9:30 - 19:30

Nos heures d'ouverture Lun.- Ven.

01 42 71 51 05

Nos avocats à votre écoute

Facebook

Twitter

Linkedin

Cabinet ACI > Non classé  > Le droit à l’image : protection et autorisations légales

Le droit à l’image : protection et autorisations légales

Le droit à l’image : protection et autorisations légales

Introduction

Le droit à l’image en France repose sur un équilibre subtil entre le respect de la vie privée et la liberté d’information. Bien qu’il ne soit pas

formellement établi par un texte spécifique, il découle d’une construction jurisprudentielle fondée sur plusieurs principes juridiques

fondamentaux. Ce droit permet à toute personne de s’opposer à la diffusion ou à l’exploitation de son image sans autorisation préalable.

Toutefois, certaines exceptions existent notamment pour les personnes publiques et dans le cadre de l’illustration de l’actualité.

I).  —  Fondements légaux du droit à l’image

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

Le droit à l’image s’inscrit dans le cadre général du droit au respect de la vie privée, consacré par l’article 9 du Code civil : « Chacun a

droit au respect de sa vie privée. » En complément, l’article 1240 du Code civil (anciennement 1382) impose à toute personne ayant

causé un dommage à autrui par sa faute d’en réparer les conséquences. Ainsi, la diffusion non autorisée d’une image portant préjudice

peut donner lieu à des poursuites civiles. Le Code pénal réprime également certaines atteintes à l’intimité de la vie privée, notamment

la fixation, l’enregistrement ou la transmission de l’image d’une personne sans son consentement lorsqu’elle se trouve dans un lieu

privé (article 226-1). De même, la diffusion d’un montage d’image sans autorisation expresse est sanctionnée par l’article 226-8 du

Code pénal. Par ailleurs, les artistes interprètes bénéficient d’un droit à l’image spécifique découlant des droits voisins du droit

d’auteur. L’article L.212-3 du Code de la propriété intellectuelle prévoit que toute fixation, reproduction ou communication au public

de leur prestation nécessite leur consentement écrit. Ce droit patrimonial est protégé pendant 50 ans à compter de l’interprétation (article L.211-4).

II).  —  Le droit à l’image des personnes publiques

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

Les personnes publiques (personnalités politiques, artistes, sportifs, etc.) disposent d’un droit à l’image atténué, en raison de leur exposition

médiatique et des nécessités de l’information. Selon une jurisprudence constante, l’image d’une personne publique peut être diffusée sans

autorisation lorsqu’elle est prise dans l’exercice de ses fonctions ou dans un lieu public. Cependant, cette tolérance n’exclut pas toute

protection. Une personne publique peut s’opposer à la diffusion d’une image si celle-ci porte atteinte à sa dignité, la représente de manière

dégradante ou sort du cadre de la vie publique. Un exemple marquant : un fonctionnaire de police impliqué dans une affaire médiatisée avait

vu sa photographie publiée à son domicile, après une surveillance prolongée. Les juridictions ont estimé que cette publication portait atteinte

à son droit à l’image, excédant les limites de la liberté d’information.

III).  —  Le droit à l’image des mineurs et des personnes vulnérables

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

Le droit à l’image des mineurs fait l’objet d’une protection renforcée. Toute diffusion de l’image d’un enfant nécessite l’autorisation expresse

des deux titulaires de l’autorité parentale. Cette exigence vise à préserver les intérêts supérieurs de l’enfant, en évitant toute exploitation

médiatique ou exposition non souhaitée, notamment sur les réseaux sociaux. De même, pour les personnes vulnérables (sous tutelle,

hospitalisées, en situation de dépendance ou de faiblesse), la diffusion d’images, même dans des lieux publics, peut être assimilée à une

atteinte à leur dignité et à leur vie privée.

IV).  —  Sanctions et recours en cas d’atteinte au droit à l’image

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

L’atteinte au droit à l’image peut donner lieu à des recours civils et pénaux.

**  Sur le plan civil, la victime peut saisir le juge pour obtenir le retrait de l’image, la cessation de la diffusion et l’octroi de dommages et

intérêts.

**   Sur le plan pénal, les sanctions varient selon la nature de l’infraction :

— Atteinte à la vie privée : 1 an d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende (article 226-1 du Code pénal).

