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Mesures alternatives à la détention : TIG, sursis, probation

Mesures alternatives à la détention : TIG, sursis, probation

* Mesures alternatives à la détention : TIG, sursis, probation — cadre, conditions, exécution et effets, avec références légales et jurisprudence pour éviter

l’incarcération.

Mesures alternatives à la détention : TIG, sursis, probation

I. Finalités et cadre normatif

A. Pourquoi des alternatives à l’emprisonnement ?

L’arsenal des mesures alternatives à la détention poursuit trois finalités complémentaires : 1 préserver la sécurité publique sans systématiser l’enfermement ; 2 garantir une réparation sociale en responsabilisant l’auteur ; 3 favoriser la réinsertion en évitant les effets désocialisants de l’incarcération courte. Le travail d’intérêt général (TIG), le sursis (simple ou sursis probatoire) et la probation (au sens du suivi probatoire fixé par le juge) en constituent les instruments principaux.

B. Sources légales et textuelles

Les peines et aménagements s’adossent principalement au Code pénal (CP) et au Code de procédure pénale (CPP). Pour mémoire :

  • Les peines principales et complémentaires sont listées par le CP, dont le TIG prévu à l’article 131-8 du Code pénal (peine alternative à l’emprisonnement pour les délits).
  • Le sursis simple et le sursis probatoire sont régis par le Titre II du Livre Ier (v. articles 132-29 s. CP, notamment 132-31 pour le sursis simple et 132-40 à 132-54 pour le sursis probatoire).
  • Les modalités d’exécution et de contrôle relèvent du CPP (notamment dispositions relatives au Juge de l’application des peines – JAP ; v. Code de procédure pénale).
  • Pour un panorama pédagogique : service-public.fr – Peines et exécution.

C. Principes directeurs rappelés par la jurisprudence

La jurisprudence rappelle que : 1 le choix d’une mesure doit être individualisé au regard de la personnalité, des antécédents et des garanties d’insertion ; 2 le dispositif retenu doit être proportionné à la gravité des faits ; 3 le caractère effectif et contrôlable des obligations est déterminant. Ces principes irriguent les décisions du JAP et des juridictions de jugement (v. par ex. synthèses sur Cour de cassation – chambre criminelle).


II. Le travail d’intérêt général (TIG)

A. Nature, bénéficiaires et structure

Le TIG est une peine autonome pour délit (et, sous conditions, contravention de 5ᵉ classe) qui consiste à exécuter, au profit de la collectivité, une activité non rémunérée au sein d’un organisme habilité. Le consentement du prévenu/condamné est requis au moment du prononcé. Le TIG peut être assorti d’obligations (soins, formation, indemnisation) et se combine avec des peines d’amende ou d’interdiction. Réf. : CP art. 131-8 ; informations pratiques : agencetig.fr (plateforme d’orientation vers les postes TIG).

B. Quantum, délai d’exécution et organismes d’accueil

Le quantum est exprimé en heures et doit être accompli dans un délai fixé par la juridiction, sous le contrôle du SPIP (Service pénitentiaire d’insertion et de probation). Les postes sont fournis par des collectivités, établissements publics, associations d’intérêt général ou structures conventionnées. Le SPIP organise l’entretien d’évaluation, la convention, le planning, les contrôles d’assiduité et le rapport final. En cas d’aléas (santé, emploi, garde d’enfant), des réaménagements sont possibles sur saisine du JAP.

C. Effets, articulation et conséquences en cas de manquements

Le TIG a une valeur réparatrice et pédagogique : il manifeste l’effort tangible de l’auteur pour compenser le trouble social. En cas d’exécution conforme, la peine est considérée comme purgée ; en cas de refus d’exécuter, d’absences injustifiées ou de manquements répétés aux consignes, la juridiction ou le JAP peuvent révoquer la mesure et substituer un emprisonnement (total ou partiel), voire prononcer des peines complémentaires. Réf. procédurales : CPP – exécution des peines.


III. Le sursis : simple et probatoire

A. Sursis simple : logique, conditions et portée

Le sursis simple (CP, art. 132-31) permet de ne pas exécuter une peine d’emprisonnement (ou d’amende) tant que la personne ne commet pas de nouvelle infraction durant le délai d’épreuve. Il suppose des garanties de représentation et d’insertion suffisantes. Son intérêt : éviter l’incarcération lorsqu’une mise à l’épreuve active (obligations) n’apparaît pas nécessaire. S’il n’y a pas de nouvelle condamnation dans le délai, le sursis devient définitif ; en cas de récidive, il peut être révoqué en tout ou partie.

B. Sursis probatoire : philosophie, obligations et contrôle

Le sursis probatoire (anciennement « sursis avec mise à l’épreuve »), régi par les articles 132-40 à 132-54 CP, subordonne la non-exécution de l’emprisonnement au respect d’obligations contrôlées par le SPIP sous l’autorité du JAP. Les obligations, proportionnées et individualisées, peuvent inclure :
1 Indemniser la victime et entreprendre des démarches réparatrices ;
2 Suivre des soins (addictologie, santé mentale), se former ou travailler ;
3 Résider à une adresse déclarée, respecter des interdictions (lieux, contacts, réseaux) ;
4 Réaliser un TIG (intégré au probatoire) ;
5 Se présenter aux convocations du SPIP, répondre aux contrôles, justifier de son activité.

Le non-respect des obligations expose à une révocation partielle ou totale du sursis, avec mise à exécution de l’emprisonnement assortie, le cas échéant, d’un nouveau suivi. Le JAP peut aménager, assouplir ou renforcer les obligations selon l’évolution (CPP – Application des peines : textes).

C. Choix entre sursis simple, sursis probatoire et TIG

Le juge évalue : 1 la gravité objective des faits et le risque de réitération ; 2 les besoins criminologiques (soins, emploi, logement) ; 3 la capacité d’adhésion du condamné. Un TIG peut suffire lorsque le besoin est surtout réparateur ; un sursis simple est adapté si la menace de la peine suffit ; un sursis probatoire est préféré lorsque des obligations structurantes sont nécessaires.


IV. La probation : logique de suivi, outils et trajectoire

A. Notion opérationnelle

Dans la pratique française, on désigne par probation le suivi en milieu ouvert effectué par le SPIP, décidé par le juge (au stade du sursis probatoire, d’un contrôle judiciaire ou d’un aménagement de peine). Le cœur de la probation : évaluer les besoins, réduire le risque de récidive et soutenir l’insertion (logement, emploi, santé), par un accompagnement structuré et évaluable.

B. Évaluation, plan d’exécution et outils

1 Évaluation initiale : analyse des facteurs de risque/protection, des ressources disponibles, des contraintes familiales et professionnelles.
2 Plan d’exécution : calendrier d’objectifs (remboursement, formation, soins), indicateurs (assiduité, tests, attestations), revues périodiques devant le JAP.
3 Outils : entretiens SPIP, contrats d’objectifs, attestations d’employeurs, bilans de soins et de formation, contrôles ciblés et, si besoin, technologies (contrôle à distance, vérifications d’horaires).

C. Graduations de réponse et révision des obligations

La probation est adaptative : progression en cas de conformité, avertissements puis saisine du JAP en cas d’écarts, révocation en dernier ressort. Cette graduation est essentielle pour la crédibilité de la mesure et la protection de la société (CPP – décisions du JAP, v. Code de procédure pénale).


V. Conditions de prononcé et critères d’individualisation

A. Données personnelles et garanties d’insertion

Le tribunal apprécie :

  • Âge, santé, situation familiale/professionnelle, ressources ;
  • Antécédents (casier, respect d’anciennes mesures) ;
  • Projet (emploi trouvé, formation, accompagnement) ;
  • Positionnement : reconnaissance des faits, démarches déjà entreprises (remboursements, soins).

B. Place de la victime et réparation

Toute mesure alternative doit intégrer la victime : indemnisation, démarches réparatrices, interdictions de contact ou d’approche. La réparation est fréquemment condition du sursis probatoire, avec justificatifs et délais vérifiés par le SPIP et le JAP. Voir la logique de l’action civile (CPP ; Service-public – indemnisation).

C. Récidive, pluralité d’infractions et peines complémentaires

En cas de récidive, la marge pour des alternatives se resserre, mais demeure ouverte si un projet solide et contrôlable est proposé. Les peines complémentaires (interdictions, stages, confiscations) peuvent coexister avec un TIG ou un sursis probatoire pour renforcer la cohérence de l’ensemble (CP – peines complémentaires).


VI. Exécution : acteurs, calendrier et preuves

A. Rôle central du SPIP

Le SPIP est l’opérateur de la probation et du TIG : il évalue, oriente (poste TIG, soins, formation), suit (convocations, vérifications), rend compte au JAP. Il peut proposer des ajustements ou signalements si la mesure déraille.

B. JAP : décision, adaptation et contrôle

Le Juge de l’application des peines : 1 valide le plan d’exécution ; 2 modifie ou révoque en cas de besoins ; 3 statue sur les difficultés (santé, emploi) et peut adapter la mesure ; 4 constate l’achèvement. Le JAP assure la sécurité juridique du processus (CPP – Application des peines).

