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Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement

Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement

Les courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement – Effets contreproductifs des peines courtes et stratégies

d’aménagement avec avocat pénaliste.

Courtes peines de prison : pourquoi elles sont souvent contreproductives et comment les aménager

Table des matières

I – Courtes peines d’emprisonnement : définitions et cadre légal

  1. La notion de courte peine en droit français
  2. Interdiction des peines d’un mois et principe d’individualisation
  3. Courtes peines et politique pénale récente

II – Pourquoi les courtes peines de prison sont souvent contreproductives

  1. Désocialisation, rupture d’emploi et de logement
  2. Surpopulation carcérale et conditions de détention indignes
  3. Efficacité limitée sur la récidive

III – Le principe de l’aménagement des courtes peines : droit positif

  1. Le rôle du juge de jugement : aménagement ab initio
  2. Le rôle du juge de l’application des peines (JAP)
  3. Publics spécifiques, récidive et périodes de sûreté

IV – Comment aménager concrètement les courtes peines : stratégie de l’avocat pénaliste

  1. Anticiper l’aménagement dès l’audience de jugement
  2. Choisir la mesure d’aménagement la plus adaptée
  3. Recours, appel et pourvoi en matière de motivation et d’aménagement

V – Perspectives et débats contemporains sur les courtes peines

  1. De l’individualisation des peines à la lutte contre les courtes peines
  2. Les projets récents de recul de l’aménagement obligatoire
  3. La position doctrinale : défendre l’efficacité plutôt que le symbole

VI – Tableaux pratiques

  1. Tableau 1 – Régime juridique des courtes peines d’emprisonnement
  2. Tableau 2 – Principales formes d’aménagement des courtes peines
  3. Tableau 3 – Effets contreproductifs typiques des courtes peines
  4. Tableau 4 – Textes et jurisprudences clés sur la motivation et l’aménagement
  5. Tableau 5 – Check-list Cabinet ACI pour la défense d’une courte peine

I – Courtes peines d’emprisonnement : définitions et cadre légal

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

1. La notion de courte peine en droit français

  1. En pratique, on désigne par courtes peines d’emprisonnement les peines d’emprisonnement ferme d’une durée limitée – le plus souvent inférieure ou égale à un an, parfois jusqu’à deux ans selon les régimes d’aménagement de peine.
  2. Le Code pénal encadre cependant strictement le bas de l’échelle : l’article 132-19 du Code pénal prévoit qu’en matière correctionnelle, le juge ne peut plus prononcer de peine d’emprisonnement ferme d’une durée inférieure ou égale à un mois.
  3. Cette interdiction traduit l’idée – aujourd’hui largement admise – que les peines ultra-courtes (quelques jours ou semaines) sont désocialisantes et peu utiles pour la prévention de la récidive, ce qu’a d’ailleurs mis en avant la réforme dite “Belloubet” de 2019.
  4. Au-delà d’un mois, demeurent de très nombreuses condamnations à 2, 3, 4 ou 6 mois de prison ferme. Les chiffres de l’Observatoire international des prisons montrent qu’en France, près de 11 000 personnes exécutent une peine de moins de six mois, soit environ un quart des personnes détenues condamnées.

2. Individualisation de la peine et obligation de motivation

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Le droit positif ne se contente pas de fixer des durées : il impose une logique d’exception pour la prison ferme. Selon l’article 132-19 du Code pénal, une peine d’emprisonnement sans sursis ne peut être prononcée qu’en dernier recours, si :
    • la gravité de l’infraction et
    • la personnalité de l’auteur
      rendent cette peine nécessaire, et si toute autre sanction est manifestement inadéquate.
  2. De plus, lorsque le tribunal prononce une peine d’emprisonnement ferme sans l’aménager, il doit spécialement motiver :
    • d’une part, le choix de la prison ferme (par rapport aux alternatives),
    • d’autre part, le refus d’un aménagement de peine (semi-liberté, bracelet, etc.), en tenant compte de la situation matérielle, familiale et sociale du condamné.
  3. La Cour de cassation a considérablement renforcé ce contrôle : par une série d’arrêts (notamment Crim. 29 nov. 2016 et 29 nov. 2018), elle rappelle que la peine d’emprisonnement sans sursis doit, en principe, faire l’objet d’un aménagement, et que le refus doit être motivé de façon concrète.
  4. Enfin, la chambre criminelle, par quatre arrêts du 11 mai 2021, a précisé le régime de la motivation des peines d’emprisonnement fermes et de leur aménagement après la loi du 23 mars 2019, confirmant l’exigence de motivation “double” (sur le quantum et sur l’aménagement).

3. Courtes peines et politique pénale récente

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Le ministère de la Justice rappelle officiellement que :
    • la prison ferme ne peut pas être prononcée en-deçà d’un mois ;
    • les aménagements de peine (semi-liberté, détention à domicile sous surveillance électronique, placement à l’extérieur, etc.) doivent être privilégiés pour les peines courtes.
  2. L’article 723-15 du Code de procédure pénale – dans sa rédaction actuelle – prévoit que, lorsque la peine ferme prononcée ou restant à subir est inférieure ou égale à six mois, elle doit faire l’objet d’une détention à domicile sous surveillance électronique, d’une semi-liberté ou d’un placement à l’extérieur, sauf impossibilité liée à la personnalité ou à la situation du condamné.
  3. Ce principe est doublé d’une obligation de motivation spéciale pour le refus d’aménager une peine courte, ce que la jurisprudence récente de la Cour de cassation rappelle avec constance.
  4. Dans le même temps, le débat politique est vif : plusieurs projets ou propositions de loi récents visent à revenir sur le caractère “obligatoire” de l’aménagement des courtes peines, pour faire de l’incarcération la règle et de l’aménagement l’exception.

II – Pourquoi les courtes peines de prison sont souvent contreproductives

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

1. Désocialisation, rupture d’emploi et de logement

  1. Les études et rapports convergent : les courtes peines de prison produisent des effets fortement désocialisants. Un rapport de l’ACAT souligne que c’est précisément pour les personnes condamnées à de courtes peines que l’on observe les effets les plus néfastes de la prison, avec un taux de récidive particulièrement élevé.
  2. Sur le plan concret, une peine de 2, 3 ou 4 mois ferme entraîne souvent :
    • la perte d’un emploi (licenciement pour absence injustifiée ou impossibilité d’exécuter le contrat),
    • la rupture d’un bail d’habitation,
    • des impayés (crédits, charges, pensions alimentaires),
    • une fragilisation profonde des liens familiaux.
  3. Or, pour une peine aussi courte, il est quasiment impossible de mettre en place un véritable travail de réinsertion (formation, prise en charge des addictions, suivi psychologique) à l’intérieur de la prison. Les détenus condamnés à de courtes peines n’ont ni le temps de s’inscrire dans une dynamique de soins, ni celui de préparer leur sortie.
  4. On obtient ainsi un effet paradoxal : pour une infraction parfois liée à une situation sociale précaire (usage de stupéfiants, petits vols, conduite sans permis, etc.), la réponse de la courte incarcération aggrave la précarité et prépare mal la sortie.

2. Surpopulation carcérale et conditions de détention indignes

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Les courtes peines alimentent directement la surpopulation carcérale : selon l’OIP et divers rapports, une part non négligeable des personnes détenues exécutent des peines inférieures à six mois, alors que la France connaît déjà un niveau de surpopulation très élevé (plus de 81 000 détenus pour environ 62 000 places).
  2. La surpopulation entraîne :
    • des conditions de détention indignes (promiscuité, hygiène, accès limité aux soins),
    • des tensions et violences accrues,
    • une pression sur les services de probation (SPIP), qui ont moins de temps pour suivre chaque personne.
  3. Ces conditions ont déjà valu à la France plusieurs condamnations par la Cour européenne des droits de l’homme pour violation de l’article 3 de la CEDH (traitements inhumains et dégradants), notamment en lien avec la surpopulation et l’absence de perspectives d’aménagement.
  4. Dans ce contexte, chaque courte peine exécutée en prison contribue à saturer un système déjà en crise, sans bénéfice clair en termes de sécurité publique.

3. Une efficacité contestée sur la récidive

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. De nombreuses analyses – en France et à l’étranger – montrent que la prison, et plus encore les incarcérations de courte durée, n’ont pas démontré leur efficacité pour réduire la récidive ; certaines études indiquent même un effet aggravant.
  2. Un article de presse récent souligne que les incarcérations de courte durée sont “parfaitement inefficaces” : elles désinsèrent socialement les individus sans leur offrir de véritables moyens de réinsertion, alors que les peines en milieu ouvert (comme la semi-liberté ou le bracelet électronique) affichent des taux de récidive sensiblement plus faibles.
  3. Le ministère lui-même, lors de la préparation de la loi de 2019, indiquait que l’objectif était d’“éviter les courtes peines d’emprisonnement qui n’empêchent pas la récidive et peuvent être très désocialisantes”, en privilégiant les peines autonomes (TIG, stages, sursis probatoire, etc.).
  4. Autrement dit, non seulement les courtes peines coûtent cher au système pénitentiaire, mais elles ne remplissent pas, ou mal, leur finalité de prévention de la récidive.

III – Le principe de l’aménagement des courtes peines : droit positif

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

1. L’aménagement ab initio par la juridiction de jugement

  1. Lorsqu’elle prononce une peine d’emprisonnement ferme, la juridiction de jugement doit se poser deux questions successives :
    1. La prison ferme est-elle indispensable (au regard de la gravité des faits et de la personnalité) ?
    2. Si oui, cette peine peut-elle être aménagée (semi-liberté, bracelet, placement extérieur, etc.) ?
  2. Le principe résulte à la fois de l’article 132-19 du Code pénal et de la jurisprudence : le juge ne peut prononcer une peine d’emprisonnement sans sursis et non aménagée qu’en motivant spécialement le refus d’aménagement au regard de la situation personnelle du prévenu.
  3. La Cour de cassation a précisé que, pour les peines inférieures ou égales à certains seuils (historiquement deux ans, puis un an selon les réformes), l’aménagement doit être regardé comme la règle, et le refus comme l’exception, soumis à motivation renforcée.
  4. Pour les peines inférieures ou égales à six mois, l’articulation avec l’article 723-15 CPP est déterminante : le texte pose un principe d’aménagement obligatoire, sauf impossibilité tirée de la personnalité ou de la situation du condamné.
  5. Concrètement, un tribunal correctionnel qui prononce 4 mois ferme sans sursis et sans aménagement devra expliquer :
    • pourquoi aucune autre peine (TIG, sursis probatoire, amende, etc.) n’était adéquate,
    • pourquoi un aménagement (bracelet, semi-liberté, etc.) était impossible au regard de la situation du prévenu.

2. L’aménagement par le juge de l’application des peines (JAP)

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Lorsque la peine n’a pas été aménagée par la juridiction de jugement, l’initiative se déplace vers le juge de l’application des peines (JAP).
  2. Le JAP peut, sous conditions, transformer une peine d’emprisonnement ferme – y compris courte – en :
    • détention à domicile sous surveillance électronique (DDSE),
    • semi-liberté,
    • placement à l’extérieur,
    • ou encore accorder une libération conditionnelle ou une libération sous contrainte en fin de peine.
  3. Pour les courtes peines, le législateur a entendu privilégier un traitement en milieu ouvert : la personne reste insérée (emploi, formation, famille), tout en étant soumise à des contraintes strictes (horaires, contrôle, interdictions).
  4. L’aménagement peut intervenir :
    • ab initio pour un condamné libre, sur la base d’une convocation à la maison d’arrêt ou au JAP,
    • ou en cours de détention, lorsque le “reste à subir” tombe sous certains seuils (par exemple, peine ou reliquat ≤ deux ans pour certains aménagements).
  5. Le rôle de l’avocat pénaliste est déterminant pour élaborer un projet sérieux (hébergement, emploi, soins) et convaincre le JAP de l’opportunité d’un aménagement plutôt que d’un maintien en détention.