— Diffusion d’un montage trompeur : 1 an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende (article 226-8).

V).  —  Droit à l’image et intelligence artificielle

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

L’essor des deepfakes et des outils d’intelligence artificielle générative représente un défi juridique majeur.

La création et la diffusion de contenus numériques manipulés soulèvent des questions de consentement, de responsabilité et d’authenticité de

l’image. Les autorités françaises commencent à intégrer ces problématiques dans le débat législatif, en envisageant une réglementation

spécifique des contenus générés ou altérés numériquement sans autorisation.

VI).  —  Le droit à l’image à l’ère du numérique et des réseaux sociaux

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

Les réseaux sociaux ont profondément modifié la portée et la fréquence des atteintes au droit à l’image.

Des millions de contenus visuels sont partagés quotidiennement sur des plateformes comme Instagram, TikTok ou X (ex-Twitter), souvent

sans le consentement des personnes concernées. Bien que le droit à l’image s’applique pleinement en ligne, sa mise en œuvre est complexifiée

par la viralité et l’impossibilité de contrôler la diffusion. Les recours judiciaires, bien que possibles, sont souvent longs et techniques.

VII).  Le droit à l’image dans le cadre des manifestations publiques

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

Lors des manifestations, la question du droit à l’image se pose fréquemment. En principe, les participants se trouvant dans l’espace public

peuvent être photographiés. Toutefois, si l’image est centrée sur une personne identifiable et diffusée sans consentement, elle peut constituer

une atteinte à l’image ou à la vie privée, notamment si elle expose la personne à un risque.

Conclusion

Le droit à l’image en France repose sur un équilibre délicat entre protection des personnes et liberté d’expression. Il offre aux individus une

protection effective, mais admet des exceptions encadrées, notamment pour les personnalités publiques ou les situations d’actualité.

L’évolution technologique, les réseaux sociaux et l’émergence de l’IA imposent une réflexion continue sur les garanties à offrir, tant en matière

de respect de la vie privée que de liberté d’information.

VIII).  —  Jurisprudences de référence sur le droit à l’image

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

La jurisprudence joue un rôle déterminant dans la définition et l’application du droit à l’image. Parmi les décisions marquantes figure l’arrêt

de la Cour de cassation du 20 février 2001 (1re civ., N95-10.185), dans lequel les juges ont reconnu qu’une personne prise en photo dans un

lieu public pouvait s’opposer à la publication de son image dès lors qu’elle y était clairement identifiable et que la photo ne relevait pas d’un

intérêt d’information légitime. De même, la Cour européenne des droits de l’homme, dans son célèbre arrêt Von Hannover c. Allemagne

(2004), a affirmé que la vie privée incluait le droit au contrôle de son image, y compris pour une personne publique. La Cour d’appel de Paris,

dans un arrêt du 3 octobre 2007 (RG N06/11279), a rappelé que la diffusion de l’image d’un mineur sans autorisation des deux titulaires de

l’autorité parentale engageait la responsabilité de la personne ou du média, même si l’image avait été prise dans un lieu public.

IX).  —  Cadre européen et réglementation RGPD

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

Le droit à l’image est influencé par le droit européen, notamment par le Règlement général sur la protection des données (RGPD).

Selon le RGPD, une image identifiable constitue une donnée à caractère personnel, et son traitement nécessite un consentement explicite.

Les articles 6, 7 et 17 du RGPD encadrent les conditions du consentement et le droit à l’effacement.

La jurisprudence de la CJUE renforce ces exigences, notamment dans l’arrêt Google Spain (CJUE, 2014), qui fonde le droit à l’oubli

numérique.

X).  —  Conseils pratiques pour la gestion du droit à l’image

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

La gestion du droit à l’image repose sur le recueil d’un consentement clair. Toute personne souhaitant utiliser une image identifiable doit

obtenir un accord écrit précisant les modalités d’utilisation. Pour les mineurs, les deux titulaires de l’autorité parentale doivent donner leur

autorisation. En cas de litige, la victime peut saisir la justice ou demander un retrait via les mécanismes proposés par les plateformes en ligne.

