9:30 - 19:30

Nos heures d'ouverture Lun.- Ven.

01 42 71 51 05

Nos avocats à votre écoute

Facebook

Twitter

Linkedin

Cabinet ACI > Non classé  > Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris

Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris

Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris

Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris. Le Cabinet ACI défend vos droits face aux retards ou refus illégaux de statuer.

Le déni de justice : définition, cadre juridique et recours

I).  —  Notion juridique du déni de justice

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Le déni de justice tel que (Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris), désigne le refus, par un juge ou une juridiction, de

statuer sur une affaire portée devant lui, alors qu’il en a l’obligation. Il constitue une faute lourde de l’autorité judiciaire,

sanctionnée à la fois par la loi française, la jurisprudence nationale et la Convention européenne des droits de l’homme.

L’article L141-3 du Code de l’organisation judiciaire prévoit que « l’État est tenu de réparer le dommage causé par le fonctionnement

défectueux du service de la justice, notamment par le déni de justice ». À cela s’ajoute l’article 6 § 1 de la Convention EDH, qui garantit

à tout justiciable le droit à un procès équitable dans un délai raisonnable.

Le Cabinet ACI, pénaliste à Paris, intervient dans ces cas complexes où la justice elle-même devient fautive, notamment pour les

victimes de lenteurs excessives, de blocages injustifiés ou de refus implicites de juger.

II).  —  Exemples concrets de déni de justice

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Il existe plusieurs formes de déni de justice, parfois insidieuses, parfois manifestes :

1).  Un juge refuse explicitement de trancher une question de droit portée devant lui.

2).  Un magistrat fait traîner indûment une procédure sans motif légitime.

3).  Une juridiction reste inertement silencieuse pendant des années malgré les relances.

4). Le greffe refuse de transmettre ou d’enregistrer une requête dans les délais légaux.

5).  Une juridiction incompétente rejette une affaire sans en saisir une autre compétente, laissant le justiciable sans voie de

recours.

Dans l’arrêt CEDH, Guincho c/ Portugal, 10 juillet 1984, la Cour a condamné l’État portugais pour retard excessif de procédure,

considérant que cela constituait un déni de justice. De même, l’arrêt Cass. civ., 23 mai 2006, n°04-11.157 rappelle que « l’inaction

prolongée du juge, sans justification, peut ouvrir droit à réparation ».

III).  —  Les cas fréquents en droit pénal

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

En droit pénal, le déni de justice peut se manifester dans :

1).  Le non-renvoi d’un justiciable devant une juridiction, malgré l’instruction clôturée.

2).  La non-exécution d’une ordonnance pénale, notamment d’indemnisation des victimes.

3).  L’absence de convocation d’une partie civile, en violation du principe contradictoire.

4).  Le retard abusif dans l’examen d’une détention provisoire ou la décision de mise en liberté.

Ces manquements peuvent gravement porter atteinte aux droits de la défense et au droit à un procès équitable.

Le Cabinet ACI, fort de son expérience en matière pénale, intervient régulièrement dans des affaires où l’attente ou l’absence de réponse

de la justice compromet les garanties fondamentales des justiciables.

IV).  —  Quelles preuves réunir pour démontrer le déni de justice ?

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Pour démontrer un déni de justice, il faut fournir des éléments objectifs démontrant :

1).  L’existence d’une procédure régulièrement engagée ;

2).  Des délais anormalement longs ou un refus manifeste de statuer ;

3).  Des relances infructueuses restées sans réponse de la part de l’autorité judiciaire ;

4).  L’absence de justification légale ou médicale expliquant le retard ou le silence.

Il est donc essentiel de conserver :

1).  Les copies de toutes les correspondances avec le tribunal ou le juge ;

2).  Les accusés de réception des dépôts de plainte, conclusions ou mémoires ;

3).  Les demandes restées sans réponse, envoyées en lettre recommandée.

V).  —  Quelles voies de recours en cas de déni de justice ?

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Le Cabinet ACI, spécialisé en contentieux sensibles, assiste les justiciables dans plusieurs voies de recours :

     A).  —  L’action en responsabilité contre l’État

Prévue à l’article L141-1 du Code de l’organisation judiciaire, elle permet de demander réparation du préjudice subi, du fait du

fonctionnement défectueux du service public de la justice, dont le déni de justice.

La demande est introduite devant le Tribunal judiciaire de Paris, juridiction compétente exclusive pour juger la responsabilité civile de

l’État en matière judiciaire.

     B).  —  L’action devant la Cour européenne des droits de l’homme

Lorsque toutes les voies de recours internes sont épuisées, une requête peut être introduite à Strasbourg pour violation de l’article 6

de la CEDH. Cette action est subsidiaire, mais redoutablement efficace dans les dossiers graves de dilatoire procédural ou refus

d’audience.

     C).  —  Le recours administratif

Une réclamation gracieuse ou contentieuse devant le Conseil d’État peut être envisagée, notamment si l’inertie émane d’une

juridiction administrative ou d’un service public annexe à la justice (greffe, parquet administratif, etc.).

VI).  —  Conséquences pour les justiciables

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Le déni de justice peut causer des dommages considérables :

1).  Perte d’une chance de faire valoir un droit dans les délais ;

2).  Préjudice moral lié à la frustration de n’être pas entendu ;

3).  Préjudice financier, lorsque le retard de justice empêche la réparation ou provoque une condamnation injuste ;

4).  Atteinte à l’honneur et à la réputation, en particulier dans les affaires pénales médiatisées.

L’article L141-3 alinéa 2 COJ prévoit que cette responsabilité est personnelle et non soumise à autorisation préalable.

VII).  —  Jurisprudences significatives

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Voici quelques décisions marquantes qui encadrent le déni de justice :

1).  Cass. civ. 1ʳᵉ, 23 mai 2006, n° 04-11.157 : Faute lourde pour inaction du juge d’instruction.

2).  CEDH, Bottazzi c/ Italie, 28 juillet 1999 : Retards systémiques condamnés comme atteinte au procès équitable.

