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Instruction pénale : mise en examen et droits de la défense

Instruction pénale : mise en examen, témoin assisté, contrôles judiciaires et droits de la défense

Instruction pénale : mise en examen et droits de la défense

*Instruction pénale : mise en examen et droits de la défense – Témoin assisté, contrôle judiciaire, stratégie de défense pénale.

Table des matières

I – L’instruction pénale : cadre général et enjeux pour la défense

  • A. Rôle du juge d’instruction et finalité de l’information
  • B. Ouverture de l’information judiciaire et infractions concernées
  • C. Place des droits de la défense dès l’ouverture de l’instruction

II – La mise en examen : conditions, déroulement et conséquences

  • A. Conditions légales de la mise en examen
  • B. Première comparution devant le juge d’instruction
  • C. Droits de la personne mise en examen et contestation de son statut

III – Le témoin assisté : statut intermédiaire entre simple témoin et mis en examen

  • A. Conditions d’accès au statut de témoin assisté
  • B. Droits, garanties et limites du témoin assisté
  • C. Évolutions possibles : passage en mise en examen ou mise hors de cause

IV – Le contrôle judiciaire : mesure de sûreté et restrictions de liberté

  • A. Principe : la liberté demeure la règle
  • B. Contenu, obligations possibles et sanctions en cas de violation
  • C. Demande d’assouplissement ou de mainlevée du contrôle judiciaire

V – Les droits de la défense au cœur de l’instruction : stratégie et rôle de l’avocat pénaliste

  • A. Principes fondamentaux : présomption d’innocence et procès équitable
  • B. Moyens d’action de la défense pendant l’instruction
  • C. Spécificités de la pratique à Paris et rôle du Cabinet ACI

VI – Tableaux récapitulatifs

  • Tableau 1 – Statuts procéduraux : simple témoin, témoin assisté, mis en examen
  • Tableau 2 – Conditions et effets de la mise en examen
  • Tableau 3 – Droits et limites du témoin assisté
  • Tableau 4 – Obligations de contrôle judiciaire et conséquences
  • Tableau 5 – Principaux droits de la défense en instruction pénale et exemples de jurisprudence

I – L’instruction pénale : cadre général et enjeux pour la défense

A. Rôle du juge d’instruction et finalité de l’information

L’instruction pénale est la phase au cours de laquelle un juge d’instruction va rechercher, à charge et à décharge, la vérité sur des infractions pénales complexes : homicide volontaire, violences aggravées, abus de biens sociaux, trafic de stupéfiants, corruption, etc.

Le juge d’instruction ne peut être saisi que par le parquet ou par une plainte avec constitution de partie civile devant le doyen des juges d’instruction (articles 80 et suivants du Code de procédure pénale).

L’article 80-1 du Code de procédure pénale précise que le juge d’instruction ne peut mettre en examen que les personnes à l’encontre desquelles il existe des indices graves ou concordants rendant vraisemblable leur participation à l’infraction dont il est saisi. (Doctrine)

L’instruction a donc une double finalité :

  1. Établir la vérité à travers des actes d’enquête approfondis (expertises, perquisitions, confrontations, écoutes, commissions rogatoires, etc.) ;
  2. Garantir les droits de la défense, en permettant à la personne mise en cause et à son avocat pénaliste de prendre connaissance du dossier, de formuler des demandes, de contester les actes et mesures attentatoires à la liberté. (Legavox)

B. Ouverture de l’information judiciaire et infractions concernées

L’information judiciaire est en principe obligatoire pour les crimes et facultative pour les délits les plus complexes ou sensibles.

Sont typiquement concernés :

  • Les crimes (ex. meurtre, viol, assassinat) ;
  • Les délits graves nécessitant des investigations poussées :
    • trafic de stupéfiants organisé ;
    • abus de biens sociaux et blanchiment ;
    • corruption et prise illégale d’intérêts ;
    • violences aggravées ;
    • infractions économiques et financières.

L’ouverture de l’information marque souvent un tournant pour la personne mise en cause : elle peut être entendue comme simple témoin, témoin assisté ou être placée sous le statut de mis en examen, avec des conséquences très différentes en termes de risques de contrôle judiciaire, voire de détention provisoire.

C. Place des droits de la défense dès l’ouverture de l’instruction

L’article préliminaire du Code de procédure pénale rappelle que toute personne suspectée ou poursuivie est présumée innocente et a le droit d’être informée des charges et d’être assistée d’un défenseur. (Légifrance)

Concrètement, cela implique :

  1. L’information sur les faits et leur qualification juridique ;
  2. Le droit d’être assisté d’un avocat à chaque interrogatoire ou confrontation ;
  3. Le droit, pour la personne mise en examen, d’accéder au dossier pénal par l’intermédiaire de son avocat et de présenter des observations, demandes d’actes et requêtes en nullité. (Legavox)

Le Cabinet ACI veille à ce que ces droits soient effectifs dès le début de l’information afin de ne pas laisser la stratégie de l’instruction se développer sans contradiction.

II – La mise en examen : conditions, déroulement et conséquences

A. Conditions légales de la mise en examen

La mise en examen est une décision formelle du juge d’instruction par laquelle une personne est intégrée à la procédure comme auteur ou complice présumé des faits en cause. Le Code n’en donne pas une définition autonome, mais en fixe les conditions à l’article 80-1 CPP. (Doctrine)

Pour qu’une mise en examen soit possible, il faut :

  1. Des indices graves ou concordants rendant vraisemblable la participation de la personne à l’infraction (par exemple : témoignages concordants, expertises, saisies, écoutes téléphoniques, vidéosurveillance) ;
  2. Que le juge soit saisi des faits concernés ;
  3. Que la personne ait été informée de ses droits et entendue lors d’une première comparution.

En l’absence d’indices graves ou concordants, le juge ne peut en principe que placer la personne sous le statut de témoin assisté (articles 113-1 et suivants CPP). (Légifrance)

B. Première comparution devant le juge d’instruction

La première comparution est un moment essentiel :

  1. Le juge rappelle les faits, leur qualification (ex. violences aggravées, abus de biens sociaux, trafic de stupéfiants) et les textes applicables ;
  2. Il informe la personne de son droit à être assistée par un avocat ;
  3. Il lui notifie les droits attachés au statut de mis en examen :
    • droit de garder le silence ;
    • droit de faire des déclarations ;
    • droit de répondre aux questions ;
    • droit de demander l’accomplissement d’actes ;
    • droit de déposer des requêtes en nullité.

À l’issue de cette comparution, le juge peut :

  • Prononcer une mise en examen ;
  • Ou, s’il estime que les indices sont insuffisants, accorder le statut de témoin assisté.

Le Cabinet ACI prépare en amont cette audition avec le client afin d’anticiper les questions, de décider de la stratégie de déclaration (silence, contestation, reconnaissance partielle…) et d’éviter des propos irréfléchis qui pourraient justifier, à eux seuls, une mise en examen.

C. Droits de la personne mise en examen et contestation de son statut

La personne mise en examen bénéficie d’un ensemble de droits renforcés pendant l’instruction :

  1. Accès intégral au dossier par son avocat (articles 114 et 114-1 CPP) ; (Légifrance)
  2. Droit de présenter des demandes d’actes (expertise, audition de témoins, confrontation…) sur le fondement de l’article 81 CPP ;
  3. Droit de déposer des requêtes en nullité devant la chambre de l’instruction (articles 173 et s. CPP) ;
  4. Droit de demander l’annulation ou la modification des mesures de contrôle judiciaire ou d’assignation à résidence sous surveillance électronique (articles 137 et s. CPP). (Légifrance)

Depuis l’article 80-1-1 CPP, la personne mise en examen peut aussi demander au juge de revenir sur sa décision et de lui octroyer le statut de témoin assisté lorsque les conditions de la mise en examen ne sont plus remplies, notamment si les indices graves ou concordants disparaissent ou s’affaiblissent. (Légifrance)

Le contrôle de la régularité de la mise en examen et du respect des droits de la défense est au cœur du travail de l’avocat pénaliste : un défaut d’information de l’avocat ou une atteinte trop grave aux droits de la défense peut conduire à une nullité. (Dalloz Etudiant)

III – Le témoin assisté : statut intermédiaire entre simple témoin et mis en examen

A. Conditions d’accès au statut de témoin assisté

Le témoin assisté occupe une position intermédiaire : il est plus qu’un simple témoin, mais n’est pas encore mis en examen.

L’article 113-1 CPP prévoit ce statut lorsqu’il existe contre une personne des indices la mettant en cause, mais insuffisants pour justifier une mise en examen. (Légifrance)

Peuvent bénéficier de ce statut :

  1. La personne nommément visée dans la plainte avec constitution de partie civile ;
  2. Celle contre laquelle il existe des indices ;
  3. Celle qui en fait la demande lors d’une audition de témoin si des éléments la mettent en cause.

B. Droits, garanties et limites du témoin assisté

Le témoin assisté bénéficie de droits substantiels :

  • Droit d’être assisté par un avocat, avisé préalablement des auditions ;
  • Droit pour cet avocat d’avoir accès au dossier dans des conditions proches de celles de la défense du mis en examen ; (Légifrance)
  • Droit de présenter des observations et certaines requêtes (par exemple en nullité pour certains actes) ;
  • Droit de demander des confrontations.