XI).  —  Perspectives législatives : deepfakes, IA et droit à l’image

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

Les deepfakes et contenus générés par IA soulèvent de nouveaux défis. Le législateur envisage de renforcer les sanctions liées aux

manipulations non consenties. Des projets de loi visent à encadrer la diffusion d’images falsifiées, tandis que des propositions émergent pour

intégrer l’éducation au droit à l’image dès le collège. Le droit à l’image est appelé à évoluer en lien avec les transformations technologiques et

sociétales.

XII).  —  Contactez un avocat

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

pour votre défense

Le droit à l’image : protection et autorisations légales

1).  —  Infractions liées à l’image

atteinte à la vie privée, captation d’image sans autorisation, usage illicite de l’image, diffusion non consentie, harcèlement médiatique, usurpation d’image, surveillance illégale, intrusion visuelle, exploitation abusive, violation de l’intimité, enregistrement clandestin, photos volées, publication sans accord, exploitation commerciale non autorisée, atteinte au droit à l’honneur, montage diffamatoire, détournement d’image, diffamation par l’image, altération d’image, falsification visuelle, identification forcée, surveillance intrusive, publication dégradante, photographie interdite, image humiliant la dignité, diffusion de mineur sans accord, image volée sur réseau social, publication sans floutage, image prise à l’insu, captation dans lieu privé, image utilisée à des fins politiques, image décontextualisée, atteinte à l’image de marque, mise en scène non autorisée, photographie d’enfant sans autorisation, enregistrement audio-visuel illicite, diffusion sur plateforme sans autorisation, image filmée sans information préalable, diffusion posthume sans accord, piratage d’image privée

2).  —  Procédures et actions en justice

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

plainte pour atteinte à l’image, référé image, action en responsabilité civile, procédure de retrait de contenu, mise en demeure, injonction de suppression, constat d’huissier, plainte pénale, assignation en référé, ordonnance de suppression, recours en urgence, saisine du juge des référés, demande de dommages et intérêts, action en réparation, preuve de l’atteinte, constatation judiciaire, saisie de preuve numérique, procédure CNIL, plainte CNIL, recours administratif, référé liberté, action en protection immédiate, requête auprès du TGI, procédure civile, constitution de partie civile, enregistrement d’audience interdit, droit de réponse, recours contre média, opposition à la diffusion, procédure pour image non floutée, procédure en cas d’image truquée, demande de censure, alerte juridique, notification de contenu illicite, rapport à l’Arcom, saisine du CSA, recours en ligne, suppression d’image sur réseaux sociaux

3).  —  Sanctions et responsabilités

dommages-intérêts, amende civile, sanction pénale, interdiction de diffusion, condamnation à retirer le contenu, responsabilité du photographe, responsabilité de l’éditeur, condamnation pour atteinte à la vie privée, suppression judiciaire, astreinte, injonction de floutage, interdiction de republication, suspension de compte, sanction disciplinaire, condamnation de plateforme, injonction judiciaire, responsabilité numérique, obligation de réparation, responsabilité pour négligence, peine complémentaire, condamnation en référé, responsabilité des médias, sanctions pour mineurs, retrait de licence, interdiction de filmer, injonction de retrait immédiat, réparation financière, interdiction de partage, retrait du support numérique, engagement de non-répétition, obligation d’excuses publiques, condamnation civile, retrait sous astreinte, responsabilité contractuelle, rétractation forcée, condamnation en ligne, mention rectificative obligatoire, réparation symbolique

4).  —  Textes et fondements juridiques

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

article 9 du Code civil, article 226-1 du Code pénal, jurisprudence sur le droit à l’image, décision de la Cour de cassation, convention européenne des droits de l’homme, arrêt Nikon, droit à l’image en ligne, RGPD, lois sur la presse, droit à la vie privée, article 8 CEDH, Code de la propriété intellectuelle, liberté d’expression vs droit à l’image, textes sur l’image des mineurs, droit au respect de l’intimité, droit moral, directives européennes, lois sur les médias, règlement sur les plateformes, Code de déontologie journalistique, charte du photographe, code pénal numérique, lois Hadopi, décisions du Conseil d’État, jurisprudence récente, directives CNIL, principes de droit à l’oubli, législation audiovisuelle, circulaire ministérielle sur l’image, ordonnance de 2000 sur la presse, lois sur les influenceurs, textes sur les réseaux sociaux