3).  Cass. crim., 20 février 2008, n°07-83.233 : Lenteur non justifiée dans la transmission d’un dossier pénal.

4).  CE, 14 octobre 2011, n°334810 : Blocage administratif injustifié reconnu comme déni de justice.

5).  CEDH, Hornsby c/ Grèce, 19 mars 1997 : Refus d’exécuter une décision judiciaire = déni de justice.

VIII).  —  Le rôle fondamental de l’avocat pénaliste

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Dans une procédure marquée par une défaillance de la justice, le rôle de l’avocat est décisif pour :

1).  Identifier le manquement fautif de l’institution judiciaire ;

2).  Constituer le dossier de preuves contre l’État ou la juridiction défaillante ;

3).  Introduire les recours appropriés dans les délais légaux ;

4).  Protéger les intérêts du client lorsque la justice devient défaillante.

Le Cabinet ACI, à Paris, intervient de manière réactive pour dénoncer les situations de déni de justice

IX).  —  Délai raisonnable : une exigence constitutionnelle et européenne

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Le délai raisonnable est un critère essentiel dans l’évaluation d’un déni de justice. Il ne s’agit pas seulement d’un indicateur

procédural, mais bien d’une exigence constitutionnelle et européenne. L’article 6 § 1 de la Convention européenne des droits

de l’homme impose aux États signataires de rendre justice dans un délai raisonnable, en fonction de la complexité de l’affaire, du

comportement des parties, et de celui des autorités judiciaires.

Le Conseil constitutionnel, dans sa décision n°2004-492 DC du 2 mars 2004, a confirmé que cette exigence découle aussi du principe

d’égalité devant la justice et du droit à un recours juridictionnel effectif. Tout dépassement anormal, non justifié par les faits ou

le droit, est de nature à caractériser un dysfonctionnement du service public de la justice.

X).  —  L’impossibilité d’agir : déni de justice indirect

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Le déni de justice peut également prendre une forme plus insidieuse, qualifiée d’indirecte : il ne s’agit pas d’un refus explicite du juge,

mais d’une impossibilité d’accéder à la justice par la faute de l’État. Par exemple :

1).  Le non-assistance d’un interprète dans une langue comprise du justiciable étranger ;

2).  L’absence de greffe fonctionnel dans un tribunal ultramarin, empêchant le dépôt des recours ;

3).  Le blocage de l’aide juridictionnelle, qui rend impossible l’engagement de procédures pour les personnes précaires.

Dans son arrêt CEDH, A.B. c/ France, 10 février 2022, la Cour a condamné la France pour défaut d’accessibilité effective au

juge, bien qu’aucun refus de juger n’ait été formellement formulé.

XI).  —  L’abus de procédure comme outil de déni

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Autre phénomène préoccupant : certains détournements du droit procédural peuvent être assimilés à un déni de justice

volontaire. Par exemple, des juridictions ou des parties malveillantes :

1).  Multiplient les renvois sans justification valable ;

2).  Utilisent la procédure de radiation de manière abusive ;

3).  Opposent des irrecevabilités artificielles pour empêcher l’examen au fond.

De tels abus, lorsqu’ils sont tolérés par le juge ou instigués par lui, remettent en cause l’essence même du droit à un procès

équitable. Le Cabinet ACI agit alors pour rétablir la légalité, souvent en saisissant la Cour d’appel , voire en déposant une requête

en suspicion légitime ou en dépaysement.

XII).  —  La médiatisation des dysfonctionnements judiciaires

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Les affaires de déni de justice sont parfois révélées par des journalistes d’investigation ou des ONG de défense des droits

fondamentaux. Certaines situations extrêmes ont suscité un émoi médiatique national :

1).  L’affaire Dany Leprince, où un détenu a attendu 10 ans pour voir rouvrir son dossier malgré de nouveaux éléments.

2).  L’affaire des victimes d’amiante, confrontées à des délais d’instruction de plus de 20 ans.

3).  Les victimes de prêt toxique, dont les actions ont été écartées pour prescription malgré les fautes des établissements bancaires.

Dans ces cas, la pression de l’opinion publique et l’intervention d’avocats aguerris, comme le Cabinet ACI, ont permis d’obtenir une

reprise de procédure, voire une indemnisation pour les atteintes subies.

XIII).  —  Réforme et prévention du déni de justice

Face à la multiplication des contentieux et aux lenteurs structurelles, plusieurs réformes ont été mises en œuvre pour prévenir les

situations de déni de justice :

1).  La création du juge de la mise en état, chargé de veiller au bon déroulement du procès civil ;

2).  L’introduction du débat contradictoire obligatoire dans certaines procédures pénales, pour éviter les décisions unilatérales ;

3).  L’extension des procédures numériques, qui accélèrent le traitement des requêtes simples.

Cependant, ces mesures sont encore inégalement appliquées. Le rôle des avocats pénalistes, tels que ceux du Cabinet ACI à Paris,

reste fondamental pour signaler les dysfonctionnements, faire respecter les délais et protéger les droits des justiciables.

XIV).  —  Contactez un avocat

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

pour votre défense

A).  —  LES MOTS CLES JURIDIQUES :

1).  Nature du déni de justice

déni de justice, silence judiciaire, absence de jugement, non-exécution de décision, carence de l’État, inaction judiciaire, refus de statuer,

lenteur procédurale, décision non rendue, carence du parquet, délai excessif, décision reportée, oubli judiciaire, retard de traitement,

justice inopérante

2).  Infractions associées

violation du droit au procès équitable, entrave à la justice, abus d’autorité, détournement de procédure, discrimination judiciaire,

complicité de silence, obstruction judiciaire, collusion d’agents, violation du droit d’accès au juge, inaction fautive, mauvaise foi judiciaire,

négligence pénale, corruption passive, protectionnisme judiciaire, dissimulation de plainte