C. Preuves d’exécution et traçabilité

La traçabilité est cruciale : attestations d’assiduité, feuilles de présence, contrats de travail, bulletins de salaire, certificats médicaux, reçus d’indemnisation, bilans SPIP, compte rendu d’organisme d’accueil. Tout échange se fait idéalement par écrit (ou voie sécurisée), daté, archivé.


VII. Manquements, révocation et réponses graduées

A. Typologie des manquements

1 Absences aux convocations SPIP ou aux postes TIG ;
2 Non-paiement des indemnités sans justification ;
3 Refus de soins, d’un stage, d’une formation ordonnée ;
4 Contact interdit avec la victime ;
5 Nouvelle infraction.

B. Procédure d’alerte et contradictoire

Le SPIP signale les manquements ; le JAP convoque, recueille les observations et décide : rappel et mise en garde, renforcement des obligations, prolongation exceptionnelle, ou révocation partielle/totale. La décision est motivée et notifiée (CPP – garanties du contradictoire).

C. Effets d’une révocation

La révocation entraîne l’exécution de tout ou partie de l’emprisonnement initialement assorti du sursis. En cas de TIG, l’inexécution peut conduire à substituer une peine ferme. Les périodes déjà accomplies (heures TIG, stages, versements) sont prises en considération dans l’individualisation de la réponse.


VIII. Articulation avec d’autres dispositifs

A. Contrôle judiciaire et détention provisoire

En amont du jugement, le contrôle judiciaire (CPP, mesures de contrôle) peut préfigurer un socle d’obligations ultérieur (soins, interdictions, obligations de pointage). La détention provisoire demeure ultima ratio, au regard des garanties et de la proportionnalité.

B. Aménagements de peine et libération sous contrainte

Post-condamnation, d’autres aménagements (bracelet électronique, semi-liberté, placement extérieur) existent. Ils peuvent reprendre des obligations probatoires analogues, dans une logique de milieu ouvert. Voir service-public – Aménagements de peine.

C. Stages et injonctions

Le juge peut augmenter le pouvoir pédagogique des alternatives en imposant des stages (citoyenneté, sécurité routière, violences), des injonctions de soins (avec cadre médical et consentement), des interdictions ciblées (lieux, port d’arme, réseaux sociaux), toujours proportionnées et contrôlables (CP – peines complémentaires et obligations).


IX. Avantages, limites et bonnes pratiques

A. Ce que gagnent la société, la victime et la personne condamnée

  • Société : alternatives préventives et moins coûteuses que la prison, avec réduction de la récidive quand elles sont bien ciblées ; maintien du lien social.
  • Victime : réparation plus rapide et suivie (indemnisation, TIG à visée communautaire), interdictions protectrices.
  • Condamné : évite la prison, structure sa trajectoire, accède aux soins/emploi, responsabilisation concrète.

B. Limites et points de vigilance

  • Nécessité d’un maillage opérationnel (postes TIG, offre de soins/formation) ;
  • Charge pour le SPIP : veiller à la qualité du suivi ;
  • Communication avec la victime : maintenir des informations claires (dans le respect du secret).
    Le Cabinet ACI veille à sécuriser chaque étape (choix de la mesure, rédaction d’un projet crédible, pièces justificatives, audience).

C. Bonnes pratiques contentieuses (Cabinet ACI)

1 Dossier de personnalité : fiches de paie, promesse d’embauche, attestation de formation, bilan médical, justificatifs familiaux ;
2 Projet d’exécution détaillé : organisme TIG identifié, planning, convention prête, place de la victime (indemnisation) ;
3 Engagements écrits et calendrier réaliste ;
4 Suivi post-audience : relation active avec le SPIP/JAP, adaptations en cas d’aléa (santé, mobilité, horaires).


X. Foire de questions fréquentes (synthèse pratique)

1. Le tribunal peut-il imposer un TIG sans mon accord ?

Non : le TIG exige votre consentement éclairé. À défaut, la juridiction envisagera une autre peine ou un sursis probatoire avec obligations différentes (CP 131-8).

2. Que se passe-t-il si je perds mon emploi en cours de probation ?

Prévenez immédiatement le SPIP : le JAP peut adapter le plan (aide à la recherche d’emploi, formation) sans sanctionner une situation indépendante de votre volonté (CPP – Application des peines : textes).

3. Les obligations peuvent-elles être allégées si tout se passe bien ?

Oui : à la demande de la personne ou du SPIP, le JAP peut assouplir ou lever certaines obligations, voire mettre fin par anticipation au suivi en cas de bilan très favorable.

4. Et si je ne peux pas payer immédiatement la victime ?

Le juge peut fixer un échéancier réaliste, vérifier la bonne foi et prioriser les démarches actives (emploi, budget). L’indemnisation demeure un axe central du sursis probatoire.

5. Un manquement isolé entraîne-t-il la prison ?

Pas nécessairement : le JAP applique une graduation (rappel, renforcement, adaptation). La révocation intervient aux manquements répétés ou en cas de nouvelle infraction sérieuse.


XI. Repères textuels utiles (sélection)


XII. Conclusion — La cohérence avant tout

Les mesures alternatives à la détention ne sont ni des « peines faibles » ni des solutions automatiques. Ce sont des réponses pénales exigeantes, construites sur mesure, contrôlées et évaluées. Un TIG bien ciblé, un sursis probatoire solidement charpenté ou un suivi de probation rigoureux peuvent obtenir un triple gain : protéger la société par la prévention de la récidive, réparer le dommage par l’indemnisation et l’utilité sociale, réinsérer la personne en valorisant ses ressources.
Le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, conçoit avec ses clients des projets juridiquement robustes (TIG identifié et planifié, obligations réalistes, calendrier d’indemnisation, attestations et justificatifs), plaide leur crédibilité à l’audience et assure ensuite le pilotage de l’exécution avec le SPIP et le JAP, pour transformer la menace de la peine en parcours de responsabilisation réussi.

TABLE DES MATIERES

I. Finalités et périmètre des mesures alternatives

A. Objet de l’article

1 Définitions opérationnelles TIG sursis probation
2 Méthode et cadre d’analyse

B. Enjeux pénaux et sociaux

1 Prévention de la récidive et protection de la société
2 Réparation de la victime et réinsertion

C. Architecture générale du plan

1 Articulation CP CPP JAP SPIP
2 Place de la jurisprudence et des textes officiels

II. Cadre juridique et sources

A. Textes nationaux

1 Code pénal peines et sursis
2 Code de procédure pénale application des peines

B. Références institutionnelles

1 Légifrance et service public
2 Circulaires et guides ministériels

C. Principes directeurs

1 Individualisation proportionnalité nécessité
2 Contradictoire motivation et traçabilité

III. Travail d’intérêt général TIG

A. Nature et conditions

1 Consentement et champ d’application
2 Quantum en heures et délai d’exécution

B. Mise en œuvre pratique

1 Organismes d’accueil convention et tuteur
2 Rôle du SPIP planification et contrôle

C. Effets et incidents

1 Valeur réparatrice clôture et attestations
2 Manquements réaménagement substitution révocation

IV. Sursis simple

A. Logique et conditions

1 Délai d’épreuve et absence de récidive
2 Critères de choix et garanties d’insertion

B. Portée et limites

1 Avantages pédagogiques et coût social
2 Risques en cas de nouvelle infraction

C. Contentieux

1 Motivation des décisions et voies de recours
2 Prise en compte de la personnalité et du projet

V. Sursis probatoire

A. Philosophie et cadre légal

1 Obligations possibles CP 132 45
2 Rôle du JAP et du SPIP

B. Plan d’exécution

1 Objectifs indicateurs et calendrier
2 Soins emploi formation indemnisation interdictions

C. Ajustements et fin

1 Revues graduations et levée anticipée
2 Révocation partielle ou totale et suites

VI. Probation milieu ouvert

A. Notion et objectifs

1 Réduction du risque et soutien à l’insertion
2 Évaluation initiale et facteurs de risque

B. Outils et méthodes

1 Entretiens contrats d’objectifs et contrôles
2 Tableau de bord et rapports périodiques

C. Trajectoires et résultats

1 Adaptations continues et soutenabilité
2 Indicateurs de réussite et sortie positive

VII. Critères d’individualisation et choix de la mesure

A. Données personnelles

1 Situation familiale santé emploi logement
2 Antécédents casier et respect des mesures antérieures

B. Place de la victime

1 Indemnisation échéancier et preuve des versements
2 Interdictions de contact et information légale

C. Comparatif des options

1 Quand préférer TIG
2 Quand préférer sursis simple ou probatoire

VIII. Exécution contrôle et preuves

A. Acteurs et responsabilités

1 SPIP évaluation suivi et signalements
2 JAP décision adaptation et contrôle

B. Traçabilité documentaire

1 Feuilles d’émargement attestations certificats
2 Horodatage archivage et RGPD

C. Fin de mesure

1 Certification d’achèvement et clôture
2 Valorisation des acquis et suites éventuelles

IX. Manquements incidents et révocation

A. Typologie des écarts

1 Absences TIG ou SPIP non justifiées
2 Non respect des obligations ou nouvelle infraction

B. Réponses graduées

1 Rappel avertissement renforcement prolongation
2 Saisine du JAP et contradictoire

C. Effets de la révocation

1 Mise à exécution de la peine ferme
2 Prise en compte du réalisé et proportionnalité

X. Articulation avec autres dispositifs

A. Amont de l’audience

1 Contrôle judiciaire et obligations provisoires
2 Éléments préparatoires du projet d’exécution

B. Aval de la condamnation

1 Aménagements de peine bracelet semi liberté placement extérieur
2 Libération sous contrainte et continuité des obligations

