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L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse

L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse

L’extorsion, le chantage et la fraude informatique

Introduction

Le droit pénal spécial traite de différentes infractions qui, par leur nature, mettent en jeu des valeurs fondamentales telles que la liberté

individuelle, la sécurité, la vie privée et l’intégrité des systèmes informatiques. Parmi ces infractions, l’extorsion, le chantage et la fraude

informatique sont des délits ayant des conséquences graves, tant sur le plan juridique que social. Ces infractions sont souvent complexes à

prouver, et nécessitent des moyens de défense spécialisés. L’avocat pénaliste est donc un acteur clé pour toute personne accusée de telles

infractions. Le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, vous propose une analyse approfondie de chacune de ces infractions, leurs éléments

constitutifs, les sanctions et la procédure judiciaire applicable.

I).  —  L’extorsion : Définition, éléments constitutifs et sanctions

(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

     A).  —  Définition et éléments constitutifs

L’extorsion est définie par l‘article 312-1 du Code pénal comme l’action de contraindre une personne, par des violences physiques ou des menaces, à donner, livrer ou

remettre un bien, une somme d’argent ou un service. Le délit d’extorsion repose donc sur une contrainte exercée sur la victime, qui se trouve dans une situation de

pression psychologique ou physique, l’obligeant à céder à la demande du délinquant.

L’extorsion comporte plusieurs éléments :

L’élément matériel :

L’utilisation de la violence ou de la menace pour obtenir un bien, de l’argent ou un service. L’élément matériel peut inclure des menaces de mort, des violences

physiques ou psychologiques.

L’élément moral :

L’intention d’obtenir un bien ou un service de manière illégitime, par l’exploitation de la crainte ou de la contrainte sur la victime. Il n’est pas nécessaire que l’auteur

de l’extorsion participe au vol ou à la fraude à l’origine du bien, mais il doit agir avec l’intention de profiter d’un bien obtenu de manière illégale.

Les menaces peuvent être explicites ou implicites, mais elles doivent avoir un impact suffisant pour faire céder la victime, ce qui constitue l’aspect essentiel de

l’extorsion.

     B).  —   Sanctions  (L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

L’extorsion est punie par l’article 312-1 du Code pénal qui prévoit une peine de sept ans d’emprisonnement et une amende de 100 000 euros. Si l’extorsion est

réalisée avec l’utilisation d’armes, la peine peut être portée à dix ans d’emprisonnement et 150 000 euros d’amende. Ces peines peuvent être aggravées en

fonction des circonstances de l’infraction, telles que la vulnérabilité de la victime, la répétition de l’infraction ou l’implication d’un groupe criminel organisé.

Si des circonstances aggravantes sont retenues, comme le fait que l’extorsion a été réalisée à l’égard d’une personne vulnérable ou dans le cadre d’une organisation

criminelle, la peine peut aller jusqu’à 15 ans de réclusion criminelle.

     C).  —  Procédure judiciaire

L’extorsion fait l’objet d’une procédure judiciaire qui commence par une plainte déposée par la victime. L’enquête est souvent complexe et nécessite de rassembler des

preuves de la violence ou des menaces exercées sur la victime. Des témoins, des enregistrements vidéo ou des expertises médico-légales peuvent être utilisés pour

prouver l’existence de la contrainte.

Les forces de l’ordre mènent des enquêtes pour identifier l’auteur des menaces ou des violences, tandis qu’un juge d’instruction peut être saisi pour ordonner des

perquisitions et des auditions.

II).  —  Le Chantage : Définitions et éléments constitutifs

(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

     A).  —   Définition du chantage

Le chantage est une infraction pénale définie par l’article 313-1 du Code pénal. Il s’agit d’une tentative d’obtenir un avantage illégitime, généralement financier, en

menaçant de divulguer des informations nuisibles à la réputation de la victime, ou en menaçant de nuire d’une autre manière à sa situation personnelle ou

professionnelle. Le chantage se distingue de l’extorsion par l’absence de violence physique, l’élément principal étant ici la menace psychologique.