3).  Cadre juridique

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

article 6 CEDH, article L141-1 COJ, article 15-3 CPP, jurisprudence administrative, jurisprudence CEDH, responsabilité de l’État, faute

lourde, principe de continuité de la justice, devoir de célérité, droit au recours effectif, responsabilité sans faute, responsabilité civile de

l’État, mécanisme indemnitaire, principe d’impartialité, obligation de statuer

4).  Droit européen

article 6§1 CEDH, Cour européenne des droits de l’homme, délai raisonnable, violation des droits fondamentaux, recours à Strasbourg,

injonction de juger, justice équitable, traitement équitable, effectivité des recours, condamnation de la France, lenteur excessive,

dommages et intérêts, procédure CEDH, application directe, protection européenne

5).  Acteurs concernés

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

juge d’instruction, magistrat du siège, parquet, greffier, ministère de la justice, justiciable, plaignant, avocat, défenseur des droits, victime,

requérant, juge administratif, juge judiciaire, représentant de l’État, autorité judiciaire

6).  Conséquences

préjudice moral, préjudice matériel, perte de chance, stress procédural, incertitude juridique, isolement judiciaire, atteinte à la dignité,

défiance institutionnelle, rupture d’égalité, détresse psychologique, atteinte aux droits fondamentaux, sentiment d’injustice, délitement du

service public, atteinte à la sécurité juridique, crise de confiance

7).  Voies de recours

recours indemnitaire, recours administratif, recours pour excès de pouvoir, référé liberté, saisine du Conseil d’État, réclamation au

procureur, plainte à la chancellerie, recours gracieux, action en responsabilité, demande d’injonction, recours CEDH, plainte avec

constitution de partie civile, recours amiable, médiation administrative, appel à l’Inspection Générale

8).  Délais anormaux

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

délai de jugement, attente injustifiée, traitement lent, silence prolongé, procédure gelée, relance vaine, retard préjudiciable, décision

différée, absence de retour, procédure suspendue, blocage administratif, dossier inactif, latence décisionnelle, traitement sans fin, carence

prolongée

9).  Jurisprudence

CE 28 juin 2002, Garde des Sceaux, CEDH 28 octobre 1999, Zielinski, Cass. 1re civ. 3 mai 2018, n°17-18.231, CEDH 4 mars 2014,

Rutkowski, CE 6 novembre 2002, Magiera, Cass. 2e civ. 11 mai 2017, n°15-27.152, CEDH 2006, Sürmeli, CAA Lyon 2012, CE 10 février

2010, n°314315, TA Paris 2018, CE 27 juillet 2015, TA Versailles 2021, CEDH 2019, CEDH 2013

10).  Responsabilité de l’État

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

faute lourde, obligation de réparation, responsabilité civile, réparation intégrale, obligation de résultat, responsabilité directe, préjudice

indemnisable, obligation d’efficacité, jurisprudence administrative, principe de continuité, droit à réparation, engagement de l’État,

indemnisation pécuniaire, réparation morale, manquement étatique

11).  Situations typiques

plainte restée sans suite, refus d’enregistrer, inaction du parquet, lenteur d’enquête, décision non notifiée, non-exécution d’un arrêt,

absence de convocation, dossier perdu, saisie ignorée, défaut d’enquête, renvoi abusif, dossier prescrit, non-transmission de pièce,

procédure oubliée, silence persistant

12).  Textes de référence

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Code de l’organisation judiciaire, Code de procédure pénale, Convention européenne des droits de l’homme, Déclaration des droits de

l’homme, Charte des droits fondamentaux, Constitution française, doctrine administrative, directives européennes, textes internationaux,

jurisprudence nationale, lois organiques, décrets d’application, circulaires, avis du Conseil d’État, arrêts de principe

13).  Droit à un juge

droit au juge, accès au juge, principe d’accès effectif, recours juridictionnel, égalité devant la justice, impartialité des juges, droit à une

décision, refus de statuer, protection du justiciable, efficacité juridictionnelle, délai raisonnable, refus de poursuivre, neutralité du

magistrat, accès au droit, effectivité des recours

14).  Dysfonctionnements judiciaires

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

retard d’audience, absence de greffier, audience reportée, juge non saisi, pièce non communiquée, erreur de procédure, décision erronée,

non-motivation, refus arbitraire, refus de preuve, perte de dossier, audience annulée, décision illisible, absence de réponse, ordonnance

absente

15).  Procédures en souffrance

dossier bloqué, instruction gelée, mise en attente, manque de moyens, surcharge des tribunaux, désorganisation, absentéisme judiciaire,

sous-effectif, lenteur chronique, délai hors norme, relance ignorée, irrégularités multiples, attente interminable, bureaucratie excessive,

non-prise en charge

16).  Victimes et justiciables concernés

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

mineur, détenu, étranger, personne handicapée, femme victime, prévenu, partie civile, requérant administratif, victime d’accident, victime

de violence, justiciable modeste, personne vulnérable, réfugié, salarié lésé, plaignant désespéré

17).  Droit administratif et responsabilité de l’État

recours indemnitaire, carence fautive, inaction de l’administration, responsabilité de la justice, préjudice étatique, délai administratif, refus

implicite, faute de service, juridiction administrative, justice administrative, injonction administrative, demande de réparation, illégalité

manifeste, jurisprudence administrative, dossier dormant

18).  Réparation du préjudice

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

indemnisation, compensation financière, dommage moral, souffrance psychique, anxiété judiciaire, perte de revenus, atteinte à la

réputation, dommage matériel, perte de chance, trouble dans les conditions d’existence, réparation intégrale, jurisprudence réparatrice,

réparation judiciaire, évaluation du préjudice, préjudice durable*

19).  Moyens de preuve et éléments de dossier

preuve écrite, trace de relance, silence administratif, délais constatés, courriers sans réponse, historique procédural, document daté,

preuve numérique, certificat de greffe, attestation d’avocat, dossier incomplet, mention de dépôt, constat d’inertie, preuve d’absence d’acte,

fiche de suivi

20).  Stratégie de défense et rôle de l’avocat pénaliste

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

avocat, Cabinet ACI, stratégie de recours, rédaction de plainte, constitution de partie civile, relance judiciaire, recours en responsabilité,

défense du justiciable, argumentation juridique, saisie du Conseil d’État, recours contentieux, rédaction motivée, appui juridique,

intervention rapide, dossier probant

B).  —  LES PHRASES JURIDIQUES : 

1 : Déni de justice

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Le déni de justice constitue une atteinte grave aux droits fondamentaux.
Un refus de juger par une juridiction est sanctionnable en droit français.
L’absence de réponse judiciaire peut être contestée devant les juridictions supérieures.
Le silence du juge peut entraîner un préjudice pour le justiciable.
Un retard de jugement sans justification constitue un déni de justice.
L’inertie juridictionnelle affecte la crédibilité de l’institution judiciaire.
La carence judiciaire peut ouvrir droit à réparation contre l’État.
Un délai abusif de procédure porte atteinte au droit à un procès équitable.

