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Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris

Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris

Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris — Cabinet ACI avocats pénalistes à Paris. Éléments, indices, peines, nullités et

stratégies.

I. Définition et architecture de l’infraction

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

A. Notion légale et finalités

Le recel (art. 321-1 C. pén.) est le fait de dissimuler, détenir, transmettre une chose, ou d’en faire l’intermédiaire, en sachant

qu’elle provient d’un crime ou d’un délit ; il vise aussi le fait de bénéficier sciemment du produit de l’infraction. Infraction

autonome, le recel ne suppose pas la condamnation de l’auteur principal : il suffit d’établir la provenance délictueuse du bien et la

connaissance de cette provenance. La politique criminelle est claire : tarir les débouchés des infractions sources (vol, escroquerie,

abus de confiance, extorsion, travail dissimulé, contrefaçon, etc.) et protéger propriété, sécurité économique et confiance

dans les échanges. Le Cabinet ACI avocats pénalistes à Paris accompagne victimes et personnes poursuivies pour qualifier les faits,

préserver la preuve et construire la défense.

B. Typologie et frontières pénales

On distingue le recel de choses (stockage, détention), le recel d’usage (utilisation en connaissance de cause), le recel par

intermédiation (transport, mise en relation, revente) et le recel-profit (jouissance du produit). À la frontière, le blanchiment

(art. 324-1 s.) sanctionne l’opacification et le recyclage de fonds illicites ; le recel sanctionne la détention/usage/transmission du

bien déjà illicite. La complicité se situe en amont (aide/provocation à l’infraction source) ; le recel intervient après la commission du

fait initial. En pratique, bien tracer la séquence temporelle évite cumul et double répression pour le même fait.

II. Éléments constitutifs : matériel, moral et prescription

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

A. Élément matériel : détention, usage, transmission

L’élément matériel couvre tout acte positif sur le bien : dissimulation dans un box, détention d’un téléphone volé, convoyage d’un

véhicule signalé, revente d’objets issus d’un vol à l’étalage, hébergement d’un lot sous cache, utilisation d’un QR-code annulé,

encaissement d’un chèque volé. Biens concernés : meubles corporels (bijoux, high-tech, outillage, œuvres, véhicules), énergie,

titres dématérialisés (billets, abonnements). Les preuves classiques sont : PV, scellés, vidéoprotection, traces (IMEI/VIN),

rapprochements sériels, relevés bancaires, métadonnées.

B. Élément moral : connaissance de l’origine délictueuse

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

La connaissance peut être expresse (aveu, message) ou déduite d’indices graves, précis et concordants : prix dérisoire,

numéro de série limé, IMEI incohérent, VIN altéré, vente au coffre, refus de facture, alias et comptes éphémères sur

plateformes, revente express en cash, fuite à la vue des policiers, dissimulation active, multiplicité d’annonces. À l’inverse,

factures, contrats, certificats de cession, contrôle IMEI/VIN préalable et vérifications KYC fondent une bonne foi crédible. La

récidive ou l’habitualité peuvent peser dans l’appréciation de la connaissance.

C. Nature continue et prescription

Le recel est classiquement une infraction continue lorsqu’il consiste en une détention qui se prolonge : la prescription (délits : 6

ans) court tant que l’occupation illicite persiste. Pour un acte instantané (ex. une revente ponctuelle), le point de départ est l’acte lui-

même. Cette distinction oriente la stratégie : contester la continuité peut réduire l’exposition temporelle ; à l’inverse, la poursuite

cherchera à démontrer une possession durable.

III. Preuve : provenance délictueuse et faisceaux d’indices

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

A. Établir la provenance délictueuse

Le parquet n’a pas à juger l’affaire source, mais doit prouver que le bien provient d’un crime/délit : déclarations des victimes, constats, rapprochements (caractéristiques, numéros, séries), sérialisation des vols, bases spécialisées (téléphonie, véhicules), messages et profils des vendeurs, traçabilité financière. Une décision sur l’infraction initiale facilite la preuve mais n’est pas indispensable si le faisceau d’indices est cohérent.

B. Démontrer (ou contester) la connaissance

Côté accusation : prix sans rapport avec le marché, conditions de revente atypiques (nuit, cash, parkings), alias numériques, échanges révélant la conscience du risque, rupture des numéros d’identification, cache physique. Côté défense : diligences de vérification (contrôle IMEI/VIN, identité du vendeur, historique), factures, recherche du juste prix, témoignages (contexte d’achat), cohérence du profil (emploi, stabilité), absence d’indices de dissimulation.

C. Chaîne de conservation et loyauté

La force probatoire dépend de l’intégrité des scellés, des horodatages, de la loyauté des perquisitions et extractions

numériques (périmètre, base légale, proportionnalité), du respect des droits en garde à vue (silence, avocat). Un vice peut conduire

à une nullité ou à l’exclusion d’une pièce essentielle.

IV. Peines, aggravations et conséquences

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

A. Barème légal

Peine de base : 5 ans d’emprisonnement et 375 000 € d’amende (art. 321-1). Personnes morales : amende au quintuple (art.

131-38) et peines complémentaires de l’art. 131-39 (fermeture, interdictions, confiscation, affichage).

B. Aggravations et situations lourdes

Le recel habituel (art. 321-2) et la bande organisée (art. 132-71) exposent à des paliers supérieurs, avec confiscations étendues,

interdictions professionnelles, interdiction de paraître. La récidive légale (art. 132-10 s.) rehausse les plafonds. Des

dommages-intérêts viennent s’ajouter au pénal.

C. Conséquences collatérales

Casier judiciaire (B2), accès aux marchés publics, assurances (résiliation/surprime), titres de séjour, métiers réglementés :

l’impact est réputationnel et économique. Un accompagnement tôt par le Cabinet ACI avocats pénalistes à Paris permet

d’anticiper aménagements et réparations.

V. Articulation avec infractions voisines

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

A. Recel vs blanchiment

Blanchiment : opacifier l’origine et recycler ; recel : détenir/faire usage/transmettre le bien illicite. Deux séquences distinctes

pouvant, si autonomes, coexister ; interdiction des doubles condamnations pour un même fait requalifié.

B. Recel vs complicité

La complicité suppose un acte d’aide avant l’infraction source ; le recel intervient après. Les indices d’organisation antérieure (pré-

stockage, rendez-vous de dépouillage) orientent vers la complicité ; à défaut, le recel s’impose.

C. Recel vs achat de bonne foi / abus de confiance / escroquerie

L’achat de bonne foi doit s’appuyer sur des diligences élémentaires (identité du vendeur, facture, prix cohérent). Abus de

confiance et escroquerie sont des infractions sources possibles : elles n’absorbent pas le recel, mais ne se confondent pas avec lui.

VI. Procédure : de l’enquête à l’audience

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

A. Enquête

Perquisitions, saisies, auditions, réquisitions bancaires et télécoms, contrôles IMEI/VIN, forensics (téléphones/ordinateurs),

OSINT (annonces, profils), filatures. Les rapprochements inter-procédures (mêmes vendeurs, mêmes lots) sont déterminants.

B. Garde à vue et droits

Information des droits, droit au silence, avocat, entretien confidentiel. La défense vérifie horodatages, chaîne des scellés,

périmètre des saisies, proportionnalité des extractions numériques. Des nullités peuvent faire tomber des pièces clés.

C. Poursuites et intérêts civils

Voies : ordonnance pénale, CRPC, comparution immédiate, convocation devant le tribunal correctionnel. Intérêts civils :

dommages-intérêts, publication judiciaire, confiscation et restitution au propriétaire.

VII. Défense pénale : leviers concrets

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

A. Contester la provenance

Sans éléments objectifs (sérialisation, signalement, rapprochements), le doute profite au prévenu. Produire factures, contrats,

preuves d’origine licite, témoignages, historique des annonces, captures et horodatages.

