actes violents soient réalisés.
  7. La haine raciale exprimée publiquement trouble l’ordre public.
  8. Le contenu antimusulman diffusé sur les réseaux sociaux est poursuivi.
  9. Une vidéo incitant à la violence raciale engage la responsabilité de son auteur.
  10. Les propos xénophobes peuvent être requalifiés en provocation délictueuse.
  11. Une proposition d’exclusion fondée sur la race est pénalement répréhensible.
  12. La propagation d’idées haineuses est un délit reconnu.
  13. Toute apologie implicite de la violence raciale doit être combattue.
  14. Un discours public stigmatisant une communauté engage la responsabilité de son auteur.
  15. Le délit de haine peut être poursuivi même sans plainte de la victime.

2).  Actes aggravants et circonstances aggravées

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. La récidive de propos haineux entraîne un alourdissement des peines.
  2. Une diffusion sur les réseaux sociaux constitue une circonstance aggravante.
  3. Le caractère répété des propos est pris en compte par le juge.
  4. L’implication d’un mineur comme cible renforce la gravité des faits.
  5. Une diffusion massive peut entraîner des conséquences plus sévères.
  6. La participation à un groupe haineux aggrave l’infraction.
  7. Un acte commis dans un contexte tendu est traité plus durement.
  8. Le ciblage d’une minorité identifiable constitue un facteur aggravant.
  9. Une incitation persistante à la haine peut justifier une peine ferme.
  10. La publication en période de crise accroît la responsabilité pénale.
  11. Le lien avec une idéologie raciste démontre l’intention coupable.
  12. L’existence d’une audience étendue est un élément de contexte essentiel.
  13. Une propagande structurée rend l’infraction plus grave.
  14. La multiplication des propos sur différents supports est sanctionnée.
  15. Le relai d’un contenu haineux engage la responsabilité du diffuseur.

3).  Victime et statut de la partie civile

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. La victime d’un délit de haine peut se constituer partie civile.
  2. Une plainte déposée par la victime engage les poursuites.
  3. Le préjudice moral doit être reconnu et indemnisé.
  4. Une atteinte à la dignité est juridiquement protégée.
  5. Le trouble psychologique subi peut être évalué par expertise.
  6. Le statut de partie civile ouvre droit à la réparation.
  7. Une victime isolée peut bénéficier d’une aide juridique.
  8. La plainte motivée doit détailler les faits et les preuves.
  9. Le respect de la parole de la victime est essentiel au procès.
  10. Une victime de propos racistes peut demander le retrait du contenu.
  11. La souffrance psychique est un dommage indemnisable.
  12. Une plainte déposée avec avocat facilite la reconnaissance judiciaire.
  13. Le Cabinet ACI assiste les victimes dans leur constitution de partie civile.
  14. La preuve du lien entre les propos et le préjudice est essentielle.
  15. La demande d’indemnisation peut être jointe à la plainte.

4).  Défense pénale et rôle de l’avocat

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. L’avocat qualifie juridiquement les propos incriminés.
  2. Le Cabinet ACI élabore une stratégie de plainte adaptée.
  3. La préparation du dossier est essentielle à l’ouverture d’enquête.
  4. L’avocat rédige une plainte circonstanciée.
  5. Il détermine la qualification pénale la plus opportune.
  6. Il accompagne la victime tout au long de la procédure.
  7. Il peut demander une audition ou un renvoi en correctionnelle.
  8. L’avocat agit aussi par citation directe si nécessaire.
  9. Il constitue des pièces probantes au soutien de la plainte.
  10. Il plaide lors de l’audience pénale.
  11. Il veille au respect des droits de la victime.
  12. Il peut initier une plainte avec constitution de partie civile.
  13. Il anticipe les obstacles de prescription ou de qualification.
  14. Il sollicite une indemnisation pour la victime.
  15. Il engage également la responsabilité civile si nécessaire.