5).  —  Acteurs concernés

victime de diffusion non autorisée, juge des référés, avocat en droit de la presse, photographe, vidéaste, influenceur, hébergeur de contenu, éditeur de site, journaliste, plateforme numérique, modérateur de contenu, tribunal judiciaire, procureur de la République, autorité judiciaire, Arcom, CNIL, Conseil supérieur de l’audiovisuel, services de police, avocat spécialisé en droit à l’image, famille du mineur, représentants légaux, école ou établissement filmé, employeur, salarié filmé, agence de presse, service juridique d’une entreprise, service de communication, association de défense des droits, victime mineure, parents d’élèves, équipe pédagogique, société de production, régie publicitaire, responsable de communication, cabinet d’avocats, expert en preuve numérique

Le droit à l’image : protection et autorisations légales

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

1).  —  Infractions liées à l’image

La captation d’image sans autorisation constitue une atteinte grave à la vie privée, réprimée par l’article 226-1 du Code pénal.
La diffusion d’une image prise à l’insu d’une personne, même dans un lieu public, peut engager la responsabilité pénale de son auteur.
Le montage diffamatoire ou le détournement de l’image d’une personne à des fins malveillantes est sanctionné au titre de l’atteinte à l’honneur.

La publication d’une image dégradante sur un réseau social, sans floutage ni autorisation, constitue une infraction punissable.

Photographier un mineur sans l’accord de ses représentants légaux expose à une poursuite pour atteinte à l’intimité.
L’exploitation commerciale non autorisée de l’image d’un individu porte atteinte à ses droits patrimoniaux et extrapatrimoniaux.
La prise d’image dans un lieu privé sans accord explicite du résident constitue une intrusion visuelle illicite.
Publier l’image d’une personne à des fins politiques sans son accord est une atteinte caractérisée au droit à l’image.
L’usurpation d’image pour créer un faux profil constitue un usage frauduleux, souvent lié à l’escroquerie numérique.
L’enregistrement clandestin d’un individu, même sans diffusion, est en soi un acte illégal et attentatoire à la vie privée.

2).  —  Procédures et actions en justice

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

Une plainte pénale peut être déposée en cas de diffusion non autorisée d’une image portant atteinte à l’intimité.
La procédure de référé image permet d’obtenir rapidement une ordonnance de suppression d’un contenu litigieux.
Un constat d’huissier sur la publication litigieuse est souvent indispensable pour prouver l’atteinte à l’image.
La mise en demeure d’un éditeur ou d’une plateforme précède souvent une action en responsabilité civile.

Le juge des référés peut prononcer une injonction de suppression immédiate assortie d’une astreinte.

Une demande de dommages-intérêts permet de réparer le préjudice moral causé par la diffusion d’images illicites.
La constitution de partie civile est ouverte à toute personne dont l’image a été utilisée sans autorisation.
Une saisine de la CNIL est envisageable si l’image est associée à des données personnelles non traitées légalement.
Un recours administratif peut être exercé contre un établissement public ayant diffusé une image sans accord préalable.
La notification d’un contenu illicite à une plateforme est le premier réflexe en cas d’image publiée sans autorisation.

3).  —  Sanctions et responsabilités

L’auteur d’une atteinte au droit à l’image peut être condamné à des dommages-intérêts significatifs.
La sanction pénale peut inclure une amende et, dans certains cas, une peine complémentaire d’interdiction.
Une plateforme numérique peut voir sa responsabilité engagée si elle ne retire pas une image illicite après signalement.
Le photographe professionnel est tenu de recueillir un consentement explicite avant toute publication.

Une astreinte financière peut s’appliquer jusqu’au retrait effectif de l’image litigieuse.

Un journaliste peut être tenu pour responsable si la diffusion d’une image viole le droit à la vie privée.
La justice peut imposer une obligation de réparation et la publication d’excuses en cas de faute avérée.
La condamnation en référé oblige souvent à retirer immédiatement l’image concernée.
Une mention rectificative obligatoire peut être imposée par décision judiciaire.
Une réparation symbolique est parfois ordonnée pour souligner le principe du respect de la personne.