C. Stages et injonctions

1 Stages citoyens thématiques
2 Injonction de soins et suivis spécialisés

XI. Avantages limites et bonnes pratiques

A. Intérêts croisés

1 Société prévention et coût efficacité
2 Victime réparation effective et protection

B. Points de vigilance

1 Qualité du maillage local postes soins formation
2 Charge de suivi et clarté des obligations

C. Méthode Cabinet ACI

1 Dossier probatoire clés en main
2 Ajustements réactifs et plaidoyer ciblé

XII. Foire aux questions pratiques

A. Questions fréquentes

1 TIG sans consentement et alternatives
2 Adaptation en cas d’aléas emploi santé

B. Allègements et levées

1 Conditions de levée anticipée
2 Échéanciers d’indemnisation réalistes

C. Incidents et recours

1 Avertissements et renforcements
2 Appel et contestation des décisions

XIII. Références légales et jurisprudentielles

A. Code pénal

1 Article 131 8 TIG
2 Articles 132 31 132 40 à 132 54 sursis

B. Code de procédure pénale

1 Application des peines JAP et SPIP
2 Incidents révocation et voies de recours

C. Ressources utiles

1 Légifrance et service public
2 Cour de cassation synthèses et bulletins

XIV. Conclusion et recommandations opérationnelles

A. Principes récapitulatifs

1 Individualisation proportionnalité traçabilité
2 Réparation insertion et prévention

B. Feuille de route

1 Plan d’exécution prêt et pièces probantes
2 Suivi rigoureux et communication mesurée

C. Rôle du Cabinet ACI

1 Conception du projet et plaidoyer
2 Pilotage de l’exécution et bilan final

Les 5 tableaux détaillés  avec liens cliquables « Mesures alternatives à la détention : TIG,

sursis, probation ».

4).  Tableau 1 — Cadre légal et définitions (TIG, sursis, probation)

Objet Définition opérationnelle Fondement juridique (liens) Points clés de doctrine/pratique
Travail d’intérêt général (TIG) Peine autonome consistant à exécuter, au profit de la collectivité, une activité non rémunérée au sein d’un organisme habilité. Consentement requis au prononcé ; pilotage par le SPIP ; convention d’accueil ; emploi du temps compatible avec situation personnelle. CP art. 131-8Légifrance ; infos pratiques (orientation TIG) — justice.gouv.fr Finalité réparatrice et responsabilisante ; valeur pédagogique ; traçabilité (feuilles d’émargement) ; articulation possible avec amende/stage/obligations.
Sursis simple Peine d’emprisonnement (ou amende) non exécutée si absence de nouvelle condamnation pendant le délai. Pas d’obligations actives, mais menace de mise à exécution en cas de récidive. CP art. 132-31Légifrance Utile lorsque les garanties d’insertion sont élevées ; motivation sur la personnalisation ; révoqué en cas de nouvelle infraction.
Sursis probatoire Évite l’incarcération à condition de respecter des obligations (soins, emploi/formation, indemnisation, interdictions) sous contrôle du SPIP et autorité du JAP. CP art. 132-40 à 132-54Légifrance Logique structurante : plan individualisé, revues régulières, possibilité de révision (assouplissement/renforcement) ; révocation partielle/totale en cas de manquements.
Probation (milieu ouvert) Suivi en liberté avec objectifs clairs (réduire le risque, réparer, insérer). Englobe le suivi de sursis probatoire, certains aménagements, et peut reprendre des obligations analogues. CPP — Application des peines (JAP, SPIP) — Légifrance ; synthèse — service-public.fr Démarche évaluative (facteurs de risque/protection), contrats d’objectifs, bilans périodiques ; graduation des réponses.

Rôle du JAP

Décide, adapte, révoque les mesures ; statue sur incidents ; garantit le contradictoire et l’individualisation. CPP — Application des peines — Légifrance Central pour la sécurité juridique : audience, ordonnances, motivation, notifications ; peut anticiper/lever certaines obligations.
Rôle du SPIP Évalue (santé/emploi/logement), oriente (postes TIG, soins, formation), contrôle (assiduité), rapporte au JAP ; propose ajustements. CPP — SPIP — Légifrance Nécessite un maillage local (offre de postes/soins) ; importance des pièces (attestations, feuilles de présence, reçus d’indemnisation).
Place de la victime Indemnisation, interdictions de contact, information sur l’exécution (dans le respect des textes). Action civile (CPP) — Légifrance Indemnisation souvent clé du probatoire ; calendrier et justificatifs contrôlés par JAP/SPIP.
Articulation avec détention provisoire/contrôle judiciaire Mesures en amont (contrôle judiciaire) préfigurent parfois le futur cadre probatoire. CPP — contrôle judiciaire — Légifrance Cohérence des obligations, continuité du suivi, évitement de l’incarcération lorsque garanties suffisantes.

2).  Tableau 2 — Conditions de prononcé & critères d’individualisation

Axe d’analyse Ce que le juge regarde Références (liens) Bonnes pratiques Cabinet ACI
Gravité & contexte des faits Nature de l’infraction, circonstances, rôle exact, antécédents, risque de réitération. Principes généraux CP/CPP — Légifrance Cartographier le fait (chronologie, éléments matériels), démontrer l’absence de dangerosité, contextualiser (emploi, famille).
Personnalité & insertion Âge, santé, situation familiale/professionnelle, ancrage territorial, ressources, parcours. Individualisation de la peine — Légifrance Dossier de personnalité : fiches de paie, promesses d’embauche, attestations, suivi médical.
Projet et adhésion Capacité à adhérer à un cadre (TIG/obligations) ; réalisme des objectifs. CP 131-8 (TIG), 132-40 s. (probatoire) — Légifrance Plan chiffré : organisme TIG identifié, horaires compatibles, preuves de disponibilité ; engagements écrits.
Place de la victime Démarches réparatrices, échéancier d’indemnisation, interdictions utiles. Action civile (CPP) — Légifrance Tableau d’indemnisation : montants, dates, justificatifs ; communication respectueuse.

Choix de l’outil

Sursis simple si menace suffit ; probatoire si obligations structurantes ; TIG si réparation prioritaire. CP 132-31, 132-40 s., 131-8Légifrance Argumentaire comparatif : pourquoi cette mesure est la plus proportionnée et efficiente.
Cumul & peines compl. Interdictions ciblées (lieux, contact), stages (citoyenneté, addictions), confiscations. Peines compl. — Légifrance Pack de mesures cohérent et contrôlable, explicité dans la plaidoirie.
Récidive Mesures possibles mais resserrées si projet solide et vérifiable ; réversibilité graduée. Jurisprudence Cass. crim. — courdecassation.fr Anticiper objections : suivi déjà engagé (soins/emploi), attestations fraîches, mentorat.
Proportionnalité & nécessité Principe directeur de la peine ; éviter incarcération inutile ; prévention de la récidive. Principes généraux — service-public.fr Souligner coût/efficacité sociale, rapidité de réparation, capacité de contrôle par SPIP/JAP.

3).  Tableau 3 — Exécution & contrôle (SPIP/JAP, obligations, preuves)

Étape Acteurs & documents Références (liens) Points d’attention & preuves
Évaluation initiale SPIP : entretien, diagnostic (risques/protections), proposition d’objectifs. CPP (SPIP) — Légifrance Traces écrites : compte rendu, calendrier indicatif, documents de situation (emploi, santé).
Convention TIG / Plan probatoire SPIP + organisme d’accueil (TIG) ; JAP valide/ajuste ; obligations listées (emploi/soins/indemnisation/interdictions). CP 131-8, 132-40 s.Légifrance Convention signée, planning, coordonnées tuteur ; clauses sécurité et assiduité.
Suivi courant Présentations SPIP, contrôles ciblés ; pour TIG : émargements, rapport de tuteur. CPP Application des peines — Légifrance Feuilles de présence, attestations d’employeur/formation ; dossiers numérotés et datés.

Obligations typiques

Indemniser la victime ; soins (addicto/psy) ; travail/formation ; résider à l’adresse ; interdictions (contacts/lieux). CP 132-45 (liste d’obligations) — Légifrance Justificatifs : reçus, certificats, contrats, bulletins, attestations thérapeutes.
Revues JAP Bilan périodique ; possibilité d’assouplir, durcir, lever des obligations selon résultats. CPP (JAP) — Légifrance Préparer tableau de bord : objectifs, % réalisés, incidents, propositions SPIP.
Ajustements Changement d’emploi/santé → modulation ; demandes motivées (pièces). CPP (incidents/ajustements) — Légifrance Courriers motivés, certificats, plannings revus ; transparence et anticipation.
Fin de mesure Constat d’achèvement : exécution conforme = peine purgée ; certificat/clôture. CPP Application — Légifrance Attestation de fin, récapitulatif des heures versées, des montants indemnisés, des suivis effectués.
Traçabilité numérique Archivage sécurisé (copies, horodatage) ; confidentialité (secret pro., RGPD). Principes généraux — service-public.fr Arborescence standardisée, nomenclature, sauvegardes, accès restreint.