Le chantage peut prendre de nombreuses formes : il peut s’agir de menacer une personne de dévoiler un secret, de publier une photo compromettante, ou de détruire

des biens importants pour la victime.

     B).  —  Les éléments constitutifs du chantage

Les éléments constitutifs du chantage sont :

La menace :

La menace de nuire à la victime (en divulguant un secret, en portant atteinte à sa réputation, en détruisant ses biens, etc.).

L’intention d’obtenir un avantage :

L’auteur du chantage doit avoir l’intention d’obtenir quelque chose de la victime en échange de la non-réalisation de la menace.

La menace peut être implicite, et la victime doit se sentir réellement en danger de subir des dommages si elle ne cède pas à la demande. Le chantage peut également

être commis par des moyens numériques (comme des menaces de publication de photos privées).

     C).  —  Sanctions du chantage  (L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

Le chantage est puni par l’article 313-1 du Code pénal, qui prévoit une peine de 5 ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende. En cas de circonstances

aggravantes, comme l’utilisation de moyens particulièrement violents ou l’implication d’un groupe criminel organisé, la peine peut être plus lourde.

Les peines peuvent être doublées si le chantage porte sur des informations particulièrement sensibles (comme des secrets d’État ou des informations concernant la

sécurité nationale).

     D).  —  Procédure judiciaire

Le chantage, comme l’extorsion, est une infraction difficile à prouver, car il repose principalement sur des menaces verbales ou écrites. Dans une procédure judiciaire

de chantage, l’enquête porte sur les échanges de messages, les témoins de la menace et les preuves de l’intention de nuire. Les victimes de chantage doivent

démontrer qu’elles ont bien été menacées et qu’elles ont cédé à la pression en raison de la crainte des conséquences.

Un avocat pénaliste pourra analyser les preuves et développer une défense basée sur l’absence d’intention criminelle, l’inexistence de la menace ou une erreur sur

l’interprétation des faits.

III).  —  La fraude informatique : Définition, éléments constitutifs et sanctions

(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

     A).  —   Définition de la fraude informatique

La fraude informatique est un délit informatique défini par l’article 323-1 du Code pénal. Elle englobe une série de comportements liés à l’accès, la modification ou la

destruction frauduleuse de données ou d’un système informatique. La fraude informatique est aujourd’hui l’un des crimes les plus courants à l’ère numérique, et elle

prend de multiples formes, telles que le piratage informatique, l’utilisation de logiciels malveillants (malware), ou l’escroquerie en ligne.

Les actes constitutifs de la fraude informatique incluent l’accès frauduleux à des systèmes de données, la modification de ces données pour en tirer profit ou perturber

leur fonctionnement, et l’utilisation de systèmes pour commettre des actes criminels.

     B).  —  Les éléments constitutifs de la fraude informatique

(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

Les éléments constitutifs de la fraude informatique sont :

1).  L’accès frauduleux à un système informatique :

L’utilisation de moyens techniques pour pénétrer dans un système sans autorisation préalable.

2).  La modification ou la destruction de données :

Modifier, supprimer ou altérer des données dans un système informatique dans le but d’obtenir un gain illégitime.

3).  L’intention frauduleuse :

Il doit être démontré que l’acte de fraude informatique a été commis avec l’intention de causer un préjudice ou de tirer un avantage illégal.

Les infractions liées à la fraude informatique peuvent inclure la collecte de données personnelles sans consentement, l’accès à des informations bancaires ou

confidentielles, ou encore la diffusion de logiciels malveillants.

     C).  —   Sanctions de la fraude informatique

La fraude informatique est sévèrement punie par le Code pénal. L’article 323-1 prévoit jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende pour l’accès

frauduleux à un système informatique. Les sanctions peuvent être plus sévères si l’infraction a des conséquences graves, comme la destruction massive de données ou

le piratage de systèmes sensibles (banques, entreprises, institutions publiques).