5).  Procédure et traitement judiciaire

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. La plainte est transmise au procureur de la République.
  2. Une enquête préliminaire peut être ouverte.
  3. Le parquet peut classer sans suite ou poursuivre.
  4. La citation directe est une voie d’action rapide.
  5. Un juge d’instruction peut être saisi.
  6. L’affaire est jugée par le tribunal correctionnel.
  7. Le dossier peut être orienté vers une comparution immédiate.
  8. Des mesures alternatives sont parfois proposées.
  9. L’audience publique garantit la transparence.
  10. Le jugement rendu peut être publié.
  11. La victime peut solliciter des dommages et intérêts.
  12. Un appel est possible en cas de décision contestée.
  13. L’expertise informatique peut être ordonnée.
  14. La plainte peut être transmise à la PHAROS.
  15. Le délai de prescription est de 1 an, sauf infraction continue.

6).  Moyens de preuve

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. Les captures d’écran constituent un élément essentiel de preuve.
  2. Les témoignages oculaires renforcent la crédibilité des faits.
  3. Une expertise informatique permet d’authentifier les contenus en ligne.
  4. Les échanges sur réseaux sociaux sont souvent conservés comme preuves.
  5. Les courriers électroniques peuvent démontrer une volonté haineuse.
  6. Les vidéos publiées en ligne sont recevables comme preuve en justice.
  7. Le journal de bord des enquêteurs collecte les éléments d’enquête.
  8. Les enregistrements sonores peuvent corroborer les propos incriminés.
  9. Les témoignages anonymes sont pris en compte avec prudence.
  10. L’audition des témoins est une étape clé de la procédure.
  11. Le rapport d’expertise psychiatrique peut évaluer le préjudice.
  12. Les captures vidéo en direct sont exploitées par les tribunaux.
  13. L’analyse des métadonnées permet de vérifier la date des publications.
  14. Le dépôt de preuves doit respecter les règles de la chaîne de custody.
  15. Une expertise graphologique peut identifier l’auteur de certains écrits.

7).  Responsabilité pénale

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. L’auteur des propos haineux est pénalement responsable.
  2. La responsabilité des diffuseurs peut également être engagée.
  3. Les administrateurs de sites peuvent être poursuivis s’ils ne retirent pas le contenu.
  4. La complicité peut être retenue si plusieurs personnes participent à la diffusion.
  5. La récidive aggrave la responsabilité pénale de l’auteur.
  6. La responsabilité morale peut être invoquée en plus de la responsabilité pénale.
  7. Les personnes morales peuvent être poursuivies pour ces infractions.
  8. La négligence dans la modération des contenus engage la responsabilité.
  9. Le partage intentionnel de contenus haineux constitue une infraction.
  10. La responsabilité des réseaux sociaux est limitée par la loi, mais croissante.
  11. L’auteur encourt des sanctions pénales et civiles.
  12. La responsabilité pénale peut s’étendre aux propos indirects.
  13. Une mise en cause doit être fondée sur des preuves précises.
  14. Les faits doivent être caractérisés pour engager la responsabilité.
  15. La responsabilité est appréciée au regard des circonstances de l’affaire.

8).  Sanctions encourues

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. La peine maximale prévue est de cinq ans d’emprisonnement.
  2. L’amende peut atteindre 45 000 euros dans les cas ordinaires.
  3. En cas d’aggravation, l’amende peut monter à 75 000 euros.
  4. L’interdiction d’exercer certaines fonctions peut être prononcée.
  5. La confiscation des matériels utilisés est possible.
  6. Les peines complémentaires peuvent inclure l’interdiction d’accès à certains sites.
  7. Le sursis peut être accordé selon les circonstances.
  8. La peine peut être assortie d’un stage de citoyenneté.
  9. Le tribunal peut ordonner la publication du jugement.
  10. La révocation d’une peine avec sursis est possible en cas de récidive.
  11. Les sanctions civiles peuvent inclure des dommages-intérêts.
  12. L’obligation de réparation morale est souvent prononcée.
  13. Le non-respect des injonctions de suppression peut entraîner des sanctions.
  14. Une peine de travail d’intérêt général peut être imposée.
  15. La peine dépend de la gravité et des antécédents de l’auteur.