Le non-traitement d’un dossier viole l’article 6 de la CEDH.

La justice paralysée empêche toute forme de recours effectif.
Le désintérêt manifeste du juge s’analyse en faute lourde.
L’oubli procédural constitue un manquement aux obligations juridictionnelles.
Une abstention volontaire du magistrat peut être dénoncée au Conseil supérieur de la magistrature.
Un blocage procédural non levé malgré relances constitue une faute de l’État.
La perte de confiance judiciaire est accentuée par les situations de déni de justice.

2 : Infractions et responsabilités

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Le déni de justice peut découler d’un abus de pouvoir institutionnel.
L’entrave à la justice est une infraction pénale prévue par le Code.
Un détournement de procédure est un acte susceptible d’engager la responsabilité de l’État.
La collusion judiciaire porte atteinte au principe d’impartialité.
L’abus de droit procédural peut être qualifié de déni de justice volontaire.
Le déni de défense viole les droits fondamentaux du justiciable.
Une carence de l’État en matière de justice ouvre droit à réparation.

La non-réponse à une requête en urgence est assimilable à une faute lourde du magistrat.

Un refus d’audition lors d’une instruction complexe est contestable.
La discrimination judiciaire peut fonder une action en justice contre l’administration.
Une justice déloyale viole l’essence du procès équitable garanti par la CEDH.
Un pouvoir public fautif peut être poursuivi sur le fondement de l’article L141-1 COJ.
L’inexécution de décisions de justice peut constituer un déni de justice indirect.
Une pratique illégitime dans le traitement des affaires est source de contentieux.
La violation des droits procéduraux expose l’État à une condamnation par la CEDH.

3 : Procédures concernées

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Une procédure pénale non instruite dans les délais est un motif d’action en responsabilité.
L’absence d’enquête suite à une plainte constitue un déni de justice manifeste.
Un classement sans suite abusif peut être contesté devant la hiérarchie judiciaire.
La radiation abusive d’un dossier est une pratique contraire à l’équité procédurale.
Le refus d’enregistrer une plainte constitue une carence administrative fautive.
Un appel inabouti du fait de l’administration est susceptible d’engager la faute lourde.
L’oubli de dossier dans une juridiction est une atteinte au droit de recours.

Un recours bloqué par absence de greffe ou de juge désigné viole les droits du justiciable.

Une procédure suspendue sans motif valable peut être qualifiée de déni indirect.
La non-exécution de jugement porte atteinte à l’autorité judiciaire.
Une notification manquante d’une décision de justice est préjudiciable au requérant.
Un vice de forme non corrigé volontairement empêche le procès d’avoir lieu.
La mise en état défaillante empêche le traitement des affaires complexes.
Une contestation impossible d’une mesure judiciaire viole le principe du contradictoire.
Un renvoi illimité sans justification nuit à la célérité de la justice.

4 : Droit et textes

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

L’article 6 de la CEDH impose aux États de garantir un procès équitable.
Le Code de l’organisation judiciaire prévoit la responsabilité de l’État pour fonctionnement défectueux.
Le droit au recours effectif est protégé par la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne.
Le non-respect du délai raisonnable est une violation manifeste du droit international.
La garantie des droits fondamentaux passe par l’accès réel au juge.
L’article L141-1 COJ fonde la réparation pour déni de justice.
Les textes internationaux encadrent le traitement des requêtes en justice.

Le Code de procédure pénale exige la célérité dans les poursuites.

Le droit d’être entendu est garanti par le principe du contradictoire.
Les libertés fondamentales incluent l’accès égal à une juridiction impartiale.
L’inobservation des normes de délai est une carence sanctionnable.
Le contrôle constitutionnel protège contre l’arbitraire judiciaire.
Le principe d’égalité devant la justice impose un traitement équitable.
Le droit à un jugement motivé est une exigence de la CEDH.
Les obligations juridictionnelles incombent à l’État dans toute procédure civile ou pénale.

5 : Jurisprudence

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

L’arrêt CEDH, Kudła c. Pologne (2000) a consacré l’obligation de juger dans un délai raisonnable.
Dans Cass. civ. 1re, 23 janv. 2003, la Cour reconnaît la responsabilité de l’État pour déni de justice.
L’arrêt CE, M. Saleh, 1998 évoque une carence fautive de l’administration dans le traitement d’un recours.
Dans l’affaire A.B. c. France (2022), la CEDH a condamné la France pour refus d’accès effectif au juge.
La Cass. crim., 21 juin 2005 a sanctionné un procureur pour ne pas avoir instruit une plainte sérieuse.
L’arrêt Cass. civ. 2e, 18 déc. 2003 admet le préjudice moral causé par le silence de la justice.
La Cass. civ. 3e, 2 mai 2002 a retenu une faute lourde du magistrat pour non-assistance procédurale.

Dans Cass. soc., 4 juill. 2018, la justice a reconnu un retard injustifié dans le traitement d’un recours.