Les peines sont également aggravées en cas de fraude à grande échelle ou lorsqu’un réseau de fraudeurs est impliqué. De plus, les peines de prison peuvent être

accompagnées de la confiscation des matériels informatiques utilisés pour commettre l’infraction.

     D).  —  Procédure judiciaire  (L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

Les enquêtes sur la fraude informatique sont souvent menées par la police judiciaire, en collaboration avec des experts informatiques. L’identification des auteurs

passe par l’analyse des serveurs, des systèmes piratés et des connexions utilisées pour réaliser l’infraction. Les investigations peuvent être complexes, car les auteurs

de fraude informatique utilisent souvent des moyens anonymes ou des technologies de cryptage pour dissimuler leur identité.

Les peines peuvent être influencées par la quantité de données affectées, la nature des informations volées ou les préjudices causés aux victimes. En cas de fraude

informatique organisée, des sanctions supplémentaires peuvent être appliquées.

Conclusion

L’extorsion, le chantage et la fraude informatique sont des infractions graves qui portent atteinte non seulement à la sécurité des individus, mais aussi à l’intégrité des

systèmes économiques et sociaux. Ces délits, bien que différents dans leurs méthodes, partagent un objectif commun : exploiter la peur, la contrainte ou la

vulnérabilité des victimes pour obtenir un avantage illégitime.

L’extorsion et le chantage se fondent principalement sur la contrainte psychologique ou physique, avec des conséquences parfois dramatiques pour les victimes.

Quant à la fraude informatique, elle est devenue l’un des crimes les plus courants à l’ère numérique, perturbant des milliers d’entreprises et d’individus chaque année.

Ces infractions engendrent des pertes financières importantes, mais aussi une violation profonde de la confiance.

Les peines de prison et les amendes prévues par le Code pénal pour ces infractions sont sévères et reflètent la gravité de ces actes. Les peines peuvent être aggravées

en fonction des circonstances de l’infraction, de la vulnérabilité des victimes, ou de l’organisation criminelle derrière l’infraction. Il est donc crucial de comprendre les

implications juridiques de ces actes et d’avoir un accompagnement juridique compétent pour se défendre efficacement.

Que vous soyez accusé de l’une de ces infractions ou que vous soyez victime, le cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, vous offre une expertise solide et un

accompagnement personnalisé pour faire face à ces défis. La défense d’un accusé de blanchiment, chantage ou extorsion nécessite une analyse approfondie des

faits et des preuves, et une représentation juridique efficace pour garantir que vos droits soient respectés à chaque étape du processus judiciaire.

IV).  —  Contactez un avocat

(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

pour votre défense

Catégories

Mots-clés

1). Extorsion

Extorsion, violence, menace, bien, service, contrainte, pression, délit de recel, vol, détention illégale, menace de mort, intimidation, contrainte physique, bien volé, chantage, acte criminel, réseau criminel, répression, sanctions, intimidation psychologique, peine de prison, extorsion simple, amende, violence physique, menace verbale, préjudice, réclusion criminelle, action légale.

2).  Chantage

Chantage, menace, blanchiment, secret, réputation, violence psychologique, pression, délit de chantage, mal, révélation, somme d’argent, gain illégitime, intimidation, chantage à la divulgation, ransomware, extorsion mentale, contrepartie, menace de divulgation, fraude, mauvaise foi, dossier compromettant, chantage financier, menace implicite, chantage moral, réputation, perte d’honneur, criminel.

(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

3).  Fraude informatique

Fraude informatique, piratage, hacking, accès frauduleux, données, système informatique, données personnelles, logiciel malveillant, cryptomonnaie, ransomware, phishing, virus, vol numérique, fraude en ligne, attaque informatique, code malveillant, espionnage numérique, malware, données sensibles, accès non autorisé, vol d’identité, cybercriminalité, intrusion, fraude en ligne, réseau illégal, fraude de données.