B. Contester la connaissance

Démontrer la normalité du prix, la traçabilité (paiement trace/virement), la vérification préalable (IMEI/VIN), l’absence

d’indices (cache, alias, fuite). Souligner l’absence d’antécédents, l’insertion et la cohérence du récit.

C. Requalifier / atténuer

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

Plaider l’erreur excusable, la négligence plutôt que l’intention, la restitution immédiate, l’indemnisation, la médiation pénale.

Viser une peine utile : TIG, jours-amende, sursis probatoire (travail, soins, remboursement), dispense d’inscription B2 si

possible.

D. Nullités et exclusions de preuve

Rechercher vices : perquisition hors base légale, atteinte disproportionnée à la vie privée, extraction numérique hors périmètre,

audition sans garanties. Une pièce irrégulière peut être écartée et affaiblir l’économie probatoire.

E. Personnes morales

Exiger la preuve du lien organique (organe/représentant), de l’intérêt/bénéfice social, démontrer la compliance : procédures achats,

KYC, audit des filières, clausier contractuel, formation et alertes internes.

VIII. Secteurs à risque et signaux faibles

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

A. Véhicules et mobilité

VIN repeint, plaques clonées, cartes grises douteuses, contrôle technique inadapté, paiement cash fractionné, export rapide :

faisceau vers recel/recel habituel. Défense : expertise indépendante, contrats, identité des intermédiaires, historique d’entretien.

B. Téléphonie et high-tech

IMEI incohérents, numéros limés, boîtes sans numéro, prix anormalement bas, revente multi-comptes, expéditions à relais : forte

présomption de provenance illicite si cumulée.

C. Luxe, œuvres, outillage pro

Certificats discutables, provenance lacunaire, photos réutilisées, marquages altérés. Pour l’outillage pro, stocks incohérents,

numéros meulés et flux nocturnes.

D. Dématérialisé et titres

QR-codes, licences, abonnements : l’usage au détriment du titulaire avec connaissance de l’irrégularité caractérise un recel

d’usage ; la traçabilité serveur/app est décisive.

IX. Conséquences pratiques : acteurs et réflexes

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

A. Victimes

  1. Plainte rapide et documentée ; 2) inventaire et chiffrage ; 3) constitution de partie civile ; 4) demandes de confiscation/restitution ; 5) publication judiciaire ; 6) mobilisation des assurances (délais, franchises).

B. Prévenus

  1. Silence et avocat ; 2) collecte preuves d’origine licite ; 3) lecture critique du dossier ; 4) éventuel renvoi pour préparer ; 5) restitution/indemnisation ; 6) garanties de représentation (emploi, domicile).

C. Employeurs/entreprises

  1. Enquête interne loyale (RGPD) ; 2) procédures d’achats/KYC ; 3) prévention (formations) ; 4) réaction proportionnée ; 5) coopération avec police et assureurs.

X. Questions fréquentes (FAQ)

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

A. Faut-il la condamnation du voleur ? Non : des preuves objectives de provenance suffisent.

B. Un « bon plan » suffit-il ? Un prix dérisoire cumulé à d’autres indices peut emporter la connaissance.

C. La restitution efface-t-elle le recel ? Non, mais elle atténue la peine et éclaire l’intention.

D. Peut-on cumuler complicité et recel ? Pas pour le même concours de faits.

E. Et le blanchiment ? Séquence différente (opacifier/recycler), parfois autonome.

F. Le recel est-il toujours continu ? Non : détention durable = continu ; revente ponctuelle = instantané.

G. Le défaut de facture suffit-il ? Non, mais combiné à un prix anormal et à des alias, l’indice pèse.

XI. Cas pratiques synthétiques

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

A. Smartphone d’occasion

Annonce anonyme, prix très bas, IMEI déclaré volé : faisceau vers recel. Défense : facture, échanges complets, contrôle IMEI

antérieur, prix de marché, absence de cache.

B. Véhicule de tourisme

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

VIN retouché, plaque clonée, cash fractionné, export prévu : recel habituel possible. Défense : expertise indépendante, traçabilité

des transactions, contrats, identité des intermédiaires.

C. Stockage pour un tiers

Découverte d’un lot d’objets sous cache au domicile ; messages évoquant la provenance : recel de choses. Défense : ignorance

crédible, absence d’indices personnels de dissimulation, coopération et restitution.

D. Titres dématérialisés

QR annulé utilisé sciemment : recel d’usage. Défense : erreur de bonne foi, confusion sur la validité, preuve des vérifications.

XII. Stratégie de défense (méthode Cabinet)

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

A. Audit probatoire

Cartographier élément matériel, connaissance, provenance, aggravations (habitualité, bande organisée), procédure (vices).

Tester des qualifications alternatives (ex. abus de confiance), scénarios d’aménagement (CRPC, TIG, jours-amende, sursis

probatoire).

B. Plaidoirie, proportionnalité, peine utile

Construire une narration cohérente, démontrer l’origine licite ou le doute raisonnable, valoriser restitution et indemnisation,

l’insertion. Rechercher une peine utile et proportionnée (éloignement des filières, emploi, soins).

C. Accompagnement des victimes

Évaluer le préjudice, chiffrer les dommages-intérêts, solliciter publication judiciaire et confiscation, suivre l’exécution

(éventuelle astreinte), organiser la restitution.

XIII. Conclusion opérationnelle

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

Infraction charnière, le recel assèche le marché des biens issus d’infractions et protège l’économie des échanges. L’accusation doit

prouver provenance et connaissance par un faisceau d’indices solide et loyalement obtenu ; la défense oppose diligences,

bonne foi, nullités et réparation. L’individualisation et la proportionnalité commandent la réponse pénale. Le Cabinet ACI,

avocats pénalistes à Paris, bâtit une stratégie probatoire et procédurale sur mesure, de la GAV à l’audience, pour sécuriser la

preuve, limiter l’exposition et obtenir une décision utile.

XIV. Compléments pratiques et points de vigilance

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

A. Marchés en ligne, petites annonces et plateformes

Les marketplaces et réseaux sociaux sont devenus des vecteurs majeurs de recel : annonces anonymisées, prix dérisoires, paiement

en cash ou via portefeuilles numériques éphémères, livraisons en points relais. Côté prévention, l’acheteur doit exiger facture, preuve

d’origine, contrôle IMEI/VIN, historique d’entretien et identité vérifiable du vendeur ; côté poursuite, ces mêmes éléments fondent le

faisceau d’indices (photos recyclées, profils clonés, demandes de contact hors plateforme). En défense, documenter des diligences

préalables (captures, courriels, contrôle d’authenticité) consolide la bonne foi. Le Cabinet ACI avocats pénalistes à Paris conseille

d’éviter les conditions « nocturnes » ou en parking, typiques des schémas de recel habituel.

B. Forensics, données et vie privée

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

La preuve numérique (téléphones, messageries, métadonnées, géolocalisation) doit respecter la proportionnalité et la loyauté :

périmètre clair des réquisitions, traçabilité des extractions, chaîne des scellés. En attaque, une nullité peut être plaidée en cas d’atteinte

excessive à la vie privée, de collecte hors base légale ou d’« aspiration » générale des contenus. En défense proactive, produire des logs

d’achat, confirmations de paiement traçables, messages de négociation et contrôles IMEI/VIN effectués avant l’acquisition renforce

l’argument de bonne foi. Les victimes, elles, gagnent à centraliser captions, horodatages et liens de publication pour accélérer

confiscation et restitution.

C. Choix procédural et négociation pénale

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

Lorsque le faisceau d’indices sur la connaissance est solide (prix anormal, dissimulation, revente express), l’option CRPC peut limiter

l’exposition : reconnaissance mesurée des faits, peine utile (TIG, jours-amende, sursis probatoire), réparation rapide et

engagements de non-réitération. À l’inverse, si la provenance délictueuse est incertaine ou si les vérifications d’achat sont étoffées, la

stratégie privilégiera le débat contradictoire (audience), la contestation des indices, la mise en avant de la bonne foi et, le cas

échéant, la requalification (simple négligence, absence d’intention). Dans tous les cas, la proportionnalité et l’individualisation

guident la peine recherchée.

