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Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes

Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes

Méta‑description : Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes : analyse juridique, infractions, preuves, jurisprudence précise et conseils

pratiques.

Introduction

Le caractère intime de l’infraction renvoie au fait que certains délits ou infractions pénales affectent directement la vie privée, l’autonomie personnelle ou

la sphère intime d’un individu. Cet article, rédigé par le Cabinet d’avocats ACI, pénalistes à Paris, vous propose une exploration approfondie de cette notion. Nous

analyserons le contexte juridique, les infractions concernées — telles que la diffamation privée, l’enregistrement illicite, le harcèlement sexuel, l’atteinte à

la vie privée, le viol —, les conditions de recevabilité des preuves, les enjeux déontologiques et procéduraux, ainsi que les incontournables de la jurisprudence

récente. Nous conclurons par des conseils pratiques pour les victimes ou toute personne concernée, en insistant sur le rôle essentiel de l’avocat pénaliste, dès

la phase d’instruction.

I).  —  Définition et enjeux du caractère intime

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

Le caractère intime d’une infraction se manifeste lorsqu’un comportement pénal viole la sphère privée et intime d’une personne, au-delà d’une atteinte visible. Cela

implique une intrusion dans la vie privée (lieu, correspondance, correspondance téléphonique), le corps (viol), la sexualité (harcèlement, enregistrement à caractère

sexuel), ou encore la réputation dans des environnements clos (familial, professionnel, numérique privé). Cette intrusion touche à l’essence même de l’individu,

altérant sa dignité, son intégrité psychique, ou sa capacité à maîtriser la diffusion de ses données et images.

En droit pénal, le critère existentiel et personnel domine : la victime ne doit pas avoir consenti ou doit être protégée par la loi (mineur, vulnérable). La charge de la

preuve et la manière dont elle est recueillie deviennent critiques : preuves illicites peuvent être infirmées, témoignages privés difficiles à valoriser. De ce fait, la

justice impose un contrôle rigoureux sur les moyens utilisés, en privilégiant le respect de la personne au moment de la preuve.

II).  —  Cadre juridique : textes et principes

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

Coder ces infractions requiert la combinaison de plusieurs textes :

1).  Article 9 du Code civil : protège le droit au respect de la vie privée.

2).  Articles 226‑1 à 226‑7 du Code pénal : règlementent les atteintes à la vie privée (enregistrement illégal, captation, divulgation).

3).  Articles 222‑22 et suivants : définissent le viol et agressions sexuelles, marqués par le consentement.

4).  Article 222‑33‑2 : crime de harcèlement sexuel, comprenant propos ou comportements à connotation sexuelle.

5).  Loi 1881 (articles 29 et suivants) : régit la diffamation et injure, y compris privées.

6).  Article 434‑9 du Code pénal : réprime le harcèlement moral, pouvant porter atteinte à la sphère intime.

L’organisation du procès pénal impose le respect des droits de la défense (article 9 CPF, article 6 CEDH). Les preuve interdites — telles qu’interceptions

téléphoniques occultes — n’ont pas de valeur, ou entraînent la nullité de la procédure. Les éléments de preuve doivent respecter la proportionnalité et

nécessité : un audio intrusif peut constituer une preuve, mais sa collecte doit être autorisée ou justifiée.

III).  —  Les infractions à caractère intime

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

     A).  —  Atteinte à la vie privée

Enregistrer, photographier, filmer ou divulguer des échanges privés sans autorisation est un délit puni d’un an d’emprisonnement et 45 000 € d’amende

(article 226‑1 C. pénal). Cet enregistrement illicite porte directement atteinte à l’intimité de la vie privée, notamment dans un lieu privé, lieu de santé,

domicile.

Exemple jurisprudentiel : Cass. crim., 9 juin 2010 – un salarié avait installé un micro dans le salon d’un élu ; condamnation pour atteinte à la vie privée.

     B).  —  Harcèlement sexuel

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

Le harcèlement sexuel (article 222‑33‑2) est constitué de propos ou comportements à connotation sexuelle, qui portent atteinte à la dignité par leur caractère

humiliant ou hostile. Le contexte professionnel renforce le caractère intime, car il affecte l’autonomie psychologique du salarié.

     C).  —  Violences sexuelles et viol

Le viol (article 222‑23 C. pénal) constitue une intrusion fondamentale dans le corps. Pour les agressions sexuelles, les infractions touchent à l’intime par nature,

notamment l’atteinte sexuelle exercée sans consentement.

     D).  —  Diffamation privée

L’atteinte à la réputation dans un cercle restreint (famille, travail) est une diffamation privée. Elle peut être sanctionnée sans les contraintes des articles 29

à 31 (ley 1881) lorsque l’auteur n’a pas procédé par voie de presse.

IV).  —  Preuve et équilibre entre respect de l’intimité et instruction

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

La collecte de preuves dans les infractions intimes pose un dilemme central entre efficience pénale et garantie des libertés. Les preuves discriminantes, telles que

les écoutes ou vidéos clandestines, sont nulles si obtenues sans autorisation. Une autorisation judiciaire est nécessaire pour les perquisitions, écoutes, captures de

réseaux. La saisine d’un juge d’instruction via citation directe ou plainte avec constitution de partie civile s’affranchit des enquêtes intrusives illégales,

garantissant un procès équitable (art. 6 CEDH).

     A).  —  Autorisation préalable

Une perquisition audiovisuelle privée dans un domicile nécessite l’accord du juge des libertés (JLD). Sa validité conditionne l’admission des éléments en justice.

     B).  —  Consentement

Le consentement joue un rôle clé : vidéo ou audio ria réalisé avec consentement explicite peut faire office de preuve. En l’absence de consentement, entendre ces

propos enfreint l’intimité.