4).  Tableau 4 — Manquements, révocation & contentieux

Situation Conséquences graduées Procédure & garanties Références (liens)
Absences TIG (non excusées) Rappel à l’ordre écrit ; report exceptionnel ; en cas de répétition : saisine JAP pour substitution/ révocation. SPIP signale ; convocation devant le JAP ; contradictoire ; décision motivée et notifiée. CPP — Application des peines — Légifrance
Obligations probatoires non tenues (soins/emploi) Avertissement, renforcement des obligations (ex. fréquence), ou prolongation ; à terme, révocation partielle/totale. Audience JAP ; possibilité d’être assisté par avocat ; production de pièces (aléa santé/emploi). CP 132-47 s.Légifrance
Indemnisation non versée Examen de la bonne foi ; échéancier adapté ; en cas de mauvaise foi, révocation envisagée. Échanges écrits + audience ; prise en compte des ressources réelles. Action civile (CPP) — Légifrance
Interdiction de contact violée Mesure renforcée (contrôles), suspension temporaire d’allègements ; récidive → révocation. Constatations, PV, audience ; protection de la victime prioritaire. CPP — Légifrance

Nouvelle infraction

Révocation quasi automatique (selon gravité) ; mise à exécution de la peine assortie du sursis. Juridiction de jugement + JAP ; cumul de peines possible. CP 132-31, 132-48Légifrance
Voies de recours Appel selon droit commun ; incidents d’exécution contestables. Délais & modalités en CPP ; assistance de l’avocat recommandée. CPP — Légifrance
Prise en compte du réalisé Heures TIG effectuées, versements déjà réalisés, démarches de soins pondèrent la réponse. Motivation du JAP ; proportionnalité ; individualisation renforcée. Principes généraux — courdecassation.fr
Contenu du dossier incident Faits datés, preuves (émargements, courriels, certificats), explications du condamné, avis SPIP. Transparence documentaire ; numérotation des pièces ; mentions d’horodatage. Bonnes pratiques procédurales — service-public.fr

5).  Tableau 5 — Stratégies ACI (audience, exécution, post-mesure)

Phase Objectifs Actions concrètes & pièces Références (liens) Résultat attendu
Avant audience Éviter la prison par une mesure crédible et contrôlable. Dossier de personnalité (emploi, formation, famille), attestations employeurs, promesse de contrat, certificats médicaux ; organisme TIG identifié (contact, créneau), plan d’indemnisation chiffré. CP 131-8, 132-31, 132-40 s.Légifrance Choix d’une alternative proportionnée ; adhésion du parquet ; décision motivée en ce sens.
Plaidoirie Individualisation & proportionnalité ; sécurité publique et réparation. Argumentaire comparatif (pourquoi TIG/sursis probatoire > emprisonnement court) ; tableau de suivi proposé ; calendrier réaliste. Jurisprudence & principes — courdecassation.fr Peine alternative prononcée avec obligations ciblées.

Mise en route

Zéro délai entre décision et exécution. RDV SPIP pris, convention TIG pré-rédigée ; planning ; informations à la victime ; canaux de contact. CPP (Application des peines) — Légifrance Démarrage immédiat, perception de sérieux ; réduction du risque d’incident.
Suivi Conformité et traçabilité. Feuilles d’émargement, fiches de présence, reçus d’indemnisation, bilan SPIP, certificats de soins, bulletins de salaire/formation ; tableau de bord mensuel. Principes — service-public.fr Dossier propre, prêt en cas d’audience JAP ; possibilité d’assouplissement.
Incidents Réponse graduée, éviter la révocation. Courrier motivé (aléa santé/emploi), pièces justificatives, proposition d’ajustement (horaires, tâches), soutien de l’organisme TIG/soins. CP 132-47 s.Légifrance Avertissement plutôt que révocation ; maintien de la trajectoire.

Fin de mesure

Valoriser l’effort et clôturer juridiquement. Attestation de fin (organisme), récapitulatif des heures, tableau des versements, lettre SPIP positive, attestation employeur/formation. CPP — Légifrance Clôture favorable, absence de suites, image restaurée.
Prévention récidive Stabiliser l’insertion. Poursuite volontaire de soins/formation, mentorat, clauses de conduite (professionnelles), suivi associatif. Bonnes pratiques — service-public.fr Soutenabilité à long terme ; absence d’incidents ultérieurs.
Communication victime Informer sans violer les textes. Échanges respectueux via avocat/assureur ; preuve des versements ; rappel des interdictions. Action civile (CPP) — Légifrance Climat apaisé, reconnaissance de la réparation.

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A). —  LES MOTS CLES JURIDIQUES :

I. Cadre pénal et principes

peine, individualisation, proportionnalité, nécessité, prévention récidive, réparation, exécution, milieu ouvert, milieu fermé, peine autonome, peine alternative, peine complémentaire, articulation pénal/civil, action civile, responsabilité, dignité, contradictoire, motivation, quantum, récidive, première infraction, personnalité, antécédents, garanties, insertion, emploi, logement, santé, soins, addictions, victime, indemnisation, interdictions, obligations, contrôle, traçabilité, JAP, SPIP, audience, débat, sursis, probation, TIG, contrôle judiciaire, aménagement, bracelet électronique, semi-liberté, placement extérieur, service-public, Légifrance

II. Travail d’intérêt général (TIG)

TIG, consentement, heures, organisme d’accueil, collectivité, association, convention, planning, assiduité, tuteur, émargement, rapport, utilité sociale, réparation, sécurité, équipement, assurance, accueil, mission, compétences, formation, aptitude, aménagement horaires, garde d’enfant, santé, transport, éthique, confidentialité, risques, sécurité au travail, projet, profil, évaluation, orientation, offre de postes, réseau local, collecte de preuves, attestation, certificat, certification, fin de mesure, clôture, révocation, substitution, carence, signalement, graduation, proportionnalité, trace écrite, pièces justificatives

III. Sursis simple

sursis simple, délai d’épreuve, non-exécution, menace de peine, absence de récidive, révocation, partielle, totale, personnalisation, motivations, garanties de représentation, insertion, emploi stable, logement, attestations, reconnaissance des faits, engagements, casier, première condamnation, peine d’amende, quantum réduit, délibéré, prononcé, notification, délais de recours, appel, motifs sérieux, surveillance minimale, absence d’obligations, suivi allégé, protection de la société, efficacité, coût social, éviter prison courte, stigmatisation, retour à l’emploi, famille, préjudice limité, réparation volontaire, rappel à la loi, prudence, contrôle ultérieur, nouvelle infraction, exécution ferme, bilan, statistiques, communication, acceptabilité sociale, ligne jurisprudentielle, pratique des juridictions

IV. Sursis probatoire

sursis probatoire, mise à l’épreuve, obligations, soins, travail, formation, résidence, interdictions, contacts, lieux, présentations SPIP, tests, attestations, indemnisation, échéancier, plan, revues, JAP, adaptation, renforcement, assouplissement, levée anticipée, révocation, graduation, contradiction, audience JAP, rapport SPIP, évaluation, objectifs, indicateurs, trajectoire, risque, protection, réparation, réinsertion, proportionnalité, cohérence, contrôle, traçabilité, confidentialité, RGPD, secret professionnel, preuves, décision motivée, notification, délais, exécution, fin de suivi, certificat, clôture

V. Probation (milieu ouvert)

probation, milieu ouvert, entretiens, contrats d’objectifs, suivi structuré, bilan périodique, indicateurs, évaluation criminologique, facteurs de risque, facteurs de protection, besoins, logement, emploi, santé, addictions, réseau social, famille, victime, communication, respect des horaires, contrôles, déplacements, géographie, dérogations, urgence, adaptabilité, révision, soutien, mentorat, associations, partenaires, formation certifiante, employabilité, motivation, adhésion, éthique, neutralité, impartialité, notes SPIP, tableau de bord, rapport de fin, aménagement ultérieur, sortie positive, réduction récidive, coût maîtrisé, efficience, acceptabilité

VI. Obligations & interdictions

obligation de soins, addictologie, psychiatrie, psychothérapie, travail, recherche d’emploi, formation, alphabétisation, logement déclaré, interdiction de paraître, interdiction de contact, interdiction d’armes, interdiction réseaux sociaux, remise de documents, rendre compte, contrôles, analyses, pointages, couvre-feu, mobilité limitée, stages citoyens, citoyenneté, sécurité routière, violences, sensibilisation, réparations symboliques, lettre d’excuses, travaux utiles, programme d’insertion, bénévolat, justificatifs, délais, échéancier, objectifs SMART, indicateurs, tolérance zéro, avertissement, relance, rappel écrit, renforcement, substitution, révocation, conséquences, proportionnalité, traçabilité, archivage, confidentialité