D. Exécution, prévention et réinsertion

Après décision, le suivi conditionne l’efficacité : restitution des biens, dommages-intérêts versés, confiscations exécutées, respect

des obligations du sursis probatoire (travail, soins, indemnisation). Pour éviter la récidive, les activités exposées (revente d’occasion,

logistique, réparation) doivent adopter des procédures KYC d’achats, registres, vérifications VIN/IMEI, clausier contractuel et

formation du personnel. Côté victimes et entreprises, une cartographie des risques (stocks, accès, traçabilité) et une politique d’alertes

rapides facilitent la preuve et réduisent le coût global. Le Cabinet ACI avocats pénalistes à Paris pilote ces phases pour sécuriser

l’exécution et la réinsertion.

XV).  —  Table des matières — Recel : définition, preuve et défense pénale

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

I. Notion légale et périmètre de l’infraction (art. 321-1)

  1. Définition : détention, dissimulation, transmission, bénéfice d’un bien
  2. Origine délictueuse : vol, escroquerie, abus de confiance, autres infractions sources

II. Éléments constitutifs et preuve

  1. Élément matériel : détention effective, flux, restitution, traçabilité des biens
  2. Élément moral : connaissance de l’origine, indices graves et concordants

III. Formes et aggravations

  1. Recel habituel, facilités d’une activité professionnelle
  2. Bande organisée, organisation et répartition des rôles

IV. Distinctions et concours d’infractions

  1. Recel vs blanchiment : objets, opérations, finalités
  2. Recel vs complicité de l’infraction d’origine

V. Peines et peines complémentaires

  1. Personnes physiques : échelle des peines, confiscation, TIG, jours-amende
  2. Personnes morales : amende au quintuple, interdictions, fermeture

VI. Procédure d’enquête et de poursuite

  1. Garde à vue, perquisitions, saisies, scellés, réquisitions numériques
  2. Choix des poursuites : CRPC, comparution immédiate, audience correctionnelle

VII. Axes de défense pénale

  1. Absence de connaissance : diligences de bonne foi, prix du marché, justificatifs
  2. Nullités et loyauté de la preuve : chaîne des scellés, perquisitions, droits GAV

VIII. Situations particulières

  1. Marchés en ligne : annonces, profils anonymes, IMEI/VIN, “prix dérisoire”
  2. Pièces automobiles, téléphonie, bijoux, reconditionnement

IX. Jurisprudences clés

  1. Indices suffisants pour la connaissance (prix, justificatifs, dissimulation)
  2. Recel habituel et organisation : critères et sanctions

X. Conséquences pratiques

  1. Personne poursuivie : risques, stratégies, exécution des peines
  2. Victime et assurances : restitution, dommages-intérêts, subrogation

XI. Stratégie de défense et individualisation

  1. Check-list probatoire et alternatives de qualification
  2. Négociation de peine, sursis probatoire, obligations

XVI). — LES 5 TABLEAUX

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

1). TABLEAU — CONCEPTS & MOTS IMPORTANTS

  1. recel ; 2) recel de vol ; 3) recel d’escroquerie ; 4) recel d’abus de confiance ; 5) recel aggravé ; 6) recel habituel ; 7) provenance délictueuse ; 8) élément matériel ; 9) élément moral ; 10) connaissance de l’origine ; 11) intention ; 12) détention ; 13) transmission ; 14) dissimulation ; 15) bande organisée ; 16) faisceau d’indices ; 17) prix anormalement bas ; 18) absence de justificatifs ; 19) facture ; 20) numéro de série ; 21) IMEI/VIN ; 22) traçabilité ; 23) marquage ; 24)
  2. plaintes antérieures ; 25) objets en lot ; 26) revente rapide ; 27) place de marché ; 28) petites annonces ; 29) profil
  3. anonyme ; 30) paiement en espèces ; 31) portefeuilles éphémères ; 32) point relais ; 33) photos recyclées ; 34) profil cloné ; 35) contradictoire ; 36) nullité de procédure ; 37) loyauté de la preuve ; 38) chaîne des scellés ; 39) perquisition ; 40) garde à vue ; 41) CRPC ; 42) comparution immédiate ; 43) dommages-intérêts ; 44) confiscation ; 45) restitution ; 46) composition pénale ; 47) jours-amende ; 48) TIG ; 49) sursis probatoire ; 50) Cabinet ACI avocats pénalistes à Paris.

2). TABLEAU — SITUATIONS À RISQUE / CIRCONSTANCES AGGRAVANTES

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Achat d’un téléphone haut de gamme à prix dérisoire sans facture ni IMEI vérifié.
  2. Accumulation d’objets de même type (outillage, vélos, smartphones) destinés à la revente rapide.
  3. Transactions récurrentes via profils anonymes et rendez-vous en parking ou tard le soir.
  4. Dissimulation des biens (rayonnages arrière, coffres, caves) et numéros de série limés.
  5. Utilisation de comptes de paiement jetables ou cryptomonnaies sans traçabilité.
  6. Annonces en série avec photos recyclées et descriptions identiques.
  7. Refus systématique de fournir justificatifs d’origine ou identité vérifiable.
  8. Biens provenant de magasins pillés ou de cambriolages en série dans le même secteur.
  9. Recel habituel : flux continu d’achats/reventes anormaux au regard des revenus.
  10. Bande organisée : rôles répartis (acheteur, logisticien, revendeur, convoyeur).
  11. Biens marqués au nom d’une entreprise ou d’un particulier récemment victime.
  12. Blanchiment du produit de revente par facturation fictive ou prête-nom.
  13. Revente via plateformes étrangères pour éluder les réquisitions.
  14. Stockage dans un box loué sous fausse identité.
  15. Reconditionnement visant à effacer l’origine (châssis/boîtier remplacés).
  16. Recel de pièces automobiles avec VIN incohérent ou non apparié.
  17. Biens issus d’escroqueries en ligne (faux livreurs, faux virement).
  18. Réception d’envois multiples à des points relais différents.
  19. Menaces ou pressions pour récupérer des biens saisis ou empêcher la plainte.
  20. Cumul de plusieurs signaux précédents (effet boule de neige incriminant).

3). TABLEAU — RÉFÉRENCES LÉGALES (SOCLE TEXTUEL)

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Code pénal, art. 321-1 : définition du recel (détention, dissimulation, transmission, bénéficie).
  2. Code pénal, art. 321-2 à 321-5 : peines, aggravations (notamment organisation, habitudes), peines complémentaires.
  3. Code pénal, art. 311-1 et s. : vol (infraction d’origine la plus fréquente).
  4. Code pénal, art. 314-1 : abus de confiance (distinction utile).
  5. Code pénal, art. 312-1 : extorsion (origine possible des biens recelés).
  6. Code pénal, art. 324-1 et s. : blanchiment (concours et distinction avec le recel).
  7. Code pénal, art. 132-71 : bande organisée (aggravation transversale).
  8. Code de procédure pénale : garde à vue (droits, avocat, silence), perquisitions, saisies, scellés, réquisitions.
  9. Code de la consommation / RGPD : factures, données et obligations de traçabilité (preuve d’origine).
  10. Assurances (polices vol/RC) : articulation indemnisation–restitution et recours subrogatoires.