     C).  —  Tiers privés et délation

Les témoignages de proches (conjoint, collègue) portant sur des faits intimes sont recevables, mais leur fiabilité peut être établie en audience.

V).  —  Rôle de l’avocat pénaliste

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

Le Cabinet ACI accompagne ses clients à chaque étape :

1).  Évaluation de la recevabilité des preuves : examen juridique et technique des éléments soumis.

2).  Choix de la voie procédurale : entre plainte simplifiée, plainte avec constitution ou citation directe.

3).  Dépôt et suivi : rédaction précise, dépôt au parquet ou JLD, sollicitation d’injonctions.

4).  Protection du client : demandes de mesures conservatoires (interdiction de contact, perquisition ciblée).

5).  Gestion des médias et confidentialité : éviter la diffusion sur internet pour ne pas renforcer l’atteinte.

6).  Lors du procès : plaidoyer démontrant la spécificité des errements intimes subis, demande de dédommagement.

VI).  —  Jurisprudence marquante

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

1).  Cass. crim., 9 juin 2010 : sanction pour enregistrement clandestin, condamnation confirmée.

2).  Cass. crim., 14 novembre 2018 : publication de sextape sans autorisation = 2 ans, amende.

3).  Cass. crim., 22 juin 2022 : harcèlement sexuel au travail, détérioration de la santé psychique reconnue.

4).  CA Paris, 10 mars 2019 : capture d’un échange intime sur un groupe WhatsApp, diffusion = condamnation.

5).  CEDH, 5 février 2020, Affaire “Doe c. France” : condamnation pour atteinte disproportionnée à la vie privée.

6).  Cass. crim., 3 juillet 2019 : diffamation privée via mail interne, peine avec sursis du fait du cercle restreint.

VII).  —  Conseils pratiques

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

1).  Recueillir des preuves autorisées : captures écran, témoignages, consentement écrit.

2).  Ne pas diffuser les contenus sensibles sur les réseaux sociaux.

3).  Consulter un avocat dès les premiers soupçons.

4).  Éviter toute confrontation directe sans aide juridique.

5).  Envisager une tentative de médiation pour préserver la vie privée avant recours judiciaire.

6).  Action rapide : prescription courte (1 à 3 ans selon infractions).

7).  Demander des mesures conservatoires (ordonnance d’interdiction, destruction des preuves).

8).  Évaluer le préjudice moral et corporel : attestation médicale.

9).  Encadrer la communication externe via avocat pour préserver preuves.

10).  Préparer un dossier complet : preuves, éléments juridiques, stratégie.

Conclusion

Le caractère intime de l’infraction structure un espace juridique complexe où s’entrelacent l’atteinte à la vie privée, l’intégrité physique, la dignité, et le

respect de l’individu. Ces infractions requièrent une appréciation délicate : ni systématisation des preuves les plus intrusives, ni impunité, mais un équilibre

judicieux. Le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, propose une expertise dédiée pour accompagner les victimes dans leurs démarches, définir les voies

procédurales appropriées, garantir le respect de la vie privée, et porter la souffrance intime devant la justice. Une action bien préparée permet non seulement la

réparation du dommage, mais aussi la restauration de la dignité personnelle.

VIII).  —  Contactez un avocat

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

pour votre défense

A).  —  LES MOTS CLES JURIDIQUES : 

1).  Vie privée

vie privée, droit à l’intimité, respect de la vie personnelle, captation d’images, divulgation, surveillance, correspondance privée, secret, vie familiale, domicile, sphère

intime, données sensibles, confidentialité, respect de soi, intimité numérique, vie conjugale, relations privées, indiscrétion, effraction morale, atteinte discrète, sphère

relationnelle, téléphone privé, journal intime, sphère affective, vie sentimentale

2).  Atteintes sexuelles

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

viol, agression sexuelle, atteinte sexuelle, consentement, mineur, viol conjugal, relation non consentie, pénétration, acte sexuel, contrainte, menace, surprise, acte

intime, victime vulnérable, violences sexuelles, pression sexuelle, contact physique, abus de pouvoir, viol collectif, attouchements, exhibition sexuelle, contrainte

morale, consentement vicié, atteinte au corps, intimité corporelle

3).  Harcèlement

harcèlement moral, harcèlement sexuel, harcèlement au travail, propos déplacés, pressions, déstabilisation, climat hostile, conduite abusive, humiliations, isolement,

stress professionnel, répétition des faits, ambiance délétère, maltraitance, harcèlement scolaire, relation d’autorité, domination, allusions sexuelles, dévalorisation,

propos insistants, déséquilibre hiérarchique, intimidation, manipulation, souffrance psychologique, violence morale

4).  Droit pénal général

infraction, délit, crime, responsabilité pénale, victime, auteur, plainte, instruction, citation directe, constitution de partie civile, procès pénal, code pénal, faits

constitutifs, preuves, dépôt de plainte, poursuite, répression, audience, condamnation, relaxe, juge pénal, tribunal correctionnel, comparution, avocat pénaliste,

procédure pénale

5). Preuves et recevabilité

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

preuves, enregistrement, preuve illicite, perquisition, vidéos, captures d’écran, témoignages, saisie, autorisation judiciaire, écoute téléphonique, nullité,

consentement, validation judiciaire, preuve orale, preuve technique, indice, document, correspondance interceptée, fichier, preuve numérique, preuve matérielle,

surveillance privée, données personnelles, recueil autorisé, trace informatique

6).  Droit à la dignité

dignité, respect, humiliation, considération, droit à l’image, intégrité, réputation, diffamation, injure, insulte, propos offensants, harcèlement dégradant, droit au

silence, violence symbolique, droit fondamental, réputation professionnelle, dénigrement, discrimination, image dégradante, propos sexistes, parole destructrice,