9).  Procédures alternatives et médiation

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. Un rappel à la loi peut être prononcé par le procureur.
  2. La médiation pénale vise à réparer le dommage sans procès.
  3. Le stage de citoyenneté sensibilise l’auteur aux valeurs républicaines.
  4. La procédure de composition pénale peut être proposée.
  5. La transaction pénale est possible dans certains cas.
  6. L’ordonnance pénale permet de sanctionner rapidement.
  7. L’auteur peut être invité à participer à un atelier de sensibilisation.
  8. Les alternatives évitent un procès long et coûteux.
  9. La médiation favorise la reconnaissance des torts par l’auteur.
  10. Ces procédures ne sont pas possibles pour tous les délits.
  11. Le refus de ces mesures peut entraîner une procédure classique.
  12. La médiation peut inclure une réparation symbolique.
  13. Le suivi post-médiation est assuré par un professionnel.
  14. La composition pénale implique l’accord de la victime.
  15. Ces mesures permettent de désengorger les tribunaux.

10).  Protection des victimes et mesures d’accompagnement

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. La victime bénéficie d’un droit à l’information tout au long de la procédure.
  2. Des mesures de protection peuvent être ordonnées par le juge.
  3. L’aide juridictionnelle facilite l’accès à la justice.
  4. Les associations spécialisées offrent un soutien moral et juridique.
  5. Le défenseur des droits peut être saisi en cas de discrimination.
  6. Un accompagnement psychologique est souvent nécessaire.
  7. La suppression des contenus litigieux est une priorité.
  8. Les victimes peuvent demander une protection policière si nécessaire.
  9. La reconnaissance du préjudice moral est essentielle.
  10. Le Cabinet ACI assiste les victimes dans leurs démarches.
  11. La confidentialité des données de la victime est respectée.
  12. La médiatisation des faits est encadrée pour protéger la victime.
  13. Des dispositifs de réinsertion sociale peuvent être proposés.
  14. La victime peut être informée des suites données à sa plainte.
  15. La sensibilisation des proches de la victime fait partie de l’accompagnement.

11).  Jurisprudence et arrêts clés

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. La Cour de cassation a confirmé la condamnation pour provocation à la haine raciale dans l’arrêt n°19-82.328 du 4 novembre 2020.
  2. L’arrêt de la Cour d’appel de Paris du 7 février 2019 sanctionne les propos anti-musulmans en vidéo.
  3. Le tribunal correctionnel de Paris, le 25 mai 2022, a condamné un influenceur pour incitation à la haine sur Twitter.
  4. La jurisprudence affirme que la liberté d’expression ne couvre pas les discours haineux.
  5. Une vidéo satirique appelant à la haine a été reconnue comme provocation délictueuse par les juges.
  6. La Cour a retenu la responsabilité même en cas de propos indirects ou voilés.
  7. Le fait de relayer des propos haineux peut constituer un délit de complicité.
  8. La jurisprudence sanctionne les propos tenus sur des groupes privés si largement diffusés.
  9. L’arrêt du 12 janvier 2018 précise les critères d’appréciation de l’intention.
  10. Une condamnation a été prononcée malgré une défense fondée sur l’humour.
  11. Les juges tiennent compte de l’audience réelle et potentielle des propos.
  12. La récidive a conduit à des peines plus sévères dans plusieurs affaires récentes.
  13. Une décision du Conseil constitutionnel a validé la loi de 1881 relative à la haine.
  14. Les juges peuvent ordonner la suppression immédiate du contenu litigieux.
  15. La jurisprudence protège également les groupes religieux contre la haine.