4). TABLEAU — JURISPRUDENCES MARQUANTES (principes dégagés)

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Connaissance déduite d’indices : le prix anormalement bas, l’absence de justificatifs et la dissimulation peuvent suffire, réunis, à établir la connaissance de l’origine délictueuse.
  2. Revente quasi-immédiate d’un bien fraîchement volé : forte présomption de recel en présence d’autres indices (contacts avec l’auteur, lieu de stockage, flux).
  3. Bonne foi de l’acheteur : elle se prouve par des diligences concrètes (vérification numéro de série, IMEI/VIN, identité du vendeur, facture), à défaut la négligence grave peut emporter condamnation.
  4. Conflit qualification recel/blanchiment : possibilité de concours réel lorsque la réintégration des biens dans l’économie est distincte de la simple détention.
  5. Recel habituel : la récurrence des actes et l’organisation (carnet clients, marges, logistique) justifient une peine plus élevée et la confiscation.
  6. Preuve numérique : messageries, métadonnées, historiques de plateforme sont recevables si chaîne des scellés et loyauté sont respectées.
  7. Objet re-marqué ou démonté : l’effacement d’identifiants, le reconditionnement et la fragmentation des pièces renforcent l’élément moral.
  8. Victime identifiée : la restitution prioritaire et la réparation intégrale conditionnent l’individualisation favorable de la peine.

5). TABLEAU — CONSÉQUENCES & RECOURS

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

A) Personne mise en cause

  1. Stratégie procédurale : exercer le droit au silence, solliciter l’avocat, demander l’accès au dossier.
  2. Contestations : élément matériel (détention contestée), élément moral (pas de connaissance), origine licite alternative.
  3. Preuves de bonne foi : facture, échanges, contrôle IMEI/VIN, identité du vendeur, preuves de prix du marché.
  4. Modes de poursuite : CRPC, comparution immédiate, audience classique ; choix selon faisceau d’indices.
  5. Peines utiles : TIG, jours-amende, sursis probatoire avec obligations (indemnisation, travail, soins).
  6. Mesures patrimoniales : éviter la confiscation en prouvant l’origine licite de fonds/revenus ; organiser la restitution.
  7. Accompagnement : Cabinet ACI avocats pénalistes à Paris (audit des indices, plaidoyer, négociation, exécution).

B) Autorités / Médias / Plateformes

  1. Signalements rapides des biens recelés (photos, numéros de série, IMEI/VIN) et gel des annonces.
  2. Modération : retrait, déréférencement, conservation des logs pour réquisitions.
  3. Coordination : enquêteurs, assureurs, plateformes pour traçabilité et restitution.
  4. Communication mesurée : respect de la présomption d’innocence, éviter formulations fautives.
  5. Prévention : guides d’achat sûr, alertes locales (biens prisés, filères identifiées).

C) Victimes / Plainte initiale

  1. Dépôt de plainte circonstancié (photos, factures, numéros de série, géolocalisation).
  2. Constitution de partie civile : dommages-intérêts, demande de restitution et confiscation des gains.
  3. Suivi : coopérer aux expertises, fournir actualisations (apparition en annonces, vues caméras), activer l’assurance.

XVII).  —  Contactez un avocat

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

pour votre défense

A).  —  LES MOTS CLES JURIDIQUES :

I. Principes généraux du recel

recel, définition du recel, chose provenant d’un crime ou d’un délit, détention de chose, transmission, dissimulation, connaissance de l’origine, intention frauduleuse, élément matériel, élément moral, auteur principal, complice, vol, escroquerie, abus de confiance, extorsion, contrefaçon, recel de vol, recel d’escroquerie, recel d’abus de confiance, recel aggravé, bande organisée, habitude, activité professionnelle, preuve, indices graves, traçabilité, possession récente, silence du détenteur, explications invérifiables, prix dérisoire, circuit parallèle, marché noir, peine encourue, peines complémentaires, confiscation, interdiction professionnelle, perquisition, saisie, scellés, garde à vue, droit au silence, avocat, procédure pénale, Cabinet ACI avocats pénalistes à Paris

II. Éléments constitutifs (matériel et moral)

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

détention, transport, offre, vente, achat, recel de produits, recel d’objets, recel d’argent, recel de données, provenance délictueuse, mauvaise foi, dol, intention, origine criminelle, circonstances de découverte, cache, stockage, fausses factures, fausse qualité, intermédiaire, commission, profit, prix anormalement bas, revendeur, annonces en ligne, profil vendeur, IP, adresses multiples, SIM prépayée, alias, revente rapide, paiement en espèces, traçabilité bancaire, IBAN, cash-collector, cryptomonnaie, mixers, wallet, preuve d’achat, ticket falsifié, numéro de série, IMEI, châssis, marquage, gravage, facturette, balance des probabilités

III. Recel et infractions sources (vol, escroquerie, abus)

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

vol simple, vol aggravé, vol avec effraction, vol à l’arraché, vol à la roulotte, cambriolage, home-jacking, extorsion, escroquerie, abus de confiance, faux et usage de faux, contrefaçon, travail dissimulé, délit douanier, marchandises volées, véhicules volés, pièces détachées, métaux, câbles, téléphones, informatique, œuvres d’art, antiquités, montres, luxe, tabac, alcool, produits pharmaceutiques, outillage, matériel de chantier, carburant, cartes cadeaux, chèques, cartes bancaires, identifiants, données personnelles, QR codes, billets, titres de transport, bons d’achat, vêtements, maroquinerie, bijoux, or, argent, cryptos

IV. Recel aggravé (habitude, bande organisée)

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

Le recel aggravé, bande organisée, habitude caractérisée, activité professionnelle, logistique dédiée, stock tampon, fournisseurs multiples, clients réguliers, réseau, marketplace clandestine, drops, planques, box de stockage, véhicules relais, plaques usurpées, brouilleurs, fausses identités, prête-noms, sociétés écrans, dirigeant de fait, comptabilité occulte, blanchiment connexe, comptes tournants, cash-out, hawala, transit international, douanes, frets, transporteurs complices, fausses étiquettes, codes-barres, numéros de série grattés, reconditionnement, démontage, dépôt-vente, circuit court, peines alourdies, confiscation élargie, fermeture administrative

V. Indices usuels de recel (enquête)

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

prix anormalement bas, absence de facture, facture incohérente, numéro de série limé, IMEI blacklisté, puces reflashées, lot hétéroclite, emballages disparates, stock non déclaré, profil vendeur récent, multiples comptes, IP partagée, RDV parking, paiement cash, fuite lors du contrôle, explications vagues, contradictions, co-localisation suspecte, bornage téléphonique, SMS de revente, photos d’annonces, marquages retirés, outils spécifiques, antivol coupé, désactivation EAS, détrompeur, cagoule, gants, talkie-walkie, brouilleur, liste clients, carnet de ventes, fichiers excel, QR codes falsifiés, neuf sous blister, sécurité retirée, camionnette sans logo

VI. Recel numérique et données

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

le recel de données, bases volées, identifiants, mots de passe, cookies, tokens, compromission, cartes bancaires, BIN, fullz, SIM-swap, OTP, darknet, market, phishing, malware, infostealer, ransomware, credentials, leaks, packs, Telegram, canaux privés, logs RDP, VPS, proxy, mules, seed phrase, NFT volés, botnet, money mule, mixing, chain-hopping, KYC falsifié, AML, RGPD, plainte CNIL, perquisition informatique, imagerie disque, hash, journaux, adresse IP, entraide pénale

VII. Véhicules, pièces et numéros

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

recel de véhicule, car-jacking, home-jacking, double des clés, boîtiers OBD, reprogrammation, VIN frappé, recel de pièces, catalyseurs, jantes, pneus, GPS, autoradios, airbags, plaques clonées, carte grise, CPI, contrôle technique, expertise, DREAL, import sauvage, casses, garages complices, annonces collection, matching numbers, numéro moteur, douanes, containers, transit, faux certificats, dédouanement, fausse cession, mandat bidon, immatriculation étrangère, assurance, expert d’assuré, géolocalisation, balise neutralisée, eSIM, antidémarrage, clé vierge