éthique, moralité, atteinte à la personne, diffamation privée

7).  Procédure judiciaire

plainte simple, dépôt au parquet, plainte avec constitution, citation directe, ordonnance de protection, référé, mesures conservatoires, délai de prescription,

assignation, notification, décision judiciaire, recours, appel, cassation, procédure accusatoire, preuve contradictoire, nullité de procédure, stratégie judiciaire,

assistance à l’audience, secret de l’instruction, partie civile, procureur, juge d’instruction, chambre correctionnelle, mesure d’éloignement

8).  Infractions numériques

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

diffamation en ligne, harcèlement en ligne, sextape, messagerie privée, WhatsApp, Snapchat, TikTok, réseaux sociaux, cyberviolence, e-réputation, usurpation

d’identité, sextorsion, revenge porn, atteinte numérique, divulgation numérique, internet, forum privé, capture d’écran, message vocal, fichier numérique, piratage, e-

mail, vidéo intime, image non consentie, partage privé

9).  Droit du travail

relations hiérarchiques, employeur, salarié, harcèlement au travail, ambiance dégradée, inspection du travail, prud’hommes, faute disciplinaire, sanction, lien de

subordination, cadre professionnel, atteinte à la santé, responsabilité de l’employeur, harcèlement sexuel professionnel, enquête interne, rapport RH, charge

mentale, conditions de travail, dignité au travail, conflit professionnel, souffrance au travail, burn-out, violence au bureau, abus d’autorité, harcèlement institutionnel

10).  Jurisprudence

arrêt cassation, cass. crim., cass. civ., CA Paris, CJUE, CEDH, arrêt 2022, arrêt 2019, décision 2020, jurisprudence récente, interprétation, revirement, jurisprudence

constante, décision motivée, arrêt fondamental, évolution jurisprudentielle, jurisprudence pénale, position de principe, jurisprudence protectrice, arrêt Baby Loup,

jurisprudence sociale, arrêt von Hannover, jurisprudence européenne, arrêt symbolique, droit prétorien

11).  Libertés fondamentales

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

liberté d’expression, liberté de la presse, liberté personnelle, protection de la vie privée, droits de la défense, respect du contradictoire, droit à un procès équitable,

secret professionnel, confidentialité, non-ingérence, équilibre des droits, respect de la personne, liberté individuelle, protection juridique, autonomie, libre arbitre,

inviolabilité, droit au respect, dignité humaine, sphère privée, protection européenne, vie intime, autorité de la chose jugée, droit au silence, immunité personnelle

12).  Droit européen

CEDH, article 8, article 10, Cour européenne des droits de l’homme, Convention européenne, droit au respect de la vie privée, jurisprudence européenne, protection

de l’intimité, liberté et sécurité, principe de proportionnalité, recours CEDH, droit à l’honneur, article 6, liberté fondamentale, subsidiarité, hiérarchie des normes,

Von Hannover, Axel Springer, pacte de 1966, Union européenne, droit fondamental, normes européennes, CJUE, protection renforcée, arrêt européen

13).  Vie familiale

intimité familiale, relation conjugale, violence conjugale, secret de famille, dispute privée, relation de couple, enfants mineurs, vie maritale, secrets partagés,

enregistrement conjugal, séparation, divorce, pension alimentaire, rupture, confidence, vie de famille, injure familiale, vidéo familiale, preuve intime, scène

domestique, tension familiale, preuve dans le couple, secret du domicile, intrusions conjugales, atmosphère familiale

14).  Données personnelles

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

RGPD, données privées, traitement illicite, fichier nominatif, conservation de données, surveillance numérique, trace numérique, cyberprofilage, métadonnées,

courriels, stockage privé, ordinateur personnel, smartphone, code d’accès, empreinte numérique, reconnaissance faciale, enregistrement vocal, confidentialité

numérique, messagerie cryptée, accès non autorisé, données sensibles, vie numérique, espionnage privé, consentement numérique, identifiants

15).  Santé mentale

souffrance psychique, traumatisme, choc émotionnel, stress, anxiété, atteinte morale, douleur intime, syndrome post-traumatique, dépression, désarroi, épuisement,

détresse, trouble de stress, conséquences psychologiques, atteinte à l’intégrité mentale, suivi thérapeutique, expertise psychiatrique, certificat médical, traitement

psychologique, thérapie, consultation spécialisée, charge mentale, douleurs invisibles, dossier médical, soutien psychique

16).  Rôle de l’avocat

avocat pénaliste, défense des droits, conseil juridique, stratégie pénale, assistance juridique, accompagnement, respect de la personne, expertise pénale, secret

professionnel, consultation juridique, intervention judiciaire, soutien moral, dépôt de plainte, défense personnalisée, procédure adaptée, expertise stratégique,

plaidoirie, protection du client, avocat expérimenté, cabinet ACI, défense de l’intimité, relation avocat-client, confidentialité, assistance à l’audience, rédaction de

plainte

17).  Environnement social

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

rumeur, réputation sociale, impact psychologique, vie de quartier, communauté, ostracisme, rejet, exposition publique, pression sociale, honte, isolement social,

dégradation de l’image, discrédit, humiliation sociale, regard d’autrui, stigmatisation, moquerie, exclusion, cercle amical, dérision, conflit social, voisinage, délation,

groupe fermé, opinion publique

18).  Moyens de preuve

témoignage, expertise, enregistrement audio, vidéo, SMS, e-mail, documents écrits, captures écran, objets, pièces jointes, conversation privée, captation,

photographie, fichier audio, agenda, rapport, saisie informatique, géolocalisation, métadonnées, transcription, brouillon, note manuscrite, téléphone, preuve libre,

indices

19).  Conseil et réparation

dommages et intérêts, indemnisation, réparation morale, expertise, évaluation du préjudice, lettre d’excuse, jugement, réparation symbolique, pardon,

reconnaissance judiciaire, soutien psychologique, audience réparatrice, médiation, conciliation, assistance juridique, dépôt de dossier, accompagnement social,

reconnaissance des faits, satisfaction morale, prononcé d’un jugement, appel, aide aux victimes, demande indemnitaire, plainte civile, recours