3. Publics spécifiques, récidive et périodes de sûreté

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Le régime d’aménagement des courtes peines varie selon :
    • l’existence d’une récidive légale,
    • la nature de l’infraction (stupéfiants, violences, infractions routières, etc.),
    • et, pour les peines plus longues, la présence éventuelle d’une période de sûreté.
  2. La récidive peut réduire les possibilités d’aménagement ab initio, ou imposer une motivation encore plus approfondie pour justifier l’absence d’aménagement. Néanmoins, même en récidive, le principe d’individualisation et la nécessité d’éviter les courtes peines purement désocialisantes demeurent.
  3. Pour les peines assorties d’une période de sûreté (plutôt en matière criminelle), les courtes peines au sens strict sont moins concernées, mais l’enjeu demeure pour des peines mixtes ou des reliquats de peine que l’on souhaite aménager.

IV – Comment aménager concrètement les courtes peines : stratégie de l’avocat pénaliste (Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

1. Anticiper l’aménagement dès l’audience de jugement

  1. Pour le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, la défense des courtes peines commence bien avant le prononcé de la peine :
    • lors de la consultation pénale,
    • lors de la préparation de l’audience,
    • et, le cas échéant, dès la garde à vue ou la comparution immédiate.
  2. L’objectif est double :
    1. éviter, si possible, l’emprisonnement ferme (en privilégiant une peine alternative ou un sursis probatoire avec obligations),
    2. si une peine ferme paraît inévitable, organiser son aménagement (bracelet, semi-liberté, etc.).
  3. Concrètement, cela suppose de constituer un dossier de personnalité :
    • contrat de travail ou promesse d’embauche,
    • attestations d’employeur, de proches, d’associations,
    • justificatifs de logement stable,
    • certificats de soins (addictions, troubles psychiatriques),
    • éléments relatifs aux charges familiales (enfants, personnes à charge).
  4. Ce dossier permettra de soutenir une plaidoirie structurée autour de l’idée que la courte peine exécutée en prison serait plus nuisible qu’utile, alors qu’un aménagement de peine assumé en milieu ouvert serait plus cohérent avec les finalités de la peine (prévention, réinsertion, protection de la société).

2. Choisir la mesure d’aménagement la plus adaptée

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Toutes les courtes peines n’appellent pas la même réponse. L’avocat doit proposer au tribunal ou au JAP une mesure précisément adaptée à la situation :
    • Détention à domicile sous surveillance électronique (DDSE) :
      • adaptée à une personne disposant d’un logement stable et d’un réseau de soutien,
      • permet de conserver emploi ou formation, sous réserve d’horaires autorisés.
    • Semi-liberté :
      • utile pour les personnes déjà insérées professionnellement,
      • compatible avec un travail à temps plein, la nuit étant consacrée à la détention.
    • Placement à l’extérieur :
      • utilise une structure d’accueil (association, employeur, dispositif médico-social),
      • particulièrement pertinent pour les personnes en grande difficulté sociale.
    • Conversion en travail d’intérêt général (TIG) ou en jours-amende, lorsque la loi le permet.
  2. L’important est de démontrer que la mesure proposée répond mieux aux finalités de la peine qu’une courte incarcération :
    • contrôle réel et quotidien,
    • réparation symbolique ou concrète du dommage,
    • maintien ou reconstruction du projet de vie.
  3. Le Cabinet ACI construit souvent, avec le client, un plan de réinsertion détaillé (emploi, formation, soins, logement), qui est remis au tribunal et repris ensuite devant le JAP si nécessaire.

3. Recours, appel et pourvoi en matière de motivation et d’aménagement

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Lorsque le tribunal prononce une courte peine de prison ferme sans aménagement, la question de l’appel se pose immédiatement.
  2. L’appel permet :
    • de contester le quantum de la peine,
    • mais aussi de remettre en cause le refus d’aménagement, en invoquant l’insuffisance ou la contradiction de la motivation.
  3. La jurisprudence récente offre plusieurs appuis :
    • contrôle renforcé de la motivation du choix de la prison ferme (art. 132-19 CP),
    • contrôle spécifique de la motivation du refus d’aménagement, spécialement pour les peines courtes.
  4. En cas d’échec en appel, le pourvoi en cassation peut être envisagé lorsque :
    • le jugement ou l’arrêt méconnaît manifestement les textes (132-19, 723-15, etc.),
    • la motivation est purement stéréotypée,
    • ou la cour d’appel ne répond pas aux conclusions de défense.
  5. Parallèlement, et même en l’absence d’appel, le JAP peut être saisi pour solliciter un aménagement, ce qui permet d’ouvrir un second front, plus pratique que symbolique : il ne s’agit plus seulement de critiquer la peine, mais d’organiser concrètement une sortie de prison dans des conditions juridiquement sécurisées.

V – Perspectives et débats contemporains sur les courtes peines

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

1. De l’individualisation des peines à la lutte contre les courtes peines

  1. La loi du 15 août 2014 relative à l’individualisation des peines, puis la loi du 23 mars 2019 de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice, ont affirmé un changement de paradigme : éviter les courtes peines d’emprisonnement, favoriser les peines en milieu ouvert et l’aménagement ab initio des peines fermes.
  2. Cette orientation est cohérente avec les analyses doctrinales, les rapports d’ONG et la pratique de nombreux professionnels (magistrats, avocats, SPIP) qui constatent l’inefficacité des courtes peines sur la récidive et leur coût humain et budgétaire considérable.

2. Les projets récents de recul de l’aménagement obligatoire

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Depuis 2024-2025, le débat politique s’est toutefois infléchi : une proposition de loi portée notamment par le groupe Horizons entend revenir sur l’aménagement obligatoire des courtes peines, au motif que ce mécanisme aurait conduit les juges à augmenter les quantums prononcés.
  2. Un texte a été adopté à l’Assemblée nationale le 3 avril 2025, puis au Sénat, visant à faire de l’incarcération la règle pour les courtes peines, l’aménagement redevenant l’exception.
  3. Parallèlement, plusieurs prises de position publiques (magistrats, universitaires, ONG, presse) rappellent que les courtes peines sont inefficaces, nourrissent la surpopulation carcérale, et qu’il serait paradoxal de “remplir davantage les prisons” pour résoudre une surpopulation déjà dénoncée.
  4. Au jour de la rédaction du présent article, l’avocat doit donc vérifier au cas par cas l’état exact des textes applicables (entrée en vigueur, éventuelles dispositions transitoires) afin d’articuler au mieux droit positif et argumentation sur l’inefficacité des courtes peines.

3. La position doctrinale : défendre l’efficacité plutôt que le symbole

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Pour un cabinet exclusivement tourné vers la défense pénale, l’enjeu est avant tout pragmatique : défendre les clients contre les courtes peines de prison qui, dans la plupart des cas, n’apportent aucune solution durable au conflit pénal.
  2. Il ne s’agit pas de nier la gravité de certaines infractions (violences, stupéfiants, atteintes aux biens), mais de rappeler que la peine doit être individualisée, proportionnée et orientée vers la réinsertion.
  3. L’aménagement de peine n’est pas une forme de laxisme : c’est un outil juridique exigeant, qui impose au condamné de respecter des obligations strictes, tout en préservant son insertion et en limitant le risque de récidive.
  4. Dans cette perspective, le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, plaide systématiquement pour que les courtes peines de prison, lorsqu’elles sont prononcées, soient aménagées chaque fois que la loi le permet et que la situation personnelle du condamné le justifie.

VI – Tableaux pratiques

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

1. Tableau 1 – Régime juridique des courtes peines d’emprisonnement

Ce tableau synthétise les principaux seuils et textes applicables aux courtes peines, sur la base notamment de l’article 132-19 du Code pénal, de la loi du 15 août 2014 et de l’article 723-15 CPP.

Durée de la peine d’emprisonnement ferme Textes principaux Principes dégagés Points de vigilance pour l’avocat pénaliste

≤ 1 mois

Art. 132-19 CP, doc. “Efficacité et sens de la peine” Min. justice Le juge ne peut plus prononcer une peine ferme ≤ 1 mois. Les peines ultra-courtes sont jugées désocialisantes et inefficaces. Rappeler au tribunal l’interdiction légale ; si un quantum inférieur est envisagé, proposer des peines alternatives (TIG, jour-amende, sursis probatoire) plutôt qu’une peine illégale ou symbolique.

> 1 mois à ≤ 6 mois

Art. 132-19 CP, art. 723-15 CPP, loi 2014 et 2019 La prison ferme reste possible, mais la peine doit, en principe, être aménagée (DDSE, semi-liberté, placement extérieur), sauf impossibilité liée à la personnalité ou à la situation du condamné, qui doit être motivée spécialement. Mettre l’accent sur les garanties de représentation (emploi, logement, famille) ; exiger une motivation concrète en cas de refus d’aménagement ; préparer un projet d’aménagement précis à présenter à l’audience.

> 6 mois à ≤ 1 an

Art. 132-19 CP, art. 132-25 et s. CP, art. 707 et s. CPP La peine peut être aménagée ab initio ou par le JAP, mais l’obligation d’aménagement n’est plus “automatique”. La motivation spéciale du refus d’aménagement demeure pour les peines d’emprisonnement sans sursis dans cette tranche. Argumenter sur la proportionnalité : démontrer que la durée reste courte au regard des objectifs de réinsertion; insister sur le coût social d’une incarcération sèche ; utiliser la jurisprudence sur la motivation spéciale.

> 1 an à ≤ 2 ans (faits antérieurs ou régimes transitoires)

Anciennes versions de l’art. 723-15 CPP, arrêts du 11 mai 2021 Pour certaines infractions anciennes, un régime favorable d’aménagement pouvait s’appliquer jusqu’à deux ans ; la jurisprudence a dû préciser la loi dans le temps après la réforme de 2019. Vérifier soigneusement la date des faits et la version applicable des textes ; invoquer les règles d’application plus douce de la loi pénale pour bénéficier d’un régime d’aménagement plus favorable.

Courtes peines en récidive légale

Art. 132-19 CP, art. 132-10 et s. CP, jurisprudence Crim. 29 nov. 2016 et 2018 La récidive peut restreindre les possibilités d’aménagement, mais n’exonère pas le juge de l’obligation de motiver la nécessité de la prison ferme et le refus d’aménagement. Refuser l’argument du “tout récidive = prison” ; démontrer que des solutions en milieu ouvert demeurent adaptées ; souligner la cohérence avec la lutte contre la récidive et la surpopulation.

2. Tableau 2 – Principales formes d’aménagement des courtes peines

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

Sur la base des fiches officielles du ministère de la Justice sur les aménagements de peine, on peut distinguer les principaux dispositifs utilisables pour les courtes peines.

Type de mesure Base légale / références Conditions matérielles et personnelles Avantages / limites pratiques

Détention à domicile sous surveillance électronique (DDSE / “bracelet électronique”)

Art. 132-26 CP, art. 723-15 CPP, fiches Justice.fr sur la DDSE Nécessite un logement stable, l’accord du propriétaire ou de la famille, une installation technique possible, des horaires compatibles avec l’emploi ou la formation ; profil compatible avec une vie sous contrainte stricte. Permet de purger une courte peine depuis le domicile ; maintien de l’emploi et des liens familiaux ; contrôle électronique strict. Limites : intrusif pour l’entourage, nécessite une forte discipline, impossibilité si hébergement instable.
Semi-liberté Art. 132-25 CP, art. 132-26 CP, dispositions CPP sur la semi-liberté Profil d’une personne ayant un emploi, une formation ou une activité régulière ; établissement disposant de places en semi-liberté ; horaires compatibles avec le travail. Conserve une part de vie sociale et professionnelle tout en assurant une présence quotidienne en détention. Pertinent pour des peines de quelques mois. Limites : places limitées, contraintes fortes (retours quotidiens à l’établissement).