12).  Droit européen et international

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. La Convention européenne des droits de l’homme protège contre la discrimination raciale.
  2. L’article 10 de la Convention garantit la liberté d’expression mais exclut les propos haineux.
  3. La Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne interdit toute incitation à la haine.
  4. La France doit respecter les obligations internationales en matière de lutte contre le racisme.
  5. La Cour européenne des droits de l’homme sanctionne les États qui ne répriment pas les discours haineux.
  6. Les principes de non-discrimination sont inscrits dans plusieurs conventions internationales.
  7. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques condamne la haine raciale.
  8. La France a ratifié plusieurs textes imposant des mesures pénales contre la haine.
  9. La jurisprudence européenne influence la législation nationale.
  10. Le Conseil de l’Europe organise des campagnes contre le racisme et la xénophobie.
  11. Les directives européennes imposent des obligations aux plateformes numériques.
  12. Le droit international humanitaire condamne les discours incitant à la violence.
  13. Les rapports de l’ONU soulignent l’importance d’une répression efficace.
  14. La coopération judiciaire internationale facilite les poursuites transfrontalières.
  15. La protection des minorités est un objectif commun aux États membres.

13).  Outils numériques et lutte contre la haine en ligne

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. La plateforme PHAROS permet de signaler les contenus haineux sur internet.
  2. Les réseaux sociaux doivent retirer rapidement les contenus signalés.
  3. Les métadonnées des publications aident à tracer les auteurs.
  4. L’expertise informatique est essentielle pour identifier les comptes anonymes.
  5. Le législateur impose aux hébergeurs une obligation de vigilance.
  6. La modération humaine complète les filtres automatiques.
  7. La loi française impose un délai de suppression rapide des contenus illicites.
  8. Les outils de traçabilité facilitent la collecte des preuves.
  9. Le signalement sur les plateformes contribue à la prévention.
  10. Les dispositifs de blocage peuvent être ordonnés par la justice.
  11. Les algorithmes peuvent détecter les propos à caractère haineux.
  12. La coopération entre États et entreprises est nécessaire.
  13. Le droit à l’oubli numérique s’applique parfois aux propos racistes.
  14. La formation des modérateurs est un enjeu majeur.
  15. Les recours juridiques complètent la lutte technique contre la haine.

14).  Responsabilité des plateformes numériques

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. Les plateformes ont une responsabilité accrue en matière de contenus haineux.
  2. Elles doivent respecter les obligations légales de retrait sous 24 heures.
  3. La non-conformité peut entraîner des sanctions financières importantes.
  4. Les plateformes doivent collaborer avec les autorités judiciaires.
  5. Elles mettent en place des mécanismes de signalement accessibles.
  6. La modération proactive est encouragée par la législation.
  7. Les plateformes peuvent être tenues responsables en cas de manquement.
  8. Les politiques internes doivent respecter les lois nationales.
  9. Certaines plateformes ont développé des chartes contre la haine.
  10. La transparence des actions de modération est exigée.
  11. La responsabilité est limitée si elles agissent promptement.
  12. La coopération internationale est cruciale face aux contenus transfrontaliers.
  13. Le respect des libertés fondamentales est pris en compte.
  14. Les plateformes sont souvent en première ligne de la lutte contre la haine.
  15. Les débats sur la responsabilité juridique sont en constante évolution.

15).  Mesures de prévention et sensibilisation

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. La sensibilisation à la diversité est un outil préventif efficace.
  2. Les campagnes éducatives visent à réduire les discours haineux.
  3. Les programmes scolaires intègrent la lutte contre le racisme.
  4. Les associations jouent un rôle clé dans la prévention.
  5. La formation des agents publics inclut la gestion des discours haineux.
  6. Les médias sont encouragés à promouvoir la tolérance.
  7. Le dialogue interculturel contribue à prévenir les conflits.
  8. Les entreprises mettent en place des politiques anti-discrimination.
  9. Les réseaux sociaux collaborent à des campagnes de sensibilisation.
  10. La loi prévoit des sanctions pour les propos racistes en milieu professionnel.
  11. La prévention passe par l’éducation aux médias.
  12. Le rôle des influenceurs est reconnu dans la diffusion de valeurs positives.
  13. Les actions communautaires favorisent l’inclusion sociale.
  14. Les pouvoirs publics financent des projets de lutte contre la haine.
  15. La coopération entre acteurs publics et privés est essentielle.