En revanche, ses droits ne sont pas aussi étendus que ceux de la personne mise en examen (facultés de demande d’actes un peu plus limitées, pas de même accès aux recours).

Le témoin assisté ne peut faire l’objet ni de contrôle judiciaire ni de détention provisoire, ce qui constitue une protection importante en termes de liberté.

C. Évolutions possibles : passage en mise en examen ou mise hors de cause

Au fil de l’instruction :

  1. Les charges peuvent se renforcer : le juge d’instruction peut alors décider de mettre en examen le témoin assisté s’il apparaît des indices graves ou concordants ;
  2. Les charges peuvent s’affaiblir ou disparaître : la personne peut alors être, en pratique, mise hors de cause au terme de l’instruction.

À l’inverse, une personne mise en examen peut demander, sur le fondement de l’article 80-1-1 CPP, à être replacée sous le statut de témoin assisté si les conditions de la mise en examen ne sont plus remplies. (Légifrance)

Le Cabinet ACI surveille cette évolution des indices pour, le cas échéant, solliciter le changement de statut le plus favorable au client.

IV – Le contrôle judiciaire : mesure de sûreté et restrictions de liberté

A. Principe : la liberté demeure la règle

L’article 137 CPP rappelle un principe fondamental :

« Toute personne mise en examen, présumée innocente, demeure libre. Toutefois, en raison des nécessités de l’instruction ou à titre de mesure de sûreté, elle peut être astreinte à une ou plusieurs obligations du contrôle judiciaire ou, si celles-ci se révèlent insuffisantes, être assignée à résidence sous surveillance électronique. » (Légifrance)

Le contrôle judiciaire est donc une mesure intermédiaire entre liberté totale et détention provisoire. Il est possible en matière délictuelle et criminelle, lorsque l’infraction est punie d’une peine d’emprisonnement et que des nécessités de sûreté le justifient. (Village de la Justice)

B. Contenu, obligations possibles et sanctions en cas de violation

Les obligations de contrôle judiciaire sont nombreuses et modulables :

  • Obligation de résider à une adresse déterminée ;
  • Obligation de pointer régulièrement au commissariat ou à la gendarmerie ;
  • Interdiction d’entrer en contact avec certaines personnes (victime, co-mis en examen, témoin assisté) ;
  • Interdiction de paraître dans certains lieux ;
  • Interdiction de se livrer à certaines activités professionnelles ;
  • Obligation de verser une caution ;
  • Obligation de se soumettre à des soins, notamment en cas d’addictions, ou de travailler. (Village de la Justice)

En cas de violation grave ou répétée des obligations, le juge d’instruction peut saisir le juge des libertés et de la détention (JLD) pour un placement en détention provisoire.

C. Demande d’assouplissement ou de mainlevée du contrôle judiciaire

Le contrôle judiciaire doit être proportionné et régulièrement réexaminé. La défense peut :

  1. Demander une réduction des obligations (diminution des pointages, suppression de certaines interdictions) ;
  2. Solliciter la mainlevée totale si les nécessités de l’instruction ont diminué (par exemple, si la plupart des actes sont réalisés) ;
  3. Contester une décision trop sévère devant la chambre de l’instruction. (Village de la Justice)

Le Cabinet ACI construit ces demandes en s’appuyant sur des éléments objectifs : emploi, formation, prise en charge médicale, respect antérieur des obligations, soutien familial.

V – Les droits de la défense au cœur de l’instruction : stratégie et rôle de l’avocat pénaliste

A. Principes fondamentaux : présomption d’innocence et procès équitable

Les droits de la défense sont reconnus comme un principe fondamental par :

  • L’article préliminaire du Code de procédure pénale, qui garantit le droit d’être informé des charges, d’être assisté par un défenseur et de préparer sa défense ; (Légifrance)
  • La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (article 16) ;
  • L’article 6 de la Convention européenne des droits de l’homme, relatif au procès équitable.

La jurisprudence de la Cour de cassation insiste régulièrement sur l’obligation d’aviser l’avocat choisi des débats importants (ex. débat devant le JLD), à défaut de quoi la décision peut être annulée pour atteinte aux droits de la défense. (Cour de Cassation)

B. Moyens d’action de la défense pendant l’instruction

L’avocat pénaliste dispose de nombreux leviers pendant l’instruction :

  1. Analyse critique du dossier :
    • régularité des perquisitions, gardes à vue, expertises ;
    • respect des délais ;
    • compatibilité des actes avec les droits fondamentaux.
  2. Demandes d’actes (article 81 CPP) :
    • audition de témoins favorables ;
    • contre-expertise en matière de violences, stupéfiants, informatique, comptable ;
    • confrontation avec des témoins ou co-mis en examen. (Legavox)
  3. Requêtes en nullité :
    • nullité de la mise en examen pour insuffisance d’indices ;
    • nullité de certains actes accomplis sans le respect des droits de la défense (absence d’avocat, défaut d’avis, violation du secret professionnel, irrégularité d’une expertise). (Legavox)
  4. Contestation des mesures de sûreté :
    • débats sur le contrôle judiciaire ou la détention provisoire ;
    • recours devant la chambre de l’instruction.

C. Spécificités de la pratique à Paris et rôle du Cabinet ACI

À Paris, les instructions sont souvent volumineuses et techniquement complexes (criminalité organisée, infractions économiques et financières, dossiers médiatisés).

Le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, intervient notamment pour :

  • Accompagner les personnes placées sous statut de mis en examen ou de témoin assisté dès la première comparution ;
  • Construire une stratégie de défense adaptée à la nature des infractions (violences, stupéfiants, délits financiers, etc.) ;
  • Défendre la liberté du client en évitant, autant que possible, un contrôle judiciaire excessif ou une détention provisoire injustifiée ;
  • Assurer une information claire et régulière du mis en cause et de sa famille sur l’avancement de l’instruction.

VI – Tableaux récapitulatifs

1). Tableau 1 – Statuts procéduraux en instruction : simple témoin, témoin assisté, mis en examen

Statut Base légale / références Situation de la personne Droits et garanties Principaux risques

Simple témoin

Articles 101 et s. CPP (audition de témoins) Personne appelée à déposer sur des faits sans être officiellement mise en cause ; aucune mise en examen ni indices graves retenus contre elle Obligation de comparaître et de dire la vérité (sauf cas particuliers) ; possibilité d’être assisté par un avocat en pratique, mais droits limités sur le dossier ; pas d’accès systématique au dossier Risque de poursuites pour faux témoignage ; si les déclarations ou d’autres éléments la mettent gravement en cause, elle peut basculer vers le statut de témoin assisté ou de mis en examen

Témoin assisté

Articles 113-1 à 113-8 CPP Personne à l’égard de laquelle il existe des indices la concernant, mais jugés insuffisants pour une mise en examen Droit d’être assisté par un avocat, avisé des auditions ; droit pour l’avocat d’accéder au dossier ; droit de présenter des observations, certaines requêtes en nullité et des demandes d’actes ; protection contre le contrôle judiciaire et la détention provisoire Risque de basculer en mise en examen si les indices se renforcent ; maintien durable dans une situation d’incertitude ; exposition médiatique éventuelle si le dossier est public

Mis en examen

Articles 80-1, 80-1-1 CPP, article 80-1-1 CPP Personne à l’égard de laquelle il existe des indices graves ou concordants de participation à une infraction ; elle devient partie à l’instruction Droits renforcés : accès complet au dossier par l’avocat, demandes d’actes, requêtes en nullité, participation aux interrogatoires et confrontations, droit d’être assisté à chaque étape ; possibilité de demander la requalification des faits ou le passage au statut de témoin assisté via l’article 80-1-1 CPP Risque de contrôle judiciaire, d’assignation à résidence sous surveillance électronique ou de détention provisoire ; exposition pénale forte (peines d’emprisonnement, amende, peines complémentaires) ; enjeu important en termes d’image et de carrière professionnelle

2).  Tableau 2 – Conditions et effets de la mise en examen

Thème Contenu Références et observations pratiques

Conditions d’ouverture de la mise en examen

Existence d’indices graves ou concordants ; faits entrant dans le champ de saisine du juge ; première comparution avec information complète sur les droits ; assistance possible d’un avocat choisi ou commis d’office Article 80-1 CPP ; la jurisprudence rappelle que l’absence d’indices graves ou concordants peut entraîner la nullité de la mise en examen et des actes subséquents
Contenu de la décision de mise en examen Décision formelle, souvent matérialisée par un procès-verbal ; mention des faits, de leur qualification (ex. association de malfaiteurs, abus de biens sociaux, violences aggravées) ; rappel des droits du mis en examen La mise en examen marque l’entrée officielle de la personne dans le cercle des « mis en cause » et lui ouvre des droits importants de contestation et de participation à l’instruction