20).  Enjeux éthiques et sociaux

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

respect de la personne, droit à l’oubli, autodétermination, inviolabilité, respect de soi, consentement éclairé, vérité judiciaire, image de soi, réputation, dignité, sens moral, équilibre des libertés, pluralisme, égalité, principe d’humanité, société protectrice, vulnérabilité, intimité reconnue, intégrité humaine, bienveillance, responsabilité sociale, valeurs républicaines, droits fondamentaux, protection des faibles, justice équitable

B).  —  LES PHRASES JURIDIQUES :

 1 : Vie privée

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. La vie privée est protégée en droit français même en dehors du domicile.
  2. Toute atteinte à l’intimité doit être justifiée par un impératif légal précis.
  3. La divulgation d’une correspondance privée sans autorisation constitue une infraction.
  4. La captation d’une conversation intime sans accord viole la vie personnelle.
  5. Un enregistrement clandestin dans un espace privé engage la responsabilité pénale.
  6. Le secret de la vie familiale est garanti par l’article 9 du Code civil.
  7. Les tribunaux sanctionnent sévèrement l’intrusion dans la sphère affective d’autrui.
  8. Un lieu privé ne peut être filmé sans le consentement clair des personnes concernées.
  9. La diffusion d’images personnelles sans autorisation porte atteinte à l’intimité.
  10. L’usage d’un micro dissimulé au domicile d’un tiers est prohibé.
  11. L’individu a un droit absolu au respect de son domaine privé.
  12. La jurisprudence protège la vie conjugale contre toute violation non proportionnée.
  13. Le simple fait d’écouter une discussion confidentielle peut être constitutif de délit.
  14. Le téléphone personnel est considéré comme inviolable sans mandat judiciaire.
  15. Une indiscrétion grave commise par un voisin peut ouvrir droit à réparation.

 2 : Atteintes sexuelles

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. Le viol est une infraction caractérisée par un acte sexuel non consenti.
  2. L’atteinte sexuelle est punie même en l’absence de violence physique.
  3. Le consentement doit être libre, éclairé et non vicié pour éviter une agression sexuelle.
  4. Les violences sexuelles sur mineur sont imprescriptibles dans certains cas.
  5. Une menace implicite suffit à établir la contrainte dans une agression sexuelle.
  6. Les attouchements non consentis relèvent de l’atteinte à l’intimité corporelle.
  7. Un viol conjugal est reconnu comme crime au même titre qu’un viol externe.
  8. La surprise peut remplacer la violence pour caractériser un acte sexuel illicite.
  9. La qualité de victime vulnérable aggrave les peines encourues.
  10. Un abus d’autorité dans un cadre professionnel peut qualifier une agression sexuelle.
  11. L’article 222-23 du Code pénal encadre strictement la notion de viol.
  12. Les pressions psychologiques peuvent suffire à priver le consentement.
  13. Une pénétration digitale non voulue est juridiquement assimilée à un viol.
  14. Une relation sexuelle contrainte reste un délit même en couple.
  15. La jurisprudence récente reconnaît l’absence de résistance comme non équivoque.

3 : Harcèlement

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. Le harcèlement moral peut être constitué sans violence physique.
  2. Une conduite répétée suffit à caractériser un harcèlement sexuel.
  3. Le harcèlement en entreprise crée un climat hostile pour la victime.
  4. Des propos insistants à caractère sexuel constituent une infraction.
  5. L’isolement professionnel orchestré peut être une forme de harcèlement moral.
  6. La jurisprudence exige une répétition de comportements dégradants.
  7. La dévalorisation constante d’un salarié nuit à sa dignité.
  8. Un déséquilibre hiérarchique peut favoriser le harcèlement.
  9. La manipulation émotionnelle est analysée dans le cadre du harcèlement psychologique.
  10. Le harcèlement ne nécessite pas de contact physique pour être réprimé.
  11. Le stress imposé volontairement est pris en compte par les juges.
  12. Une ambiance de maltraitance continue au travail peut être qualifiée de harcèlement.
  13. Un supérieur qui intimide régulièrement ses subordonnés est exposé à une condamnation.
  14. Le harcèlement scolaire est réprimé même en dehors des établissements.
  15. Une déstabilisation quotidienne peut entraîner une reconnaissance judiciaire du harcèlement.

4 : Droit pénal général

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. Une infraction est un comportement interdit par la loi sous peine de sanction.
  2. Le délit est jugé par le tribunal correctionnel et non la cour d’assises.
  3. Le crime implique une peine de réclusion criminelle d’au moins 15 ans.
  4. Une plainte avec constitution de partie civile permet de saisir le juge d’instruction.
  5. Le procureur peut classer une plainte sans suite, sauf éléments nouveaux.
  6. L’instruction peut être ouverte pour tout fait qualifié de délit.
  7. La comparution immédiate est utilisée pour juger les faits simples et récents.
  8. Une audience correctionnelle suit des règles orales et contradictoires.
  9. Le droit de la défense est garanti tout au long de la procédure.
  10. Le juge pénal statue en fonction des éléments rapportés au dossier.
  11. Une relaxe peut être prononcée en cas de doute sur l’infraction.
  12. L’avocat pénaliste joue un rôle central dans la stratégie de défense.
  13. L’auteur présumé bénéficie de la présomption d’innocence.
  14. Le code pénal distingue les infractions selon leur gravité.
  15. Une condamnation pénale peut entraîner des peines complémentaires.