Le TA Lyon, 7 nov. 2017 a estimé que l’administration avait volontairement bloqué la procédure.
L’arrêt Cass. crim., 10 oct. 2017 illustre l’impact d’un classement abusif sans suite.
Dans Cass. civ. 1re, 19 mai 2004, la Cour a reconnu une atteinte au droit au recours.
L’affaire Dany Leprince démontre les conséquences d’un déni de justice prolongé.
Dans Cass. crim., 9 mars 2021, la Cour dénonce un manquement du parquet à son devoir d’instruire.
Le CE, 26 juin 2000 évoque la responsabilité pour inaction prolongée dans un contentieux administratif.
La CA Paris, 21 janv. 2016 a statué en faveur d’un justiciable confronté à une instruction gelée pendant 6 ans.

6 : Rôle de l’avocat pénaliste

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

L’avocat pénaliste alerte sur les situations de déni de justice dès le début de la procédure.
Le Cabinet ACI assiste ses clients dans les recours pour carence judiciaire.
Un avocat expérimenté peut engager une action contre l’État pour faute lourde.
L’avocat en droit pénal saisit la Cour de cassation en cas de refus de statuer.
En cas d’oubli de procédure, l’avocat intervient pour réactiver le traitement du dossier.
Le Cabinet ACI construit un dossier solide face aux silences fautifs du juge.
L’avocat spécialisé engage des actions en réparation du préjudice moral causé par l’inaction.
Le rôle de l’avocat est crucial pour faire respecter le droit au recours effectif.

Un avocat compétent sollicite les juridictions internationales si nécessaire.

Face au retard judiciaire, l’avocat pénaliste interpelle la hiérarchie judiciaire.
L’expertise procédurale du Cabinet ACI garantit une réponse stratégique adaptée.
Le Cabinet ACI intervient en urgence pour éviter la forclusion des droits.
L’accompagnement juridique est indispensable dans les affaires de déni de justice complexe.
L’avocat en pénal analyse le dossier pour repérer toute carence de l’État.
La stratégie juridique de l’avocat s’adapte au niveau national ou européen.

7 : Préjudices et conséquences

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Le déni de justice engendre un préjudice moral important pour le justiciable.
Une justice inactive prolonge les souffrances psychologiques de la victime.
L’absence de décision peut entraîner la perte de droits fondamentaux.
Le retard judiciaire affecte la crédibilité des institutions.
Un préjudice matériel peut découler de l’inexécution d’un jugement.
Le désengagement de l’État crée un climat d’impunité néfaste.
Le manque de réponse judiciaire amplifie le sentiment d’injustice.

La non-réparation du dommage aggrave la situation de la victime.

L’inaction des juridictions peut causer des dommages irréversibles.
Une décision attendue trop longtemps peut perdre tout effet utile.
Le blocage procédural prive d’accès à une réparation juste.
L’usure psychologique d’un procès sans fin est considérable.
Le déni de justice entraîne parfois une privation de liberté injustifiée.
Le coût financier d’une procédure bloquée est souvent élevé.
La violation du droit à un recours laisse le justiciable sans perspective.

8 : Voies de recours

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Le recours indemnitaire contre l’État est possible pour déni de justice.
Le Conseil d’État peut reconnaître la carence fautive d’une juridiction administrative.
La Cour de cassation sanctionne les refus de statuer.
La Cour européenne des droits de l’homme condamne les délais excessifs.
Le recours en manquement devant la CEDH est ouvert à toute personne lésée.
Le recours hiérarchique peut débloquer certaines situations d’inaction.
Une action en responsabilité administrative est envisageable contre les juridictions.

Le juge des référés peut être saisi pour obtenir une décision rapide.

Une plainte auprès du CSM est possible contre un magistrat inactif.
Le recours gracieux peut être tenté avant l’engagement d’une procédure contentieuse.
La procédure en indemnisation suit l’article L141-1 du Code de l’organisation judiciaire.
La réclamation préalable permet de faire reconnaître la faute de l’administration.
Une saisine directe de la CEDH est admise après épuisement des recours internes.
Le Cabinet ACI engage des recours contentieux adaptés à chaque situation.
L’avocat pénaliste détermine la voie de droit la plus efficace selon les circonstances.

9 : Délais et prescription

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Un délai de traitement excessif peut être invoqué devant la CEDH.
La prescription de l’action en responsabilité est de 5 ans selon le Code civil.
Les délais de jugement anormaux constituent un déni de justice réparable.
L’article 6 de la CEDH impose un délai raisonnable dans le traitement des causes.
Le retard injustifié dans une enquête viole les standards européens.
Le Cabinet ACI évalue les délais pour anticiper un blocage procédural.
Une carence de plus de deux ans dans une affaire pénale est contestable.
Les retards répétés nuisent au respect du droit au procès équitable.

Un non-respect des délais réglementaires peut justifier une demande d’indemnisation.

La prescription du recours en responsabilité commence au moment du préjudice.
Le délai de recours contentieux est interrompu par la notification d’un acte.
Une procédure suspendue trop longtemps perd toute efficacité juridique.
Un délais démesuré en première instance peut fonder une action internationale.
Le Cabinet ACI veille à respecter les délais légaux pour garantir les droits.
Une réaction tardive des juridictions peut être assimilée à une abstention fautive.

10 : États et juridictions sanctionnés

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

La France a été condamnée à plusieurs reprises pour déni de justice.
La CEDH sanctionne régulièrement les États membres pour délais excessifs.
La Grèce et l’Italie figurent parmi les pays souvent condamnés pour carence judiciaire.
La Belgique a été condamnée en 2009 pour non-exécution de décisions de justice.
L’Espagne a été jugée coupable de refus de recours effectif dans l’affaire Ruiz-Tapia.
La Pologne a été condamnée pour blocage administratif prolongé d’une procédure.
La Roumanie a reconnu la faute de son administration judiciaire dans plusieurs cas.
En France, la jurisprudence CEDH impose un délai raisonnable d’examen.

L’Allemagne a réformé sa justice après des condamnations pour lenteur excessive.