VIII. Métaux, outillage, chantiers

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

recel de métaux, cuivre, aluminium, plomb, zinc, câbles, bobines, ferraille, rails, grilles, gouttières, clochers, vol sur chantier, générateurs, groupes électrogènes, marteaux-piqueurs, échafaudages, coffres, EPI, machines, diesel, cartes gasoil, badges, gravage, marquage entreprise, déchetteries, ICPE, traçabilité, vidéosurveillance, gardiennage, rondes, alarme, GPS, scellés, photographies, drones, expertise valeur, assureur, franchise, déclaration, partie civile, dommages-intérêts

IX. Luxe, œuvres d’art, montres

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

recel d’œuvres, tableaux, sculptures, antiquités, provenance, catalogues raisonnés, vol de musée, galerie, dépôt, montres, horlogerie, bijoux, pierres, or, argent, certificats, numéros, boîtes et papiers, revente à l’étranger, lots éclatés, experts, douanes, Interpol, bases vol, Art Loss Register, enchères, dépôt-vente, brocante, salons, faux certificats, gravures altérées, restauration suspecte, prix incohérent, paiement cash, courtiers, galeristes, marchands, transport sécurisé, revendication, action en restitution

X. Commerces, distribution, e-commerce

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

flux parallèles, réassort sauvage, vol interne, vol à l’étalage, recel de caisse, code-barres, étiquettes, EAS, portiques, back-office, cartes cadeaux, retours suspects, faux retours, drop-shipping illicite, marketplaces, boutiques éphémères, stocks non déclarés, livraisons fictives, relayage, locker, colis réétiquetés, numéros de suivi, hub, suppression de scan, picking, inventaire, écarts, contrôle interne, audit, contrefaçon, LCEN, CGV, preuve d’achat, numéro de lot, traçabilité, Cabinet ACI (conseil pénal)

XI. Preuve et procédure

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

garde à vue, notification des droits, droit au silence, avocat, perquisition, saisie, inventaire, scellés, PV, chronologie, horodatage, bornage, CCTV, reconnaissance, photos, numéros de série, expertise, traçabilité bancaire, virements, retraits, comptes, perquisition informatique, clonage, hash, chaîne de conservation, témoignages, réquisitions, opérateurs, douanes, banques, plateformes, déclarations de perte, CRPC, comparution immédiate, délais, nullités, jurisprudence

XII. Peines et peines complémentaires

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

emprisonnement, amende, sursis probatoire, TIG, jours-amende, sursis simple, confiscation, interdiction professionnelle, interdiction de gérer, fermeture d’établissement, affichage, diffusion du jugement, interdiction de paraître, obligations de soins, indemnisation, exécution, aménagement de peine, bracelet, semi-liberté, libération conditionnelle, contrôle judiciaire, saisie pénale, confiscation élargie, réhabilitation, B2, casier, récidive, réitération, astreinte, publication judiciaire

XIII. Défense pénale (axes de contestation)

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

absence d’élément matériel, absence d’élément moral, bonne foi, erreur sur l’origine, prix de marché, facture authentique, ignorance invincible, bien récupéré, prêt, dépôt, mandat, possession préexistante, chose abandonnée, provenance licite, chronologie lacunaire, traçabilité défaillante, nullité de perquisition, nullité de garde à vue, violation des droits, proportionnalité, vices de scellés, expertise contestée, doute raisonnable, in dubio pro reo, requalification, abus de confiance, médiation, CRPC, restitution, réparation, aménagement, personnalisation, emploi, soins, Cabinet ACI avocats pénalistes à Paris

XIV. Parties civiles et assurances

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

plainte, constitution de partie civile, dommages-intérêts, préjudice matériel, préjudice moral, évaluation, expertise, devis, factures, photos, n° de série, assurance, franchise, déchéance, délais, subrogation, recours contre le receleur, action en restitution, objets retrouvés, reconnaissance, condamnation solidaire, intérêts, exécution, titre exécutoire, saisie attribution, huissier, FICOBA, mesures conservatoires, hypothèque judiciaire, saisie véhicule, publicité du jugement, protection des victimes, aide juridictionnelle

XV. Entreprises et conformité

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

programme compliance, cartographie des risques, procédure achats, KYC fournisseurs, listes vol, numéros de série, contrôle réception, inventaires, anti-vol, RFID, CCTV, registre incidents, signalement, alerte interne, whistleblowing, RGPD, charte informatique, pouvoir disciplinaire, faute grave, licenciement, preuve loyale, chaîne de conservation, coopération police, assureur, formation, procédure d’escalade, tableau de bord, audits, politiques de stockage, déclarations douanières, traçabilité, éthique fournisseurs, clauses contractuelles

XVI. Recel et mineurs / jeunes majeurs

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

mineur, excuse de minorité, responsabilité pénale du mineur, sanctions éducatives, réparation, stages, TIG, référent éducatif, recel de smartphones, revente, réseaux sociaux, paiements cash, tickets, contrôles, PV simplifié, audition libre, GAV (conditions), avocat mineur, éducateur PJJ, mesures de suivi, césure du procès, prévention, médiation, rappel à la loi, sursis probatoire, obligations, restitution, parents, assurances, sensibilisation, réinsertion, éviter récidive

XVII. International et douanes

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

entraide pénale, MLAT, mandat d’arrêt, douanes, contrebande, contrefaçon, transport, fret, containers, zones franches, sous-facturation, sur-facturation, faux documents, incoterms, transit, pays tiers, OLAF, Europol, Interpol, livraisons contrôlées, perquisition douanière, amendes douanières, confiscation douanière, trafic d’art, antiquités, bien culturel, certificats d’export, licences, conventions UNESCO, restitutions, assurances transport, profilage, renseignement, Cabinet ACI (contentieux douanier)

XVIII. Contentieux numérique et plateformes

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

LCEN, notification, retrait, déréférencement, modération, preuve en ligne, constat Internet, horodatage, Wayback, hash, réquisitions plateformes, IP, logs, KYC, paiements, wallet, places de marché, évaluations, comptes multiples, ban automatique, titres de propriété, marques, contrefaçon, photos close-up, numéros uniques, tracking, OSINT, cross-matching, matching IMEI, matching châssis, tableurs, graphes, cartographie, signalement police, traçabilité

XIX. Voies procédurales

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

enquête préliminaire, flagrance, information judiciaire, citation directe, comparution immédiate, CRPC, ordonnance pénale, mesures alternatives, médiation pénale, classement sous conditions, contrôle judiciaire, saisies pénales, expertises, incidents, nullités, QPC, appel, cassation, exécution des peines, aménagement, TIG, jours-amende, sursis probatoire, obligations, soins, réparation, interdictions, confiscation, publication du jugement, dommages-intérêts, astreinte, restitution, revendication, action en responsabilité

XX. SEO local & cabinet (prise de contact)

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

Cabinet ACI avocats pénalistes à Paris, avocat pénal Paris, avocat recel, défense recel, procédure pénale, comparution, CRPC, recel aggravé, bande organisée, abus de confiance, escroquerie, atteintes aux biens, garde à vue, nullités, TIG, jours-amende, peines complémentaires, confiscation, publication judiciaire, dommages-intérêts, partie civile, douanes, cryptomonnaie, données, plateformes, entreprises, conformité, enquête interne, audits, urgence pénale, perquisition, saisie, scellés, jurisprudence, conseils pratiques, rendez-vous, contact cabinet, délais, stratégie, accompagnement complet

B).  —  LES PHASES JURIDIQUES :

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

I. Principes généraux du recel —

  1. Le recel consiste à détenir, transporter ou revendre une chose provenant d’un crime ou d’un délit.
  2. Pour être puni, le recel exige la mauvaise foi, c’est-à-dire la connaissance de l’origine illicite du bien.
  3. Une possession récente d’un objet volé peut valoir indice grave de recel.
  4. Le prix dérisoire et l’absence de facture orientent vers la provenance délictueuse.
  5. Les explications invérifiables d’un détenteur renforcent le soupçon de recel.
  6. La revente rapide d’objets hétéroclites alimente la preuve du recel habituel.
  7. Le recel couvre aussi la dissimulation ou le bénéfice tiré d’un bien volé.
  8. L’élément matériel (détention, transport, offre) et l’élément moral (intention) sont indispensables.
  9. Le recel se distingue de l’abus de confiance et de l’escroquerie par la soustraction préalable.
  10. Le Cabinet ACI avocats pénalistes à Paris défend les mis en cause pour recel avec une stratégie pénale adaptée.
  11. Un ticket falsifié ou un numéro de série limé confortent la qualification de recel.
  12. La traçabilité bancaire et les flux cash sont scrutés pour établir le recel.
  13. Les plateformes et marketplaces constituent des lieux classiques de revente.
  14. La bonne foi documentée (facture authentique) peut écarter le recel.
  15. Les douanes et la police coopèrent pour démanteler des filières de recel.