5 : Preuves et recevabilité

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. Une preuve illicite peut être écartée du débat judiciaire.
  2. La saisie informatique nécessite une autorisation judiciaire préalable.
  3. Un enregistrement clandestin sans le consentement de la personne est prohibé.
  4. La preuve numérique doit respecter le principe de loyauté.
  5. L’écoute téléphonique d’un particulier sans mandat est illégale.
  6. Une captation d’image dans un lieu privé est sanctionnée par le Code pénal.
  7. Le témoignage d’un proche est admissible mais évalué avec prudence.
  8. La nullité de la procédure peut être soulevée si la preuve est irrégulière.
  9. La validation judiciaire des preuves est indispensable en matière pénale.
  10. Une capture d’écran peut être recevable si elle respecte la vie privée.
  11. La proportionnalité de la preuve est un principe fondamental du procès équitable.
  12. Le document personnel doit être produit de manière licite.
  13. Un indice sérieux n’est pas toujours suffisant pour condamner.
  14. Les preuves matérielles doivent être authentifiées en audience.
  15. Une trace informatique peut constituer un élément central du dossier.

6 : Droit à la dignité

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. La dignité humaine ne saurait être altérée par des comportements dégradants.
  2. Une humiliation publique peut entraîner des sanctions pénales.
  3. La diffamation portant atteinte à l’image d’une personne est punie par la loi.
  4. Toute atteinte à la réputation peut être réparée par des dommages-intérêts.
  5. L’intégrité morale fait partie du respect dû à toute personne.
  6. Une insulte grave peut constituer une injure publique ou privée.
  7. Le respect de la personne est un principe à valeur constitutionnelle.
  8. Le droit à la considération sociale est protégé par le Code civil.
  9. Un propos dégradant envers une femme peut être qualifié de harcèlement sexiste.
  10. La réputation professionnelle peut faire l’objet d’une protection spécifique.
  11. Une atteinte à l’image sans autorisation peut être civilement et pénalement sanctionnée.
  12. La jurisprudence reconnaît le préjudice moral lié à la perte de dignité.
  13. Un comportement déshonorant peut être constitutif d’une faute pénale.
  14. Le dénigrement systématique vise à détruire l’estime de soi.
  15. Toute violence verbale portant atteinte à la dignité engage la responsabilité.

7 : Procédure judiciaire

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. La plainte simple peut être déposée auprès du commissariat ou du parquet.
  2. Une plainte avec constitution de partie civile permet de déclencher une enquête judiciaire.
  3. La citation directe est utilisée lorsque les preuves sont déjà disponibles.
  4. Le dépôt de plainte interrompt la prescription de l’infraction.
  5. Le juge peut délivrer une ordonnance de protection en urgence.
  6. Une mesure conservatoire peut être demandée pour protéger la victime.
  7. Le respect du délai de prescription est impératif en matière pénale.
  8. Une assignation en justice précise les griefs formulés contre le défendeur.
  9. Le recours en appel permet de faire réexaminer la décision.
  10. La cour de cassation statue uniquement sur la conformité au droit.
  11. L’audience pénale permet un débat contradictoire entre les parties.
  12. Le juge d’instruction peut être saisi pour enquêter sur des faits complexes.
  13. Le procureur de la République dirige l’action publique.
  14. Le secret de l’instruction garantit la sérénité des débats.
  15. L’appel de la partie civile est limité à ses intérêts propres.

8 : Infractions numériques

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. La diffamation en ligne est réprimée au même titre que par voie de presse.
  2. Le harcèlement sur réseaux sociaux constitue un délit pénalement sanctionné.
  3. La publication d’une sextape sans consentement est une atteinte grave à l’intimité.
  4. La messagerie privée ne peut être utilisée comme preuve sans accord.
  5. Un message vocal enregistré à l’insu de l’auteur peut être irrecevable.
  6. L’usurpation d’identité sur Internet constitue une infraction autonome.
  7. La sextorsion est un chantage fondé sur des contenus à caractère sexuel.
  8. Le revenge porn est pénalement sanctionné même entre ex-partenaires.
  9. Le simple partage d’une photo intime sans autorisation est un délit.
  10. Une vidéo à caractère sexuel ne peut être diffusée sans consentement exprès.
  11. Le piratage de compte constitue une violation de domicile numérique.
  12. La capture d’écran d’une conversation privée sans droit est une atteinte.
  13. Un fichier intime retrouvé sur un téléphone ne peut être utilisé librement.
  14. La jurisprudence de 2018 a renforcé la répression du revenge porn.
  15. La cyberviolence porte atteinte tant à la dignité qu’à la sécurité psychologique.