VII. Place de la victime

victime, action civile, préjudice, évaluation, indemnisation, échéancier, versements, reçus, justificatifs, dommages-intérêts, intérêts légaux, astreinte, interdictions de contact, éloignement, information, lettre d’excuses, travaux symboliques, médiation, réparation morale, réparation matérielle, confidentialité, sécurité, coordination avocat, assureur, communication mesurée, respect, retour d’expérience, apaisement, conciliation, suivi, clôture, exécution provisoire, titre exécutoire, saisie, priorisation, bonnes pratiques, sensibilité, posture, déontologie, transparence, traçabilité, cadre légal, jurisprudence, service-public, Légifrance

VIII. Santé & soins

bilan médical, addictions, TSO, psychothérapie, psychiatrie, soins somatiques, dépistage, ordonnances, assiduité, certificats, secret médical, RGPD, coordination soignants, UHSA/UHSI (si lien pénitentiaire), suivi, éducation thérapeutique, observance, effets secondaires, adaptations horaires, évaluation clinique, crise, urgence, numéros utiles, associations, CMP, médecin traitant, référent, attestations, plateformes, téléconsultation, transport, couverture sociale, droit santé, éthique, consentement, refus de soins, risques, prévention, récidive liée, stabilisation, insertion, continuité des soins, fin de suivi, bilan final

IX. Emploi & formation

emploi, promesse d’embauche, contrat, horaires, paie, attestations, tuteur, formation, certification, VAE, apprentissage, bilan compétences, Pôle emploi, mission locale, cap emploi, handicap, mobilité, transport, permis, équipement, sécurité, charte, référent RH, planning, absence justifiée, conflits, médiation, reclassement, stage, immersion, réseau, mentorat, portfolio, CV, lettres, références, soft skills, retour à l’emploi, maintien, progression, KPI, tableau de suivi, preuve, durabilité, sortie positive

X. Logement & insertion sociale

logement, attestation d’hébergement, bail, quittance, CAF, APL, domiciliation, adresse stable, hébergement associatif, CHRS, urgence, priorité, famille, garde d’enfants, scolarité, santé, réseau, associations, démarches administratives, papiers, banque, budget, microcrédit, médiation, endettement, énergie, internet, équipement, assurances, contrats, gestion, planning, rendez-vous, attestations, preuves, stabilité, ancrage, éviter errance, sécurité, quartier, proximité emploi, mobilité, transport, résilience

XI. Contrôle judiciaire (amont)

contrôle judiciaire, obligations provisoires, pointages, interdictions, contacts, lieux, soins, emploi, formation, TIG à titre probatoire, garanties, audience, JLD, durée, réexamen, respect, incidents, rapport, SPIP, coordination, contradiction, assistance avocat, motivations, proportionnalité, substitution, détention provisoire, ultima ratio, liberté surveillée, suspension, aménagements, déplacements, dérogations, justificatifs, réactivité, traçabilité, fin de contrôle, bilan, orientation, suite probatoire

XII. Aménagements de peine

bracelet électronique, semi-liberté, placement extérieur, libération sous contrainte, fractionnement, suspension médicale, JAP, SPIP, projet, obligations, contrôles, horaires, géolocalisation, assiduité, incidents, révocation, stage, soins, emploi, formation, logement, interdictions, contacts, lieux, rapport, audience, motivation, proportionnalité, réinsertion, protection, cohérence, cumul, peines complémentaires, preuve, clôture, attestation, statistiques, coût, efficacité

XIII. Jeunes majeurs & mineurs

jeunes majeurs, PJJ, parcours, formation, apprentissage, tuteur, logement jeune, ressources, famille, soutien, risques, addictions, santé mentale, stage citoyen, TIG adapté, horaires aménagés, scolarité, CNED, mission locale, mentorat, premier emploi, soft skills, réseaux, bénévolat, projet, mobilité, permis, prévention, récidive, encadrement, contrôle, bienveillance, exigence, proportionnalité, évaluation, indicateurs, révision, fin favorable, attestations, perspectives, autonomie

XIV. Personnes vulnérables

vulnérabilité, handicap, psychiatrie, addictions, grossesse, parent isolé, logement précaire, violences, protection, soins adaptés, horaires aménagés, éloignement, aidants, allocations, droits sociaux, MDPH, RQTH, médecin référent, accompagnant, attestations, tolérance raisonnable, aménagement obligations, priorisation santé, sécurité, éthique, confidentialité, soutien associatif, médiation, capacité, consentement, communication claire, simplicité, accessibilité, traduction, interprète, suivi rapproché, réévaluation, paliers, progressivité, stabilisation, sortie durable

XV. Audience & plaidoirie

plaidoirie, argumentaire, plan d’exécution, organisme TIG identifié, planning, échéancier indemnisation, projet emploi, formation, attestations, bilan médical, lettres de soutien, mentorat, tableau de bord, indicateurs, proportionnalité, comparaison options, coût social, efficacité, prévention récidive, réparation, protection, cohérence, références légales, jurisprudence, Légifrance, service-public, JAP compétent, audition SPIP, réponses aux objections, engagements, disponibilité, immédiateté, crédibilité, ton sobre, doctrine, pédagogie, clarté, précision, conclusion

XVI. Exécution & preuve

feuilles de présence, émargements, attestations, reçus, bulletins, contrats, certificats, rapports SPIP, rapports tuteur, courriels, SMS, horodatage, numérotation, archivage, RGPD, secret, copie sécurisée, sauvegarde, accès restreint, tableau de suivi, KPI, incidents, explications, justificatifs, adaptations, demandes écrites, décisions JAP, notifications, délais, rappels, mise en garde, révocation, preuve contraire, cohérence, congruence, fin de mesure, attestation finale, synthèse, bilan

XVII. Manquements & révocation

absence, retard, non-justifié, signalement, rappel écrit, avertissement, renforcement, prolongation, substitution, révocation, audience, contradictoire, motivation, notification, nouvelle infraction, exécution peine, prise en compte réalisé, équité, proportionnalité, graduation, défense, avocat, justificatifs, aléa santé, aléa emploi, force majeure, bonne foi, reprise, engagement renouvelé, traçabilité, statistiques, retour d’expérience, prévention, amélioration, qualité, apprentissage, zéro tolérance (contacts interdits), protection victime

XVIII. Communication & éthique

confidentialité, secret, RGPD, données, partage, limitation, finalité, sécurité, impartialité, neutralité, respect, dignité, non-discrimination, équité, transparence, redevabilité, traçabilité, écrit, preuve, communication mesurée, victime, condamné, SPIP, JAP, parquet, organismes, employeurs, soignants, associations, charte, déontologie, formation, supervision, retours, amélioration continue, explicitation, consentement, désengagement, fin de suivi, archivage, suppression, contrôle externe

XIX. Outils & ressources

Légifrance, service-public, jurisprudence, Cour de cassation, textes consolidés, fiches pratiques, modèles, tableaux, checklists, calendriers, simulateurs, cartes de postes TIG, catalogues de formation, répertoire associations, guides, kiosques sociaux, plateformes emploi, orientation, santé, addictions, logement, droits sociaux, aides, contacts, numéros utiles, modèles lettres, échéanciers, suivi digital, signature, coffre-fort numérique, export PDF, rapport final, statistiques, évaluations, revue par pairs, benchmarks

XX. Cabinet ACI Paris

Cabinet ACI, avocat pénaliste, Paris, TIG, sursis, probation, JAP, SPIP, audience, plaidoirie, projet exécutif, indemnisation, victime, soins, emploi, formation, logement, guides, modèles, tableaux de bord, attestations, réactivité, suivi, adaptation, négociation, médiation, stratégie, doctrine, jurisprudence, proportionnalité, efficacité, prévention récidive, réparation, protection, éthique, confidentialité, disponibilité, urgence, contact, Île-de-France

B).  —  PHRASES SEO — « Mesures alternatives à la détention : TIG, sursis, probation »

I. Cadre pénal et principes

1 L’alternative à la détention protège la société sans banaliser la peine.
2 L’individualisation commande un choix proportionné au profil et aux faits.
3 La prévention de la récidive guide la construction du projet probatoire.
4 La réparation de la victime irrigue toute décision d’aménagement.
5 Le milieu ouvert devient crédible grâce à un contrôle effectif.
6 Les obligations doivent rester nécessaires, adaptées et contrôlables.
7 Le juge motive le refus ou l’acceptation d’une peine alternative.
8 La dignité du condamné n’exclut jamais l’exigence et la fermeté.
9 La peine courte de prison est souvent moins efficace que le suivi.
10 Le contraste coût/efficacité penche souvent pour le milieu ouvert.
11 Un calendrier clair rassure le parquet et le tribunal.
12 Les engagements écrits structurent la confiance judiciaire.
13 La proportionnalité se vérifie tout au long de l’exécution.
14 La récidive resserre la marge mais ne la ferme pas.
15 Le projet doit répondre aux besoins criminogènes majeurs.
16 La traçabilité probatoire est la meilleure alliée du condamné.
17 La cohérence du « pack » d’obligations prime sur la sévérité.
18 Les pièces à jour valent mieux que les promesses anciennes.
19 L’accompagnement transforme une contrainte en opportunité.
20 La pédagogie de la peine est un facteur de prévention.
21 Le juge arbitre entre protection, réparation et réinsertion.
22 Le refus d’alternative doit être précisément motivé.
23 Les obligations inutiles fragilisent l’adhésion et la réussite.
24 Les indicateurs de suivi rendent tangible la progression.
25 La sortie positive repose sur une documentation irréprochable.