Placement à l’extérieur

Art. 132-26-1 CP, dispositions CPP Nécessite une structure d’accueil (association, entreprise, structure médico-sociale) prête à encadrer le condamné ; souvent adapté aux personnes très désocialisées. Fait de la peine un outil de réinsertion ; utile pour les addictions, la grande précarité, la réinsertion professionnelle. Limites : difficulté à trouver des structures partenaires, projets longs à monter.

Conversion en travail d’intérêt général (TIG)

Art. 131-8 CP, art. 132-54 et s. CP, dispositions TIG Supposé par la loi dans certains cas (conversion d’une courte peine ou sanction autonome) ; nécessite l’accord du condamné, un casier compatible, un lieu d’accueil TIG disponible. Évite l’incarcération ; donne un contenu concret et visible à la peine ; favorise la responsabilisation. Limites : nécessités logistiques importantes, refus possible des structures d’accueil.

Sursis probatoire avec obligations (en alternative à la courte peine ferme)

Art. 132-40 et s. CP Prononcé en lieu et place d’une courte peine ferme ; suppose l’adhésion du condamné à un parcours d’obligations (soins, travail, indemnisation de la victime, etc.). Permet d’éviter la prison tout en imposant un suivi exigeant ; très adapté aux infractions liées aux addictions (stupéfiants, alcool, violences) ou à la précarité. Limites : en cas de non-respect, le sursis peut être révoqué et se transformer en peine ferme.
Libération conditionnelle / libération sous contrainte (en fin de courte peine) Art. 729 et s. CPP, libération sous contrainte automatique (régimes variables selon les réformes) Intervient plutôt pour les peines plus longues ou pour le reliquat ; suppose un projet de sortie structuré, une conduite correcte en détention, et l’absence de période de sûreté. Assure une sortie progressive ; utile même pour des courtes peines exécutées à l’origine en détention ; permet d’encadrer la fin de peine. Limites : dépend de la politique du JAP, des moyens SPIP et de l’évolution des textes (suppression partielle envisagée de certaines formes automatiques).

3. Tableau 3 – Effets contreproductifs typiques des courtes peines

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

Ce tableau met en regard les principaux domaines affectés par une courte incarcération et les arguments utilisables en défense, à partir des analyses de l’OIP, de l’ACAT et de travaux de recherche.

Domaine touché Mécanisme de désocialisation lié à la courte peine Illustration concrète Pistes de défense et d’argumentation

Emploi

Une peine de 2 à 6 mois ferme interrompt brutalement le contrat de travail ; l’absence n’est pas justifiable, le salarié risque un licenciement. À la sortie, il n’a plus d’emploi, ce qui augmente le risque de récidive. Un salarié condamné à 3 mois pour usage de stupéfiants ou conduite sans permis perd son CDI après 3 semaines d’absence non justifiée ; à la sortie, il n’a plus de revenus ni de statut social. Insister sur l’existence de l’emploi, produire des attestations, démontrer que l’aménagement de peine permettrait de conserver le poste (semi-liberté, DDSE) ; montrer que la prison ruinerait un parcours d’insertion déjà fragile.

Logement et situation financière

La courte peine provoque des impayés de loyer, de crédits, de charges ; le condamné risque l’expulsion et le surendettement. Le coût social de cette désinsertion dépasse largement la gravité de l’infraction initiale. Une personne condamnée à 4 mois pour un vol simple perd son logement faute de paiement ; à la sortie, elle se retrouve en hébergement d’urgence, dans des conditions propices à de nouvelles infractions. Mettre en avant la stabilité du logement et les risques d’expulsion ; soutenir que le bracelet ou la semi-liberté permettent de continuer à assumer les charges ; rappeler l’objectif de prévention de la récidive.

Liens familiaux

La courte peine interrompt brutalement la vie familiale ; les enfants vivent la détention comme un abandon, le couple est fragilisé ; le temps est trop court pour organiser une préparation à la sortie mais assez long pour créer une rupture affective. Parent d’enfants en bas âge incarcéré pour 3 mois ; la famille doit recourir à des solutions d’urgence (famille, foyers), la confiance des enfants est ébranlée. Souligner la présence d’enfants, de personnes vulnérables à charge ; rappeler la nécessité de préserver la vie familiale protégée par la CEDH ; proposer un aménagement compatible avec les responsabilités parentales.
Santé et addictions Les personnes condamnées à de courtes peines souffrent souvent d’addictions ou de troubles psychiques ; la courte détention n’offre pas le temps d’un travail thérapeutique sérieux et peut interrompre des soins en cours. Une personne suivie pour addiction à l’alcool est incarcérée 2 mois pour violences ; le suivi ambulatoire est interrompu, aucun programme de soins structuré n’est possible dans ce délai, la sortie se fait sans continuité thérapeutique. Produire des certificats médicaux et des attestations de soins ; plaider pour une prise en charge en milieu ouvert (sursis probatoire avec obligation de soins, TIG) ; montrer que la courte détention aggrave la situation médicale.

Trajectoire pénale et récidive

Les courtes peines alimentent un “tourniquet carcéral” : va-et-vient entre prison et milieu libre, sans accompagnement sérieux ; les personnes accumulent les condamnations et les peines courtes sans perspective de changement. Jeune majeur multirécidiviste pour des faits de petite délinquance (vols, recel, usage de stupéfiants) : succession de peines de 1 à 3 mois ferme, sans projet, conduisant à une aggravation de la marginalité. Argumenter pour une peine structurée (sursis probatoire renforcé, placement à l’extérieur, programme de soins et de travail) plutôt qu’une nouvelle courte incarcération ; s’appuyer sur les données montrant l’inefficacité de ces allers-retours prison/milieu libre.

4. Tableau 4 – Textes et jurisprudences clés sur la motivation et l’aménagement (Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

Référence Apport principal Illustration pratique Utilisation en défense
Art. 132-19 CP (Loi du 15 août 2014) Consacre le principe selon lequel la peine d’emprisonnement sans sursis est un dernier recours, et impose une motivation spéciale en cas de refus d’aménagement. Tribunal correctionnel qui prononce 5 mois ferme sans aménagement pour un vol aggravé : il doit expliquer pourquoi aucune autre peine n’était possible et pourquoi la situation du prévenu ne permettait aucun aménagement. Soulever en appel ou en cassation l’absence ou l’insuffisance de motivation spéciale ; exiger que le jugement expose concrètement les éléments de la personnalité et de la situation sociale du prévenu.

Art. 723-15 CPP

Pose, pour les peines fermes ≤ 6 mois, un principe d’aménagement obligatoire (DDSE, semi-liberté, placement extérieur), sauf impossibilité liée à la personnalité ou à la situation du condamné. Condamnation à 4 mois ferme pour usage de stupéfiants sans aménagement : la juridiction doit expliquer pourquoi le bracelet ou la semi-liberté étaient impossibles, au regard des éléments fournis par la défense. Appuyer la demande d’aménagement ab initio sur ce texte ; en cas de refus non motivé, invoquer la violation devant la cour d’appel ou la Cour de cassation.
Crim. 29 nov. 2016, n° 15-86.116 (formation plénière) Rappelle que le juge doit justifier la nécessité de la prison ferme et spécialement motiver le refus d’aménagement, en se référant à la personnalité et à la situation matérielle, familiale et sociale. Cour d’appel prononçant un an ferme sans aménagement pour trafic de stupéfiants, en se bornant à évoquer la gravité des faits : l’arrêt encourt la censure pour défaut de motivation. Citer cet arrêt pour exiger une motivation individualisée, non stéréotypée ; faire valoir que la seule gravité de l’infraction ne suffit pas à justifier un refus d’aménagement.

Arrêts Crim. 11 mai 2021 (formation solennelle)

Précisent l’articulation des nouveaux textes (loi 2019) sur le prononcé et la motivation des peines et de leur aménagement, en confirmant la logique d’exception pour la prison ferme non aménagée. Dossier de comparution immédiate où la cour d’appel aggrave la peine et refuse l’aménagement sans s’expliquer sur la situation sociale du prévenu. Invoquer ces décisions pour soutenir que la motivation doit être renforcée depuis la réforme de 2019 ; souligner que la cour ne peut se contenter d’une motivation standard.

Doctrine et rapports (OIP, ACAT, études universitaires)

Constat convergent de l’inefficacité des courtes peines et de leurs effets désocialisants, avec un taux de récidive plus élevé pour les personnes ayant purgé de courtes peines en prison. Dossier d’un jeune majeur condamné à des peines courtes répétées, sans amélioration de sa situation. Appuyer les plaidoiries sur des données objectives montrant que l’aménagement et les peines en milieu ouvert sont plus efficaces que la prison courte pour prévenir la récidive.

5. Tableau 5 – Check-list Cabinet ACI pour la défense d’une courte peine aménageable (Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

Étape Objectif Actions concrètes Observations

1. Consultation pénale initiale

Identifier le risque de courte peine ferme et les moyens d’y répondre. Analyse de la procédure (garde à vue, convocation, CRPC, comparution immédiate) ; explication des enjeux des courtes peines ; liste des pièces à rassembler (emploi, logement, soins, famille). Moment clé pour instaurer un lien de confiance ; le client doit comprendre que, même en cas de culpabilité, l’enjeu majeur est souvent la modalité d’exécution de la peine.

2. Constitution du dossier de personnalité

Prouver l’ancrage social du prévenu et la possibilité d’un aménagement. Collecte d’attestations, contrats, justificatifs de domicile, certificats médicaux ; rédaction d’un mémo synthétique à remettre au tribunal ; préparation d’un projet d’aménagement (bracelet, semi-liberté, placement extérieur). Plus le dossier est solide, plus il sera difficile pour le tribunal de motiver un refus d’aménagement ; chaque pièce doit être lisible et immédiatement exploitable.

3. Plaidoirie sur la peine et son aménagement

Convaincre la juridiction de l’inutilité d’une courte incarcération sèche. Démonstration structurée : rappel du cadre légal (132-19, 723-15 CPP), exposé des conséquences désocialisantes des courtes peines, présentation du projet d’aménagement, réponse aux arguments du parquet. La plaidoirie doit articuler droit et réalité humaine : expliquer ce que signifierait concrètement 3 ou 4 mois de prison pour le prévenu et sa famille.

4. Analyse du jugement et décision d’appel

Vérifier la motivation de la peine et du refus d’aménagement ; décider d’un recours. Lecture attentive du dispositif et des motifs ; identification des failles (motivation stéréotypée, absence de référence à la situation sociale, ignorance du projet d’aménagement) ; consultation avec le client sur l’opportunité de l’appel. Le délai d’appel est court ; il faut agir vite, en expliquant clairement au client les effets de l’appel sur l’exécution de la peine et sur l’aménagement.

5. Saisine du JAP pour l’aménagement

Mettre en œuvre, même après le jugement, une stratégie de sortie de prison encadrée. Dépôt d’une requête en aménagement (DDSE, semi-liberté, placement extérieur, libération conditionnelle) ; mise à jour du dossier de personnalité ; préparation du débat contradictoire devant le JAP. Le travail se poursuit au-delà de l’audience : l’objectif est de transformer la courte peine en un dispositif de réinsertion plutôt qu’en une parenthèse carcérale destructrice.

En définitive, les courtes peines d’emprisonnement apparaissent, au regard du droit positif comme de l’expérience des

praticiens, largement contreproductives : elles désinsèrent plus qu’elles ne préviennent la récidive. Le droit français, malgré des

inflexions politiques récentes, demeure structuré autour de l’idée que la prison ferme doit être un ultime recours, spécialement

pour les peines courtes, et que celles-ci doivent être aménagées chaque fois que la personnalité et la situation du condamné le

permettent.

C’est dans ce cadre que le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, construit sa stratégie : contester la courte peine lorsqu’elle est

injustifiée, et, lorsqu’elle est inévitable, tout mettre en œuvre pour qu’elle soit exécutée dans les formes les plus respectueuses de la

dignité, de la réinsertion et des droits fondamentaux du justiciable.