Le Portugal a modifié ses délais de prescription à la suite d’arrêts défavorables.
La Cour de cassation française reconnaît la faute lourde dans plusieurs arrêts.
Le Conseil d’État français admet la responsabilité de l’administration dans certains cas.
La jurisprudence européenne crée une pression sur les États inactifs.
Des réformes procédurales ont été imposées à la suite de condamnations internationales.
Le Cabinet ACI intègre ces précédents dans sa stratégie de contentieux.

11 : Jurisprudences françaises

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

L’arrêt du 23 février 2001 (n°99-16.165) admet la faute lourde pour inaction du juge.
Dans l’affaire Darmont, le Conseil d’État reconnaît la responsabilité de l’État.
L’arrêt CEDH Mifsud c. France (2004) confirme le droit à un recours effectif.
La Cour de cassation valide la réparation du dommage moral en cas d’inaction prolongée.
L’arrêt du 24 mars 2006 (n°05-14.028) reconnaît une carence fautive du ministère public.
Le tribunal administratif de Paris a condamné l’État pour retard de jugement.

La jurisprudence Consorts Z (CE, 1983) a fondé la faute lourde du service public de la justice.

L’article L141-1 du Code de l’organisation judiciaire permet l’action en indemnisation.
L’affaire Beaumartin c. France devant la CEDH établit un refus de juger déguisé.
Le Cabinet ACI exploite ces jurisprudences pour renforcer la défense du justiciable.
L’inaction d’un juge d’instruction a été qualifiée de déni de justice dans plusieurs arrêts.
La jurisprudence administrative reconnaît la responsabilité pour omission de statuer.
Le manque de diligence des juridictions peut fonder une action indemnitaire.
La Cour de cassation a élargi la notion de faute lourde à la non-exécution d’une décision.
Les jurisprudences françaises et européennes permettent une réparation élargie.

12 : Jurisprudences européennes

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

L’arrêt Kudla c. Pologne (CEDH, 2000) affirme le droit au procès dans un délai raisonnable.
Dans l’affaire Bottazzi c. Italie, la CEDH condamne pour lenteur excessive de la justice.
L’arrêt Scordino c. Italie établit la nécessité d’un recours indemnitaire effectif.
La CEDH a sanctionné la France dans l’affaire Mousseau c. France (2004).
Dans Ruiz-Mateos c. Espagne, le refus d’exécuter une décision est un déni de justice.
L’affaire McFarlane c. Irlande rappelle que l’inaction judiciaire cause un tort grave.
La CEDH a réaffirmé dans l’arrêt Sürmeli c. Allemagne (2006) le droit à une justice diligente.

L’arrêt O’Reilly c. Irlande traite de la négligence procédurale systémique.

La CEDH distingue entre retard accidentel et carence systémique sanctionnable.
L’inaction persistante constitue une violation de l’article 6 de la Convention.
La CEDH impose un recours effectif pour toute atteinte aux droits procéduraux.
L’État est responsable même en l’absence de faute personnelle du magistrat.
La jurisprudence CEDH influence directement la jurisprudence française.
Le Cabinet ACI s’appuie sur ces décisions pour saisir les juridictions internationales.
Les sanctions européennes imposent des réformes procédurales dans plusieurs États.

13 : Droit comparé

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

En Allemagne, la loi oblige les juridictions à motiver tout refus de statuer.
La Suisse prévoit un recours administratif en cas de lenteur judiciaire.
Aux États-Unis, le due process protège contre les abus judiciaires.
Le Canada admet une indemnisation pour retards déraisonnables.
La Cour suprême britannique sanctionne l’inaction procédurale volontaire.
La Belgique reconnaît le droit à une décision juridictionnelle rapide.

Les Pays-Bas disposent d’un médiateur judiciaire en cas de lenteur suspecte.

L’Italie a dû légiférer après des condamnations répétées de la CEDH.
Le Portugal prévoit des amendes procédurales contre les juridictions lentes.
L’Espagne a introduit un recours préalable de plainte judiciaire.
Le droit comparé montre une tendance générale à la réparation élargie.
La France s’aligne progressivement sur les standards européens de diligence.
Le Cabinet ACI analyse les modèles étrangers pour enrichir ses recours.
Les bonnes pratiques étrangères renforcent la légalité procédurale française.
Les normes européennes fixent un cadre contraignant pour les États.

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

14 : Déni de justice et libertés fondamentales

Le déni de justice constitue une atteinte au droit à un procès équitable.
Il viole l’article 6 de la Convention européenne des droits de l’homme.
L’inaction des juridictions empêche l’exercice du droit à un recours effectif.
L’égalité devant la justice est compromise en cas de traitement inégal.
La liberté individuelle est menacée en cas de détention injustifiée prolongée.
L’omission de statuer porte atteinte à la sécurité juridique du citoyen.
Le Cabinet ACI défend les droits fondamentaux des justiciables lésés.

Le droit d’être jugé dans un délai raisonnable est garanti par la Constitution.

Le silence judiciaire compromet l’accès au juge.
L’abstention de l’autorité judiciaire est une négation de l’État de droit.
Le droit à réparation découle des principes fondamentaux de justice.
Une juridiction passive peut violer la dignité de la personne.
Le Cabinet ACI engage des actions pour défendre les libertés constitutionnelles.
La justice équitable impose la clarté et la célérité des décisions.
Le déni de justice structurel menace la légitimité du système judiciaire.

15 : Droit constitutionnel et principe de séparation des pouvoirs

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Le droit à un recours effectif est garanti par l’article 16 de la Déclaration de 1789.
Le déni de justice remet en cause la séparation des pouvoirs.
La justice défaillante fragilise le pouvoir judiciaire au sein des institutions.
La Constitution impose une égalité devant les juridictions.
Un manquement de l’État-juge engage la responsabilité de l’administration.
Le Conseil constitutionnel a reconnu que la dilution des recours est inconstitutionnelle.

Le Cabinet ACI mobilise les principes constitutionnels dans ses requêtes.