II. Éléments constitutifs —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. L’élément matériel du recel peut être la détention, la vente ou l’achat.
  2. L’élément moral réside dans la connaissance de l’origine délictueuse.
  3. Un prix anormalement bas révèle la mauvaise foi.
  4. Les fausses factures et fausses qualités trahissent le recel.
  5. La cache et le stockage clandestin prouvent la dissimulation.
  6. Les annonces en ligne et profils alias renseignent sur la revente.
  7. Les paiements en espèces et IBAN multiples matérialisent des circuits parallèles.
  8. Les wallets en cryptomonnaie et le mixing compliquent la traçabilité du recel.
  9. Les IMEI, numéros de série et marquages rattachent un bien à un vol.
  10. La balance des probabilités issue des indices graves soutient la preuve du recel.
  11. La possession d’un lot neuf sous blister sans justificatifs est suspecte.
  12. Le transport de marchandises volées suffit à caractériser le recel.
  13. Un intermédiaire rémunéré peut tomber sous le recel.
  14. Le reconditionnement destiné à masquer l’origine nourrit la preuve de recel.
  15. Les photographies et constats figent les indices du recel.

III. Infractions sources —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Le recel de vol demeure la forme la plus fréquente.
  2. Le recel d’escroquerie vise les biens obtenus par manœuvres frauduleuses.
  3. Le recel d’abus de confiance porte sur les biens détournés après remise volontaire.
  4. Les faux et usage de faux alimentent des flux de recel.
  5. La contrefaçon génère un recel de marchandises illicites.
  6. Le travail dissimulé et les délits douaniers nourrissent le recel.
  7. Les véhicules volés et pièces détachées circulent via des réseaux.
  8. Les téléphones, ordinateurs et données alimentent un recel numérique.
  9. Les bijoux et montres de luxe sont prisés par le recel.
  10. Les cartes bancaires et chèques volés entraînent un recel d’instruments.
  11. Les œuvres d’art et antiquités connaissent un recel transnational.
  12. Les métaux et outillage proviennent souvent de vols sur chantier.
  13. Les cartes cadeaux et QR codes détournés alimentent la revente.
  14. Les produits pharmaceutiques sont visés par des réseaux de recel.
  15. Le Cabinet ACI maîtrise ces qualifications croisées pour une défense efficace.

IV. Recel aggravé (habitude, bande organisée) —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Le recel aggravé réprime l’habitude ou la bande organisée.
  2. Une activité professionnelle de revente illicite aggrave les peines.
  3. La logistique dédiée (box, véhicules relais) révèle un réseau.
  4. Les prête-noms et sociétés écrans renforcent la qualification de bande organisée.
  5. La comptabilité occulte atteste du recel habituel.
  6. Le cash-out et la hawala structurent l’écoulement.
  7. Les fausses étiquettes et numéros grattés masquent l’origine.
  8. La confiscation élargie frappe les avoirs du receleur.
  9. Les douanes ciblent les transits à risque.
  10. La fermeture administrative peut viser le commerce receleur.
  11. Les brouilleurs et plaques usurpées caractérisent une préméditation.
  12. Les peines montent jusqu’à des plafonds élevés selon l’aggravation.
  13. La récidive légale alourdit la sanction du recel.
  14. Les mandats et saisies pénales assèchent les profits de recel.
  15. Le Cabinet ACI plaide la proportionnalité face à l’aggravation.

V. Indices usuels de recel —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Prix dérisoire, absence de facture et lot hétéroclite sont des indices clés.
  2. Les RDV parkings et paiements cash suggèrent un circuit parallèle.
  3. Un profil vendeur récent avec multiples comptes intrigue.
  4. Les emballages disparates et étiquettes arrachées trahissent le recel.
  5. Un antivol coupé ou une EAS neutralisée sont probants.
  6. Les marquages retirés et IMEI blacklistés confirment l’origine illicite.
  7. Les SMS et photos d’annonces saisies établissent la revente.
  8. Les carnets de ventes et tableurs dévoilent l’habitude.
  9. La fuite lors du contrôle pèse dans l’appréciation du doute.
  10. Le bornage téléphonique replace le receleur au cœur du flux.
  11. Les livraisons fictives et numéros de suivi modifiés signent la fraude.
  12. La camionnette sans logo chargée de neuf sous blister alimente le soupçon.
  13. Des alias et SIM prépayées masquent le trafic.
  14. Les fausses factures créent une traçabilité artificielle.
  15. Les scellés et constats fixent définitivement les indices.

VI. Recel numérique et données —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Le recel de données vise les identifiants et bases volées.
  2. Les cartes bancaires et fullz circulent sur le darknet.
  3. Des credentials issus de phishing alimentent la revente.
  4. Les logs RDP et VPS compromis constituent des biens de recel.
  5. Les tokens, cookies et OTP sont monnayés.
  6. Les wallets et NFT volés passent par des mixers.
  7. Les botnets et malwares servent à capter des données.
  8. Les canaux chiffrés (ex. Telegram) organisent le marché.
  9. La perquisition informatique et l’imagerie disque figent la preuve.
  10. Les hash et journaux techniques objectivent la traçabilité.
  11. Le déréférencement et la notification LCEN protègent les victimes.
  12. Le RGPD et la CNIL complètent la réponse pénale.
  13. L’entraide pénale cible les plateformes étrangères.
  14. Le Cabinet ACI combine pénal et numérique pour une défense sur-mesure.
  15. La preuve en ligne requiert captures, horodatage et constat Internet.

VII. Véhicules et pièces —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Le recel de véhicule s’établit par le VIN, le numéro moteur et l’expertise.
  2. Les boîtiers OBD et reprogrammations révèlent l’origine illicite.
  3. Le recel de pièces (catalyseurs, airbags) suit des flux dédiés.
  4. Les plaques clonées et cartes grises douteuses alimentent la revente.
  5. Les containers et transits internationaux complexifient les saisies.
  6. Les casses et garages complices servent de vitrine.
  7. La géolocalisation et les balises prouvent les déplacements.
  8. Un contrôle technique incohérent alerte sur le recel.
  9. Les douanes détectent des faux certificats à l’import.
  10. La confiscation vise le véhicule receleur et les outils.
  11. Le Cabinet ACI plaide les vices d’expertise et de traçabilité.
  12. Les assurances exercent des recours contre le receleur.
  13. Les marketplaces auto sont surveillées pour le recel.
  14. Le démontage en lots masque l’origine.
  15. Les matching numbers aident à restituer aux victimes.

VIII. Métaux et chantiers —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Le recel de métaux vise cuivre, aluminium et plomb.
  2. Les vols sur chantier alimentent des stocks occultes.
  3. Les gravages et marquages d’entreprise facilitent la preuve.
  4. Les déchetteries et ICPE exigent une traçabilité.
  5. Les caméras et drones documentent les prélèvements.
  6. Les groupes électrogènes et outillage partent en revente.
  7. Les cartes gasoil détournées relèvent du recel.
  8. Les gardiennages et rondes réduisent les risques.
  9. L’expertise valeur fonde les dommages-intérêts.
  10. Le Cabinet ACI accompagne la constitution de partie civile.
  11. Les photos datées et inventaires servent la preuve.
  12. Les scellés préservent la chaîne de conservation.
  13. Les marchands doivent vérifier l’origine licite.
  14. Les douanes contrôlent les flux internationaux.
  15. Des mesures conservatoires sécurisent la réparation.