VII).  —  Contactez un avocat

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

pour votre défense

A).  —  LES MOTS CLES JURIDIQUES : 

1 – Courtes peines : notions générales

courtes peines de prison, courte peine d’emprisonnement, peine ferme de courte durée, incarcération de courte durée, petite peine de prison, exécution des courtes peines, prison contre-productive, effets des peines courtes, efficacité des peines, prévention de la récidive, justice pénale moderne, individualisation de la peine, proportionnalité de la peine, dernier recours prison, alternatives à l’incarcération, peines en milieu ouvert, politique des courtes peines, critique des peines brèves, désocialisation par la prison,

trajectoire carcérale, trajectoire pénale, rupture sociale, peine adaptée au profil, sanctions graduées, peines utiles, peines intelligentes,

réforme des peines, loi du 15 août 2014, loi du 23 mars 2019, quantum de peine, seuils d’aménagement, principe d’aménagement, prison et société, surpopulation carcérale, coût social de la prison, coût budgétaire des peines courtes, peines et sécurité publique, exécution des sanctions, droit pénal contemporain, débat sur les peines, contentieux correctionnel, pratique des tribunaux, prévenu, condamné, audience correctionnelle, jugement pénal, stratégie de défense, avocat pénaliste, Cabinet ACI

2 – Aménagement des peines et alternatives

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

aménagement des courtes peines, aménagement de peine ab initio, aménagement par le JAP, juge de l’application des peines, semi-liberté, détention à domicile sous surveillance électronique, bracelet électronique, placement à l’extérieur, libération conditionnelle, libération sous contrainte, peines en milieu ouvert, peines autonomes, travail d’intérêt général, jours-amende, sursis probatoire, obligations de soins, obligations de travail, obligations de formation, interdictions de paraître, interdictions de contact, contrôle judiciaire, mesures de sûreté, exécution aménagée, peine ajustée, projet de réinsertion, plan de peine, peines utiles à la société, peines réparatrices, suivi pénitentiaire, SPIP, probation, encadrement judiciaire, respect des obligations, échec de la peine, réussite de la peine, prévention de la récidive par l’aménagement, stratégies d’aménagement, contentieux de l’application des peines, recours contre refus d’aménagement, JAP de Paris, tribunal de l’application des peines, défense en exécution des peines, accompagnement par l’avocat, Cabinet ACI aménagement, avocat aménagement de peine Paris

3 – Surpopulation carcérale et conditions de détention

surpopulation carcérale, nombre de détenus, densité carcérale, conditions indignes de détention, cellule surpeuplée, matelas au sol, hygiène en prison, accès aux soins en détention, violences en détention, tensions carcérales, établissements surchargés, maison d’arrêt, flux d’entrées et de sorties, rotation des courtes peines, tourniquet carcéral, impact des courtes peines sur la surpopulation, condamnations de la France par la CEDH, article 3 CEDH, dignité des détenus, prévention des traitements inhumains, politique pénitentiaire, construction de prisons, alternatives à l’incarcération, coût de la surpopulation, gestion des flux pénaux, rôle des peines courtes dans la surpopulation, désorganisation des services, SPIP surchargé, manque de suivi individualisé, prison et santé mentale, prison et addictions, impact sur la réinsertion, critique de l’incarcération systématique, réforme de la carte pénitentiaire, débats parlementaires, rapports OIP, rapports ONG, expertise pénale, discours doctrinal, Cabinet ACI surpopulation, avocat et conditions de détention

4 – Récidive et efficacité des sanctions

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

récidive, prévention de la récidive, efficacité des peines, comparaison prison / milieu ouvert, récidive après courte peine, récidive après aménagement, trajectoire délinquante, désistance, accompagnement sociojudiciaire, suivi en probation, évaluation des risques, criminologie pratique, récidive en stupéfiants, récidive en violences, récidive en infractions routières, cercle vicieux prison, facteurs de récidive, facteurs de protection, insertion professionnelle et récidive, insertion familiale et récidive, addictions et récidive, soins et baisse de récidive, preuve scientifique des effets des peines, études sur les peines courtes, politique pénale fondée sur les preuves, sanctions proportionnées, peines intelligentes, justice restaurative, médiation pénale, alternatives éducatives, prévention auprès des jeunes, prise en charge globale, suivi pluridisciplinaire, rôle du SPIP, rôle du JAP, rôle de l’avocat, Cabinet ACI et récidive, stratégie orientée réinsertion, plaidoirie sur la récidive

5 – Juge de l’application des peines et SPIP

juge de l’application des peines, JAP Paris, tribunal de l’application des peines, compétence du JAP, office du JAP, débats contradictoires en application des peines, audience devant le JAP, décisions d’aménagement, révocation d’aménagement, refus d’aménagement, motivation du JAP, recours contre décision du JAP, chambre de l’application des peines, SPIP, conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation, enquête de faisabilité, rapport SPIP, suivi des obligations, contrôle du calendrier de peine, projet d’aménagement, projet de sortie, collaboration avocat–SPIP, relation condamné–SPIP, éloignement géographique, suivi en milieu ouvert, interventions en détention, fiches de projet, propositions d’orientation, accompagnement social, protection de la société, réinsertion encadrée, articulation JAP / juridiction de jugement, articulation JAP / parquets, Cabinet ACI devant le JAP, contentieux des courtes peines, défense du condamné

6 – Détention à domicile sous surveillance électronique

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

détention à domicile sous surveillance électronique, DDSE, bracelet électronique, exécution de la peine à domicile, surveillance électronique fixe, contrôle des horaires, curfew pénal, pointage électronique, obligations de présence, compatibilité avec le travail, compatibilité avec la formation, peines aménagées technologiques, contrôle par le SPIP, incidents de bracelet, révocation de DDSE, logement stable, accord du propriétaire, accord de la famille, impact sur l’entourage, contraintes quotidiennes, avantages du bracelet, maintien des liens familiaux, maintien de l’emploi, peines courtes et bracelet, DDSE ab initio, JAP et DDSE, tribunal et aménagement immédiat, peines inférieures à six mois, respect des obligations, rôle de l’avocat dans la mise en place, Cabinet ACI et bracelet électronique, défense en DDSE, stratégie pour éviter la prison ferme

7 – Semi-liberté et placement à l’extérieur

semi-liberté, centre de semi-liberté, aller-retour quotidien prison / travail, journée de travail en liberté, nuit en détention, horaires stricts, suivi de la semi-liberté, incidents de semi-liberté, placement à l’extérieur, hébergement associatif, chantier d’insertion, entreprise d’accueil, structure médico-sociale, encadrement éducatif, projet de réinsertion, travail protégé, peines courtes et semi-liberté, peines courtes et placement à l’extérieur, articulation avec l’emploi, articulation avec la formation, rôle du SPIP, rôle du JAP, peines intelligentes, alternatives à l’incarcération totale, maintien d’un rythme de vie, intégration progressive, préparation de la sortie, obligations de soins, obligations de réparation, mise en valeur du travail accompli, rapports de stage, évaluation de la mesure, Cabinet ACI et semi-liberté, avocat et placement à l’extérieur

8 – Sursis probatoire et autres peines alternatives

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

sursis probatoire, ancien sursis avec mise à l’épreuve, probation, obligations du sursis probatoire, pointages, soins obligatoires, interdictions de contact, interdictions de paraître, obligation de travail, obligation de formation, indemnisation de la victime, sursis simple, sursis intégral, sursis partiel, peines autonomes, travail d’intérêt général, jours-amende, stages de sensibilisation, stage de citoyenneté, stage « violence conjugale », stage de sensibilisation aux dangers des produits stupéfiants, peines de confiscation, peines d’interdiction professionnelle, peines d’interdiction de conduire, peines complémentaires, échelle des peines, graduation des sanctions, peines adaptées à la personnalité, substitution à la courte peine, politique de réduction de l’incarcération, Cabinet ACI et sursis probatoire, stratégie de peine alternative, avocat pénaliste et peines autonomes

9 – Infractions concernées par les courtes peines

infractions routières, conduite sans permis, conduite en état alcoolique, excès de vitesse important, usage de stupéfiants, petite revente de stupéfiants, détention de stupéfiants, vol simple, vol aggravé, recel, dégradations légères, outrages, violences simples, petites violences aggravées, menaces, infractions de faible gravité apparente, petite délinquance urbaine, contentieux de masse, comparutions immédiates, dossiers à quantum modéré, multi-récidivistes, primo-délinquants, jeunes majeurs, délits de précarité, délits liés aux addictions, peines de 2 à 6 mois, politique pénale du quotidien, rôle des courtes peines dans ce contentieux, pratique des parquets, pratiques des tribunaux, disparités territoriales, juridictions parisiennes, Cabinet ACI et défense de ces dossiers, stratégie anti-prison

10 – Emploi, logement, famille et insertion

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

emploi et courte peine, licenciement pour absence, chômage après détention, rupture de contrat, désinsertion professionnelle, employeur et condamnation pénale, mention au casier, logement et peine courte, loyer impayé, expulsion, crédit immobilier, endettement, aides sociales suspendues, famille et prison courte, rupture de couple, séparation, enfants et parent détenu, autorité parentale, droit de visite, pension alimentaire, précarité matérielle, filets de sécurité, accompagnement social, insertion professionnelle, insertion par le logement, insertion familiale, importance des attaches, projet d’insertion, soutien associatif, soutien familial, liens sociaux, communauté d’accueil, prévention de la marginalisation, Cabinet ACI et enjeux d’insertion, plaidoirie sur la situation personnelle

11 – Santé, addictions et suivi en milieu ouvert

santé physique, santé mentale, troubles psychiatriques, dépression, risque suicidaire, addictions, alcool, drogues, médicaments, polyconsommation, prise en charge addictologique, CSAPA, soins ambulatoires, thérapie individuelle, thérapie de groupe, injonction de soins, obligation de soins en sursis probatoire, courte peine et rupture de soins, continuité thérapeutique, prison et santé mentale, hospitalisation, soins pénitentiaires, suicide en détention, peines en milieu ouvert et soins, articulation justice–santé, prévention de la récidive par le soin, expertise psychiatrique, rapport médical, certificat de suivi, projet thérapeutique, argumentation sur la santé, Cabinet ACI et dossiers d’addiction, défense de personnes vulnérables

12 – Jeunes majeurs et primo-délinquants

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

jeunes majeurs, primo-délinquants, découverte de la justice pénale, choc de la première condamnation, casier judiciaire vierge, avenir professionnel, insertion scolaire, formation professionnelle, apprentissage, stage en entreprise, famille soutenante, solutions éducatives, mesures alternatives, sursis probatoire éducatif, peines en milieu ouvert, prévention de la récidive chez les jeunes, évitement de la première incarcération, effets d’étiquetage, stigmatisation, construction identitaire, accompagnement par l’avocat, rôle des parents, rôle des éducateurs, seuil de tolérance des juges, politique pénale envers les jeunes, justice restaurative, médiation, réparation envers la victime, parcours d’insertion, Cabinet ACI et défense des jeunes majeurs, stratégie long terme

13 – Étrangers, OQTF et courtes peines

personnes étrangères, titre de séjour, situation irrégulière, régularisation, condamnation pénale et séjour, OQTF, interdiction de retour, interdiction du territoire français, ITF, lien entre peine et éloignement, prison et expulsion, détention administrative, contentieux des étrangers, droit d’asile, vie privée et familiale, article 8 CEDH, enfant français, conjoint français, insertion en France, travail déclaré, promesse d’embauche, recours contre les décisions préfectorales, articulation pénal–administratif, rôle du parquet, rôle du juge administratif, impact des courtes peines sur le séjour, risques d’éloignement à la sortie, stratégie de défense globale, Cabinet ACI pénal et étrangers, coordination entre avocats, argumentation sur la disproportion, protection de la vie familiale