II. Travail d’intérêt général (TIG)

1 Le TIG exige le consentement éclairé du condamné.
2 L’organisme d’accueil doit être habilité et sécurisé.
3 Le SPIP prépare convention, planning et objectifs pédagogiques.
4 Les feuilles d’émargement prouvent l’assiduité réelle.
5 Le TIG répare socialement en produisant un bénéfice collectif.
6 L’aménagement d’horaires protège l’emploi et la famille.
7 Le tuteur signale incidents et réussites au SPIP.
8 La mission doit être utile, claire et adaptée aux capacités.
9 Les équipements de sécurité restent obligatoires.
10 Le refus d’exécution ouvre la voie à la substitution.
11 L’assiduité prime sur la performance ponctuelle.
12 Un TIG bien fait crédibilise toute future demande.
13 L’association d’accueil participe à la pédagogie de la peine.
14 La couverture assurantielle est vérifiée avant démarrage.
15 Les objectifs sont datés, mesurables et réalistes.
16 Les certificats de fin de mission serviront devant le JAP.
17 Le TIG peut coexister avec une amende ou un stage.
18 Les absences justifiées n’emportent pas sanction automatique.
19 La reprogrammation s’anticipe en cas d’aléa de santé.
20 Les retours d’expérience améliorent la qualité des postes.
21 Les missions variées augmentent l’adhésion au dispositif.
22 Les heures accomplies sont reportées sans ambiguïté.
23 La clôture intervient après validation écrite du tuteur.
24 Un TIG réussi réduit le risque de récidive.
25 La communauté bénéficie d’une utilité directe et visible.

III. Sursis simple

1 Le sursis simple suspend l’exécution en l’absence de récidive.
2 La menace de la peine suffit parfois à prévenir la réitération.
3 Les garanties d’insertion pèsent lourd au délibéré.
4 Les décisions explicites sécurisent l’issue de la peine.
5 La récidive déclenche la mise à exécution totale ou partielle.
6 L’absence d’obligations suppose une forte autodiscipline.
7 Les attestations professionnelles rassurent la juridiction.
8 Une reconnaissance authentique des faits crédibilise la demande.
9 Le sursis simple n’est pas une dispense de peine.
10 La motivation révèle la proportionnalité recherchée.
11 Les délais et voies de recours sont clairement notifiés.
12 La cohérence du parcours d’insertion est centrale.
13 Les engagements spontanés figurent au dossier.
14 La stabilité familiale plaide en faveur du sursis.
15 Les projets concrets l’emportent sur les déclarations vagues.
16 Le juge peut préférer un probatoire si un besoin persiste.
17 La bonne conduite pendant l’instance pèse positivement.
18 Le casier judiciaire oriente l’analyse du risque.
19 Le sursis simple se gagne par la crédibilité du projet.
20 Le tribunal attend des garanties vérifiables.
21 Un suivi volontaire peut renforcer la confiance.
22 Les lettres de soutien sont annexées et datées.
23 Les justificatifs actualisés priment sur les promesses.
24 Le sursis simple vise une responsabilisation autonome.
25 La clôture intervient sans formalités lourdes si tout va bien.

IV. Sursis probatoire

1 Le sursis probatoire remplace la prison par des obligations utiles.
2 Le SPIP construit un plan ajusté aux besoins.
3 Les soins traitent les facteurs de risque identifiés.
4 L’indemnisation structure la réparation envers la victime.
5 Les interdictions protègent les personnes exposées.
6 Les présentations régulières consolident la motivation.
7 Les indicateurs mesurent la progression réelle.
8 Le JAP réévalue et ajuste au fil du temps.
9 Les incidents entraînent d’abord un avertissement gradué.
10 Les rapports écrits servent de pivot à la décision.
11 La proportionnalité évite la surcharge d’obligations.
12 Les preuves se collectent au fil de l’exécution.
13 Les délais sont réalistes pour éviter l’échec programmé.
14 Les formations certifiantes améliorent l’employabilité.
15 Les attestations de soins couvrent la période entière.
16 L’échéancier d’indemnisation est transparent et tenable.
17 Les interdictions sont précises et compréhensibles.
18 Les dérogations sont motivées et tracées.
19 La levée anticipée récompense l’exécution exemplaire.
20 La révocation reste l’ultime réponse.
21 Le probatoire crédibilise la justice auprès des victimes.
22 La qualité du suivi réduit la récidive.
23 La coopération des partenaires renforce l’efficacité.
24 La clarté du plan facilite l’adhésion.
25 La clôture consacre une trajectoire de responsabilisation.

V. Probation (milieu ouvert)

1 La probation accompagne, contrôle et corrige la trajectoire.
2 L’évaluation initiale repère risques et ressources.
3 Les objectifs sont priorisés et datés.
4 Le calendrier d’actions évite les engorgements.
5 Les bilans périodiques jalonnent les progrès.
6 Les partenaires sociaux amplifient l’effet du suivi.
7 Le mentorat soutient l’effort d’insertion.
8 Les contrôles ciblés préviennent les dérives.
9 Les incidents sont traités avec réactivité.
10 La documentation protège le justiciable diligent.
11 Les adaptations renforcent la soutenabilité.
12 Les indicateurs orientent le temps du SPIP.
13 La probation valorise les réussites concrètes.
14 Les nouvelles preuves remplacent les anciennes promesses.
15 Le suivi respecte la confidentialité des données.
16 Les droits sociaux consolident la stabilité.
17 La santé conditionne l’effort durable.
18 L’emploi ancre la prévention de la récidive.
19 La famille sert souvent de facteur de protection.
20 Les interdictions restent lisibles et légales.
21 La fin anticipée valorise l’exemplarité.
22 La graduation garantit l’équité des réponses.
23 Le retour d’expérience nourrit l’amélioration.
24 Les objectifs post-mesure évitent les rechutes.
25 La probation incarne une justice exigeante et utile.

VI. Obligations & interdictions

1 Les obligations doivent répondre à un besoin précis.
2 Les soins sont choisis pour leur pertinence clinique.
3 La recherche d’emploi devient un objectif mesurable.
4 La formation qualifiante ouvre des portes concrètes.
5 L’interdiction de contact protège la victime.
6 L’interdiction de paraître sécurise les lieux sensibles.
7 Le couvre-feu réduit les expositions au risque.
8 Les stages thématiques renforcent la prise de conscience.
9 Les contrôles se limitent à la nécessité.
10 La présentation SPIP reste un pivot du suivi.
11 Les justificatifs attestent l’effort réel.
12 Les échéanciers rendent l’indemnisation possible.
13 Les tests éventuels sont tracés et expliqués.
14 Les interdictions sont rappelées par écrit.
15 Les adaptations évitent les impasses matérielles.
16 Les alertes précoces préviennent la rupture.
17 Les obligations redondantes sont supprimées.
18 L’équilibre contrainte/soutien favorise l’adhésion.
19 Les dérogations ponctuelles sont motivées.
20 La cohérence prime sur la sévérité.
21 La clarté des termes évite les incompréhensions.
22 La proportionnalité protège la légitimité du suivi.
23 La preuve commande la décision du JAP.
24 Les obligations cessent dès la fin régulière.
25 La levée partielle récompense l’effort soutenu.

VII. Place de la victime

1 La victime est associée par la réparation.
2 L’évaluation du préjudice demeure contradictoire.
3 L’échéancier crédibilise l’indemnisation.
4 Les justificatifs de versement sont archivés.
5 Les interdictions de contact sont strictes.
6 Les informations communiquées respectent la loi.
7 La médiation facilite parfois l’apaisement.
8 Les lettres d’excuses doivent rester sincères.
9 La protection l’emporte en cas de doute.
10 Les retards injustifiés appellent des ajustements.
11 Le suivi atteste d’une réparation durable.
12 La victime perçoit l’utilité sociale du TIG.
13 La transparence nourrit la confiance.
14 Le respect strict des interdictions rassure.
15 Les sanctions graduées dissuadent les violations.
16 Les droits civils avancent avec la peine.
17 Les preuves chiffrées simplifient le contentieux.
18 L’écoute évite l’escalade judiciaire.
19 Les associations relaient les besoins.
20 Les échéanciers réalistes évitent l’échec.
21 La réparation symbolique peut compléter le financier.
22 L’absence de contact protège la reconstruction.
23 Les décisions motivées consolident la légitimité.
24 Les bilans finaux rassemblent pièces et paiements.
25 La clôture valorise l’effort de réparation.

VIII. Santé & soins

1 La santé conditionne la réussite du suivi.
2 Les soins d’addictologie réduisent le risque.
3 Le secret médical est respecté scrupuleusement.
4 Les certificats attestent l’assiduité thérapeutique.
5 Les horaires de soins sont compatibles avec le TIG.
6 Les crises sont anticipées par un protocole.
7 Les relais médicaux assurent la continuité.
8 Les addictions stabilisées favorisent l’emploi.
9 La psychothérapie apaise les facteurs déclencheurs.
10 Les ordonnances ne sont pas des justificatifs vides.
11 Les attestations couvrent toute la période.
12 Les téléconsultations complètent les rendez-vous.
13 L’adhésion aux soins se construit avec pédagogie.
14 La prévention prime sur la sanction.
15 Les soins ne sont ni une punition ni un alibi.
16 Le respect du patient renforce l’efficacité.
17 Le suivi médico-social est coordonné.
18 Les preuves de présence sont conservées.
19 La levée d’obligation suit l’amélioration clinique.
20 Les refus sont traités par étapes.
21 La réévaluation demeure régulière.
22 Les addictions restent un axe central.
23 Le médecin traitant pilote la trajectoire.
24 Les situations d’urgence sont tracées.
25 La santé éclaire la proportionnalité des obligations.

