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Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions

Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions

Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions — cadre légal (art. 313-1 CP, L.133-18 à L.133-24 CMF), preuves, peines, recours, défense —

Cabinet ACI.

Table des matières

  • I. Notion d’« escroquerie » et périmètre des fraudes à la carte
  • II. Textes applicables : Code pénal, Code monétaire et financier, STAD
  • III. Typologie des fraudes numériques : modes opératoires et indices
  • IV. Responsabilité bancaire et charge de la preuve (opérations non autorisées)
  • V. Élément matériel et intentionnel de l’escroquerie (art. 313-1 CP)
  • VI. Peines et circonstances aggravantes ; peines complémentaires
  • VII. Voies de droit de la victime : pénal, civil, remboursement, RGPD
  • VIII. Stratégies de défense (mis en cause) et d’action (victime)
  • IX. Preuve numérique : licéité, intégrité, chaîne de conservation
  • X. Points de vigilance opérationnels et check-list ACI

I. Notion d’« escroquerie » et périmètre des fraudes à la carte

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

L’escroquerie sanctionne le fait d’obtenir un bien, un service ou un virement par l’emploi de manœuvres frauduleuses, en abusant de la confiance

de la victime ou de dispositifs de sécurité. En matière de carte bancaire, l’infraction recouvre : (i) l’ingénierie sociale (hameçonnage, « vishing », «

smishing ») conduisant la victime à communiquer ses données de paiement ou à valider une opération ; (ii) l’usage frauduleux de numéros de carte

dérobés ; (iii) les manipulations techniques sur des systèmes (STAD) conduisant à des débiter ou virer des fonds sans autorisation.

Trois ensembles normatifs s’imbriquent : le Code pénal réprime l’escroquerie (art. 313-1), la falsification/usage de données (faux, 441-1 s.), et les

atteintes aux systèmes (323-1 à 323-3 CP) ; le Code monétaire et financier (CMF) protège l’utilisateur de services de paiement — notamment

pour les opérations de paiement non autorisées (art. L.133-18 à L.133-24 CMF) — et encadre l’authentification forte ; le RGPD et la doctrine

CNIL régissent les traitements de données bancaires et les notifications de violation.

II. Textes applicables : Code pénal, Code monétaire et financier, STAD

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

A. Code pénal – infractions principales

1).  Escroquerie : art. 313-1 CP (Légifrance) — obtention d’un bien/service par manœuvres frauduleuses (5 ans, 375 000 € ; aggravations

possibles).

2).   Escroquerie en bande organisée / aggravations : art. 313-2 et 313-3 CP — élévation des peines en fonction des circonstances.

3).  Faux et usage de faux : art. 441-1 CP — altération frauduleuse de la vérité dans un écrit ou une donnée.

4).  Atteintes aux systèmes (STAD) : art. 323-1, 323-2, 323-3 CP — accès/maintien frauduleux, entrave, atteintes aux données.

5).  Usurpation d’identité : art. 226-4-1 CP.

B. Code monétaire et financier – paiement non autorisé, sécurité

1).  Remboursement des opérations non autorisées : art. L.133-18 CMF — droit au remboursement immédiat du payeur, sauf soupçon de

       fraude.

2).  Charge de la preuve chez le prestataire** : art. L.133-23 CMF — la banque doit prouver que l’opération a été authentifiée, correctement

        enregistrée et non affectée par une défaillance ; la seule utilisation de l’instrument ne suffit pas à démontrer l’autorisation.

3).  Délais et responsabilité résiduelle : art. L.133-19, L.133-20, L.133-21 CMFfranchise éventuelle, diligences du payeur, cas de

       négligence grave.

4).  Sécurité / authentification (DSP2) : documentation publique via Banque de France/ACPR et ANSSI (guides).

C. Procédure pénale et données

1).  Perquisitions et saisies numériques : art. 56 CPP.

2).  Captation de données : art. 706-102-1 s. CPP.