14 – Droits fondamentaux et CEDH

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

droits fondamentaux, liberté, sûreté, dignité, article 5 CEDH, article 3 CEDH, article 8 CEDH, droit à un procès équitable, article 6 CEDH, droit au recours effectif, contrôle de la détention, contrôle des peines, principe de nécessité, principe de proportionnalité, principe d’individualisation, jurisprudence CEDH sur les prisons, condamnations de la France, recours devant la CEDH, droits de la défense, droit à l’avocat, accès au dossier, publicité des débats, motivation des décisions, transparence de la justice, protection des personnes vulnérables, contrôle de la surpopulation, conditions matérielles de détention, mécanismes nationaux de prévention, contrôleur général des lieux de privation de liberté, Conseil de l’Europe, doctrine pénale européenne, Cabinet ACI et droits fondamentaux, plaidoyer conventionnel

15 – Pratique des tribunaux correctionnels

tribunal correctionnel, audience pénale, composition du tribunal, président, assesseurs, ministère public, parquet, substitut du procureur, réquisitions, plaidoirie de la défense, débat contradictoire, délibéré, prononcé du jugement, peines de prison ferme, peines mixtes, peines alternatives, mandats de dépôt, maintien en liberté, comparution immédiate, convocation par procès-verbal, citation directe, renvoi du juge d’instruction, pratique des peines courtes, culture de juridiction, disparités territoriales, usage de l’aménagement ab initio, échanges avec le JAP, pression des délais, politique pénale locale, rôle de l’avocat pénaliste, Cabinet ACI et tribunaux parisiens, défense en correctionnelle

16 – Comparution immédiate et courtes peines

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

procédure de comparution immédiate, urgence de jugement, instruction à l’audience, prévenu déféré, garde à vue, défèrement, délai pour préparer la défense, demande de renvoi, détention provisoire en cas de renvoi, peines fermes prononcées en comparution immédiate, peines courtes fréquentes, usage des mandats de dépôt, pression des chiffres, contentieux de masse, files de comparutions, rôle du parquet en comparution immédiate, rôle de la défense, stratégie de renvoi ou jugement immédiat, risque de prison immédiate, possibilité d’aménagement ab initio, articulation comparution immédiate / JAP, pratique des juridictions parisiennes, accompagnement d’urgence, Cabinet ACI comparution immédiate, permanence pénale, défense rapide mais structurée

17 – Exécution des peines et suivi SPIP

exécution des peines, service de l’exécution des peines, greffe pénal, convocation au SPIP, convocation à la maison d’arrêt, délais d’exécution, peines en attente, mandat de dépôt, mandat d’arrêt, écrou, fiches pénitentiaires, calcul de peine, crédits de réduction de peine, réduction de peine supplémentaire, libération sous contrainte, remises de peine, incident d’exécution, révocation d’aménagement, suivi SPIP en milieu ouvert, visites SPIP, entretiens SPIP, programmes collectifs, formation en détention, ateliers, réinsertion, rôle de l’avocat durant l’exécution, correspondances avec l’administration, contentieux de l’exécution, Cabinet ACI suivi de peine, accompagnement des détenus

18 – Politique pénale, réformes et débats

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

politique pénale, circulaires de politique pénale, orientations du ministère, discours publics sur la prison, débat sur la fermeté, débat sur le laxisme, réforme des peines, projets de loi, propositions de loi, aménagement obligatoire des courtes peines, remise en cause de l’aménagement obligatoire, incarcération comme règle, aménagement comme exception, chiffres de la délinquance, statistique pénale, communication médiatique, émotions collectives, réponses symboliques, populisme pénal, rationalité pénale, droit pénal de l’ennemi, justice restaurative, justice réparatrice, justice de proximité, rôle des ONG, rapports d’experts, doctrine universitaire, Cabinet ACI et analyses doctrinales, défense fondée sur le droit

19 – Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris

Cabinet ACI, Cabinet ACI Paris, Cabinet ACI avocat pénaliste, avocat pénaliste Paris, défense pénale Paris, courtes peines et Cabinet ACI, stratégie d’aménagement de peine, assistance en comparution immédiate, assistance devant le tribunal correctionnel, assistance en appel, assistance devant le JAP, défense en maison d’arrêt, visites au parloir avocat, consultation pénale approfondie, conseil en amont de l’audience, analyse du risque de prison, préparation dossier de personnalité, collecte d’attestations, montage de projet de réinsertion, accompagnement des familles, suivi après jugement, rédaction de conclusions, mémoire d’appel, pourvoi en cassation, veille juridique permanente, approche doctrinale, plaidoirie structurée, ton clair et pédagogique, cabinet indépendant, déontologie, disponibilité, confidentialité, écoute du justiciable

20 – Conseils pratiques pour justiciables et familles

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

conseils avant l’audience, comment se préparer au tribunal, documents à apporter, attestations de proches, attestations d’employeur, certificats médicaux, preuves de logement, preuves de ressources, organisation familiale, garde des enfants, anticipation d’une éventuelle incarcération, sac de détention, contact avec l’avocat, compréhension du jugement, décision d’appel, démarches auprès du JAP, demandes d’aménagement, préparation des parloirs, soutien psychologique, recours aux associations, gestion du budget, protection du logement, relation avec l’employeur, maintien des liens familiaux, écriture en détention, reconstruction après la courte peine, accompagnement par le Cabinet ACI, information claire, pédagogie, ne pas rester seul, se faire aider, stratégie sur le long terme

B).  —  LES PHRASES JURIDIQUES :

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

1 – Courtes peines : définition et enjeux

  1. Les courtes peines de prison posent des enjeux majeurs de réinsertion.
  2. Une courte peine d’emprisonnement peut désorganiser toute une vie en quelques semaines.
  3. Le Cabinet ACI explique pourquoi les courtes peines sont souvent contreproductives.
  4. La prison de courte durée ne laisse pas le temps de reconstruire un projet.
  5. Les courtes peines sont au cœur du débat sur la politique pénale moderne.
  6. De nombreuses condamnations correctionnelles se traduisent encore par des peines brèves.
  7. L’avocat pénaliste doit alerter le tribunal sur les effets réels des peines courtes.
  8. Les courtes peines frappent surtout les personnes déjà précaires et fragilisées.
  9. Une courte incarcération peut suffire à faire basculer un justiciable dans la marginalité.
  10. La loi récente cherche à limiter le recours aux peines d’un mois.
  11. Le Cabinet ACI rappelle que la prison ferme doit rester un ultime recours.
  12. L’enjeu des courtes peines est d’articuler sanction, prévention et réinsertion.
  13. Une courte peine mal aménagée peut aggraver le risque de récidive.
  14. Les juridictions doivent justifier précisément le prononcé d’une courte peine ferme.
  15. Le justiciable doit comprendre les conséquences d’une courte peine avant l’audience.

2 – Effets désocialisants des courtes peines

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Une courte peine de prison provoque souvent une désocialisation fulgurante.
  2. La rupture d’emploi après une courte détention est un classique de la pratique.
  3. Les courtes peines entraînent des pertes de logement difficiles à rattraper.
  4. Les dettes s’accumulent pendant la courte incarcération, sans possibilité de régulariser.
  5. La prison, même brève, fragilise les liens familiaux et conjugaux.
  6. Les courtes peines désorganisent totalement le suivi médical et les soins psychologiques.
  7. Pour le Cabinet ACI, la courte peine est souvent socialement ruineuse.
  8. La désocialisation rend plus difficile toute recherche de travail après la sortie.
  9. Un dossier de personnalité solide permet de démontrer cet effet désocialisant.
  10. Le juge doit prendre en compte l’impact de la peine sur l’insertion.
  11. L’avocat pénaliste détaille toujours les conséquences concrètes d’une courte incarcération.
  12. La désocialisation ne sert ni la victime ni la sécurité publique.
  13. Les familles subissent elles aussi la violence de la courte peine.
  14. Mieux vaut une peine aménagée qu’une courte peine destructrice.
  15. Le Cabinet ACI construit sa stratégie autour de la lutte contre cette désocialisation.

3 – Courtes peines et récidive

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Les études montrent que les courtes peines n’empêchent pas la récidive.
  2. La prison de courte durée peut même favoriser la récidive chez certains profils.
  3. La récidive s’explique souvent par la perte d’emploi liée à la peine.
  4. Le Cabinet ACI plaide pour des peines qui réduisent réellement la récidive.
  5. Les peines aménagées en milieu ouvert sont souvent plus efficaces que la prison.
  6. Un suivi en sursis probatoire peut prévenir mieux la récidive qu’une courte incarcération.
  7. La récidive ne se combat pas par le seul enfermement.
  8. Les courtes peines alimentent le fameux « tourniquet carcéral ».
  9. L’objectif de la peine doit rester la protection durable de la société.
  10. L’avocat pénaliste s’appuie sur les données disponibles pour argumenter sur la récidive.
  11. Les juridictions doivent privilégier les outils qui réduisent effectivement la récidive.
  12. Les courtes peines mal pensées créent une illusion de fermeté.
  13. La récidive doit être analysée en tenant compte du parcours social du justiciable.
  14. Le Cabinet ACI insiste sur les parcours de soins et de travail pour éviter la récidive.
  15. Une politique pénale intelligente préfère les solutions qui fonctionnent aux symboles.

4 – Courtes peines et surpopulation carcérale

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Les courtes peines alimentent directement la surpopulation carcérale.
  2. L’entrée et la sortie rapides des détenus créent un flux difficile à gérer.
  3. La surpopulation rend les conditions de détention souvent indignes.
  4. Le Cabinet ACI rappelle que la France a déjà été condamnée pour la surpopulation.
  5. Chaque courte incarcération occupe une place qui manque pour les dossiers lourds.
  6. La surpopulation réduit les possibilités de prise en charge individualisée.
  7. Les courtes peines saturent les services pénitentiaires d’insertion et de probation.
  8. Les établissements de maison d’arrêt sont particulièrement touchés par ce phénomène.
  9. L’avocat peut rappeler ces réalités pour plaider un aménagement plutôt qu’une incarcération.
  10. La surpopulation carcérale est un argument sérieux contre la multiplication des peines courtes.
  11. Les juridictions doivent intégrer cette donnée dans l’individualisation de la peine.
  12. Le Cabinet ACI utilise ces éléments pour montrer l’inefficacité globale du système.
  13. La solution ne réside pas uniquement dans la construction de nouvelles prisons.
  14. Réduire les courtes peines est un levier important contre la surpopulation.
  15. L’intérêt collectif rejoint ici l’intérêt du justiciable condamné.

5 – Courtes peines et emploi

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. La première victime de la courte peine est souvent le contrat de travail.
  2. Une absence de plusieurs semaines suffit à justifier un licenciement disciplinaire.
  3. Le Cabinet ACI souligne l’importance de préserver l’emploi du justiciable.
  4. Un emploi stable est un facteur essentiel de prévention de la récidive.
  5. L’avocat produit des attestations d’employeur pour montrer cet enjeu.
  6. Les peines aménagées permettent de continuer à travailler malgré la sanction.
  7. La semi-liberté est particulièrement adaptée aux personnes insérées professionnellement.
  8. Le bracelet électronique permet aussi d’honorer un contrat de travail.
  9. Le tribunal doit comprendre qu’une courte peine peut ruiner des années d’efforts.
  10. Le Cabinet ACI insiste sur l’investissement de l’employeur dans le salarié poursuivi.
  11. La perte d’emploi crée des difficultés financières durables pour la famille.
  12. Une peine en milieu ouvert pèse moins lourd sur l’avenir professionnel.
  13. Les courtes peines sans aménagement fabriquent du chômage et de la précarité.
  14. L’avocat pénaliste démontre que l’aménagement protège aussi l’économie locale.
  15. Le maintien dans l’emploi est un objectif central de la défense des courtes peines.