IX. Emploi & formation

1 L’emploi stabilise le condamné et protège la société.
2 Les promesses d’embauche doivent être crédibles.
3 Les planning TIG respectent les horaires de travail.
4 Les formations qualifiantes sont priorisées.
5 Les attestations RH valent plus que les intentions.
6 Le tutorat accélère l’intégration.
7 Les stages utiles remplacent les périodes creuses.
8 Les soft skills sont documentés.
9 Les absences professionnelles sont justifiées.
10 Les conflits se règlent par la médiation.
11 Le bilan de compétences ouvre des pistes.
12 Les certifications attestent des progrès.
13 La mobilité se prépare concrètement.
14 Les transports sont anticipés.
15 Le logement proche de l’emploi sécurise la suite.
16 Les CV et lettres sont actualisés.
17 Les références sont vérifiables.
18 Le contrat signe la crédibilité du projet.
19 L’évaluation régulière ajuste les objectifs.
20 La progression est tracée et partagée.
21 Les difficultés sont signalées tôt.
22 Les ruptures sont accompagnées.
23 Les emplois aidés soutiennent la reprise.
24 La sortie positive s’appuie sur un CDI ou équivalent.
25 L’employabilité demeure un indicateur clé.

X. Logement & insertion sociale

1 L’adresse stable rassure la juridiction.
2 Les attestations d’hébergement sont datées et signées.
3 Les baux, quittances et assurances sont archivés.
4 Les aides au logement sont mobilisées.
5 Les démarches administratives sont suivies.
6 Le budget est tenu et prouvé.
7 La scolarité des enfants est protégée.
8 Les rendez-vous sociaux sont honorés.
9 Les associations complètent le suivi public.
10 La mobilité domicile-travail est viable.
11 Les conflits de voisinage sont évités.
12 Les documents sont classés et numérotés.
13 La sécurité du foyer prime.
14 Les incidents domestiques sont gérés.
15 L’internet facilite les preuves d’efforts.
16 Les contrats essentiels sont maintenus.
17 L’aide alimentaire peut être temporaire.
18 Les dettes sont rééchelonnées.
19 Le logement conditionne le reste des objectifs.
20 Les déménagements sont anticipés.
21 Les justificatifs sont produits sans délai.
22 La stabilité familiale réduit les risques.
23 Les relais sociaux restent disponibles.
24 Les évaluations mesurent l’ancrage réel.
25 L’habitat devient un facteur de protection.

XI. Contrôle judiciaire (amont)

1 Le contrôle judiciaire prépare le terrain probatoire.
2 Les obligations provisoires testent l’adhésion.
3 Les pointages instaurent une régularité.
4 Les interdictions protègent immédiatement.
5 Les soins débutent avant la décision au fond.
6 Les rapports SPIP éclairent le juge.
7 Les incidents sont traités rapidement.
8 Les dérogations sont encadrées.
9 Les preuves écrites structurent le débat.
10 L’avocat sécurise les démarches.
11 La proportionnalité demeure la boussole.
12 La détention provisoire reste l’ultima ratio.
13 La cohérence anticipe la peine alternative.
14 Les résultats objectifs convainquent la cour.
15 La documentation remplace les déclarations.
16 Les partenaires sont mobilisés en amont.
17 Les audiences successives affinent le cadre.
18 Les mesures évoluent selon les retours.
19 Le respect des règles crédibilise la suite.
20 La décision finale gagne en solidité.
21 Les délais sont mis à profit.
22 Les risques sont cartographiés.
23 Les solutions sont prêtes le jour J.
24 La logistique de suivi est anticipée.
25 Le contrôle devient un tremplin.

XII. Aménagements de peine

1 Le bracelet électronique exige une organisation stricte.
2 La semi-liberté concilie travail et sanction.
3 Le placement extérieur développe l’autonomie.
4 La libération sous contrainte encadre la sortie.
5 Les obligations reprennent la logique probatoire.
6 Les horaires sont réalistes et contrôlés.
7 Les incidents déclenchent des ajustements.
8 La révocation reste possible en cas de manquements.
9 Les preuves d’exécution sont centralisées.
10 Les partenaires professionnels sont impliqués.
11 Les soignants coordonnent les rendez-vous.
12 Les interdictions restent en vigueur.
13 Les évaluations périodiques guident les décisions.
14 Les fins anticipées récompensent l’excellence.
15 La continuité avec le probatoire est assurée.
16 Les coûts sont maîtrisés.
17 Les résultats sont mesurés.
18 Les victimes sont informées dans le cadre légal.
19 Les dossiers sont prêts pour toute audience JAP.
20 L’exemplarité inspire d’autres cas.
21 La rigueur protège la crédibilité du dispositif.
22 Les grilles de suivi gagnent en précision.
23 Les défaillances systémiques sont corrigées.
24 Les indicateurs deviennent partagés.
25 L’aménagement réussit quand la vie reprend.

XIII. Jeunes majeurs & mineurs

1 Le suivi des jeunes privilégie l’éducatif.
2 Les obligations s’adaptent au rythme scolaire.
3 Les TIG deviennent des découvertes métiers.
4 Le mentorat compense l’expérience limitée.
5 Les addictions sont prises en charge précocement.
6 Les familles sont associées avec prudence.
7 Les stages citoyens structurent la responsabilité.
8 Les objectifs restent concrets et proches.
9 Les retours sont fréquents et bienveillants.
10 Les ruptures sont gérées sans dramatisation.
11 Les formations qualifiantes prennent le relais.
12 Les sanctions restent proportionnées et pédagogiques.
13 Les réussites sont valorisées publiquement.
14 Les droits sont expliqués simplement.
15 Les erreurs n’annulent pas les progrès.
16 Les emplois d’entrée permettent l’ancrage.
17 Les loisirs cadrés réduisent l’errance.
18 La prévention devance la répression.
19 Les pairs positifs soutiennent l’effort.
20 Les évaluations marquent les étapes.
21 La sortie vise l’autonomie réelle.
22 Les réseaux associatifs restent présents.
23 Les outils numériques aident la motivation.
24 Les référents multiples se coordonnent.
25 L’avenir devient le meilleur levier.

XIV. Personnes vulnérables

1 Les obligations tiennent compte des limites réelles.
2 Les rendez-vous médicaux priment en cas de conflit.
3 Les attestations MDPH objectivent la situation.
4 Les heures TIG s’adaptent à la capacité.
5 Les interdictions évitent l’exposition au danger.
6 Les aidants sont intégrés au projet.
7 Les soignants rédigent des bilans utiles.
8 La confidentialité protège sans entraver.
9 Les objectifs restent atteignables et progressifs.
10 Les incidents de santé sont immédiatement signalés.
11 Le JAP réévalue avec les pièces récentes.
12 Les étapes courtes maintiennent la motivation.
13 La dignité n’est jamais négociable.
14 Les contraintes administratives sont simplifiées.
15 Les prestataires sociaux appuient la mise en œuvre.
16 Les documents sont centralisés.
17 Les réévaluations sont planifiées.
18 La stabilisation vaut autant que la performance.
19 Le langage utilisé reste accessible.
20 L’interprète est mobilisé si besoin.
21 Les violences subies déclenchent la protection.
22 Les priorités sanitaires sont listées.
23 Les obligations non essentielles sont écartées.
24 La clôture s’appuie sur des preuves solides.
25 La vulnérabilité n’empêche pas la responsabilisation.

XV. Audience & plaidoirie

1 La plaidoirie présente un plan prêt à démarrer.
2 Les pièces à jour remplacent les discours.
3 Le comparatif peine ferme/alternative est chiffré.
4 La réparation est au cœur du message.
5 La prévention de la récidive est démontrée.
6 Les partenaires sont identifiés et joignables.
7 Les objections sont anticipées point par point.
8 Le calendrier est précis et réaliste.
9 Les indicateurs sont compris par tous.
10 La tonalité est sobre et déterminée.
11 Les références légales sont citées clairement.
12 La jurisprudence conforte la solution.
13 Les risques sont reconnus sans minimisation.
14 Les garanties sont vérifiables dès demain.
15 Le TIG est déjà réservé si possible.
16 L’échéancier d’indemnisation est signé.
17 Les soins ont un créneau fixé.
18 L’emploi est compatible avec le suivi.
19 Le logement est stabilisé et prouvé.
20 La famille soutient l’effort.
21 Le SPIP valide la faisabilité.
22 Le parquet peut rejoindre la proposition.
23 Le tribunal motive une peine utile.
24 La décision est immédiatement exécutable.
25 La confiance naît de la préparation.