IX. Luxe et œuvres d’art —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Le recel d’œuvres s’appuie sur la provenance et les catalogues raisonnés.
  2. Les montres et bijoux exigent vérification des numéros.
  3. Les certificats falsifiés masquent l’origine.
  4. Les enchères et dépôts-ventes doivent contrôler la traçabilité.
  5. L’Art Loss Register aide contre le recel.
  6. Les lots éclatés et prix incohérents sont suspects.
  7. Les douanes surveillent le trafic d’art.
  8. Le Cabinet ACI mobilise des experts pour contester la provenance.
  9. La restitution aux victimes s’obtient par action en revendication.
  10. La publicité judiciaire dissuade le recel.
  11. Les courtiers et galeristes doivent une vigilance renforcée.
  12. Les boîtes et papiers authentifient une montre.
  13. Les paiements cash déclenchent des vérifications.
  14. Les transits masquent parfois des vols de musée.
  15. La jurisprudence sanctionne la légèreté blâmable.

X. Commerce et e-commerce —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Le vol à l’étalage alimente un recel de marchandises.
  2. Les flux parallèles et réassorts sauvages sont typiques du recel.
  3. Les retours suspects et cartes cadeaux détournées nourrissent la revente.
  4. Les marketplaces exigent un KYC sérieux contre le recel.
  5. Les livraisons fictives et numéros de suivi modifiés masquent l’origine.
  6. Les stocks non déclarés et boutiques éphémères servent de vitrine.
  7. Les codes-barres altérés et étiquettes remplacées prouvent la fraude.
  8. Le back-office et les audits réduisent le risque de recel.
  9. La notification LCEN accélère le retrait des annonces.
  10. Le Cabinet ACI conseille en conformité pénale des distributeurs.
  11. Les EAS et portiques limitent l’approvisionnement illicite.
  12. Les inventaires et écarts déclenchent des enquêtes.
  13. La preuve d’achat sincère protège le consommateur.
  14. Les CGV prévoient des clauses anti-recel.
  15. La publication judiciaire peut être ordonnée contre un receleur.

XI. Preuve et chaîne de conservation —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. La preuve du recel repose sur des indices graves, précis et concordants réunis dans une chaîne de conservation incontestable.
  2. Les saisies, scellés et photographies doivent être horodatés pour sécuriser la traçabilité.
  3. Les tickets, factures, numéros de série et IMEI rattachent l’objet à un vol ou une escroquerie.
  4. La perquisition régulière et le transport sur les lieux renforcent la force probatoire.
  5. Les logs de plateformes et données bancaires matérialisent la revente.
  6. Les expertises (informatique, automobile, art) authentifient l’origine illicite.
  7. La possession récente, le prix dérisoire et l’absence de facture pèsent lourd pour le recel.
  8. Les constatations de police et douane doivent rester contradictoires et objectives.
  9. Une cohérence temporelle entre vol et détention soutient la connaissance de l’origine.
  10. Les écoutes et messages saisis révèlent la logistique de revente.
  11. Toute rupture de scellés fragilise la preuve du recel.
  12. Les soldes bancaires et flux cash éclairent l’habitude de recel.
  13. Le RGPD n’interdit pas les enquêtes régulières et proportionnées.
  14. Le Cabinet ACI avocats pénalistes à Paris audite la chaîne de preuve et traque les nullités.
  15. Sans mauvaise foi démontrée, la relaxe demeure plaidable.

XII. Garde à vue, perquisition, saisies —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. En garde à vue, le mis en cause pour recel exerce le droit au silence et sollicite un avocat.
  2. La notification des droits et la durée conditionnent la validité des actes.
  3. La perquisition requiert un cadre légal clair et un inventaire précis.
  4. Les saisies pénales visent biens, numéraire, téléphones et supports.
  5. Le déverrouillage d’un mobile suit la jurisprudence et le proportionné.
  6. Les extractions de données doivent être documentées et traçables.
  7. La présence de l’avocat sécurise auditions et confrontations.
  8. Les vices de procédure (horaires, habilitations) ouvrent des nullités.
  9. Les co-auteurs et receleurs peuvent être entendus séparément.
  10. Les saisies spéciales visent la confiscation future.
  11. Un renvoi en comparution immédiate exige une préparation expresse.
  12. Les mineurs bénéficient de garanties renforcées.
  13. Les traductions assurent le contradictoire des non-francophones.
  14. Le Cabinet ACI pilote la stratégie GAV et les demandes d’actes.
  15. Chaque irrégularité utile est consignée pour la défense.

XIII. Poursuites et modes de jugement —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Le recel est jugé devant le tribunal correctionnel.
  2. Le parquet choisit CRPC, ordonnance pénale ou audience classique.
  3. La comparution immédiate suppose un dossier prêt et une défense structurée.
  4. La CRPC peut éviter l’exposition et individualiser la peine.
  5. La requalification (ex. abus de confiance) se plaide en débat.
  6. Les intérêts civils se traitent par partie civile et dommages-intérêts.
  7. Le contradictoire encadre témoins, expertises et côtes.
  8. Les mandats et contrôles judiciaires protègent l’ordre public.
  9. La relaxe est possible si la mauvaise foi n’est pas caractérisée.
  10. Le casier (B2) impacte l’emploi et les autorisations.
  11. Les délais d’audience influencent la stratégie.
  12. Le Cabinet ACI anticipe plaidoirie, preuves, peines utiles.
  13. Les aménagements sont plaidés dès le délibéré.
  14. Un appel peut suspendre l’exécution de certaines mesures.
  15. La publication judiciaire peut être ordonnée.

XIV. Peines, confiscations et aménagements —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Le recel encourt emprisonnement, amende et peines complémentaires.
  2. La confiscation porte sur l’objet, le prix et les avoirs.
  3. La récidive légale élève le quantum.
  4. Les TIG, jours-amende et sursis probatoire individualisent.
  5. Le bracelet électronique (PSE) évite l’incarcération.
  6. L’interdiction professionnelle peut viser l’activité receleuse.
  7. L’interdiction de paraître protège les victimes.
  8. Les personnes morales risquent amende et fermeture.
  9. Les mesures patrimoniales (saisies) précèdent la confiscation.
  10. Le cabinet ACI plaide proportionnalité et utilité de la peine.
  11. Les circonstances atténuantes (restitution, réparation) pèsent.
  12. Les soins et le travail soutiennent l’aménagement.
  13. Les gages d’insertion réduisent la sévérité.
  14. La non-inscription à certains bulletins peut être discutée.
  15. La levée des scellés suit la décision.

XV. Victimes, restitution et assurances —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. La plainte documentée déclenche l’enquête.
  2. La constitution de partie civile permet dommages-intérêts et restitution.
  3. Les expertises valeur chiffrent le préjudice.
  4. Les assurances exigent délais et justificatifs.
  5. La restitution d’un bien saisi est demandée au parquet ou au juge.
  6. La publication judiciaire rétablit la réputation.
  7. Des mesures conservatoires sécurisent la réparation.
  8. Les victimes d’escroquerie via plateformes activent la LCEN.
  9. La médiation peut accélérer un accord.
  10. Les frais (clé IMEI, expertise) sont réclamés au receleur.
  11. Les recours contre les intermédiaires sont envisagés.
  12. Le Cabinet ACI gère assureurs, experts et audiences civiles.
  13. Les tableaux d’inventaire et photos évitent la contestation.
  14. La voie d’exécution (saisie, astreinte) assure le paiement.
  15. La prévention (marquage, suivi) limite le risque futur.