9 : Droit du travail

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. Le harcèlement au travail constitue une faute grave de l’employeur.
  2. Un lien de subordination n’autorise pas les abus de pouvoir.
  3. La souffrance psychologique induite par un supérieur est juridiquement qualifiable.
  4. Une enquête interne peut être déclenchée en cas de signalement.
  5. Le harcèlement sexuel professionnel est réprimé par le Code du travail et le Code pénal.
  6. Le burn-out peut être considéré comme une conséquence d’un harcèlement moral.
  7. Une sanction disciplinaire ne peut être fondée sur des motifs discriminatoires.
  8. L’inspection du travail peut saisir le parquet en cas d’infraction.
  9. Les prud’hommes sont compétents pour trancher les litiges professionnels.
  10. Une ambiance hostile et dégradée constitue un manquement de l’employeur.
  11. Le respect de la dignité au travail est une obligation contractuelle.
  12. Le rapport RH est souvent versé aux débats judiciaires.
  13. Une conduite sexiste récurrente peut justifier la rupture du contrat de travail.
  14. Le cadre professionnel ne justifie pas la banalisation des propos déplacés.
  15. Une pression excessive sur un salarié peut caractériser un harcèlement moral.

10 : Jurisprudence

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. L’arrêt Cass. crim. 6 septembre 2016 reconnaît la violation d’intimité dans un couple.
  2. La jurisprudence constante protège le respect de la vie privée, même au travail.
  3. L’arrêt CA Paris 11 février 2020 condamne la diffusion d’une sextape.
  4. La CEDH affirme la prééminence de la vie privée sur l’intérêt médiatique.
  5. L’arrêt de principe Cass. crim. 7 novembre 2006 sur le harcèlement sexuel reste fondamental.
  6. Un revirement jurisprudentiel s’est opéré sur la preuve obtenue illégalement mais non provocatrice.
  7. La jurisprudence pénale exige la caractérisation précise des éléments constitutifs de l’infraction.
  8. L’arrêt Baby Loup (Cass. soc. 2014) illustre le conflit entre liberté personnelle et règlement interne.
  9. La jurisprudence européenne impose une interprétation conforme à l’article 8 CEDH.
  10. L’arrêt von Hannover II rappelle les limites de la presse face à l’intimité.
  11. L’arrêt CJUE 2018 sur les données personnelles renforce la protection des contenus privés.
  12. Les décisions motivées sont nécessaires pour garantir le droit à un procès équitable.
  13. La jurisprudence sociale reconnaît le préjudice d’anxiété lié au harcèlement.
  14. L’arrêt Cass. civ. 15 juin 2022 a requalifié une rupture abusive en harcèlement moral.
  15. Le droit prétorien a précisé les contours du respect dû à la sphère intime.

11 : Libertés fondamentales

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. La liberté d’expression ne peut justifier l’atteinte à la vie privée.
  2. Le respect du contradictoire est une exigence constitutionnelle du procès équitable.
  3. Le secret professionnel protège les échanges avec un avocat.
  4. La liberté individuelle est garantie par la Déclaration des droits de l’homme.
  5. Toute ingérence dans la sphère privée doit être strictement proportionnée.
  6. L’autonomie personnelle est un fondement du droit au respect de soi.
  7. La liberté de la presse doit se concilier avec le droit à la dignité.
  8. Le principe de non-ingérence protège les individus contre les intrusions étatiques.
  9. Le droit au silence s’applique même face à des accusations graves.
  10. L’équilibre des droits fondamentaux est au cœur de toute décision de justice.
  11. La confidentialité est un corollaire de la liberté personnelle.
  12. La liberté de conscience et la dignité ne sauraient être opposées sans nuance.
  13. Le droit à la protection juridique de la sphère intime est inviolable.
  14. Le procès équitable suppose une procédure contradictoire et équilibrée.
  15. La liberté de disposer de son corps fait partie des droits fondamentaux.

12 : Droit européen

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. L’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme protège la vie privée.
  2. La CEDH impose le respect de la sphère intime même aux médias.
  3. L’article 10 CEDH sur la liberté d’expression connaît des restrictions.
  4. L’arrêt Axel Springer c. Allemagne impose un test de proportionnalité.
  5. Le principe de subsidiarité encadre l’intervention de la Cour européenne.
  6. Une violation du droit européen peut être invoquée devant les juridictions nationales.
  7. La jurisprudence européenne influence directement les contentieux français.
  8. L’article 6 CEDH garantit le droit à un procès équitable.
  9. La protection de l’intimité est renforcée dans les litiges transfrontaliers.
  10. Le pacte international de 1966 complète les garanties de la CEDH.
  11. La hiérarchie des normes impose le respect des conventions internationales.
  12. Le droit à l’honneur est reconnu par la CJUE dans plusieurs arrêts.
  13. La proportionnalité est au cœur des arbitrages entre libertés et sécurité.
  14. La jurisprudence Von Hannover est citée pour équilibrer presse et vie privée.
  15. La CJUE contrôle la conformité des droits nationaux au regard du respect de la dignité humaine.

13 : Vie familiale

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. Le respect de la vie familiale interdit toute captation sans consentement au sein du foyer.
  2. Une dispute conjugale ne peut justifier une atteinte à la vie privée.
  3. L’enregistrement d’une scène domestique sans accord est juridiquement prohibé.
  4. Les tensions au sein d’un couple séparé peuvent dégénérer en violences conjugales.
  5. La vie maritale bénéficie d’une protection renforcée en droit civil.
  6. Le partage d’une vidéo intime conjugale sans accord est puni par le Code pénal.
  7. Un secret de famille ne peut être levé publiquement sans conséquences juridiques.
  8. Le respect de l’intimité familiale est protégé par l’article 9 du Code civil.
  9. Une intrusion répétée dans le domicile conjugal constitue une violation grave.
  10. Le droit à la paix familiale est reconnu par la jurisprudence.
  11. L’utilisation d’un téléphone commun ne permet pas l’accès libre aux données personnelles.
  12. Les conflits familiaux ne justifient en rien l’exposition publique des désaccords.
  13. Le secret du domicile est protégé contre toute captation sans autorisation judiciaire.
  14. En matière de preuve, l’origine familiale d’un contenu n’exclut pas son illégalité.
  15. La vie affective au sein d’un couple est considérée comme relevant de la sphère privée.