XVI. Exécution & preuve

1 Tout ce qui n’est pas écrit n’existe pas juridiquement.
2 Les feuilles de présence sont signées et conservées.
3 Les reçus d’indemnisation sont classés par date.
4 Les certificats médicaux couvrent la période exacte.
5 Les attestations d’employeurs sont nominatives.
6 Les mails et SMS sont exportés en PDF.
7 Les tableaux de suivi sont à jour mensuellement.
8 Les incidents sont décrits sans omission.
9 Les justifications précèdent les rappels.
10 Les demandes d’ajustement sont motivées.
11 Les notifications du JAP sont archivées.
12 Les délais sont rappelés dans un agenda.
13 Les pièces sensibles sont protégées.
14 Les doublons documentaires sont évités.
15 Les signatures sont lisibles et datées.
16 Les modèles facilitent la régularité.
17 Les exports servent de preuve rapide.
18 Les contrôles se passent mieux avec des dossiers propres.
19 Les audiences sont plus courtes quand tout est clair.
20 Les erreurs sont corrigées par écrit.
21 Les bilans servent à l’assouplissement.
22 Les réussites sont valorisées.
23 La clôture s’appuie sur un dossier complet.
24 La réitération de bonnes pratiques devient naturelle.
25 La preuve est l’alliée de la liberté.

XVII. Manquements & révocation

1 L’avertissement écrit prévient la rupture.
2 La répétition déclenche le renforcement.
3 La mauvaise foi conduit à la révocation.
4 Les justifications sérieuses sauvent la mesure.
5 Les incidents sont traités en temps utile.
6 La proportionnalité guide la réponse.
7 Les erreurs ponctuelles sont réparées.
8 La nouvelle infraction ferme la porte.
9 Le réalisé est pris en compte dans la décision.
10 Les obligations sont réordonnées si besoin.
11 Le soutien des partenaires pèse favorablement.
12 Les délais peuvent être étendus une fois.
13 La franchise apaise le contentieux.
14 Les excuses suivies d’actes valent preuve.
15 Les échecs techniques n’incriminent pas la personne.
16 Les ruptures de soins se résolvent vite.
17 Les conflits au travail se gèrent par médiation.
18 Les interdictions violées appellent fermeté.
19 Les victimes restent protégées en priorité.
20 Le JAP privilégie la graduation des réponses.
21 Les audiences contradictoires respectent la défense.
22 La transparence évite la suspicion.
23 Les pièces fraîches l’emportent sur les discours.
24 La révocation n’est pas une fatalité.
25 La mesure réussit par la persévérance.

XVIII. Communication & éthique

1 La confidentialité renforce la confiance.
2 Les données ne circulent que si nécessaire.
3 La neutralité protège toutes les parties.
4 La transparence se limite aux acteurs légitimes.
5 Les documents sensibles sont chiffrés.
6 Le langage reste respectueux en toutes circonstances.
7 Les comptes rendus sont factuels et datés.
8 Les erreurs sont reconnues sans délai.
9 Les rectifications sont communiquées aux bons acteurs.
10 Les signatures valident la chaîne probatoire.
11 Les réunions sont synthétisées par écrit.
12 Les accès sont limités et tracés.
13 Les archives suivent un plan de classement.
14 Les délais de conservation sont respectés.
15 L’éthique guide les adaptations.
16 Les conflits d’intérêts sont évités.
17 Les incompréhensions se traitent tôt.
18 Les tiers inutiles sont écartés du circuit.
19 Les rapports utilisent des indicateurs clairs.
20 Les décisions sont justifiées par les pièces.
21 Les victimes reçoivent l’information prévue par la loi.
22 Les données médicales restent sous secret.
23 Les enfants sont protégés dans les échanges.
24 Les médias ne servent pas de preuve.
25 L’éthique est un pilier de la crédibilité.

XIX. Outils & ressources

1 Les textes consolidés s’obtiennent sur Légifrance.
2 Les fiches pratiques sont sur service-public.
3 Les modèles d’attestations gagnent du temps.
4 Les checklists évitent les oublis.
5 Les calendriers sécurisent les délais.
6 Les simulateurs aident la planification.
7 Les répertoires d’associations ouvrent des relais.
8 Les plateformes emploi accélèrent les retours.
9 Les catalogues de formation orientent les choix.
10 Les guides santé listent les contacts utiles.
11 Les kiosques sociaux facilitent l’accès aux droits.
12 Les tableaux de bord éclairent le JAP.
13 Les exports PDF sécurisent la preuve.
14 Les coffres-forts numériques protègent les pièces.
15 Les statistiques objectivent les progrès.
16 Les évaluations externes améliorent la qualité.
17 Les FAQ clarifient les procédures.
18 Les schémas mentaux résument les parcours.
19 Les matrices de risques guident les priorités.
20 Les benchmarks partagent les bonnes pratiques.
21 Les modèles de lettres cadrent la forme.
22 Les guides de RGPD sécurisent les flux.
23 Les tutoriels orientent les nouveaux partenaires.
24 Les audits internes corrigent les écarts.
25 Les rapports de fin capitalisent l’expérience.

XX. Cabinet ACI Paris

1 Le Cabinet ACI conçoit des alternatives solides et exécutables.
2 Chaque projet est documenté avant l’audience.
3 Les obligations proposées répondent à des besoins réels.
4 Les victimes sont intégrées au cœur du dispositif.
5 Les partenaires sont mobilisés dès l’amont.
6 Les pièces sont classées et horodatées.
7 Les indicateurs rendent la progression lisible.
8 Les incidents trouvent des réponses graduées.
9 Les audiences JAP s’appuient sur des dossiers propres.
10 Les aménagements se poursuivent jusqu’à la clôture.
11 Les amendements sont proposés avec pièces à l’appui.
12 Les soins, l’emploi et le logement restent prioritaires.
13 Les formations qualifiantes sécurisent la sortie.
14 Les interdictions protègent efficacement les victimes.
15 Les échéanciers d’indemnisation sont tenus.
16 Les bilans intermédiaires débloquent des allègements.
17 Les réussites sont consolidées par des preuves.
18 Les échecs sont analysés sans complaisance.
19 Les pratiques sont ajustées en continu.
20 Les décisions judiciaires sont respectées strictement.
21 Les recours sont exercés si nécessaire.
22 Les données sont protégées conformément au droit.
23 Les délais ne sont jamais négligés.
24 La communication reste mesurée et professionnelle.
25 La peine alternative devient un parcours de responsabilisation.

Ainsi
(Éthique du droit pénal et respect des libertés publiques)

à partir de là,

Ainsi,

Alors que,

Alors,

Après cela,

Après que,

Aussi,

bien que,

car,

Cependant,
(Éthique du droit pénal et respect des libertés publiques)

c’est ainsi que,

c’est pour cela que,

par ailleurs,

c’est pourquoi,

Considérons,

Contraste,

D’autant plus,

d’après,

de ce fait,

de façon,

manière que,

De la même manière,
(Éthique du droit pénal et respect des libertés publiques)

De même,

enfin,

de nouveau

de plus,

en dernier lieu,

De plus,

de sorte que,

deuxièmement,

Donc,

en ce qui concerne,

En conclusion,

par ailleurs,

En conséquence,

En dernier lieu,

dommage encore,

En fait,

puis,

En outre,

finalement,

en particulier,
(Éthique du droit pénal et respect des libertés publiques)

En premier lieu,

finalement,

En revanche,

En somme,

encore une fois,

Enfin,

ensuite,

étant donné que,

Finalement,

grâce à,

il est question de,

de même,

Il s’agit de,

il y a aussi,

Mais
(Éthique du droit pénal et respect des libertés publiques)

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs ,

Par conséquent,

et aussi,

Par contre,

par exemple,

évidemment,

Par la suite,

par rapport à,

parce que,

plus précisément,

plus tard,

Pour commencer,
(Éthique du droit pénal et respect des libertés publiques)

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

touchant à,

Tout d’abord,

Toutefois,
(Éthique du droit pénal et respect des libertés publiques)

troisièmement

et ensuite,

Une fois de plus,

et puis,

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Tout d’abord,

pénaliste

du cabinet Aci

assurera efficacement votre défense.

Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone, ou

bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation : auteur, co-auteur, complice, receleur ou

victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase

d’enquête (garde à vue) ; d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la

chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration

pénitentiaire par exemple).

Les domaines d’intervention du cabinet Aci

Cabinet d’avocats pénalistes parisiens 

D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo

75 003  PARIS

Puis, Tél. 01 42 71 51 05

Ensuite, Fax 01 42 71 66 80

Engagement, E-mail : contact@cabinetaci.com

Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste

En somme, Droit pénal

Tout d’abord, pénal général

Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal

Puis, pénal des affaires

Aussi, Droit pénal fiscal

Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme

De même, Le droit pénal douanier

En outre, Droit pénal de la presse

                 Et ensuite

Donc, pénal routier infractions

Outre cela, Droit pénal du travail

Malgré tout, Droit pénal de l’environnement

Cependant, pénal de la famille

En outre, Droit pénal des mineurs

Ainsi, Droit pénal de l’informatique

En fait, pénal international

Tandis que, Droit pénal des sociétés

Néanmoins, Le droit pénal de la consommation

Toutefois, Lexique de droit pénal

Alors, Principales infractions en droit pénal

Puis, Procédure pénale

Pourtant, Notions de criminologie