Droits procéduraux ouverts

Accès au dossier ; droit de présenter des demandes d’actes (articles 81 et 82-1 CPP) ; droit de déposer des requêtes en nullité (articles 173 et s. CPP) ; droit de recours contre les ordonnances du juge (renvoi, non-lieu partiel, etc.) La jurisprudence de la Cour de cassation insiste sur l’importance de l’avis donné à l’avocat (ex. information obligatoire de l’avocat du mis en examen pour certains débats, sous peine d’atteinte aux droits de la défense). (Cour de Cassation)
Conséquences en termes de liberté Possibilité de placement sous contrôle judiciaire ou en détention provisoire si les conditions de l’article 144 CPP sont réunies (risque de fuite, réitération, pression sur témoins, etc.) Article 137 CPP ; articles 143-1 et s. CPP ; importance de l’argumentation de l’avocat pénaliste sur les garanties de représentation

Évolutions possibles du statut

Passage au statut de témoin assisté si les conditions ne sont plus remplies (article 80-1-1 CPP) ; décision de non-lieu en fin d’instruction ; renvoi devant le tribunal correctionnel ou mise en accusation devant la cour d’assises La défense peut, à intervalles réguliers, demander un réexamen de la mise en examen au regard de l’évolution du dossier ; le Cabinet ACI utilise ce levier pour tenter de réduire l’exposition pénale de ses clients

3).  Tableau 3 – Droits et limites du témoin assisté

Aspect Description Références et pratique
Accès au dossier Le témoin assisté bénéficie du droit à l’assistance d’un avocat, lequel est avisé préalablement des auditions et a accès au dossier, dans les conditions prévues aux articles 114 et 114-1 CPP Section « Du témoin assisté » ; ce droit d’accès est un élément central de la stratégie de défense, même en l’absence de mise en examen

Participation aux actes d’instruction

Possibilité d’être présent et assisté lors des interrogatoires et confrontations qui le concernent ; droit de demander certaines confrontations, observations écrites sur les expertises, etc. La jurisprudence admet que le témoin assisté puisse faire valoir des moyens tirés du non-respect de ses droits lors d’actes d’instruction directement dirigés contre lui
Requêtes en nullité Le témoin assisté bénéficie de la faculté de présenter des requêtes en nullité pour certains actes, notamment ceux qui portent atteinte directement à ses droits fondamentaux Article 113-3 CPP ; les décisions de la Cour de cassation soulignent que ce statut ne doit pas être un « demi-statut » dénué de droits réels

Absence de mesures coercitives

Le témoin assisté ne peut pas être soumis à un contrôle judiciaire ni à une détention provisoire du seul fait de ce statut ; il demeure libre, sauf autre procédure parallèle Cette protection distingue nettement le témoin assisté du mis en examen ; elle peut justifier, dans certains dossiers, une stratégie visant à éviter la mise en examen dès lors que les risques de liberté sont majeurs
Limites du statut Droits moindres que ceux du mis en examen (moins de possibilités de demandes d’actes et de recours) ; incertitude quant à l’issue de l’instruction ; possible bascule en mise en examen Certains justiciables préfèrent, avec l’avis de l’avocat pénaliste, accepter une mise en examen pour bénéficier de droits plus étendus ; le choix dépend étroitement de la configuration du dossier et des risques encourus

4).  Tableau 4 – Obligations de contrôle judiciaire et conséquences

Obligation / mesure Objet Conséquences pratiques Textes de référence

Obligation de résidence et pointage

Imposer au mis en examen de résider à une adresse déterminée et de se présenter périodiquement à la police ou à la gendarmerie Forte contrainte sur la vie quotidienne ; incompatible avec certains emplois itinérants ; violation répétée pouvant entraîner un placement en détention provisoire Articles 138 et s. CPP ; commentaires doctrinaux et analyses sur le contrôle judiciaire (Village de la Justice)

Interdictions de contact et de paraître

Interdiction de rencontrer la victime, les co-mis en examen, certains témoins, interdiction de se rendre dans certains lieux (domicile de la victime, quartier, entreprise) Impact majeur sur la vie familiale (ex. dossier de violences conjugales) et professionnelle ; violation des interdictions pouvant aggraver la peine ou justifier la détention Utile pour prévenir les pressions ; doit être calibrée finement par le juge pour éviter les situations impossibles
Interdiction d’exercice professionnel Interdiction de certaines fonctions liées aux faits (ex. dirigeant d’une société après abus de biens sociaux, professionnel de santé après violences sexuelles) Perte potentielle de revenus ; nécessité de réorientation professionnelle temporaire ; argument fréquemment débattu par la défense Les décisions de la Cour de cassation exigent une motivation précise, proportionnée aux nécessités de l’instruction et de la protection de l’ordre public (Village de la Justice)

Obligation de soins

Obligation de suivre un traitement médical, psychologique ou addictologique (ex. alcoolisme, dépendance aux stupéfiants) Peut constituer un levier positif de prise en charge ; en cas d’inexécution, risque de durcissement du contrôle judiciaire ou de détention provisoire Très fréquent dans les dossiers de violences ou de stupéfiants ; le Cabinet ACI valorise devant le juge les démarches de soins engagées
Cautionnement Versement d’une somme destinée à garantir la représentation en justice et le paiement des éventuelles amendes et dommages et intérêts Effort financier pour la famille ; peut être restitué en partie en fonction de l’issue du procès ; non-paiement ou non-respect des obligations assorties pouvant conduire à un enfermement Article 138 CPP ; le juge doit adapter le montant au niveau de ressources réel du mis en examen

5).  Tableau 5 – Principaux droits de la défense en instruction pénale et exemples de jurisprudence

Droit de la défense Contenu concret Références légales / jurisprudentielles Illustration pratique

Droit à l’information sur les charges

Être informé des faits reprochés, de leur qualification juridique, des textes applicables ; notification claire lors de la première comparution Article préliminaire CPP ; article 80-1 CPP (Légifrance) L’avocat pénaliste vérifie que la description des faits n’est pas trop vague ; une imprécision excessive peut justifier une contestation
Droit à l’assistance d’un avocat Être assisté par un avocat dès la première comparution, lors des interrogatoires, confrontations, débats sur la liberté ; droit à un avocat commis d’office Jurisprudence constante de la Cour de cassation sur l’obligation d’aviser l’avocat choisi ; ex. décision admettant la nullité pour défaut d’avis à l’avocat du mis en examen lors d’un débat devant le JLD (Dalloz Etudiant) Le Cabinet ACI intervient dès que possible pour éviter que des actes importants ne se déroulent sans la présence ou au moins l’avis de la défense

Droit d’accès au dossier

Consultation de toutes les pièces de la procédure par l’avocat, possibilité de copies, analyse détaillée Articles 114 et 114-1 CPP L’accès au dossier permet de mettre en évidence des contradictions, des lacunes, des pistes d’enquête laissées de côté par l’accusation
Droit de demander des actes Demande d’auditions, de confrontations, d’expertises ou de contre-expertises, de recherches complémentaires Articles 81, 82-1 CPP ; jurisprudence sur l’obligation pour le juge de motiver le refus d’actes sollicités par la défense (Legavox) Par exemple, demande de contre-expertise médico-légale dans un dossier de violences aggravées, ou d’expertise comptable dans un dossier d’abus de biens sociaux

Droit de contester les actes par des nullités

Possibilité de faire annuler des actes de procédure irréguliers ou portant atteinte aux droits de la défense (garde à vue illégale, expertise irrégulière, etc.) Articles 173 et s. CPP ; arrêt de la Cour de cassation sur les atteintes au secret professionnel et aux droits de la défense (ex. Cass. crim., 7 janv. 2020, n° 19-86.465) (Lexbase) Le Cabinet ACI dépose des mémoires détaillés pour démontrer l’impact concret de l’irrégularité sur la situation du mis en examen
Droit à un débat contradictoire sur la liberté Débats devant le JLD ou la chambre de l’instruction sur le contrôle judiciaire ou la détention provisoire ; possibilité d’y être assisté par un avocat et de présenter des observations Articles 137, 143-1 et s. CPP ; décisions de la CEDH sur la nécessité de débats contradictoires et de motivation des placements en détention L’avocat plaide les garanties de représentation : travail, famille, soins, insertion ; il peut contester une motivation stéréotypée ou insuffisante

Dans toutes ces hypothèses, le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, a pour mission de transformer ces droits théoriques en

garanties effectives, en intervenant à chaque étape de l’instruction pénale – qu’il s’agisse d’une mise en examen, d’un statut de

témoin assisté ou d’un contrôle judiciaire – afin de protéger au mieux la liberté et la réputation de la personne mise en cause,

tout en préparant la suite de la procédure devant les juridictions de jugement.