6 – Courtes peines et logement

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Une courte peine peut entraîner la perte du logement et l’expulsion.
  2. Les loyers impayés se cumulent très vite pendant la détention.
  3. Le Cabinet ACI alerte le tribunal sur ce risque d’expulsion.
  4. Sans logement, la réinsertion après la courte peine devient très difficile.
  5. L’avocat produit les baux, quittances et attestations de propriétaires.
  6. Le bracelet électronique préserve beaucoup mieux le lien au logement.
  7. La semi-liberté permet aussi de continuer à payer le loyer.
  8. L’expulsion d’un condamné frappe souvent toute la famille.
  9. La perte du logement aggrave la précarité et la vulnérabilité sociale.
  10. Les juridictions doivent mesurer ce coût humain d’une courte peine ferme.
  11. Le Cabinet ACI plaide pour un aménagement lorsque l’expulsion est prévisible.
  12. Le maintien dans le logement est un puissant facteur de stabilité.
  13. Une peine exécutée à domicile est plus compatible avec la protection du logement.
  14. Le juge doit articuler la peine avec les réalités de l’habitation.
  15. Sauvegarder le logement, c’est aussi prévenir la récidive.

7 – Courtes peines et famille

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Les courtes peines ont un impact brutal sur la vie familiale.
  2. Les enfants ne comprennent pas toujours pourquoi le parent disparaît soudainement.
  3. Le Cabinet ACI insiste sur la nécessité de préserver les liens parentaux.
  4. La prison, même courte, peut fragiliser irrémédiablement un couple.
  5. Les obligations familiales sont un argument fort contre la courte peine ferme.
  6. L’avocat pénaliste montre que la peine en milieu ouvert protège mieux les enfants.
  7. Les parloirs ne remplacent jamais la présence quotidienne d’un parent.
  8. L’incarcération peut compromettre durablement l’équilibre psychologique des enfants.
  9. Les juges doivent intégrer cette réalité dans l’individualisation de la peine.
  10. Le Cabinet ACI propose des solutions d’aménagement compatibles avec la vie familiale.
  11. Les obligations de soins et de travail peuvent être assurées sans rupture familiale.
  12. La courte peine ferme ne laisse pas le temps d’organiser la famille.
  13. Les proches subissent la peine alors qu’ils ne sont pas jugés.
  14. La justice doit veiller à limiter cette « double peine » pour la famille.
  15. Protéger la cellule familiale est compatible avec la protection de la société.

8 – Courtes peines, santé et addictions

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Beaucoup de personnes condamnées à de courtes peines souffrent d’addictions.
  2. La courte détention interrompt souvent un suivi médical déjà fragile.
  3. Le Cabinet ACI produit des certificats de soins pour éclairer le tribunal.
  4. La prison de courte durée n’est pas un lieu adapté au traitement des addictions.
  5. Une prise en charge ambulatoire est souvent plus efficace qu’une incarcération brève.
  6. Le sursis probatoire avec obligation de soins est un outil essentiel.
  7. Les courtes peines non aménagées aggravent parfois la détresse psychique.
  8. L’avocat pénaliste insiste sur la nécessité d’une continuité thérapeutique.
  9. Un suivi en milieu ouvert permet d’articuler peine et soins.
  10. Les services de santé pénitentiaire disposent de moyens limités pour les peines courtes.
  11. Le Cabinet ACI rappelle que la santé du justiciable est un droit fondamental.
  12. La peine ne doit pas aggraver inutilement l’état de santé.
  13. Une peine aménagée peut être construite autour du parcours de soins.
  14. La lutte contre les addictions passe par une démarche volontaire, pas par la seule prison.
  15. Le juge doit considérer les soins comme un outil de prévention de la récidive.

9 – Courtes peines et jeunes majeurs

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Une première courte peine de prison marque profondément un jeune majeur.
  2. Le passage en détention peut accélérer l’entrée dans une carrière délinquante.
  3. Le Cabinet ACI défend une approche éducative pour les primo-délinquants.
  4. La prison n’est pas toujours la bonne école pour un jeune.
  5. Les solutions en milieu ouvert sont souvent plus adaptées aux jeunes adultes.
  6. L’avocat pénaliste met en avant les études ou la formation suivies.
  7. Une courte peine peut faire rater un examen ou une opportunité professionnelle.
  8. Le juge doit garder en tête la nécessité d’offrir une seconde chance.
  9. Le sursis probatoire peut structurer un cadre sans recourir à l’incarcération.
  10. Le Cabinet ACI insiste sur la prévention de la récidive chez les jeunes.
  11. Une première peine aménagée peut orienter vers un changement durable.
  12. Les courtes peines en prison peuvent couper les liens avec l’école ou l’apprentissage.
  13. La justice pénale doit veiller à ne pas fabriquer de futurs récidivistes.
  14. Un jeune accompagné vaut mieux qu’un jeune désocialisé par la prison.
  15. L’avocat pénaliste joue un rôle central dans cette protection de l’avenir.

10 – Courtes peines et infractions de stupéfiants

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Les dossiers de stupéfiants conduisent fréquemment à des peines de quelques mois.
  2. Le Cabinet ACI intervient régulièrement dans des affaires d’usage ou de revente.
  3. La petite revente de stupéfiants est souvent sanctionnée par des courtes peines fermes.
  4. Les addictions sont au cœur de nombreux dossiers de stupéfiants.
  5. Les courtes peines ne traitent pas le problème de fond de la dépendance.
  6. L’avocat pénaliste demande fréquemment un sursis probatoire avec soins.
  7. L’aménagement de peine permet de suivre un traitement tout en étant sanctionné.
  8. Les comparutions immédiates en stupéfiants débouchent souvent sur des peines brèves.
  9. Le Cabinet ACI plaide pour une réponse orientée soins plutôt que purement carcérale.
  10. Une courte incarcération peut couper l’accès aux structures addictologiques.
  11. Les personnes condamnées pour stupéfiants ont besoin d’un accompagnement spécialisé.
  12. La prison n’est pas l’outil principal de lutte contre l’addiction.
  13. Les peines aménagées sont plus cohérentes avec les objectifs de santé publique.
  14. La politique pénale en stupéfiants ne peut se résumer aux courtes peines.
  15. L’avocat doit montrer que l’aménagement protège mieux la société à long terme.

11 – Courtes peines et violences

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Les faits de violences débouchent parfois sur des courtes peines fermes.
  2. Les violences conjugales sont au cœur de ce contentieux sensible.
  3. Le Cabinet ACI concilie protection de la victime et réinsertion de l’auteur.
  4. Une courte peine ferme peut être prononcée dans un contexte de récidive.
  5. L’avocat propose des obligations de soins et d’éloignement comme alternatives.
  6. Les peines en milieu ouvert peuvent intégrer des stages de responsabilisation.
  7. Les violences liées à l’alcool appellent souvent une prise en charge addictologique.
  8. La courte peine ne doit pas empêcher un travail de fond sur la violence.
  9. Le Cabinet ACI plaide régulièrement pour un sursis probatoire renforcé.
  10. Les mesures d’éloignement peuvent protéger la victime sans prison immédiate.
  11. Les courtes peines ne suffisent pas à elles seules à prévenir la récidive de violences.
  12. L’avocat insiste sur le sens de la peine au regard de la situation familiale.
  13. Les juridictions doivent articuler sanction, protection et réinsertion.
  14. Une courte peine aménagée peut être plus efficace qu’une incarcération sèche.
  15. Le Cabinet ACI structure sa défense autour de cette approche globale.

12 – Courtes peines et infractions routières

  1. De nombreuses courtes peines concernent des infractions routières.
  2. La conduite sans permis ou en état alcoolique est très souvent sanctionnée.
  3. Le Cabinet ACI intervient régulièrement dans ces dossiers de la route.
  4. Une courte peine de prison peut ruiner la vie professionnelle d’un chauffeur.
  5. L’avocat plaide pour des peines alternatives centrées sur la sécurité routière.
  6. Les stages de sensibilisation peuvent remplacer utilement une courte incarcération.
  7. Les interdictions de conduire peuvent être plus pertinentes que la prison.
  8. L’aménagement de peine permet de conserver un emploi lié au transport.
  9. Les infractions routières doivent être sanctionnées sans désocialiser inutilement.
  10. Les courtes peines fermes ne sont pas toujours nécessaires pour responsabiliser.
  11. Le Cabinet ACI s’appuie sur la situation professionnelle du prévenu.
  12. Une peine intelligente vise à modifier durablement le comportement routier.
  13. La prison ne doit pas être la seule réponse aux infractions routières.
  14. Un programme de soins pour l’alcool peut être plus utile que la détention.
  15. La défense met en avant les solutions réellement protectrices pour les usagers.

13 – Aménagement ab initio des courtes peines

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. L’aménagement ab initio consiste à organiser la peine dès le jugement.
  2. Le tribunal peut décider immédiatement d’un bracelet ou d’une semi-liberté.
  3. Le Cabinet ACI sollicite souvent un aménagement ab initio pour les courtes peines.
  4. Un projet d’aménagement solide doit être préparé avant l’audience.
  5. L’avocat présente un plan de travail, de logement et de soins au tribunal.
  6. L’aménagement ab initio évite une incarcération inutilement désorganisatrice.
  7. Les juges apprécient les projets concrets de réinsertion.
  8. Le prévenu doit prouver sa capacité à respecter des contraintes en milieu ouvert.
  9. Le Cabinet ACI insiste sur la compatibilité du projet avec la sécurité publique.
  10. L’aménagement immédiatement décidé donne un sens clair à la peine.
  11. Les courtes peines peuvent ainsi être exécutées sans rupture sociale complète.
  12. L’avocat pénaliste rappelle les textes qui imposent de privilégier l’aménagement.
  13. Un refus d’aménagement doit toujours être spécialement motivé par le tribunal.
  14. L’aménagement ab initio protège le justiciable et la collectivité.
  15. Cette stratégie est au cœur de la défense des courtes peines.

14 – Rôle du juge de l’application des peines

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Le JAP reste un acteur central pour les courtes peines non aménagées.
  2. Le Cabinet ACI saisit le JAP pour obtenir un aménagement ultérieur.
  3. Le juge de l’application des peines examine la situation actuelle du condamné.
  4. Un dossier de personnalité actualisé est indispensable devant le JAP.
  5. Le JAP peut transformer la courte peine ferme en bracelet électronique.
  6. Il peut également accorder une semi-liberté ou un placement à l’extérieur.
  7. Le JAP tient compte des avis du SPIP et des pièces produites par la défense.
  8. Le Cabinet ACI prépare le débat contradictoire devant le juge de l’application.
  9. Les refus d’aménagement peuvent être contestés devant la chambre de l’application.
  10. Le JAP joue un rôle clé dans la prévention de la récidive.
  11. L’avocat pénaliste accompagne le détenu dans ces démarches techniques.
  12. Les courtes peines peuvent être réorientées vers un parcours de réinsertion.
  13. Le JAP incarne l’idée d’une peine dynamique et évolutive.
  14. Le Cabinet ACI veille au respect des droits du condamné dans ce cadre.
  15. L’intervention du JAP donne une seconde chance à beaucoup de justiciables.

15 – Détention à domicile sous surveillance électronique

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Le bracelet électronique est une alternative majeure aux courtes peines.
  2. Il permet de purger la peine à domicile sous strict contrôle.
  3. Le Cabinet ACI construit des projets de bracelet compatibles avec la vie familiale.
  4. La détention à domicile impose des horaires rigoureux de présence.
  5. Le condamné peut continuer à travailler sous réserve d’horaires adaptés.
  6. Les courtes peines sont particulièrement adaptées à ce type d’aménagement.
  7. L’avocat pénaliste doit démontrer la stabilité du logement.
  8. L’accord de la famille ou du bailleur est souvent nécessaire.
  9. Le bracelet préserve l’emploi, le logement et les liens familiaux.
  10. Les incidents de surveillance peuvent entraîner une révocation de la mesure.
  11. Le Cabinet ACI explique clairement les contraintes au justiciable.
  12. Le bracelet n’est pas un confort, mais une peine réelle et exigeante.
  13. Les juridictions doivent considérer cette option avant la prison ferme.
  14. Une courte peine exécutée sous bracelet a plus de sens qu’une peine sèche.
  15. La DDSE est un outil clé de la politique de réduction de l’incarcération.