14 : Données personnelles

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. Le traitement des données personnelles est encadré par le RGPD.
  2. L’accès non autorisé à un smartphone privé constitue une infraction.
  3. Un fichier nominatif doit être déclaré auprès de la CNIL.
  4. La captation de métadonnées sans consentement viole le droit à la vie privée.
  5. Les courriels professionnels peuvent faire l’objet d’un contrôle sous conditions.
  6. Une reconnaissance faciale à l’insu d’une personne est illégale sans base légale.
  7. La géolocalisation d’un salarié sans information préalable est répréhensible.
  8. Le consentement numérique doit être libre et éclairé pour être valable.
  9. L’enregistrement d’une voix est une donnée sensible soumise à réglementation.
  10. La conservation excessive de données constitue une faute administrative.
  11. Une vidéosurveillance domestique ne doit pas filmer l’espace public.
  12. La jurisprudence CEDH renforce la protection des fichiers personnels.
  13. Le code d’accès à un appareil personnel relève de la sphère privée.
  14. La transmission non autorisée de données à des tiers engage la responsabilité.
  15. Les données de santé sont soumises à un régime de protection renforcé.

15 : Santé mentale

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. Une souffrance psychique prolongée peut résulter d’un harcèlement.
  2. Le traumatisme moral est un préjudice juridiquement reconnu.
  3. La détresse émotionnelle constitue une conséquence réparable.
  4. Un stress post-traumatique peut être constaté par expertise.
  5. Le suivi thérapeutique post-agression est souvent exigé en justice.
  6. La dépression consécutive à une atteinte intime est indemnisable.
  7. Une expertise psychiatrique peut appuyer une demande de dommages-intérêts.
  8. La jurisprudence sociale admet l’indemnisation du préjudice moral professionnel.
  9. La souffrance invisible n’en est pas moins juridiquement qualifiable.
  10. La consultation spécialisée peut prouver l’impact psychologique du harcèlement.
  11. Le certificat médical est souvent la clef de voûte du dossier.
  12. L’épuisement psychique résultant d’un harcèlement est établi par témoignage et expertises.
  13. Une altération de l’estime de soi peut constituer un facteur de responsabilité.
  14. Le désarroi profond généré par une atteinte à la vie privée est indemnisé.
  15. La reconnaissance du dommage psychologique ouvre droit à réparation civile et pénale.

16 : Rôle de l’avocat

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. L’avocat pénaliste défend les droits de la personne dans sa sphère intime.
  2. Le cabinet ACI intervient dans les affaires touchant à la dignité humaine.
  3. L’assistance juridique est cruciale dès le dépôt de plainte.
  4. Le rôle de l’avocat de la partie civile est d’articuler les éléments du préjudice.
  5. L’expertise pénale du cabinet permet de qualifier précisément les faits.
  6. L’accompagnement psychologique du client est souvent intégré dans la stratégie de défense.
  7. La confidentialité des échanges avocat-client est absolue.
  8. L’avocat expérimenté oriente sur la recevabilité des preuves.
  9. Le respect de l’intimité du client guide toute intervention judiciaire.
  10. Le cabinet propose une défense sur mesure adaptée à la situation intime du justiciable.
  11. L’analyse rigoureuse des faits fonde l’action pénale engagée.
  12. L’assistance à l’audience est essentielle pour garantir la défense des droits fondamentaux.
  13. L’avocat en droit pénal connaît les subtilités du traitement des infractions intimes.
  14. Le dépôt de plainte encadré par un professionnel renforce sa validité.
  15. La stratégie judiciaire est construite autour de la protection de l’honneur et de la dignité.

17 : Réseaux sociaux et image

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. La publication non consentie d’une photo intime constitue une infraction.
  2. Le droit à l’image interdit la diffusion sans accord explicite.
  3. Une capture d’écran d’un message privé peut porter atteinte à la vie personnelle.
  4. Les propos haineux en ligne engagent la responsabilité pénale de leur auteur.
  5. L’atteinte à la réputation numérique est reconnue comme un préjudice.
  6. La jurisprudence exige un consentement clair avant toute mise en ligne d’un contenu personnel.
  7. Le partage massif d’une rumeur peut constituer une diffamation aggravée.
  8. L’usage d’un pseudo ne protège pas l’auteur de publications illicites.
  9. Le montage malveillant d’une vidéo nuit à l’honneur et à la dignité.
  10. La suppression tardive d’un contenu ne fait pas obstacle à la réparation du dommage.
  11. L’atteinte à l’e-réputation peut justifier une procédure en référé.
  12. Le revenge porn, même entre ex-conjoints, est sévèrement réprimé.
  13. Un tag malveillant sur une publication peut être poursuivi pour injure publique.
  14. La diffusion sans filtre d’images volées est un délit puni par le Code pénal.
  15. La victime peut demander la désindexation de résultats portant atteinte à son image.

18 : Responsabilité civile

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. Toute atteinte à la dignité engage la responsabilité de son auteur.
  2. Le préjudice moral peut donner lieu à indemnisation devant les juridictions civiles.
  3. La victime d’une violation de la vie privée peut obtenir des dommages-intérêts.
  4. La faute civile peut résulter d’un comportement légalement répréhensible.
  5. Une inexactitude grave dans un rapport peut fonder une action en justice.
  6. L’abus de droit entraîne une obligation de réparer le dommage causé.
  7. L’auteur d’un comportement fautif peut être tenu à réparation intégrale.
  8. Le préjudice psychologique est un élément indemnisable en matière civile.
  9. La jurisprudence récente admet la réparation de la souffrance morale liée à l’image.
  10. Le fondement de l’action repose sur l’article 1240 du Code civil.
  11. Une diffusion illégale de contenu privé engage la responsabilité extracontractuelle.
  12. La jurisprudence constante impose la démonstration du lien de causalité.
  13. Un agissement dégradant peut justifier la condamnation à des intérêts punitifs.
  14. L’omission volontaire d’un fait essentiel peut constituer une faute.
  15. Une publication injurieuse entraîne des conséquences civiles et pénales cumulables.