3).  Violation de données personnelles / notification CNIL : art. 33 RGPD ; information des personnes : art. 34 RGPD.

III. Typologie des fraudes numériques : modes opératoires et indices

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

A. Ingénierie sociale (manœuvres frauduleuses)

1).   Phishing (courriels) / smishing (SMS) / vishing (appels) imitant une banque, un transporteur, une plateforme ou l’administration pour

obtenir : numéros de carte, CVV, OTP (codes 3-D Secure), accès à l’espace client.

2).  Faux conseiller bancaire : prise de contrôle à distance (logiciels de support), incitation à valider une « opération test » en réalité frauduleuse.

3).  Marketplace : faux sinistre, lien de paiement détourné, page d’authentification contrefaite.

B. Compromission technique

1).  Skimming / Shimming : copie de piste ou de puce sur TPE/distributeur.

2).  Formjacking : injection de script sur un site marchand pour aspirer les champs de carte.

3).  Malwares / RAT : vol de cookies de session, keylogging, redirections.

4).  STAD : intrusions (art. 323-1 CP), altérations de données (art. 323-3 CP), entraves (art. 323-2 CP) préparant l’escroquerie.

C. Indices et traces utiles

Journaux 3-D Secure (tentatives, OTP, empreintes d’appareil), adresses IP, user-agents, géolocalisation, horodatage des consentements, logs

d’authentification bancaire, captures des messages de phishing, tickets de support, relevés de monétique (autorisation, clearing), historiques

chargeback.

IV. Responsabilité bancaire et charge de la preuve (opérations non autorisées)

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

Le remboursement des opérations non autorisées est de droit, sauf lorsque la banque démontre une fraude du payeur ou une négligence grave

(art. L.133-18 et L.133-23 CMF). La preuve impose plus que l’invocation d’un « bon usage » de la carte : il faut établir l’authentification conforme,

l’enregistrement exact et l’absence de défaillance du système. La simple utilisation de l’outil de paiement ne prouve pas l’autorisation (art.

L.133-23 CMF).

Le débat porte sur : (i) la qualité de l’authentification forte (2 facteurs indépendants), (ii) la vraisemblance que le client ait volontairement validé

l’opération, (iii) la rapidité de la contestation (délai de signalement), (iv) la présence d’indices d’ingénierie sociale (faux numéro, spoofing). En cas

d’hameçonnage abouti, l’analyse bascule souvent vers l’escroquerie (313-1 CP) commise au préjudice de la banque ou du titulaire, selon le

montage, avec action civile de la victime.

V. Élément matériel et intentionnel de l’escroquerie (art. 313-1 CP)

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

A. Élément matériel : manœuvres

Constituent des manœuvres : sites miroirs, faux SMS d’authentification, appels usurpant l’identité d’un conseiller, écrans superposés demandant un

OTP sous prétexte de sécurité, liens invitant à « confirmer » une livraison ou « régulariser » une amende. Ces artifices créent une apparence de vérité

ou masquent la finalité frauduleuse.

B. Élément intentionnel : dol

Le dol résulte de la volonté d’obtenir un transfert de fonds en abusant la victime, souvent préparé par la collecte de données et la mise en scène de

l’urgence. L’intention se déduit du faisceau d’indices (plateformes utilisées, rétribution, répartition des rôles, bénéficiaires des virements).

C. Concours et qualification

Selon les faits, l’escroquerie se cumule avec : faux/usage de faux (441-1 CP), recel (321-1 CP) de numéros de cartes, STAD (323-1 à 323-3 CP),

usurpation d’identité (226-4-1 CP). La qualification dépend du maillon visé (banque, commerçant, titulaire) et du vecteur (en ligne, TPE, virement).