Le droit à un juge est inhérent à l’État de droit.
Le retard systémique remet en cause le monopole de la justice étatique.
Le blocage des recours viole le principe d’unité du service public de la justice.
La responsabilité de l’État découle directement du préambule de la Constitution.
La défaillance juridictionnelle crée une rupture d’égalité entre citoyens.
Le Cabinet ACI soutient les actions fondées sur la hiérarchie des normes.
Le déni de justice compromet le fonctionnement régulier des pouvoirs publics.
Les principes constitutionnels encadrent le traitement équitable des litiges.

16 : Victimes et justiciables concernés

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Les victimes d’infractions peuvent subir un préjudice moral en cas de déni de justice.
Un prévenu peut invoquer une détention abusive liée à l’inaction du juge.
Les parties civiles lésées par une absence de réponse judiciaire sont fondées à agir.
Un requérant sans nouvelle de sa procédure peut engager la responsabilité de l’État.
Le Cabinet ACI défend les intérêts des justiciables confrontés à l’inaction des magistrats.
Les mineurs protégés sont particulièrement exposés aux risques de retards judiciaires.
Les familles des victimes peuvent invoquer une atteinte à la vérité judiciaire.

Un inculpé non entendu pendant des mois peut saisir les juridictions supérieures.

Les requérants en matière administrative subissent fréquemment des omissions de statuer.
Un détenu en attente de jugement est en droit d’invoquer un déni de justice carcéral.
Les justiciables modestes sont les premières victimes des retards procéduraux.
Les avocats du Cabinet ACI accompagnent les victimes de dysfonctionnements judiciaires.
Le déni de justice concerne aussi les litiges civils non traités dans des délais raisonnables.
Les non-réponses du parquet à des plaintes pénales peuvent constituer une carence fautive.
Un état de détresse psychologique peut découler de l’inertie judiciaire persistante.

17 : Droit administratif et responsabilité de l’État

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Le Cabinet ACI engage des recours devant le tribunal administratif en cas de déni de justice.
L’inaction prolongée du juge constitue une faute lourde de l’État.
La responsabilité pour fonctionnement défectueux du service public de la justice est engagée.
Le recours indemnitaire permet la réparation des préjudices liés à la carence juridictionnelle.
L’omission de statuer peut être sanctionnée par une condamnation pécuniaire de l’État.
L’article L141-1 du Code de l’organisation judiciaire fonde l’action pour faute lourde.

Le juge administratif apprécie la gravité des délais et leur caractère fautif.

Une injonction de juger peut être demandée en parallèle de la réparation du dommage.
L’absence de notification d’un jugement peut justifier un recours pour déni de justice.
Les juridictions administratives reconnaissent le droit à l’effectivité du recours juridictionnel.
Le Cabinet ACI construit des recours argumentés à partir de carences documentées.
La carence du parquet ou du juge d’instruction peut fonder une action indemnitaire.
Une inertie manifestement injustifiée engage la responsabilité de l’administration judiciaire.
Le recours administratif peut être introduit même sans action pénale parallèle.
L’inexécution persistante d’un jugement est qualifiable de dysfonctionnement fautif.

18 : Réparation du préjudice

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Le préjudice moral est reconnu en cas de silence judiciaire injustifié.
Le Cabinet ACI évalue le préjudice matériel et moral en lien avec la carence judiciaire.
Un délai excessif de traitement donne lieu à une indemnisation du justiciable.
La perte de chance de faire valoir ses droits est juridiquement indemnisable.
L’absence de réponse à une demande légitime peut générer une souffrance psychologique.
Les dommages liés au stress procédural sont pris en compte par le juge administratif.
Le préjudice d’anxiété judiciaire est invoqué dans les dossiers traités par le Cabinet ACI.

La jurisprudence reconnaît la réparation du trouble dans les conditions d’existence.

La CEDH a déjà alloué des réparations significatives pour lenteur excessive.
Un justiciable en attente de décision urgente subit un dommage spécifique.
Le Cabinet ACI bâtit des argumentaires solides en matière d’évaluation du préjudice.
Le droit à réparation intégrale prévaut en cas de déni manifeste de justice.
Le défaut de motivation d’une ordonnance de refus constitue un élément de préjudice.
Le droit français et la Convention européenne encadrent la réparation effective.
Une carence persistante peut entraîner une condamnation de l’État au civil.

19 : Moyens de preuve et éléments de dossier

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Un dossier de plainte resté sans réponse constitue une preuve indirecte d’inaction.
Le Cabinet ACI réunit les éléments probatoires liés à la carence procédurale.
L’absence de décision à une requête motivée est un indice fort de déni de justice.
La datation des dépôts de plainte et de leurs relances permet de documenter le préjudice.
La preuve du silence judiciaire peut être rapportée par des courriers restés sans suite.
Un jugement non exécuté constitue une carence juridictionnelle manifeste.
Les délais excessifs non justifiés peuvent être établis par des certificats de greffe.

Le Cabinet ACI analyse les chronologies procédurales pour étayer les recours.

Les courriels de relance et accusés de réception complètent le dossier probatoire.
La preuve du dommage psychologique peut résulter d’un certificat médical circonstancié.
Les pièces de procédure inachevée témoignent du fonctionnement défectueux.
Le manque de communication de l’autorité judiciaire peut être consigné dans le dossier.
Le silence prolongé du parquet après plainte circonstanciée est un élément majeur.
Le Cabinet ACI compile des éléments solides pour démontrer la réalité du préjudice.
La preuve du déni de justice repose souvent sur un faisceau d’indices concordants.

20 : Stratégie de défense et rôle de l’avocat pénaliste

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Le Cabinet ACI met en œuvre des stratégies spécifiques contre le déni de justice.
L’avocat pénaliste saisit les juridictions supérieures en cas de carence grave.
La relance écrite systématique constitue un outil essentiel de pression judiciaire.
L’intervention argumentée d’un avocat peut accélérer le traitement d’une procédure.
La demande formelle d’ordonnance motivée renforce la protection du justiciable.
L’avocat expert en procédure pénale identifie les carences structurelles.
Le Cabinet ACI rédige des recours juridiquement rigoureux.

La stratégie contentieuse vise à obtenir réparation devant les juridictions compétentes.