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pour votre défense

A).  —  LES MOTS CLES JURIDIQUES : 

1 – Instruction pénale et juge d’instruction

instruction pénale, information judiciaire, juge d’instruction, saisine du juge d’instruction, ouverture d’information, réquisitoire introductif, réquisitoire supplétif, plainte avec constitution de partie civile, dossier d’instruction, cabinet d’instruction, actes d’instruction, commission rogatoire, perquisition, saisies, mise sous scellés, expertise, audition, confrontation, investigations à charge, investigations à décharge, impartialité du juge d’instruction, complexité des dossiers, criminalité organisée, infractions graves, déroulement de l’instruction, durée de l’instruction, clôture d’information, ordonnance de non-lieu, ordonnance de renvoi, ordonnance de mise en accusation, rôle du ministère public, rôle de la partie civile, contrôle de la chambre de l’instruction, stratégie de défense en instruction, Cabinet ACI instruction pénale, avocat pénaliste Paris, information des justiciables

2 – Mise en examen : notions générales

mise en examen, statut de mis en examen, personne mise en examen, auteur présumé, complice présumé, indices graves, indices concordants, charges suffisantes, présomption d’innocence, première comparution, interrogatoire de première comparution, notification des droits, qualification pénale, faits reprochés, participation à l’infraction, contestation de la mise en examen, demande de requalification, recours devant la chambre de l’instruction, exposition pénale, risque de contrôle judiciaire, risque de détention provisoire, assistance obligatoire par un avocat, choix d’un avocat pénaliste, stratégie dès la première comparution, enjeux professionnels, enjeux familiaux, image sociale, médiatisation éventuelle, Cabinet ACI mise en examen, défense de la liberté, défense de la réputation, préparation aux interrogatoires d’instruction

3 – Indices graves ou concordants et charges de l’accusation

indices graves ou concordants, charges suffisantes, éléments matériels, déclarations, aveux, témoignages, confrontations, expertises, écoutes téléphoniques, analyses téléphoniques, géolocalisation, vidéosurveillance, perquisitions, saisie de documents, données informatiques, expertise comptable, expertise psychiatrique, expertise ADN, faisceau d’indices, appréciation souveraine du juge, contestation des indices, fragilisation des charges, nullité d’actes d’enquête, atteinte aux droits de la défense, disproportion des mesures, sur-interprétation des éléments, rôle de l’avocat pénaliste dans l’analyse du dossier, mémoire de contestation, requêtes en nullité, demandes d’actes complémentaires, stratégie d’affaiblissement des charges, argumentation devant la chambre de l’instruction

4 – Témoin assisté : statut intermédiaire et protections

témoin assisté, statut intermédiaire, personne mise en cause, indices insuffisants, absence d’indices graves ou concordants, audition comme témoin assisté, aide de l’avocat, conversion du statut de témoin en témoin assisté, droits du témoin assisté, accès au dossier, présence lors des interrogatoires, droit à l’assistance d’un défenseur, observations écrites, confrontations demandées, impossibilité de détention provisoire, impossibilité de contrôle judiciaire, protection de la liberté, incertitude sur l’issue du dossier, risque ultérieur de mise en examen, stratégie de rester témoin assisté, demande de changement de statut, sortie de la procédure, mise hors de cause, rôle du Cabinet ACI dans le choix du statut, pédagogie sur les différences avec la mise en examen

5 – Contrôle judiciaire : principes et finalité

contrôle judiciaire, mesure de sûreté, alternative à la détention, liberté encadrée, présomption d’innocence, article 137 CPP, proportionnalité des obligations, nécessité de l’instruction, protection de l’ordre public, prévention de la réitération, garanties de représentation, protection des victimes, interdictions ciblées, obligations adaptées, contrôles réguliers, réexamen périodique, débats contradictoires, décision motivée du juge, recours devant la chambre de l’instruction, respect des droits de la défense, équilibre liberté-sûreté, intervention du juge des libertés et de la détention, rôle du juge d’instruction, plaidoirie sur la liberté, stratégie de limitation des contraintes, Cabinet ACI contrôle judiciaire

6 – Contrôle judiciaire : obligations concrètes

obligations de contrôle judiciaire, pointages, convocations au commissariat, convocations à la gendarmerie, obligation de résider à une adresse fixe, interdiction de quitter le territoire, remise du passeport, obligation de chercher un emploi, obligation de travailler, obligation de suivre une formation, obligation de soins, suivi addictologique, suivi psychologique, interdiction de paraître en certains lieux, interdiction d’entrer en contact avec la victime, interdiction d’entrer en contact avec les co-mis en examen, interdiction d’exercer une activité professionnelle, cautionnement, dépôt de caution, conséquences d’un manquement, révocation du contrôle judiciaire, placement en détention provisoire, traces au dossier, impact sur la décision finale, aménagement progressif, demande de mainlevée, Cabinet ACI assouplissement du contrôle judiciaire

7 – Détention provisoire, JLD et chambre de l’instruction

détention provisoire, incarcération avant jugement, juge des libertés et de la détention, débat contradictoire, placement en détention, prolongation de détention, contrôle strict, article 144 CPP, motifs de détention, risque de fuite, risque de réitération, risque de pression sur témoins, risque de concertation frauduleuse, trouble exceptionnel à l’ordre public, durée de la détention, contrôle de la chambre de l’instruction, appels des ordonnances, motivation renforcée, contrôle de la CEDH, dignité des personnes détenues, alternatives à la détention, contrôle judiciaire, assignation à résidence sous surveillance électronique, semi-liberté, importance des garanties de représentation, plaidoiries du Cabinet ACI en faveur de la liberté

8 – Droits de la défense et procès équitable

droits de la défense, procès équitable, article 6 CEDH, contradictoire, égalité des armes, assistance d’un avocat, accès au dossier, temps et facilités pour préparer la défense, interprète, traduction, secret professionnel, confidentialité des échanges avocat-client, droit de se taire, droit de ne pas s’auto-incriminer, présomption d’innocence, publicité des débats, motivation des décisions, recours effectif, contrôle des juridictions supérieures, rôle de la Cour de cassation, rôle de la Cour européenne des droits de l’homme, nullités pour atteinte aux droits de la défense, doctrine pénaliste, position du Cabinet ACI sur la défense des libertés, explications pédagogiques aux clients

9 – Accès au dossier, demandes d’actes et stratégie d’enquête

accès au dossier d’instruction, consultation par l’avocat, copies de pièces, analyse des procès-verbaux, chronologie des faits, contradictions dans les auditions, exploitation des expertises, exploitation des écoutes, exploitation de la vidéosurveillance, demandes d’actes, demandes de contre-expertise, demandes d’auditions supplémentaires, demandes de confrontations, demandes de transport sur les lieux, demandes de supplément d’information, délais de réponse du juge, refus d’actes, recours devant la chambre de l’instruction, stratégie d’enquête parallèle, enquête de personnalité, enquête de voisinage, recueil d’attestations, travail d’investigation du Cabinet ACI, construction d’une version cohérente des faits, consolidation du dossier de défense

10 – Nullités de procédure et contrôles de régularité

nullité de procédure, vices de forme, vices de fond, atteinte aux droits de la défense, violation de la loi, irrégularité de garde à vue, absence d’information des droits, audition sans avocat, perquisition irrégulière, violation du secret professionnel, écoutes illicites, non-respect des délais, nullité de la mise en examen, nullité d’un acte d’instruction, requêtes en nullité, délai de saisine, effets d’une nullité, annulation en chaîne, purge du dossier, saisine de la chambre de l’instruction, contrôle de la Cour de cassation, rôle du Cabinet ACI dans la rédaction de mémoires, sélection stratégique des moyens de nullité, articulation entre nullité et défense au fond

11 – Infractions de droit commun en instruction

homicide volontaire, violences volontaires, violences aggravées, violences conjugales, violences sur mineur, agression sexuelle, viol, harcèlement moral, harcèlement sexuel, vol aggravé, vol avec effraction, vol en réunion, recel, extorsion, séquestration, stupéfiants, trafic de stupéfiants, importation de stupéfiants, blanchiment, association de malfaiteurs, armes, vols à main armée, bandes organisées, criminalité de voie publique, criminalité organisée, instruction criminelle, risque d’assises, complexité probatoire, enjeux de liberté, enjeux de peine, accompagnement spécialisé du Cabinet ACI

12 – Infractions économiques, financières et corruption

abus de biens sociaux, abus de confiance, escroquerie, faux et usage de faux, banqueroute, blanchiment, corruption, trafic d’influence, prise illégale d’intérêts, détournement de fonds, infractions boursières, délits d’initiés, fraude fiscale, fraude aux subventions, fraude aux aides publiques, dossiers financiers complexes, expertise comptable, saisies pénales, confiscation, gel des avoirs, mandats internationaux, image des dirigeants, réputation des entreprises, secret des affaires, secret professionnel de l’avocat, stratégie de défense économique, accords avec les autorités, négociation pénale, accompagnement des dirigeants par le Cabinet ACI, communication de crise maîtrisée

13 – Parties civiles, victimes et indemnisation

partie civile, plainte avec constitution de partie civile, action civile, préjudice matériel, préjudice moral, préjudice corporel, indemnisation, réparation intégrale, expertise médicale, évaluation du dommage, provision, référé civil, audience de consignation, ordonnances sur intérêts civils, médiation pénale, transaction, accord amiable, rôle de l’avocat de la partie civile, articulation pénal-civil, impact de la constitution de partie civile sur l’instruction, confrontation avec la victime, respect de la souffrance des victimes, stratégie de défense sans agressivité, Cabinet ACI et gestion des relations avec la partie civile, explication des enjeux indemnitaires au mis en examen