16).  Droit à la réparation et indemnisation

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. La victime peut demander des dommages et intérêts en réparation du préjudice moral.
  2. L’indemnisation couvre la souffrance psychologique causée par la provocation à la haine.
  3. Les frais liés à une expertise psychiatrique peuvent être pris en charge.
  4. La réparation peut inclure une compensation financière pour le trouble à la vie privée.
  5. La reconnaissance judiciaire du préjudice facilite l’obtention de réparations.
  6. Une action civile complémentaire peut être engagée pour indemniser la victime.
  7. Le juge évalue le montant des dommages en fonction des circonstances.
  8. La procédure peut se dérouler parallèlement à la procédure pénale.
  9. La victime bénéficie du soutien d’un avocat spécialisé pour défendre ses droits.
  10. La réparation peut être partielle ou totale selon les éléments de preuve.
  11. Le Cabinet ACI accompagne la victime dans ses démarches d’indemnisation.
  12. La jurisprudence reconnaît l’importance du préjudice moral lié à la haine raciale.
  13. La réparation peut aussi viser à couvrir les frais médicaux occasionnés.
  14. Le tribunal peut ordonner une publication du jugement à des fins réparatrices.
  15. Une reconnaissance officielle du dommage moral est une forme de réparation

17).   Clauses contractuelles et modération des contenus

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. Les conditions générales d’utilisation encadrent la modération des propos.
  2. Les utilisateurs acceptent une charte contre les discours haineux.
  3. Les plateformes peuvent suspendre ou supprimer un compte en cas de violation.
  4. La modération repose sur des règles précises de retrait des contenus illicites.
  5. Une clause contractuelle précise les sanctions en cas de propos racistes.
  6. Le non-respect des conditions entraîne des mesures disciplinaires.
  7. La transparence des critères de modération est encouragée.
  8. Les utilisateurs sont informés des motifs de suppression de contenus.
  9. Les recours internes permettent de contester les décisions de modération.
  10. Les plateformes doivent équilibrer liberté d’expression et lutte contre la haine.
  11. La modération automatique peut être complétée par un examen humain.
  12. Les politiques de modération évoluent en fonction des retours des utilisateurs.
  13. Les contrats précisent souvent l’interdiction de diffuser des propos discriminatoires.
  14. Les sanctions contractuelles peuvent inclure des interdictions d’accès.
  15. La modération contractuelle est un outil complémentaire à la répression pénale.

18).  Enquête et poursuite judiciaire

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. Le procureur de la République peut ouvrir une enquête après dépôt de plainte.
  2. Les services spécialisés mènent des investigations techniques sur internet.
  3. La perquisition informatique permet de saisir les preuves numériques.
  4. L’audition des témoins est une étape essentielle de l’enquête.
  5. Le suspect peut être convoqué pour une garde à vue.
  6. La procédure pénale suit les règles du Code de procédure pénale.
  7. L’enquête peut être confiée à un juge d’instruction en cas de complexité.
  8. Les preuves recueillies doivent respecter la légalité pour être recevables.
  9. Le parquet décide des suites à donner à l’enquête (poursuite ou classement).
  10. L’action publique peut être déclenchée par la plainte avec constitution de partie civile.
  11. La collaboration internationale est parfois nécessaire pour localiser un auteur.
  12. Les enquêtes numériques utilisent des outils spécialisés pour tracer les auteurs.
  13. La confidentialité de l’enquête est protégée pour préserver les droits.
  14. Les délais d’instruction varient selon la gravité des faits.
  15. Le suivi de la procédure est assuré par l’avocat de la victime.