16 – Semi-liberté et insertion professionnelle

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. La semi-liberté permet de travailler le jour et de dormir en détention.
  2. C’est un outil capital pour aménager des courtes peines chez les salariés.
  3. Le Cabinet ACI propose souvent la semi-liberté pour préserver l’emploi.
  4. Les établissements disposant de places en semi-liberté sont toutefois limités.
  5. La semi-liberté impose des retours quotidiens à l’établissement pénitentiaire.
  6. Le condamné doit respecter scrupuleusement les horaires fixés.
  7. Les courtes peines exécutées en semi-liberté restent une sanction réelle.
  8. Le juge apprécie le sérieux du projet professionnel avant d’accorder cette mesure.
  9. Le Cabinet ACI collecte les attestations nécessaires auprès de l’employeur.
  10. Les évolutions professionnelles peuvent être prises en compte par le JAP.
  11. La semi-liberté facilite la préparation d’une sortie définitive sans rupture.
  12. Une courte peine en semi-liberté évite la désinsertion sociale brutale.
  13. Le dispositif protège la société tout en maintenant l’activité économique.
  14. Cette mesure illustre une peine intelligente orientée vers la réinsertion.
  15. L’avocat pénaliste doit en maîtriser toutes les conditions et contraintes.

17 – Placement à l’extérieur et accompagnement social

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Le placement à l’extérieur s’adresse souvent aux personnes très désocialisées.
  2. Il permet d’exécuter la peine dans une structure d’accueil spécifique.
  3. Le Cabinet ACI propose cette mesure lorsqu’un accompagnement social intense est nécessaire.
  4. Les courtes peines peuvent être exécutées au sein d’un chantier d’insertion.
  5. Le placement à l’extérieur favorise la reprise de repères sociaux de base.
  6. Les associations partenaires jouent un rôle central dans ce dispositif.
  7. Le JAP et le SPIP évaluent la faisabilité du placement à l’extérieur.
  8. L’avocat pénaliste doit identifier des structures susceptibles d’accueillir le condamné.
  9. La courte peine devient alors un temps de reconstruction plutôt qu’une rupture.
  10. Le placement à l’extérieur est parfois mieux adapté que la prison classique.
  11. Les personnes concernées reprennent progressivement une activité utile.
  12. Le Cabinet ACI défend cette solution pour certains profils très fragiles.
  13. La mesure peut être aménagée ou ajustée selon l’évolution de la situation.
  14. Ce dispositif illustre l’idée d’une peine au service de la réinsertion.
  15. Les courtes peines y trouvent un sens concret pour la personne et la société.

18 – Sursis probatoire et obligations

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Le sursis probatoire constitue une alternative majeure à la courte peine ferme.
  2. Il permet d’éviter la prison tout en imposant un cadre strict.
  3. Le Cabinet ACI plaide souvent pour un sursis probatoire structuré.
  4. L’intéressé doit accepter des obligations de soins, de travail ou de formation.
  5. Le sursis probatoire impose aussi d’indemniser la victime lorsque c’est possible.
  6. En cas de non-respect, la peine peut être mise à exécution.
  7. Les courtes peines peuvent ainsi être remplacées par un suivi en milieu ouvert.
  8. L’avocat explique clairement les conséquences d’une violation des obligations.
  9. Le sursis probatoire favorise le travail sur la cause de l’infraction.
  10. Les juges recourent à cet outil lorsqu’ils croient à la capacité de changement.
  11. Le Cabinet ACI prépare avec le client un plan cohérent d’obligations.
  12. Les peines en milieu ouvert exigent souvent plus d’efforts que la prison courte.
  13. Le sursis probatoire est un levier de responsabilisation du justiciable.
  14. Il s’inscrit pleinement dans la logique de prévention de la récidive.
  15. L’avocat pénaliste doit en maîtriser toutes les subtilités pour le proposer efficacement.

19 – Travail d’intérêt général et peines alternatives

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Le travail d’intérêt général est une réponse forte aux infractions du quotidien.
  2. Il permet de sanctionner tout en évitant les effets destructeurs de la prison.
  3. Le Cabinet ACI demande souvent la conversion d’une courte peine en TIG.
  4. Le TIG rend visible la sanction aux yeux de la société.
  5. Le condamné contribue concrètement à une œuvre collective ou sociale.
  6. Les peines alternatives nécessitent aussi un engagement réel du justiciable.
  7. Les structures d’accueil doivent être identifiées à l’avance par la justice.
  8. Le TIG est particulièrement adapté aux primo-délinquants.
  9. L’avocat pénaliste explique au client la charge réelle que représente un TIG.
  10. Une courte peine de prison ne produit pas ce type de responsabilisation.
  11. Le Cabinet ACI valorise les expériences réussies de TIG dans ses plaidoiries.
  12. Les peines alternatives illustrent une justice pénale plus intelligente.
  13. Elles réduisent la surpopulation carcérale sans renoncer à la fermeté.
  14. Les juridictions doivent avoir le réflexe des sanctions alternatives avant la prison.
  15. Une peine alternative bien suivie protège mieux la société qu’une courte incarcération sèche.

20 – Libération conditionnelle et libération sous contrainte

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Même une courte peine peut être aménagée en fin de parcours.
  2. La libération conditionnelle s’applique surtout aux peines plus longues.
  3. La libération sous contrainte peut concerner des reliquats de courtes peines.
  4. Le Cabinet ACI saisit le JAP pour organiser ces sorties anticipées.
  5. Ces dispositifs permettent une sortie progressive et encadrée.
  6. Les obligations de soins et de travail accompagnent la libération.
  7. Les courtes peines exécutées en prison peuvent ainsi se terminer en milieu ouvert.
  8. L’avocat pénaliste prépare avec le client un projet de sortie détaillé.
  9. Le JAP examine la conduite en détention et le sérieux du projet.
  10. La libération conditionnelle diminue les risques de récidive à la sortie.
  11. Le Cabinet ACI insiste sur les efforts réalisés pendant la détention.
  12. Les courtes peines ne doivent pas se terminer par une sortie « sèche ».
  13. La société gagne à encadrer la fin de peine plutôt qu’à la subir.
  14. Ces outils complètent l’aménagement ab initio des courtes peines.
  15. Une bonne gestion de la fin de peine est essentielle pour la réinsertion.

21 – Comparution immédiate et courtes peines

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. En comparution immédiate, les courtes peines sont prononcées en quelques heures.
  2. Le Cabinet ACI intervient souvent en urgence dans ce cadre.
  3. Le justiciable découvre la menace de prison immédiate au dernier moment.
  4. Une courte peine peut alors être décidée sans recul suffisant.
  5. L’avocat pénaliste demande parfois un renvoi pour préparer la défense.
  6. Ce renvoi peut toutefois entraîner une détention provisoire intermédiaire.
  7. Le juge doit arbitrer entre rapidité et qualité du jugement.
  8. Les courtes peines prononcées en comparution immédiate posent de vrais enjeux.
  9. Le Cabinet ACI tente de convaincre de l’inutilité d’une incarcération sèche.
  10. Les projets d’aménagement doivent être présentés même dans l’urgence.
  11. L’audience de comparution immédiate n’empêche pas une défense structurée.
  12. Les peines courtes se décident souvent dans ce contexte de flux pénal.
  13. L’avocat doit rester particulièrement vigilant sur la motivation du jugement.
  14. Une courte peine mal motivée peut être contestée en appel.
  15. Le Cabinet ACI se tient prêt à agir dès la garde à vue.

22 – Appel et pourvoi sur les courtes peines

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. L’appel permet de remettre en cause une courte peine prononcée.
  2. Le Cabinet ACI analyse systématiquement l’opportunité d’un appel.
  3. La cour d’appel peut réduire le quantum ou accorder un aménagement.
  4. Les motifs du refus d’aménagement sont scrutés de près en appel.
  5. L’avocat pénaliste peut produire de nouvelles pièces devant la cour.
  6. Un jugement insuffisamment motivé peut être annulé ou réformé.
  7. Le pourvoi en cassation intervient lorsque la loi a été violée.
  8. Les textes sur l’aménagement des peines génèrent un contentieux abondant.
  9. Le Cabinet ACI rédige des mémoires techniques en droit pénal.
  10. Le contrôle de cassation garantit le respect des principes légaux.
  11. Les courtes peines ne sont pas à l’abri d’erreurs de droit.
  12. L’appel et le pourvoi servent aussi à faire évoluer la jurisprudence.
  13. Le justiciable ne doit pas renoncer trop vite à ses voies de recours.
  14. Le Cabinet ACI conseille en toute transparence sur les chances de succès.
  15. Une défense courageuse peut inverser le destin d’une courte peine.

23 – Droits fondamentaux et CEDH

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Les courtes peines doivent respecter les droits fondamentaux du condamné.
  2. La liberté et la sûreté sont protégées par la Convention européenne.
  3. Le Cabinet ACI invoque la CEDH lorsque la prison est disproportionnée.
  4. Les conditions indignes de détention peuvent constituer un traitement inhumain.
  5. Même une courte peine doit être exécutée dans le respect de la dignité.
  6. La surpopulation carcérale est scrutée par les juges européens.
  7. Le droit au recours effectif s’applique aussi aux peines brèves.
  8. L’avocat pénaliste peut articuler arguments internes et conventionnels.
  9. Les courtes peines ne doivent pas devenir une zone grise des droits de l’homme.
  10. Le Cabinet ACI suit de près la jurisprudence européenne sur les prisons.
  11. Les justiciables doivent savoir qu’ils bénéficient de protections supranationales.
  12. La CEDH n’interdit pas la prison, mais encadre strictement son usage.
  13. Les arguments tirés de la dignité renforcent la critique des peines courtes.
  14. Les magistrats intègrent progressivement ces exigences dans leur pratique.
  15. Le respect des droits fondamentaux est au cœur de la défense pénale.

24 – Politique pénale et courtes peines

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Le débat public sur la sécurité influence la politique des courtes peines.
  2. Certains discours prônent un recours accru à l’incarcération.
  3. D’autres voix réclament au contraire une réduction des peines courtes.
  4. Le Cabinet ACI observe ces évolutions pour adapter sa stratégie.
  5. Les réformes récentes ont cherché à limiter les peines d’un mois.
  6. L’aménagement obligatoire des courtes peines fait l’objet de contestations.
  7. La tentation de rendre l’incarcération plus automatique est toujours présente.
  8. L’avocat pénaliste rappelle la réalité des prisons et de la récidive.
  9. La politique pénale doit être évaluée à l’aune de son efficacité réelle.
  10. Les courtes peines sont un terrain d’affrontement idéologique.
  11. Le Cabinet ACI défend une approche fondée sur le droit et la preuve.
  12. Les justiciables ne doivent pas être des instruments de communication politique.
  13. La justice pénale doit rester à distance des emballements médiatiques.
  14. Les réformes doivent préserver l’individualisation de la peine.
  15. La défense pénale participe au débat démocratique sur la prison.

25 – Jeunes majeurs et insertion

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Les jeunes majeurs sont particulièrement vulnérables aux courtes peines.
  2. Le Cabinet ACI plaide pour des solutions éducatives et insérantes.
  3. L’entrée en prison à vingt ans peut orienter toute une trajectoire de vie.
  4. Les courtes peines sur un jeune en formation sont souvent désastreuses.
  5. L’avocat valorise les efforts scolaires ou professionnels accomplis.
  6. Les stages, apprentissages et études méritent d’être protégés.
  7. Les mesures de probation offrent un cadre plus constructif.
  8. Les juges doivent envisager la longue durée du parcours du jeune.
  9. Le Cabinet ACI insiste sur la seconde chance comme principe directeur.
  10. Une courte peine bien aménagée peut limiter les dégâts pour l’avenir.
  11. Les proches jouent un rôle clé dans la réinsertion des jeunes.
  12. Les peines en milieu ouvert permettent de maintenir ce soutien familial.
  13. Les jeunes doivent comprendre les règles du jeu judiciaire.
  14. L’avocat pénaliste explique clairement les conséquences d’une condamnation.
  15. La justice ne doit pas condamner définitivement un jeune pour une erreur.