14 – Chambre de l’instruction, appels et contrôles

chambre de l’instruction, cour d’appel, contrôle de l’information judiciaire, appels des ordonnances, appel d’une mise en examen, appel d’un contrôle judiciaire, appel d’une détention provisoire, appel d’une ordonnance de non-lieu, appel d’une ordonnance de renvoi, débats publics, observations écrites, mémoires motivés, plaidoiries techniques, contrôle de la régularité, contrôle de la motivation, contrôle de la proportionnalité, annulation partielle, annulation totale, renvoi de l’affaire à un autre juge, jurisprudence de la chambre de l’instruction, stratégie d’appel élaborée par le Cabinet ACI, articulation avec le futur procès, vision d’ensemble du dossier

15 – CEDH, droits fondamentaux et contrôle européen

CEDH, Cour européenne des droits de l’homme, article 5 CEDH, article 6 CEDH, liberté et sûreté, procès équitable, détention arbitraire, durée raisonnable de la procédure, motivation des décisions, respect du contradictoire, accès à un avocat, accès au dossier, égalité des armes, ingérences disproportionnées, conditions de détention, traitements inhumains ou dégradants, condamnations de la France, alignement du droit interne, invocabilité devant les juridictions françaises, contrôle de la Cour de cassation, stratégies contentieuses, requête à Strasbourg, rôle du Cabinet ACI dans l’argumentation CEDH, protection renforcée des personnes vulnérables, effet sur l’instruction pénale

16 – Stratégie de défense du Cabinet ACI en instruction

stratégie de défense, analyse globale du dossier, vision à long terme, anticipation du procès, hiérarchisation des priorités, protection de la liberté, protection de la réputation, gestion de la communication, choix des demandes d’actes, choix des nullités, prise en compte de la personnalité, contexte familial, contexte professionnel, enjeux médiatiques, négociation avec le parquet, préparation des interrogatoires, coaching du client, préparation des confrontations, rédaction de notes explicatives, gestion des relations avec la presse, accompagnement humain, disponibilité de l’avocat pénaliste, Cabinet ACI comme partenaire stratégique, défense exigeante et pédagogique

17 – Instruction pénale à Paris et en Île-de-France

instruction pénale à Paris, pôle de l’instruction, juge d’instruction parisien, complexité des dossiers parisiens, criminalité organisée en région parisienne, infractions économiques et financières, tribunal judiciaire de Paris, pôle financier, pôle antiterroriste, maisons d’arrêt de la région parisienne, déplacements pour interrogatoires, comparutions devant la chambre de l’instruction de Paris, pratiques locales des magistrats, culture juridictionnelle parisienne, délais de traitement, sur-occupation des juridictions, organisation des cabinets pénalistes, proximité géographique du Cabinet ACI, connaissance du terrain, réactivité en urgence, rendez-vous rapides, coordination avec les familles en Île-de-France

18 – Conséquences familiales, professionnelles et sociales

conséquences familiales de la mise en examen, inquiétude des proches, stigmatisation sociale, secret autour de la procédure, retentissement psychologique, pression sur le couple, impact sur les enfants, difficultés financières, perte d’emploi, suspension de fonction, licenciement, inaptitude, impossibilité de se déplacer, contraintes du contrôle judiciaire, risque de détention provisoire, angoisse liée à une éventuelle prison ferme ultérieure, dégradation de l’image, réputation numérique, réseaux sociaux, presse locale, besoin d’accompagnement, soutien psychologique, rôle de l’avocat pénaliste auprès de la famille, Cabinet ACI comme interlocuteur unique, information claire et structurée

19 – Exécution de la peine et suites de l’instruction

renvoi devant le tribunal correctionnel, mise en accusation devant la cour d’assises, phase de jugement, appel, pourvoi en cassation, exécution de la peine, prison ferme, aménagement de peine, sursis probatoire, bracelet électronique, semi-liberté, libération conditionnelle, suivi par le SPIP, obligations post-sentencielles, inscription au casier judiciaire, effacement, réhabilitation, conséquences sur le droit au séjour, conséquences professionnelles, interdictions de droits, interdictions d’exercice, suivi du dossier après jugement, rôle du Cabinet ACI devant le juge de l’application des peines, stratégie globale intégrant instruction, jugement et exécution

20 – Prise de contact et rendez-vous avec le Cabinet ACI

Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, contact en urgence, rendez-vous rapide, consultation pénale, étude du dossier d’instruction, analyse des pièces, évaluation des risques, explication des statuts procéduraux, stratégie personnalisée, accompagnement lors de la première comparution, présence aux interrogatoires, défense devant le JLD, défense devant la chambre de l’instruction, coordination avec les autres avocats, information régulière du client, comptes rendus d’audiences, échanges avec la famille, honoraires transparents, communication par téléphone, visioconférence, courriel, suivi sur la durée, engagement et disponibilité, défense exigeante, approche humaine et doctrinale

B).  —  LES PHRASES JURIDIQUES : 

1 – Premiers repères sur l’instruction pénale

  1. L’instruction pénale permet au juge d’instruction de rechercher la vérité à charge et à décharge.
  2. Être concerné par une instruction ne signifie pas automatiquement être coupable ou être condamné.
  3. Dès l’ouverture d’une information judiciaire, il est essentiel de consulter un avocat pénaliste.
  4. Le juge d’instruction ne peut pas agir librement : il doit respecter strictement le Code de procédure pénale.
  5. Chaque acte d’instruction laisse une trace écrite qui pourra être analysée par la défense.
  6. La durée d’une instruction varie selon la gravité des faits et la complexité du dossier.
  7. Le mis en cause doit comprendre qu’il dispose de droits et ne subit pas passivement la procédure.
  8. Une stratégie de défense construite dès le début permet souvent de limiter les risques à long terme.
  9. Le Cabinet ACI accompagne les personnes mises en cause à chaque étape de l’instruction.
  10. Une première consultation permet de clarifier la situation procédurale et les différents statuts possibles.
  11. La coopération entre le client, son avocat et ses proches est un atout majeur pour la défense.
  12. Même dans un dossier grave, l’instruction peut aboutir à un non-lieu si les charges sont insuffisantes.
  13. Les décisions prises pendant l’instruction auront des conséquences fortes lors du futur procès.
  14. Comprendre le rôle du juge d’instruction permet de mieux appréhender ses actes et convocations.
  15. L’anticipation et la préparation restent les meilleurs alliés face à une instruction pénale.

2 – Mise en examen : comprendre ce que cela signifie

  1. La mise en examen n’est pas une condamnation mais un statut procédural permettant de se défendre.
  2. Pour être mis en examen, il doit exister des indices graves ou concordants de participation à l’infraction.
  3. La décision de mise en examen est prise par le juge d’instruction après une première comparution.
  4. Le mis en examen se voit notifier les faits précis et les textes de loi qui lui sont reprochés.
  5. Dès cette étape, l’assistance d’un avocat pénaliste est indispensable pour comprendre les enjeux.
  6. La mise en examen ouvre de larges droits de la défense, notamment l’accès au dossier.
  7. Ce statut peut certes inquiéter, mais il donne aussi à l’avocat les moyens d’agir.
  8. La défense peut contester la mise en examen devant la chambre de l’instruction lorsque les indices sont faibles.
  9. Selon l’évolution du dossier, une demande de requalification des faits peut être envisagée.
  10. La mise en examen n’empêche pas de continuer à travailler ou à vivre en famille, sauf mesures spécifiques.
  11. Le Cabinet ACI explique à ses clients chaque conséquence concrète de ce statut.
  12. Il est important de ne jamais signer un procès-verbal sans l’avoir lu attentivement avec son avocat.
  13. Une mise en examen correctement contestée peut parfois être ultérieurement requalifiée en témoin assisté.
  14. Les attitudes impulsives ou les déclarations non préparées peuvent être exploitées contre le mis en examen.
  15. Une mise en examen bien gérée permet souvent de limiter les risques de détention provisoire.

3 – Témoin assisté : un statut protecteur mais incertain

  1. Le témoin assisté occupe une position intermédiaire entre simple témoin et mis en examen.
  2. Ce statut s’applique lorsque des indices existent mais restent insuffisants pour une mise en examen.
  3. Le témoin assisté peut être assisté par un avocat lors de chaque audition devant le juge d’instruction.
  4. Il bénéficie d’un accès au dossier, ce qui permet au Cabinet ACI d’analyser les éléments à son encontre.
  5. Contrairement au mis en examen, le témoin assisté ne peut pas être placé en détention provisoire.
  6. Il ne peut pas non plus être soumis à un contrôle judiciaire, ce qui protège sa liberté quotidienne.
  7. Ce statut demeure néanmoins incertain, car il peut évoluer vers une mise en examen si les charges se renforcent.
  8. L’avocat doit donc rester vigilant et suivre de près chaque nouvel acte d’instruction.
  9. Le témoin assisté peut lui-même demander à obtenir ce statut lorsqu’il se sent mis en cause.
  10. Ce choix peut être stratégiquement utile pour bénéficier des droits d’accès au dossier.
  11. Le Cabinet ACI explique les avantages et limites du statut de témoin assisté à ses clients.
  12. Ce statut n’exclut pas, en fin d’instruction, une décision de mise hors de cause.
  13. Chaque audition de témoin assisté doit être préparée comme un acte de défense, et non comme une simple formalité.
  14. Le comportement et la cohérence des déclarations sont essentiels pour éviter un durcissement du statut.
  15. Le témoin assisté doit rester conscient que la procédure est toujours susceptible d’évoluer.