4).  —  Textes et fondements juridiques

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

L’article 9 du Code civil affirme que chacun a droit au respect de sa vie privée, y compris pour son image.
L’article 226-1 du Code pénal sanctionne la captation d’image sans le consentement de la personne filmée.
La Cour de cassation a réaffirmé à plusieurs reprises que le consentement préalable est essentiel à toute diffusion.
Le RGPD protège les images associées à une donnée personnelle identifiable.

La CEDH reconnaît le droit à l’image comme un aspect du droit au respect de la vie privée (article 8).

Le droit à l’oubli numérique permet de demander le retrait d’images obsolètes ou nuisibles.
Les textes sur les réseaux sociaux obligent les plateformes à retirer les contenus illicites signalés.
La jurisprudence française protège l’image des mineurs et des personnes vulnérables.
La liberté d’expression ne saurait justifier la publication d’une image attentatoire à la dignité.
Le Code de déontologie journalistique impose de respecter le droit à l’image des personnes filmées.

5).  —  Acteurs concernés

La victime d’une diffusion illicite peut engager une action en réparation devant le tribunal judiciaire.
Le juge des référés statue en urgence sur les demandes de retrait d’image ou d’interdiction de diffusion.
L’avocat en droit de la presse intervient en cas d’atteinte à l’image ou à la vie privée.
Un photographe peut voir sa responsabilité engagée s’il publie sans autorisation une image identifiable.
Un influenceur est tenu aux mêmes obligations qu’un média en matière de respect du droit à l’image.

Les parents d’un mineur peuvent s’opposer à la diffusion d’une image de leur enfant sans accord préalable.

Un hébergeur de contenu est tenu de retirer une image illicite après notification formelle.
Le CSA ou l’Arcom peut être saisi en cas de violation répétée du droit à l’image dans un média audiovisuel.
Les services de police peuvent enquêter sur les infractions liées à l’image privée.
Les établissements scolaires doivent obtenir l’autorisation des familles avant toute prise de vue d’élèves.

à cause de cela,
(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

à cause de,

ainsi,

à nouveau,

à partir de là,

Ainsi,

Alors que,

Alors,

Après cela,

Après que,

Aussi,

bien que,

car,

Cependant,
(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

c’est ainsi que,

c’est pour cela que,

par ailleurs,

c’est pourquoi,

Considérons,

Contraste,

D’autant plus,

d’après,

de ce fait,

de façon,

manière que,

De la même manière,
(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

De même,

enfin,

de nouveau

de plus,

en dernier lieu,

De plus,

de sorte que,

deuxièmement,

Donc,

en ce qui concerne,

En conclusion,

par ailleurs,

En conséquence,

En dernier lieu,

dommage encore,

En fait,

puis,

En outre,

finalement,

en particulier,

du cabinet Aci assurera efficacement votre défense.

Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone, ou

bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation : auteur, co-auteur, complice, receleur ou

victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase

d’enquête (garde à vue) ; d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la

chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration

pénitentiaire par exemple).

XIII).  —  Les domaines d’intervention du cabinet Aci

(Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

Cabinet d’avocats pénalistes parisiens 

D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo

75 003  PARIS

Puis, Tél. 01 42 71 51 05

Ensuite, Fax 01 42 71 66 80

Engagement, E-mail : contact@cabinetaci.com

Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste (Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

En somme, Droit pénal  (Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

Tout d’abord, pénal général (Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal

Puis, pénal des affaires (Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

Aussi, Droit pénal fiscal (Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme (Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

De même, Le droit pénal douanier (Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

En outre, Droit pénal de la presse (Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

                 Et ensuite (Le droit à l’image : protection et autorisations légales)

Donc, pénal routier infractions

Outre cela, Droit pénal du travail

Malgré tout, Droit pénal de l’environnement

Cependant, pénal de la famille

En outre, Droit pénal des mineurs

Ainsi, Droit pénal de l’informatique

En fait, pénal international

Tandis que, Droit pénal des sociétés

Néanmoins, Le droit pénal de la consommation

Toutefois, Lexique de droit pénal

Alors, Principales infractions en droit pénal

Puis, Procédure pénale

Pourtant, Notions de criminologie

Sans commentaires

Désolé, le formulaire de commentaire est fermé pour le moment.