26 – Étrangers et courtes peines

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Pour un étranger, une courte peine peut déclencher une mesure d’éloignement.
  2. Le Cabinet ACI articule défense pénale et enjeux de séjour.
  3. Une condamnation peut entraîner une OQTF ou une interdiction du territoire.
  4. La courte peine n’est pas anodine quand un titre de séjour est en jeu.
  5. L’avocat pénaliste met en avant la vie familiale en France.
  6. Les liens professionnels et sociaux sont déterminants pour la défense.
  7. Une expulsion après une courte peine peut briser une intégration réussie.
  8. Les juridictions doivent mesurer la double sanction pénale et administrative.
  9. Le Cabinet ACI travaille parfois avec un confrère en droit des étrangers.
  10. Les arguments tirés de l’article 8 CEDH sont souvent mobilisés.
  11. Les courtes peines peuvent avoir des effets migratoires disproportionnés.
  12. La défense doit être globale et non strictement pénale.
  13. Les étrangers doivent être clairement informés des conséquences possibles.
  14. L’avocat pénaliste protège à la fois la liberté et le séjour.
  15. Une peine aménagée peut limiter certains risques d’éloignement.

27 – Relations avec le SPIP

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Le SPIP est un acteur clé de la gestion des courtes peines.
  2. Le Cabinet ACI encourage le condamné à coopérer avec le SPIP.
  3. Les conseillers SPIP évaluent la faisabilité des aménagements de peine.
  4. Un bon contact avec le SPIP facilite les demandes de bracelet ou de semi-liberté.
  5. Les rapports SPIP sont lus avec attention par le JAP et le tribunal.
  6. Le justiciable doit prendre au sérieux chaque convocation.
  7. Les courtes peines aménagées reposent souvent sur ce suivi de terrain.
  8. Le SPIP vérifie la stabilité du logement et de l’emploi.
  9. Le Cabinet ACI peut transmettre des pièces au SPIP pour compléter le dossier.
  10. La coopération tripartite entre juge, SPIP et avocat est déterminante.
  11. Les peines en milieu ouvert exigent un investissement constant de chacun.
  12. Les manquements peuvent entraîner une révocation et une incarcération.
  13. Le SPIP n’est pas un adversaire, mais un partenaire de la réinsertion.
  14. Les courtes peines trouvent leur sens dans ce travail conjoint.
  15. L’avocat pénaliste aide le client à comprendre le rôle du SPIP.

28 – Rôle du Cabinet ACI en audience

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Le Cabinet ACI prépare minutieusement chaque audience de courtes peines.
  2. L’avocat commence par analyser les risques d’emprisonnement ferme.
  3. Un dossier de personnalité complet est constitué avant le jour J.
  4. Le Cabinet ACI organise la collecte d’attestations et de justificatifs.
  5. La plaidoirie insiste sur l’inutilité de la courte peine en prison.
  6. L’avocat propose au tribunal plusieurs solutions d’aménagement adaptées.
  7. Le Cabinet ACI s’appuie sur les textes et la jurisprudence récente.
  8. Les enjeux d’emploi, de logement et de famille sont au cœur de la défense.
  9. L’avocat explique clairement au client ce qui se joue sur la peine.
  10. La stratégie est toujours discutée avec le justiciable avant l’audience.
  11. Le Cabinet ACI défend une ligne claire contre les peines courtes destructrices.
  12. Les tribunaux reconnaissent la solidité des dossiers présentés.
  13. Chaque affaire fait l’objet d’un traitement individualisé.
  14. L’objectif est d’obtenir une peine utile et aménageable.
  15. La défense se poursuit ensuite devant le JAP si nécessaire.

29 – Accompagnement Cabinet ACI en détention

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Lorsque la courte peine est néanmoins prononcée, le Cabinet ACI reste présent.
  2. L’avocat se rend au parloir pour expliquer le jugement au détenu.
  3. Les possibilités d’appel et d’aménagement sont étudiées immédiatement.
  4. Le Cabinet ACI conseille aussi la famille à l’extérieur.
  5. Les démarches auprès du JAP sont préparées dès les premiers jours.
  6. L’avocat suit l’évolution de la situation en détention.
  7. Les efforts du détenu sont mis en valeur pour l’aménagement de peine.
  8. Le Cabinet ACI veille au respect des droits en prison.
  9. Les courtes peines doivent être gérées avec sérieux malgré leur durée limitée.
  10. Le détenu est encouragé à préparer activement sa sortie.
  11. L’avocat pénaliste demeure un repère pendant la période d’incarcération.
  12. Les difficultés pratiques sont prises en compte dans la stratégie globale.
  13. Les échanges réguliers permettent d’ajuster les démarches juridiques.
  14. L’accompagnement ne s’arrête pas à la porte de la prison.
  15. Le Cabinet ACI suit le dossier jusqu’au terme de la peine.

30 – Conseils Cabinet ACI avant l’audience

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Le Cabinet ACI insiste sur l’importance de préparer l’audience en amont.
  2. Le justiciable doit rassembler tous les documents utiles à sa défense.
  3. Il est conseillé de solliciter des attestations de proches et d’employeurs.
  4. L’avocat explique comment se présenter et répondre au tribunal.
  5. Les risques de courte peine de prison sont abordés sans détour.
  6. Un projet d’aménagement est construit avant l’audience.
  7. Le Cabinet ACI recommande d’arriver en avance et avec une tenue soignée.
  8. Le justiciable doit éviter toute attitude agressive ou désinvolte.
  9. La sincérité et la cohérence du discours sont essentielles.
  10. Les proches peuvent être présents pour soutenir l’intéressé.
  11. Le Cabinet ACI répond à toutes les interrogations pratiques.
  12. La préparation réduit le stress du jour de l’audience.
  13. Une défense bien préparée augmente les chances d’éviter la prison.
  14. L’avocat pénaliste sait transformer ces éléments en arguments juridiques.
  15. L’audience n’est pas une fatalité, mais un rendez-vous à préparer.

31 – Conseils Cabinet ACI après le jugement

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Après le jugement, le Cabinet ACI analyse le dispositif avec le client.
  2. La question de l’appel est abordée immédiatement et en détail.
  3. Les délais sont rappelés pour ne pas perdre de droits.
  4. Le Cabinet ACI explique la portée d’une courte peine prononcée.
  5. Les démarches d’aménagement sont envisagées sans attendre.
  6. L’avocat contacte, si nécessaire, le SPIP ou le JAP.
  7. Les proches sont informés des suites possibles du dossier.
  8. Le Cabinet ACI aide à organiser la vie pratique après la décision.
  9. Les conséquences sur l’emploi et le logement sont étudiées.
  10. L’avocat conseille sur la communication avec l’employeur.
  11. Les éléments nouveaux apparus après l’audience peuvent être exploités.
  12. Le Cabinet ACI accompagne le client dans le temps long de l’exécution.
  13. Le jugement n’est qu’une étape dans le parcours pénal.
  14. Une courte peine peut encore évoluer grâce aux aménagements.
  15. L’objectif reste de limiter au maximum les effets destructeurs de la peine.

32 – Réinsertion après une courte peine

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. La réinsertion commence dès le premier jour d’une courte peine.
  2. Le Cabinet ACI encourage le détenu à se projeter vers la sortie.
  3. Les démarches d’emploi ou de formation doivent être anticipées.
  4. Un accompagnement social peut être sollicité auprès d’associations.
  5. La famille joue un rôle essentiel dans la réinsertion.
  6. Les obligations de soins doivent être poursuivies après la peine.
  7. La réinsertion passe par un projet de vie réaliste et structuré.
  8. Le Cabinet ACI aide à mettre en valeur les efforts accomplis.
  9. Les courtes peines ne doivent pas empêcher une reconstruction durable.
  10. Le justiciable peut envisager des actions de réparation ou de bénévolat.
  11. La réinsertion est un objectif partagé par la justice et la société.
  12. L’avocat pénaliste reste disponible pour de nouvelles questions juridiques.
  13. La sortie de prison est un moment délicat à accompagner.
  14. Les erreurs passées ne condamnent pas définitivement l’avenir.
  15. La réinsertion réussie prouve que la peine a eu un sens.

33 – Consultation avec le Cabinet ACI

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Une consultation pénale avec le Cabinet ACI permet de clarifier la situation.
  2. L’avocat analyse les risques de courtes peines et d’aménagement.
  3. Les textes applicables sont expliqués de manière pédagogique.
  4. Le justiciable comprend mieux les enjeux de la procédure.
  5. La consultation prépare une stratégie de défense cohérente.
  6. Le Cabinet ACI identifie les pièces indispensables à rassembler.
  7. Les solutions d’aménagement de peine sont présentées de façon concrète.
  8. La consultation peut se tenir en présentiel ou à distance.
  9. Le client peut poser toutes ses questions sur la prison et les peines.
  10. L’avocat pénaliste évalue l’opportunité de négociations avec le parquet.
  11. La consultation est un moment clé pour reprendre la main sur son affaire.
  12. Le Cabinet ACI met son expérience exclusivement pénale au service du client.
  13. La stratégie construite ensemble guide toute la suite du dossier.
  14. Une bonne consultation permet souvent d’éviter une courte peine ferme.
  15. Prendre rendez-vous tôt est un geste décisif pour sa défense.

34 – Synthèse : courtes peines et aménagement

(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

  1. Les courtes peines de prison sont souvent plus destructrices qu’utiles.
  2. Le droit français impose aujourd’hui de privilégier l’aménagement de ces peines.
  3. Le Cabinet ACI construit une défense centrée sur l’insertion et la prévention de la récidive.
  4. L’aménagement de peine n’est pas du laxisme, mais une politique pénale intelligente.
  5. Se faire assister par un avocat pénaliste à Paris permet de défendre concrètement sa liberté.
De même,
(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

enfin,

de nouveau

de plus,

en dernier lieu,

De plus,

de sorte que,

deuxièmement,

Donc,

en ce qui concerne,

En conclusion,

par ailleurs,

En conséquence,

En dernier lieu,

dommage encore,

En fait,

puis,

En outre,

finalement,

en particulier,
(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

En premier lieu,

finalement,

En revanche,

En somme,

encore une fois,

Enfin,

ensuite,

étant donné que,

Finalement,

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il est question de,

de même,

Il s’agit de,

il y a aussi,

Mais,
(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs,

Par conséquent,

et aussi,

Par contre,

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évidemment,

Par la suite,

par rapport à,

parce que,

plus précisément,

plus tard,

Pour commencer,
(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

touchant à,

Tout d’abord,

Toutefois,
(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

troisièmement

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Mais,
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(Mandat de dépôt à l’audience : quand et comment réagir)

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pénaliste

du cabinet Aci

assurera efficacement votre défense.

Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone, ou

bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation : auteur, co-auteur, complice, receleur ou

victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase

d’enquête (garde à vue) ; d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la

chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration

pénitentiaire par exemple).

Les domaines d’intervention du cabinet Aci

Cabinet d’avocats pénalistes parisiens 

D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo

75 003  PARIS

Puis, Tél. 01 42 71 51 05

Ensuite, Fax 01 42 71 66 80

Engagement, E-mail : contact@cabinetaci.com

Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste (Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

En somme, Droit pénal  (Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

Tout d’abord, pénal général  (Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal  (Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

Puis, pénal des affaires  (Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

Aussi, Droit pénal fiscal  (Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme  (Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

De même, Le droit pénal douanier  (Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

En outre, Droit pénal de la presse  (Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

                 Et ensuite  (Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

Donc, pénal routier infractions

Outre cela, Droit pénal du travail

Malgré tout, Droit pénal de l’environnement

Cependant, pénal de la famille

En outre, Droit pénal des mineurs

Ainsi, Droit pénal de l’informatique

En fait, pénal international

Tandis que, Droit pénal des sociétés

Néanmoins, Le droit pénal de la consommation

Toutefois, Lexique de droit pénal

Alors, Principales infractions en droit pénal

Puis, Procédure pénale

Pourtant, Notions de criminologie