4 – Contrôle judiciaire : vivre avec des obligations strictes

  1. Le contrôle judiciaire permet au juge de limiter la liberté sans recourir à la prison avant le procès.
  2. Il impose des obligations concrètes qui doivent être respectées avec rigueur par le mis en examen.
  3. Ces obligations peuvent inclure des pointages réguliers au commissariat ou à la gendarmerie.
  4. Le juge peut interdire à la personne de rencontrer la victime ou certains co-mis en examen.
  5. Des interdictions de paraître dans certains lieux sensibles peuvent être prononcées.
  6. Le contrôle judiciaire peut également imposer un changement ou une suspension d’activité professionnelle.
  7. Des obligations de soins, notamment en cas d’addictions, sont fréquemment mises en place.
  8. Une obligation de résider à une adresse précise peut compliquer la vie familiale ou professionnelle.
  9. Le non-respect répété des obligations peut conduire à un placement en détention provisoire.
  10. Le Cabinet ACI aide ses clients à comprendre et organiser la mise en œuvre de ces obligations.
  11. Il est possible de demander un assouplissement ou une mainlevée du contrôle judiciaire après un certain temps.
  12. La défense doit apporter des justificatifs concrets pour démontrer le sérieux du mis en examen.
  13. Une bonne organisation permet parfois de concilier contrôle judiciaire et maintien de l’emploi.
  14. Le juge d’instruction doit toujours vérifier que les obligations imposées restent proportionnées.
  15. Un contrôle judiciaire bien respecté est un argument fort en faveur de la liberté au moment du jugement.

5 – Détention provisoire : comprendre les enjeux

  1. La détention provisoire est une mesure exceptionnelle qui prive de liberté avant toute condamnation.
  2. Elle ne peut être décidée qu’après un débat contradictoire devant le juge des libertés et de la détention.
  3. Pour placer quelqu’un en détention provisoire, le juge doit motiver sa décision par des raisons précises.
  4. Les principaux motifs sont le risque de fuite, de réitération ou de pression sur les témoins.
  5. La détention provisoire doit toujours être envisagée comme un dernier recours.
  6. Le contrôle judiciaire ou l’assignation à résidence doivent être examinés auparavant.
  7. Le Cabinet ACI prépare minutieusement les débats devant le JLD pour défendre la liberté de ses clients.
  8. Les attaches familiales, professionnelles et sociales sont des arguments essentiels pour éviter la prison.
  9. Une détention provisoire peut être contestée par un appel devant la chambre de l’instruction.
  10. La durée de détention est strictement encadrée par la loi et doit rester raisonnable.
  11. La défense doit vérifier que chaque prolongation est suffisamment motivée et justifiée.
  12. La détention provisoire a des conséquences humaines et sociales souvent très lourdes.
  13. Même en détention, la stratégie de défense continue et peut évoluer grâce au travail de l’avocat.
  14. Le prévenu doit rester en contact étroit avec le Cabinet ACI pour préparer la suite du dossier.
  15. En cas d’abus, les arguments tirés de la CEDH peuvent être utilisés pour contester la détention.

6 – Droits de la défense et accès au dossier

  1. Les droits de la défense garantissent que le mis en examen peut réellement se défendre et être entendu.
  2. L’accès au dossier par l’avocat est un droit fondamental en instruction pénale.
  3. Le Cabinet ACI examine chaque pièce du dossier pour repérer les forces et faiblesses de l’accusation.
  4. Les contradictions entre les déclarations des témoins peuvent être un levier important pour la défense.
  5. L’étude des expertises permet souvent de demander des contre-expertises plus favorables.
  6. L’avocat peut repérer des irrégularités de procédure susceptibles de justifier une nullité.
  7. L’accès au dossier permet aussi de préparer les interrogatoires et confrontations à venir.
  8. Le mis en examen doit être régulièrement informé du contenu du dossier par son avocat.
  9. La lecture des procès-verbaux doit toujours être accompagnée de conseils juridiques clairs.
  10. L’accès aux pièces confidentielles est encadré pour protéger certains intérêts supérieurs.
  11. Le Cabinet ACI explique aux clients ce qu’ils peuvent légalement conserver ou communiquer.
  12. Les documents fournis par la défense (attestations, justificatifs) viennent enrichir le dossier.
  13. La stratégie de défense doit être adaptée au fur et à mesure de l’arrivée de nouvelles pièces.
  14. La transparence entre le client et l’avocat est indispensable pour utiliser pleinement ces droits.
  15. Un dossier bien maîtrisé est la base d’une défense efficace, devant le juge d’instruction comme devant la juridiction de jugement.

7 – Demandes d’actes : agir dans le cours de l’instruction

  1. Le mis en examen peut, par l’intermédiaire de son avocat, présenter des demandes d’actes au juge d’instruction.
  2. Ces demandes permettent de compléter ou de corriger l’enquête dans un sens plus favorable à la défense.
  3. Il peut s’agir d’entendre de nouveaux témoins ou de réentendre certains témoins déjà auditionnés.
  4. Une demande de contre-expertise est utile lorsque la première expertise présente des failles.
  5. Des confrontations peuvent être sollicitées pour éclaircir des contradictions importantes.
  6. Le Cabinet ACI rédige des demandes d’actes précises et motivées juridiquement.
  7. Le juge d’instruction doit répondre par une décision motivée, d’acceptation ou de refus.
  8. En cas de refus, un recours est possible devant la chambre de l’instruction.
  9. Les demandes d’actes participent activement à la recherche de la vérité, à charge et à décharge.
  10. Une stratégie réfléchie évite de multiplier les demandes inutiles ou purement dilatoires.
  11. Le calendrier procédural doit être respecté pour que les demandes soient recevables.
  12. Ces actes peuvent modifier sensiblement l’appréciation des faits par le juge d’instruction.
  13. Le mis en examen doit être associé, avec pédagogie, au choix des actes sollicités.
  14. Les demandes d’actes servent aussi à préparer le futur procès devant le tribunal ou la cour d’assises.
  15. Une défense proactive, portée par le Cabinet ACI, exploite pleinement ce droit fondamental.

8 – Nullités de procédure : un outil puissant de défense

  1. Les nullités de procédure permettent de faire écarter des actes irréguliers de l’instruction pénale.
  2. Une garde à vue conduite en violation des droits peut entraîner l’annulation des déclarations recueillies.
  3. L’absence d’avocat lorsqu’il aurait dû être convoqué peut constituer une atteinte aux droits de la défense.
  4. Des perquisitions menées sans base légale peuvent être contestées et annulées.
  5. Le Cabinet ACI vérifie systématiquement la régularité formelle de chaque acte du dossier.
  6. Les requêtes en nullité doivent être rédigées dans des délais précis, fixés par la loi.
  7. Elles sont examinées par la chambre de l’instruction, qui rend une décision motivée.
  8. Une nullité peut avoir un effet limité ou provoquer l’annulation d’une série d’actes en cascade.
  9. L’avocat doit sélectionner les moyens les plus pertinents pour convaincre la juridiction d’appel.
  10. L’objectif n’est pas seulement de sanctionner l’irrégularité mais de protéger les droits concrets du mis en examen.
  11. Certaines nullités peuvent conduire à un non-lieu si les preuves essentielles sont écartées.
  12. La stratégie de nullité doit être articulée avec la défense au fond, et non l’exclure.
  13. Une argumentation solide repose sur des textes précis et une jurisprudence à jour.
  14. Le mis en examen doit comprendre que toutes les irrégularités ne conduisent pas automatiquement à l’annulation.
  15. Une politique de nullités bien pensée peut profondément infléchir l’issue du dossier.

9 – Chambre de l’instruction : un second regard sur le dossier

  1. La chambre de l’instruction est la juridiction qui contrôle le travail du juge d’instruction.
  2. Elle examine les appels contre les ordonnances, les nullités et les décisions de détention.
  3. Ce second regard permet de corriger certaines erreurs ou appréciations contestables.
  4. Le Cabinet ACI prépare des mémoires détaillés pour saisir la chambre de l’instruction.
  5. Les débats devant cette juridiction donnent lieu à des plaidoiries techniques et argumentées.
  6. Les décisions peuvent annuler des actes, modifier un contrôle judiciaire ou libérer un détenu provisoire.
  7. La chambre de l’instruction peut aussi confirmer les décisions contestées lorsqu’elles sont régulières.
  8. L’appel n’est pas automatique : il doit s’inscrire dans une stratégie globale de défense.
  9. La temporalité des recours doit être maîtrisée pour ne pas aggraver la situation du mis en examen.
  10. Une bonne préparation des audiences en appel augmente les chances d’obtenir une décision favorable.
  11. Le rôle pédagogique de l’avocat est de traduire ces enjeux complexes en termes compréhensibles pour le client.
  12. Les décisions de la chambre de l’instruction peuvent elles-mêmes être soumises à la Cour de cassation.
  13. Ce contrôle à plusieurs niveaux donne sa cohérence à l’architecture de l’instruction pénale.
  14. Le Cabinet ACI accompagne ses clients jusqu’à ces juridictions supérieures lorsque les enjeux le justifient.
  15. Chaque recours doit être pesé, expliqué et construit avec le justiciable et sa famille.