4).  Procédure judiciaire

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5).  Peines et sanctions

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(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

6).  Victime

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7).  Criminalité organisée

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8).  Preuves et enquête

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(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

9).  Cybercriminalité

Cybercriminalité, piratage informatique, fraude informatique, hacking, cyberattaque, sécurité informatique, fraude en ligne, phishing, cyberfraude, vol numérique, virus informatique, ransomware, sécurité des données, cryptomonnaie, vol d’informations, fraude électronique, cryptage illégal, attaques de sites web, systèmes informatiques vulnérables, fraude en ligne, piratage bancaire, atteinte à la confidentialité, infiltration informatique, attaques en ligne.
10).  Droits et législation Droits de la victime, législation pénale, droit pénal spécial, loi pénale, législation sur le chantage, législation sur la fraude informatique, code pénal, droit pénal international, législation sur l’extorsion, protection juridique, droit à la défense, responsabilité pénale, droits fondamentaux, sanctions légales, conseils juridiques, aide juridique, protection des victimes, avocat pénaliste, tribunal, réduction de peine, réparation des dommages.
  1. 1).  Extorsion (L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

  1. L’extorsion est un crime qui implique la menace ou l’utilisation de violence pour obtenir un bien ou de l’argent de manière illégale.
  2. L’extorsion peut être commise par violence physique, menace de mort ou intimidation psychologique.
  3. La victime d’extorsion se retrouve souvent dans une position de peur, l’obligeant à céder à des demandes illégitimes.
  4. L’extorsion peut être commise par des groupes criminels organisés pour exploiter leurs victimes.
  5. Une menace de violence est souvent utilisée dans un acte d’extorsion pour contraindre la victime à céder.
  6. L’extorsion de fonds peut avoir des conséquences graves, telles que des dommages physiques et moraux pour la victime.
  7. Le chantage est souvent lié à l’extorsion, en particulier lorsque des secrets personnels sont utilisés pour contraindre une victime.
  8. Les peines encourues pour l’extorsion peuvent aller jusqu’à sept ans de prison et une amende de 100 000 euros.
  9. Le délit d’extorsion est puni plus sévèrement si la victime est une personne vulnérable ou si des armes sont utilisées.
  10. Dans une affaire d’extorsion, la victime doit prouver que la menace ou la violence a eu un impact suffisant pour la contraindre.
  11. L’extorsion est souvent utilisée pour obtenir des fonds mal acquis, impliquant des victimes dans une situation de forte vulnérabilité.
  12. L’extorsion peut être une affaire complexe à résoudre en raison de la manipulation psychologique exercée sur la victime.
  13. Les violences physiques dans le cadre d’une extorsion sont souvent accompagnées de menaces verbales et de pressions émotionnelles.
  14. Une personne accusée de l’extorsion peut se défendre en prouvant qu’elle n’a pas utilisé de violence ou de menace.
  15. Les victimes d’extorsion peuvent demander une réparation judiciaire pour les préjudices subis.
  1. 2).  Chantage  (L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

  1. Le chantage repose sur une menace de divulguer des informations compromettantes pour obtenir un avantage illégitime.
  2. Les peines pour chantage peuvent aller jusqu’à cinq ans de prison et une amende de 75 000 euros.
  3. Le chantage est une infraction psychologique où l’auteur exploite la peur de la victime pour obtenir quelque chose de son bien.
  4. Les menaces de révéler des secrets privés ou sensibles sont fréquentes dans les cas de chantage.
  5. Dans un acte de chantage, la victime doit démontrer qu’elle a été confrontée à une menace réelle d’un préjudice grave.
  6. Le chantage moral se distingue de l’extorsion par l’absence de violence physique, bien que les menaces demeurent graves.
  7. Les victimes de chantage peuvent souvent se sentir isolées et hésitent à dénoncer la menace par peur des conséquences sociales.
  8. L’influence psychologique utilisée dans le chantage est souvent plus difficile à détecter que les menaces physiques.
  9. Un avocat pénaliste peut utiliser des arguments juridiques pour contester les accusations de chantage et prouver l’absence de menace.
  10. Le chantage peut avoir des conséquences sur la réputation de la victime, ce qui renforce l’intention de nuire de l’agresseur.
  11. Une victime de chantage peut se défendre en prouvant qu’elle a cédé à la demande sous pression psychologique.
  12. L’intimidation psychologique associée au chantage peut parfois conduire à un choc émotionnel chez la victime.
  13. Les sanctions pour chantage peuvent être plus sévères en fonction de la gravité de la menace et du préjudice causé.
  14. Les autorités poursuivent les auteurs de chantage avec des peines aggravées si des informations sensibles sont utilisées.
  15. Le chantage peut également concerner des éléments financiers, où la victime est contrainte de verser une somme pour éviter la divulgation d’un secret.
  1. 3).  Fraude informatique (L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