19).  Alternatives aux poursuites pénales

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. Le procureur peut proposer un rappel à la loi à l’auteur des propos.
  2. La médiation pénale favorise la réparation du dommage sans procès.
  3. Le stage de citoyenneté sensibilise aux valeurs républicaines et à la tolérance.
  4. La composition pénale permet d’éviter un procès par une sanction négociée.
  5. L’ordonnance pénale est une procédure simplifiée pour certaines infractions.
  6. Ces mesures sont adaptées aux délits moins graves.
  7. La victime doit consentir à la médiation pour qu’elle soit mise en œuvre.
  8. Le refus de ces alternatives peut entraîner une procédure classique.
  9. La médiation inclut souvent une démarche de reconnaissance des torts.
  10. Les stages de sensibilisation sont animés par des associations agréées.
  11. Ces procédures permettent de désengorger les tribunaux correctionnels.
  12. Elles contribuent à la réinsertion sociale des auteurs.
  13. L’efficacité de ces alternatives dépend de la bonne volonté des parties.
  14. Elles complètent la répression pénale sans la remplacer.
  15. Le Cabinet ACI conseille sur les recours possibles face à ces mesures.

20).  Enjeux sociétaux et rôle du droit

(Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

  1. La lutte contre la haine raciale est un enjeu fondamental pour la société.
  2. Le droit pénal protège les valeurs républicaines et la cohésion sociale.
  3. La prévention et la répression sont complémentaires dans la lutte contre la haine.
  4. La responsabilisation des acteurs publics est essentielle.
  5. Les plateformes numériques jouent un rôle clé dans la diffusion des contenus.
  6. La vigilance citoyenne est un élément de la lutte contre les discours haineux.
  7. L’éducation au respect et à la diversité favorise la paix civile.
  8. Les sanctions pénales visent aussi à dissuader la propagation de la haine.
  9. La reconnaissance des préjudices subis contribue à la réparation sociale.
  10. Le débat public doit concilier liberté d’expression et protection des victimes.
  11. Le droit international impose des obligations aux États.
  12. Les campagnes de sensibilisation renforcent la prévention.
  13. La coopération entre pouvoirs publics et société civile est indispensable.
  14. Le rôle des avocats est d’assurer la défense des victimes et le respect du droit.
  15. La lutte contre la haine raciale est un combat de long terme, à mener sans relâche.

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du cabinet Aci

assurera efficacement votre défense.

Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone, ou

bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation : auteur, co-auteur, complice, receleur ou

victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase

d’enquête (garde à vue) ; d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la

chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration

pénitentiaire par exemple).

XII).  —  Les domaines d’intervention du cabinet Aci

Cabinet d’avocats pénalistes parisiens 

D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo

75 003  PARIS

Puis, Tél. 01 42 71 51 05

Ensuite, Fax 01 42 71 66 80

Engagement, E-mail : contact@cabinetaci.com

Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste (Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

En somme, Droit pénal (Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

Tout d’abord, pénal général (Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal

Puis, pénal des affaires (Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

Aussi, Droit pénal fiscal (Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme (Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

De même, Le droit pénal douanier (Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

En outre, Droit pénal de la presse (Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

                 Et ensuite (Modèle de plainte pour provocation à la haine et violence raciale)

Donc, pénal routier infractions

Outre cela, Droit pénal du travail

Malgré tout, Droit pénal de l’environnement

Cependant, pénal de la famille

En outre, Droit pénal des mineurs

Ainsi, Droit pénal de l’informatique

En fait, pénal international

Tandis que, Droit pénal des sociétés

Néanmoins, Le droit pénal de la consommation

Toutefois, Lexique de droit pénal

Alors, Principales infractions en droit pénal

Puis, Procédure pénale

Pourtant, Notions de criminologie

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