L’avocat agit aussi en amont, en assurant le suivi régulier des dossiers sensibles.
Une mise en demeure de statuer peut être préparée par le Cabinet ACI.
L’action en justice pour déni de justice nécessite une analyse minutieuse du dossier.
Le Cabinet ACI constitue des dossiers solides à visée réparatrice.
La saisine des juridictions européennes est une voie envisagée en cas de blocage national.
Le recours pour excès de pouvoir est parfois mobilisé dans l’intérêt du justiciable.
La défense stratégique passe par la maîtrise des normes françaises et europé

à cause de,

à cause de cela,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

ainsi,

à nouveau,

à partir de là,

Ainsi,

Alors que,

Alors,

Après cela,

Après que,

Aussi,

bien que,

car,

Cependant,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

c’est ainsi que,

c’est pour cela que,

par ailleurs,

c’est pourquoi,

Considérons,

Contraste,

D’autant plus,

d’après,

de ce fait,

de façon,

manière que,

De la même manière,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

De même,

enfin,

de nouveau

de plus,

en dernier lieu,

De plus,

de sorte que,

deuxièmement,

Donc,

en ce qui concerne,

En conclusion,

par ailleurs,

En conséquence,

En dernier lieu,

dommage encore,

En fait,

puis,

En outre,

finalement,

en particulier,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

En premier lieu,

finalement,

En revanche,

En somme,

encore une fois,

Enfin,

ensuite,

étant donné que,

Finalement,

grâce à,

il est question de,

de même,

Il s’agit de,

il y a aussi,

Mais,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs ,

Par conséquent,

et aussi,

Par contre,

par exemple,

évidemment,

Par la suite,

par rapport à,

parce que,

plus précisément,

plus tard,

Pour commencer,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

touchant à,

Tout d’abord,

Toutefois,

troisièmement

et ensuite,

Une fois de plus,

et puis,

et aussi,

à cause de,

à cause de cela,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

ainsi,

à nouveau,

à partir de là,

Ainsi,

Alors que,

Alors,

Après cela,

Après que,

Aussi,

bien que,

car,

Cependant,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

c’est ainsi que,

c’est pour cela que,

par ailleurs,

c’est pourquoi,

Considérons,

Contraste,

D’autant plus,

d’après,

de ce fait,

de façon,

manière que,

De la même manière,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

De même,

enfin,

de nouveau

de plus,

en dernier lieu,

De plus,

de sorte que,

deuxièmement,

Donc,

en ce qui concerne,

En conclusion,

par ailleurs,

En conséquence,

En dernier lieu,

dommage encore,

En fait,

puis,

En outre,

finalement,

en particulier,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

En premier lieu,

finalement,

En revanche,

En somme,

encore une fois,

Enfin,

ensuite,

étant donné que,

Finalement,

grâce à,

il est question de,

de même,

Il s’agit de,

il y a aussi,

Mais,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs ,

Par conséquent,

et aussi,

Par contre,

par exemple,

évidemment,

Par la suite,

par rapport à,

parce que,

plus précisément,

plus tard,

Pour commencer,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

touchant à,

Tout d’abord,

Toutefois,

troisièmement

et ensuite,

Une fois de plus,

et puis,

et aussi,

à cause de,

à cause de cela,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

ainsi,

à nouveau,

à partir de là,

Ainsi,

Alors que,

Alors,

Après cela,

Après que,

Aussi,

bien que,

car,

Cependant,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

c’est ainsi que,

c’est pour cela que,

par ailleurs,

c’est pourquoi,

Considérons,

Contraste,

D’autant plus,

d’après,

de ce fait,

de façon,

manière que,

De la même manière,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

De même,

enfin,

de nouveau

de plus,

en dernier lieu,

De plus,

de sorte que,

deuxièmement,

Donc,

en ce qui concerne,

En conclusion,

par ailleurs,

En conséquence,

En dernier lieu,

dommage encore,

En fait,

puis,

En outre,

finalement,

en particulier,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

En premier lieu,

finalement,

En revanche,

En somme,

encore une fois,

Enfin,

ensuite,

étant donné que,

Finalement,

grâce à,

il est question de,

de même,

Il s’agit de,

il y a aussi,

Mais,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs ,

Par conséquent,

et aussi,

Par contre,

par exemple,

évidemment,

Par la suite,

par rapport à,

parce que,

plus précisément,

plus tard,

Pour commencer,
(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

touchant à,

Tout d’abord,

Toutefois,

troisièmement

et ensuite,

Une fois de plus,

et puis,

et aussi,

 pénaliste

du cabinet Aci

assurera efficacement votre défense.

Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone, ou

bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation : auteur, co-auteur, complice, receleur ou

victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase

d’enquête (garde à vue) ; d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la

chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration

pénitentiaire par exemple).

XV).  —  Les domaines d’intervention du cabinet Aci

(Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Cabinet d’avocats pénalistes parisiens 

D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo

75 003  PARIS

Puis, Tél. 01 42 71 51 05

Ensuite, Fax 01 42 71 66 80

Engagement, E-mail : contact@cabinetaci.com

Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste  (Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

En somme, Droit pénal (Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Tout d’abord, pénal général (Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal

Puis, pénal des affaires (Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Aussi, Droit pénal fiscal (Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme (Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

De même, Le droit pénal douanier (Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

En outre, Droit pénal de la presse (Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

                 Et ensuite (Déni de justice : recours, preuves, avocat pénaliste à Paris)

Donc, pénal routier infractions

Outre cela, Droit pénal du travail

Malgré tout, Droit pénal de l’environnement

Cependant, pénal de la famille

En outre, Droit pénal des mineurs

Ainsi, Droit pénal de l’informatique

En fait, pénal international

Tandis que, Droit pénal des sociétés

Néanmoins, Le droit pénal de la consommation

Toutefois, Lexique de droit pénal

Alors, Principales infractions en droit pénal

Puis, Procédure pénale

Pourtant, Notions de criminologie

Sans commentaires

Désolé, le formulaire de commentaire est fermé pour le moment.