  1. La fraude informatique comprend des attacks visant à manipuler des données électroniques dans le but d’obtenir un gain illégitime.
  2. Le piratage informatique est une méthode courante dans les affaires de fraude informatique, qui permet d’accéder à des données sensibles.
  3. L’accès frauduleux à des systèmes informatiques est puni par des peines d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à cinq ans.
  4. L’utilisation de logiciels malveillants pour détruire des données est une forme de fraude informatique très répandue.
  5. Le phishing est une technique de fraude informatique qui permet de tromper les victimes pour voler leurs informations personnelles.
  6. La fraude informatique implique souvent des transactions électroniques illicites visant à siphonner des fonds.
  7. L’espionnage numérique est souvent lié à des infractions de fraude informatique visant à voler des informations confidentielles.
  8. La fraude en ligne s’est intensifiée avec la multiplication des transactions électroniques, ce qui facilite les fraudes bancaires.
  9. Les cybercriminels utilisent des malwares pour accéder illégalement à des comptes bancaires et réaliser des fraudes financières.
  10. Les victimes de fraude informatique peuvent demander des réparations pour les préjudices financiers causés par les cybercriminels.
  11. L’intrusion informatique permet aux fraudeurs d’accéder à des systèmes bancaires pour effectuer des transferts non autorisés.
  12. Le hacking permet à des criminels de pénétrer dans des systèmes protégés pour voler des données ou provoquer des détournements d’argent.
  13. L’enquête judiciaire en matière de fraude informatique inclut souvent la recherche de traces numériques laissées par les fraudeurs.
  14. La cryptomonnaie est souvent utilisée pour masquer des fonds mal acquis dans les affaires de fraude informatique.
  15. L’anonymat des transactions en ligne rend la fraude informatique particulièrement difficile à détecter pour les autorités
pénaliste
à cause de cela,
(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

à cause de,

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(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

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(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

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(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

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(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

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(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

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(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

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du cabinet Aci assurera efficacement votre défense.

Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone, ou

bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation : auteur, co-auteur, complice, receleur ou

victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase

d’enquête (garde à vue) ; d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la

chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration

pénitentiaire par exemple).

V).  —  Les domaines d’intervention du cabinet Aci

(L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

Cabinet d’avocats pénalistes parisiens 

D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo

75 003  PARIS

Puis, Tél. 01 42 71 51 05

Ensuite, Fax 01 42 71 66 80

Engagement, E-mail : contact@cabinetaci.com

Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste (L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

En somme, Droit pénal (L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

Tout d’abord, pénal général (L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal

Puis, pénal des affaires (L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

Aussi, Droit pénal fiscal (L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme (L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

De même, Le droit pénal douanier (L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

En outre, Droit pénal de la presse (L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

                 Et ensuite (L’extorsion, le chantage et la fraude informatique : analyse)

Donc, pénal routier infractions

Outre cela, Droit pénal du travail

Malgré tout, Droit pénal de l’environnement

Cependant, pénal de la famille

En outre, Droit pénal des mineurs

Ainsi, Droit pénal de l’informatique

En fait, pénal international

Tandis que, Droit pénal des sociétés

Néanmoins, Le droit pénal de la consommation

Toutefois, Lexique de droit pénal

Alors, Principales infractions en droit pénal

Puis, Procédure pénale

Pourtant, Notions de criminologie

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