10 – Famille et proches face à la mise en examen

  1. Une mise en examen bouleverse la vie familiale, parfois du jour au lendemain.
  2. Les proches découvrent un univers juridique complexe et souvent anxiogène.
  3. Le Cabinet ACI prend le temps d’expliquer la procédure aux familles en des termes accessibles.
  4. Les conjoints s’inquiètent des risques de contrôle judiciaire ou de détention provisoire.
  5. Les enfants peuvent ressentir de la peur, de la honte ou de l’incompréhension.
  6. Il est important d’organiser la vie quotidienne en anticipant d’éventuelles contraintes de la procédure.
  7. La famille peut aider en réunissant des attestations, des justificatifs de travail ou de logement.
  8. Les proches doivent éviter de commenter l’affaire sur les réseaux sociaux ou dans les médias.
  9. La confidentialité des échanges avec l’avocat est essentielle pour protéger la défense.
  10. Le soutien moral apporté au mis en examen est un facteur clé de stabilité.
  11. Le Cabinet ACI encourage les familles à poser toutes leurs questions, même les plus simples.
  12. Une information claire permet de réduire les fantasmes et les rumeurs.
  13. La famille doit savoir qu’elle peut être amenée à témoigner dans certaines procédures.
  14. Une bonne coordination entre l’avocat et les proches renforce l’efficacité de la défense.
  15. La dimension humaine du dossier ne doit jamais être oubliée derrière la technicité juridique.

11 – Instruction pénale et conséquences professionnelles

  1. Une instruction pénale peut avoir un impact immédiat sur la vie professionnelle du mis en examen.
  2. Un contrôle judiciaire peut interdire l’exercice de certaines fonctions en lien avec les faits reprochés.
  3. Certains employeurs choisissent de suspendre ou de licencier un salarié mis en cause pénalement.
  4. Le Cabinet ACI aide à anticiper ces risques et à dialoguer, lorsque c’est possible, avec l’employeur.
  5. Les dirigeants d’entreprise doivent aussi gérer l’image de leur société face à une enquête pénale.
  6. Il est important de ne pas cacher l’existence d’une instruction lorsque la loi impose une transparence.
  7. Le casier judiciaire et les décisions définitives influeront sur l’avenir professionnel du justiciable.
  8. Une peine complémentaire d’interdiction professionnelle peut être prononcée lors du jugement.
  9. L’avocat pénaliste cherche à convaincre le juge de la nécessité de préserver la possibilité d’un emploi.
  10. Un travail stable est également un argument pour éviter la détention provisoire.
  11. Le Cabinet ACI discute avec le client de son projet professionnel pendant et après la procédure.
  12. Certaines reconversions peuvent être envisagées pour réduire les risques de sanctions liées à une profession sensible.
  13. La défense doit intégrer cette dimension économique dans sa stratégie globale.
  14. Un accompagnement juridique permet de limiter les conséquences irréversibles sur la carrière.
  15. L’objectif est de préparer au mieux la sortie de la procédure, qu’il y ait condamnation ou non.

12 – Infractions de droit commun en instruction

  1. De nombreuses infractions de droit commun font l’objet d’une instruction approfondie.
  2. Les violences aggravées nécessitent souvent des expertises médicales et psychologiques.
  3. Les dossiers de viol ou d’agression sexuelle imposent une prise en charge particulièrement attentive.
  4. Les investigations sur les vols aggravés ou les recel peuvent être longues et complexes.
  5. Les affaires de stupéfiants impliquent fréquemment des écoutes, des filatures et des surveillances.
  6. Le Cabinet ACI connaît les mécanismes propres à chaque type d’infraction.
  7. Une instruction pénale peut s’ouvrir aussi bien à la suite d’un crime qu’à la suite d’un délit grave.
  8. Les éléments matériels, comme la vidéosurveillance ou l’ADN, jouent un rôle croissant dans ces dossiers.
  9. L’avocat doit vérifier la régularité des opérations scientifiques menées pendant l’enquête.
  10. Des expertises contradictoires peuvent être sollicitées lorsqu’un doute sérieux existe.
  11. La personnalité du mis en examen est également étudiée pour préparer la future décision sur la peine.
  12. La défense doit rappeler que chaque dossier est unique, même dans un contentieux de masse.
  13. Les explications du client doivent être confrontées aux éléments objectifs du dossier.
  14. Le Cabinet ACI construit une narration cohérente de la défense à partir de ces données.
  15. La stratégie se décline différemment selon qu’il s’agit de contester les faits ou de les assumer.

13 – Infractions économiques et financières : spécificités de l’instruction

  1. Les infractions économiques et financières donnent lieu à des instructions souvent très techniques.
  2. Les dossiers d’abus de biens sociaux ou de corruption reposent sur des masses de documents complexes.
  3. Le Cabinet ACI travaille avec des experts comptables pour analyser ces pièces.
  4. La durée de l’instruction est souvent longue dans ce type de contentieux.
  5. Le mis en examen doit être particulièrement vigilant sur ses prises de parole publiques.
  6. Les infractions financières ont un fort impact sur l’image du dirigeant ou de l’entreprise.
  7. Les enjeux de saisies pénales et de confiscations sont centraux dans ces dossiers.
  8. L’avocat doit anticiper les risques sur le patrimoine personnel et professionnel.
  9. Une coopération ciblée avec les autorités peut parfois être envisagée, sans renoncer aux droits de la défense.
  10. Les mesures de contrôle judiciaire peuvent être particulièrement contraignantes pour les dirigeants.
  11. Le Cabinet ACI élabore une stratégie de défense intégrant droit pénal, droit des affaires et communication.
  12. Les conséquences internationales d’une procédure pénale doivent aussi être prises en compte.
  13. Les erreurs de gouvernance doivent être distinguées des infractions pénales caractérisées.
  14. La négociation de dommages et intérêts avec les victimes peut faire partie de la stratégie globale.
  15. L’objectif est de limiter autant que possible l’impact pénal, financier et médiatique de l’instruction.

14 – Instruction pénale, CEDH et protection des libertés

  1. La CEDH veille au respect des droits fondamentaux pendant l’instruction pénale.
  2. L’article 5 CEDH encadre les privations de liberté, y compris la détention provisoire.
  3. L’article 6 CEDH garantit le droit à un procès équitable et au respect du contradictoire.
  4. Le Cabinet ACI intègre ces exigences dans sa stratégie de défense.
  5. Une détention provisoire trop longue ou insuffisamment motivée peut être contestée sur un terrain conventionnel.
  6. Les décisions de la Cour européenne influencent la jurisprudence française en matière d’instruction.
  7. Le respect des droits de la défense est examiné à la lumière de ces standards internationaux.
  8. L’avocat peut invoquer la CEDH devant les juridictions internes pour renforcer ses arguments.
  9. Une condamnation ultérieure de la France n’efface pas la peine, mais peut conduire à une indemnisation.
  10. La CEDH rappelle que la présomption d’innocence doit être respectée jusqu’au jugement définitif.
  11. La durée totale de la procédure doit rester raisonnable au regard de la gravité des faits.
  12. Le Cabinet ACI suit l’évolution de cette jurisprudence pour adapter ses mémoires et plaidoiries.
  13. Le justiciable doit savoir qu’il existe des gardes-fous au-delà des juridictions nationales.
  14. L’invocation de la CEDH n’est pas un simple slogan mais un outil concret de protection.
  15. Une défense moderne en instruction pénale ne peut se concevoir sans ce cadre européen.

15 – Médias, réputation et instruction pénale

  1. Une instruction pénale peut devenir rapidement médiatisée, surtout lorsqu’elle touche des faits sensibles.
  2. Les réseaux sociaux diffusent souvent des informations partielles ou inexactes sur les dossiers.
  3. Le Cabinet ACI conseille la plus grande prudence dans les communications publiques.
  4. Le mis en examen doit éviter de commenter l’affaire sur internet ou dans la presse.
  5. Une mauvaise communication peut compliquer la défense et aggraver l’atteinte à la présomption d’innocence.
  6. Les médias ont leur logique propre, différente de la logique judiciaire.
  7. L’avocat pénaliste peut, si nécessaire, intervenir de manière mesurée pour recadrer certains éléments.
  8. Il convient de protéger autant que possible la vie privée du mis en examen et de sa famille.
  9. La médiatisation peut avoir des conséquences professionnelles très lourdes.
  10. Le Cabinet ACI cherche à limiter les fuites et les interprétations approximatives du dossier.
  11. La discrétion reste souvent la meilleure stratégie dans les affaires d’instruction sensibles.
  12. La réputation en ligne doit être prise en compte comme un enjeu à part entière.
  13. Une communication maîtrisée permet de préserver l’avenir du justiciable au-delà de la procédure.
  14. La défense doit intégrer ces paramètres d’image dans sa réflexion globale.
  15. Protéger la réputation revient aussi à protéger la dignité de la personne mise en cause.