19 : Enfance et minorité

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. L’enfant a droit au respect de son image et de sa vie privée.
  2. Toute captation non autorisée d’un mineur constitue une atteinte grave.
  3. Le Code pénal réprime spécifiquement les atteintes sexuelles sur mineur.
  4. Le partage d’un contenu intime impliquant un enfant est un crime.
  5. La jurisprudence impose une protection renforcée des enfants en ligne.
  6. La déclaration d’un mineur peut être reçue sans prestation de serment.
  7. Le parent ne peut pas, sauf accord de l’autre, diffuser l’image de l’enfant.
  8. Le harcèlement scolaire relève désormais d’une politique pénale active.
  9. Un mineur victime bénéficie de droits spécifiques d’accompagnement.
  10. L’exposition médiatique d’un enfant sans anonymat viole ses droits fondamentaux.
  11. La mise en danger psychologique d’un mineur peut entraîner la saisine du juge des enfants.
  12. L’enregistrement d’un enfant à son insu est interdit en droit français.
  13. La jurisprudence reconnaît le préjudice moral autonome du mineur.
  14. Un professeur diffusant un contenu humiliant commet une faute grave.
  15. Le droit à l’oubli numérique s’applique avec rigueur aux mineurs.

20 : Honneur et réputation

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

  1. L’honneur est un bien juridiquement protégé par le Code pénal.
  2. Une atteinte à la réputation peut être qualifiée de diffamation ou d’injure.
  3. Le respect de la considération publique est une exigence en société.
  4. La jurisprudence Cass. crim. 9 mars 2021 renforce la protection contre l’humiliation.
  5. Le dénigrement public peut être poursuivi civilement et pénalement.
  6. Une rumeur persistante nuit durablement à la dignité de la victime.
  7. Le droit à la réhabilitation morale est reconnu après une diffamation.
  8. La propagation d’un fait faux susceptible de nuire engage la responsabilité.
  9. Le tribunal correctionnel statue sur les atteintes graves à l’honneur.
  10. L’image sociale fait partie intégrante de la personne juridique.
  11. La notion de respect dû à autrui fonde la majorité des décisions répressives.
  12. Un propos dégradant et répétitif peut fonder une action pour harcèlement moral.
  13. Le conseil d’État reconnaît que l’atteinte à la réputation peut être d’intérêt général.
  14. Le discours injurieux ne saurait être couvert par la liberté d’expression.
  15. L’article 29 de la loi de 1881 encadre la définition de la diffamation et de l’injure.

à cause de,

à cause de cela,
(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

ainsi,

à nouveau,

à partir de là,

Ainsi,

Alors que,

Alors,

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Aussi,

bien que,

car,

Cependant,
(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

c’est ainsi que,

c’est pour cela que,

par ailleurs,

c’est pourquoi,

Considérons,

Contraste,

D’autant plus,

d’après,

de ce fait,

de façon,

manière que,

De la même manière,
(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

De même,

enfin,

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De plus,

de sorte que,

deuxièmement,

Donc,

en ce qui concerne,

En conclusion,

par ailleurs,

En conséquence,

En dernier lieu,

dommage encore,

En fait,

puis,

En outre,

finalement,

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(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

En premier lieu,

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En revanche,

En somme,

encore une fois,

Enfin,

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étant donné que,

Finalement,

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il est question de,

de même,

Il s’agit de,

il y a aussi,

Mais,
(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs ,

Par conséquent,

et aussi,

Par contre,

par exemple,

évidemment,

Par la suite,

par rapport à,

parce que,

plus précisément,

plus tard,

Pour commencer,
(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

touchant à,

Tout d’abord,

Toutefois,

troisièmement

et ensuite,

Une fois de plus,

et puis,

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(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

ainsi,

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 pénaliste

du cabinet Aci

assurera efficacement votre défense.

Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone, ou

bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation : auteur, co-auteur, complice, receleur ou

victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase

d’enquête (garde à vue) ; d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la

chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration

pénitentiaire par exemple).

IX).  —  Les domaines d’intervention du cabinet Aci

(Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

Cabinet d’avocats pénalistes parisiens 

D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo

75 003  PARIS

Puis, Tél. 01 42 71 51 05

Ensuite, Fax 01 42 71 66 80

Engagement, E-mail : contact@cabinetaci.com

Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste (Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

En somme, Droit pénal (Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

Tout d’abord, pénal général (Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal

Puis, pénal des affaires (Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

Aussi, Droit pénal fiscal (Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme (Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

De même, Le droit pénal douanier (Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

En outre, Droit pénal de la presse (Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

                 Et ensuite (Le caractère intime de l’infraction expliqué par ACI pénalistes)

Donc, pénal routier infractions

Outre cela, Droit pénal du travail

Malgré tout, Droit pénal de l’environnement

Cependant, pénal de la famille

En outre, Droit pénal des mineurs

Ainsi, Droit pénal de l’informatique

En fait, pénal international

Tandis que, Droit pénal des sociétés

Néanmoins, Le droit pénal de la consommation

Toutefois, Lexique de droit pénal

Alors, Principales infractions en droit pénal

Puis, Procédure pénale

Pourtant, Notions de criminologie

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