XVI. Douanes, fiscalité, blanchiment —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Les douanes répriment le recel lié aux marchandises prohibées.
  2. Les droits et taxes éludés majorent le préjudice.
  3. Le recel se distingue du blanchiment (transformation des avoirs).
  4. Les flux cash et hawalas activent la réponse douanière.
  5. Les faux documents d’import nourrissent le recel.
  6. La déclaration d’espèces est contrôlée aux frontières.
  7. Les procès-verbaux douaniers appuient la pénale.
  8. La confiscation douanière complète la confiscation pénale.
  9. Les amendes proportionnelles frappent la valeur des biens.
  10. Le Cabinet ACI coordonne pénal et douanier.
  11. La TVA fraudée révèle des circuiteries de revente.
  12. Les sociétés écrans justifient une enquête patrimoniale.
  13. Les cryptos exigent une traçabilité blockchain.
  14. Les OPA judiciaires ciblent la structure receleuse.
  15. Un cumul de qualifications doit rester proportionné.

XVII. Distinctions utiles : recel, blanchiment, complicité —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Le recel vise la détention d’un bien délictueux ; le blanchiment vise sa dissimulation financière.
  2. La complicité du vol implique une participation à l’infraction source.
  3. La revente après vol peut relever du recel ou de la complicité, selon le moment.
  4. Les flux bancaires orientent vers le blanchiment.
  5. Les messages prouvant la préparation rattachent à la complicité.
  6. Un achat à prix vil pèse pour le recel.
  7. Les faux servent parfois le blanchiment autonome.
  8. La bonne foi documentée écarte recel et complicité.
  9. Les profits du recel sont confisqués.
  10. La juridiction choisit la qualification la plus appropriée.
  11. Les circonstances dictent la stratégie de défense.
  12. Le Cabinet ACI arbitre entre risques et opportunités procédurales.
  13. La requalification protectrice est parfois négociée.
  14. La preuve dicte la frontière entre recel et blanchiment.
  15. L’intention reste le pivot de l’analyse.

XVIII. Entraide pénale et dimension internationale —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Le recel transnational mobilise commissions rogatoires internationales.
  2. Les coopérations Europol/Interpol suivent les réseaux.
  3. Les mandats d’arrêt et gel d’avoirs figent les profits.
  4. Les douanes échangent des renseignements.
  5. Les plateformes étrangères fournissent des logs via entraide.
  6. Les transits maritimes et zones franches complexifient les saisies.
  7. Les normes probatoires doivent rester compatibles.
  8. La langue et les délais impactent la défense.
  9. Le traçage blockchain suit des mouvements mondiaux.
  10. Les ordonnances de gel anticipent la confiscation.
  11. Les doublons de procédures requièrent une coordination.
  12. Le Cabinet ACI pilote la stratégie internationale.
  13. Les assurances internationales couvrent la restitution.
  14. Les BIENS culturels appellent une vigilance accrue.
  15. La compétence du tribunal se discute selon le locus delicti.

XIX. Entreprise, conformité et prévention —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. Les chartes éthiques et procédures d’achat limitent le recel interne.
  2. Le KYC fournisseurs détecte l’origine illicite.
  3. Les contrôles d’inventaire et audits révèlent les écarts.
  4. La vidéoprotection licite et le RGPD coexistent.
  5. Les fouilles de sacs/vestiaires obéissent à des règles strictes.
  6. Les alertes internes (lanceurs) déclenchent des vérifications.
  7. Les clauses anti-recel dans CGV et contrats protègent la marque.
  8. Les formations limitent la légèreté blâmable.
  9. Les plateformes B2B exigent une traçabilité des lots.
  10. Les douanes et fisc accompagnent la conformité.
  11. Le Cabinet ACI met en place des politiques préventives.
  12. Les enquêtes internes doivent rester loyales et proportionnées.
  13. Les plans d’action post-incident réduisent la récidive.
  14. La communication sobre évite la présomption de culpabilité.
  15. Les tableaux de bord mesurent le risque résiduel.

XX. Conseils pratiques et stratégie Cabinet ACI —

(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

  1. En cas de garde à vue, silence, avocat, horodatage des actes.
  2. Rassembler factures, preuves d’achat et témoignages crédibles.
  3. Demander la copie du dossier et vérifier la chaîne des scellés.
  4. Contester la mauvaise foi et le prix vil par éléments objectifs.
  5. Proposer restitution et indemnisation pour l’individualisation.
  6. Évaluer CRPC vs audience selon risques.
  7. Plaider nullités (perquisition, saisies, auditions).
  8. Anticiper aménagements (TIG, jours-amende, PSE).
  9. Soigner la réputation (éviter réseaux sociaux, rester sobre).
  10. Préparer une plaidoirie factuelle et cohérente.
  11. Mobiliser des experts (auto, art, numérique) utiles.
  12. Protéger les victimes par partie civile et mesures conservatoires.
  13. Travailler la proportionnalité des peines et confiscations.
  14. Le Cabinet ACI avocats pénalistes à Paris construit une défense sur-mesure.
  15. Objectif final : décision utile, équilibrée, juridiquement sûre.
Ainsi,
(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

à partir de là,

Ainsi,

Alors que,

Alors,

Après cela,

Après que,

Aussi,

bien que,

car,

Cependant,
(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

c’est ainsi que,

c’est pour cela que,

par ailleurs,

c’est pourquoi,

Considérons,

Contraste,

D’autant plus,

d’après,

de ce fait,

de façon,

manière que,

De la même manière,
(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

De même,

enfin,

de nouveau

de plus,

en dernier lieu,

De plus,

de sorte que,

deuxièmement,

Donc,

en ce qui concerne,

En conclusion,

par ailleurs,

En conséquence,

En dernier lieu,

dommage encore,

En fait,

puis,

En outre,

finalement,

en particulier,
(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

En premier lieu,

finalement,

En revanche,

En somme,

encore une fois,

Enfin,

ensuite,

étant donné que,

Finalement,

grâce à,

il est question de,

de même,

Il s’agit de,

il y a aussi,

Mais,
(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs ,

Par conséquent,

et aussi,

Par contre,

par exemple,

évidemment,

Par la suite,

par rapport à,

parce que,

plus précisément,

plus tard,

Pour commencer,
(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

touchant à,

Tout d’abord,

Toutefois,
(Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

troisièmement

et ensuite,

Une fois de plus,

et puis,

et aussi,

à cause de cela,
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Il s’agit de,

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Mais,
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Outre cela,

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Prenons le cas de,

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 pénaliste

du cabinet Aci

assurera efficacement votre défense.

Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone, ou

bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation : auteur, co-auteur, complice, receleur ou

victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase

d’enquête (garde à vue) ; d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la

chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration

pénitentiaire par exemple).

Les domaines d’intervention du cabinet Aci

Cabinet d’avocats pénalistes parisiens 

D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo

75 003  PARIS

Puis, Tél. 01 42 71 51 05

Ensuite, Fax 01 42 71 66 80

Engagement, E-mail : contact@cabinetaci.com

Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste  (Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

En somme, Droit pénal (Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

Tout d’abord, pénal général (Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal (Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

Puis, pénal des affaires (Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

Aussi, Droit pénal fiscal (Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme (Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

De même, Le droit pénal douanier (Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

En outre, Droit pénal de la presse (Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

                 Et ensuite (Recel : définition, preuve et défense pénale à Paris)

Donc, pénal routier infractions

Outre cela, Droit pénal du travail

Malgré tout, Droit pénal de l’environnement

Cependant, pénal de la famille

En outre, Droit pénal des mineurs

Ainsi, Droit pénal de l’informatique

En fait, pénal international

Tandis que, Droit pénal des sociétés

Néanmoins, Le droit pénal de la consommation

Toutefois, Lexique de droit pénal

Alors, Principales infractions en droit pénal

Puis, Procédure pénale

Pourtant, Notions de criminologie