16 – Instruction à Paris et spécificités locales

  1. À Paris, l’instruction pénale est marquée par un volume important de dossiers complexes.
  2. Les pôles spécialisés traitent la criminalité organisée, le terrorisme ou les infractions financières.
  3. Le Cabinet ACI connaît les pratiques des juges d’instruction et des parquetiers parisiens.
  4. Les délais d’audiencement et les charges de travail influencent le rythme de la procédure.
  5. Les maisons d’arrêt de la région parisienne accueillent de nombreux détenus provisoires.
  6. La distance entre le domicile des familles et les lieux de détention peut compliquer le suivi.
  7. L’organisation logistique des interrogatoires et des expertises est très structurée.
  8. Le Cabinet ACI intervient régulièrement au tribunal judiciaire de Paris et devant la cour d’appel.
  9. Une bonne connaissance du « terrain » judiciaire constitue un atout stratégique.
  10. Les dossiers médiatiques ou sensibles sont davantage concentrés sur la juridiction parisienne.
  11. Les justiciables doivent être préparés à des audiences longues et très techniques.
  12. Le Cabinet ACI s’attache à rendre ce contexte compréhensible pour ses clients.
  13. La gestion de l’urgence est fréquente, notamment lors des débats de liberté.
  14. Une défense organisée permet de ne pas subir la pression du calendrier pénal.
  15. Chaque dossier est traité avec la même exigence, quel que soit son degré de médiatisation.

17 – Relation client–avocat en instruction pénale

  1. La confiance entre le mis en examen et son avocat pénaliste est essentielle pendant l’instruction.
  2. Le Cabinet ACI privilégie une parole franche et sans jugement avec ses clients.
  3. Le justiciable doit pouvoir exposer les faits tels qu’il les perçoit, sans crainte.
  4. L’avocat explique ensuite les conséquences juridiques possibles de chaque version.
  5. Les rendez-vous réguliers permettent de suivre l’évolution du dossier et d’ajuster la stratégie.
  6. La confidentialité absolue des échanges est garantie par le secret professionnel.
  7. Il est important de transmettre rapidement à l’avocat tout document utile à la défense.
  8. Les clients sont encouragés à poser toutes leurs questions, même les plus simples.
  9. Le Cabinet ACI s’efforce de traduire le langage juridique en termes accessibles.
  10. Les décisions stratégiques sont prises en concertation, après explications complètes.
  11. La relation de confiance se construit dans la durée, au fil des actes d’instruction.
  12. Un client bien informé est mieux armé pour supporter la pression de la procédure.
  13. La loyauté dans les échanges est un gage d’efficacité pour la défense.
  14. Le Cabinet ACI accompagne aussi les clients dans les moments psychologiquement difficiles.
  15. Une défense de qualité repose autant sur la technique que sur la qualité du lien humain.

18 – Instruction pénale et préparation du futur procès

  1. L’instruction pénale prépare le futur procès devant le tribunal correctionnel ou la cour d’assises.
  2. Les actes accomplis pendant l’instruction seront examinés et discutés au moment du jugement.
  3. Le Cabinet ACI pense dès l’instruction à la façon dont le dossier sera perçu à l’audience.
  4. Les demandes d’actes visent aussi à constituer des preuves favorables pour le procès.
  5. Les expertises, témoignages et pièces de personnalité sont autant d’éléments à valoriser ensuite.
  6. Une stratégie cohérente évite les contradictions entre la défense en instruction et la défense au fond.
  7. Les arguments développés devant le juge d’instruction peuvent être réutilisés au stade du jugement.
  8. Le mis en examen doit être préparé à la perspective d’une audience publique.
  9. La préparation psychologique du client est aussi importante que la préparation technique du dossier.
  10. Les nullités soulevées en instruction peuvent limiter le champ des preuves utilisables au procès.
  11. Le Cabinet ACI anticipe les questions probables des juges et du ministère public.
  12. La cohérence de la version des faits est travaillée bien avant la date d’audience.
  13. Les enjeux de peine sont évalués pour adapter la stratégie entre contestation et reconnaissance.
  14. L’objectif est d’arriver au procès avec un dossier maîtrisé et une ligne de défense claire.
  15. Une instruction bien conduite ouvre souvent la voie à une issue plus favorable au jugement.

19 – Réinsertion, suivi et avenir après l’instruction

  1. Même lorsqu’il y a condamnation, la réinsertion doit être préparée dès la phase d’instruction.
  2. Le maintien d’un projet professionnel est un élément clé pour l’avenir du justiciable.
  3. Un suivi psychologique ou addictologique peut être valorisé lors de l’audience de jugement.
  4. Le Cabinet ACI aborde avec ses clients les perspectives après la procédure pénale.
  5. La mise en place d’un encadrement social ou familial solide est encouragée.
  6. Les obligations futures d’un éventuel sursis probatoire doivent être anticipées.
  7. L’instruction est aussi l’occasion de réfléchir à un changement de trajectoire de vie.
  8. Le casier judiciaire et ses conséquences doivent être expliqués de manière transparente.
  9. L’avocat peut orienter vers des structures d’aide à la réinsertion ou à la formation.
  10. Une vie familiale stable constitue un facteur de prévention important contre la récidive.
  11. La réinsertion n’est pas seulement une question personnelle, mais aussi un enjeu pour la société.
  12. Le Cabinet ACI reste disponible pour accompagner certains clients au-delà du jugement.
  13. Les démarches de réhabilitation ou d’effacement de certaines mentions peuvent être envisagées.
  14. Une condamnation ne résume pas une personne, et un avenir reste possible après la procédure.
  15. Préparer cet avenir fait pleinement partie de la mission de l’avocat pénaliste.

20 – Contacter le Cabinet ACI pour une instruction pénale

  1. En cas de mise en cause dans une instruction pénale, il est essentiel de contacter rapidement un avocat.
  2. Le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, reçoit en urgence les personnes convoquées par un juge d’instruction.
  3. Un premier rendez-vous permet d’analyser la situation et les risques encourus.
  4. Les clients peuvent transmettre leurs convocations, procès-verbaux et documents dès le premier contact.
  5. Le Cabinet ACI explique les différents statuts possibles : mis en examen, témoin assisté, simple témoin.
  6. Une stratégie de défense est définie dès cette première rencontre, en lien avec le client et éventuellement sa famille.
  7. La clarté sur les honoraires et les étapes de la procédure est assurée dès le départ.
  8. Le cabinet reste joignable pour répondre aux questions qui surgissent au fil de l’instruction.
  9. Les échanges peuvent se faire en présentiel, par téléphone ou en visioconférence, selon les besoins.
  10. La réactivité du Cabinet ACI est un élément central dans la gestion des convocations et des urgences.
  11. Les proches peuvent être associés, avec l’accord du client, à certains entretiens d’explication.
  12. Chaque dossier fait l’objet d’un suivi personnalisé et rigoureux.
  13. Le Cabinet ACI défend les intérêts, la liberté et les droits de la défense de ses clients à chaque étape.
  14. Prendre contact tôt permet d’éviter des erreurs irréversibles dans la gestion de la procédure.
  15. S’entourer d’un avocat pénaliste expérimenté est un choix déterminant pour faire face à l’instruction pénale.
à cause de cela
 (Instruction pénale : mise en examen et droits de la défense)

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pénalistes francophones

Mais
(Compétence en droit pénal des affaires)

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touchant à,

Tout d’abord,

Toutefois

pénaliste

du cabinet Aci

assurera efficacement votre défense.

Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone, ou

bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation : auteur, co-auteur, complice, receleur ou

victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase

d’enquête (garde à vue) ; d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la

chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration

pénitentiaire par exemple).

Les domaines d’intervention du cabinet Aci

Cabinet d’avocats pénalistes parisiens 

D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo

75 003  PARIS

Puis, Tél. 01 42 71 51 05

Ensuite, Fax 01 42 71 66 80

Engagement, E-mail : contact@cabinetaci.com

Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste (Instruction pénale : mise en examen et droits de la défense)

En somme, Droit pénal (Instruction pénale : mise en examen et droits de la défense)

Tout d’abord, pénal général (Instruction pénale : mise en examen et droits de la défense)

Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal (Instruction pénale : mise en examen et droits de la défense)

Puis, pénal des affaires (Instruction pénale : mise en examen et droits de la défense)

Aussi, Droit pénal fiscal (Instruction pénale : mise en examen et droits de la défense)

Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme (Instruction pénale : mise en examen et droits de la défense)

De même, Le droit pénal douanier (Instruction pénale : mise en examen et droits de la défense)

En outre, Droit pénal de la presse (Instruction pénale : mise en examen et droits de la défense)

                 Et ensuite (Instruction pénale : mise en examen et droits de la défense)

Donc, pénal routier infractions

Outre cela, Droit pénal du travail

Malgré tout, Droit pénal de l’environnement

Cependant, pénal de la famille

En outre, Droit pénal des mineurs

Ainsi, Droit pénal de l’informatique

En fait, pénal international

Tandis que, Droit pénal des sociétés

Néanmoins, Le droit pénal de la consommation

Toutefois, Lexique de droit pénal

Alors, Principales infractions en droit pénal

Puis, Procédure pénale

Pourtant, Notions de criminologie