VI. Peines et circonstances aggravantes ; peines complémentaires

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

A. Peines principales

L’escroquerie (art. 313-1 CP) est punie de 5 ans d’emprisonnement et 375 000 € d’amende (échelles supérieures en cas d’organisation ou de

bande organisée : art. 313-2 s. CP). Les atteintes aux systèmes (art. 323-1 à 323-3 CP) sont punies jusqu’à 5 ans (7 ans pour certains STAD

étatiques). Le faux (441-1 CP) atteint 3 ans et 45 000 € (plus en cas de circonstances spéciales).

B. Peines complémentaires

Confiscation du matériel, interdictions professionnelles, affichage/publication du jugement, fermeture d’établissement (personnes morales :

amende quintuple, interdictions et surveillance). Des programmes de conformité et dommages-intérêts peuvent être ordonnés au civil.

VII. Voies de droit de la victime : pénal, civil, remboursement, RGPD

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

A. Dépôt de plainte et constitution de partie civile

La victime vise l’escroquerie (313-1 CP), éventuellement des atteintes STAD (323-1 s.), faux, recel. Le parquet cyber peut être saisi ; une instruction

est fréquente pour démanteler la chaîne (hébergeurs, bénéficiaires, mules).

B. Remboursement bancaire

Le droit au remboursement (L.133-18 CMF) suppose une contestation rapide et l’absence de fraude/négligence grave du payeur ; la banque doit

prouver l’authentification et la fiabilité (L.133-23 CMF). En cas d’échec amiable, assignation devant le tribunal judiciaire.

C. Protection des données et notification

Si des données bancaires ont été exfiltrées, le responsable du traitement doit notifier la CNIL (art. 33 RGPD) et, en cas de risque élevé, informer

les personnes (art. 34 RGPD). Les guides ANSSI en cybersécurité et la doctrine CNIL balisent les mesures de remédiation.

VIII. Stratégies de défense (mis en cause) et d’action (victime)

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

A. Défense – mis en cause

1).  Matériel : discuter la réalité des manœuvres (site réellement trompeur ?), le rôle précis (intermédiaire technique vs auteur principal), l’absence

d’intention ; contester les logs (fiabilité, hash, horodatage).

2).  Qualif. pénale : viser la requalification (tentative, recel isolé, usage de données sans participation à la mise en scène).

3).  Procédure : loyauté de la preuve, régularité des saisies (art. 56 CPP), nullités en cas d’atteinte aux droits de la défense.

4).  Peine : absence d’enrichissement, remboursements et réparations effectives, insertion.

B. Action – victime (entreprise/particulier)

1).  Banque : opposition immédiate, contestation écrite, demande de remboursement (L.133-18 CMF), médiation bancaire, action judiciaire.

2).  Pénal : plainte, sauvegarde des preuves (captures, en-têtes des e-mails, SMS), constat d’huissier numérique, dépôt des appareils compromis.

3).  Technique : réinitialisation des accès, effacement des malwares, MFA partout, changement de mots de passe, contrôle des appareils.

4).  RGPD : documentation de l’incident, notification CNIL si nécessaire, information transparente.

IX. Preuve numérique : licéité, intégrité, chaîne de conservation

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

La crédibilité probatoire repose sur une méthodologie : images disque bit-à-bit, calculs de hash (SHA-256), scellés numériques, horodatage

synchronisé, journal des opérations. Les logs (banque, commerçant, 3-D Secure, FDS anti-fraude, PSP) doivent être corrélés : IP, empreintes

d’appareils, OTP effectivement générés, empreinte du navigateur. La loyauté de la preuve garantit l’admissibilité ; les captures et constats doivent

préserver la métadonnée (hash du fichier, date de la page).

En cas de saisie (art. 56 CPP) ou de captation (706-102-1 s. CPP), la procédure doit demeurer contradictoire et traçable. Les experts forensiques

rédigent un rapport détaillant sources, outils, versions, chaîne de custodie et reproductibilité.

X. Points de vigilance opérationnels et check-list ACI

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

1).  Qualifier clairement le schéma : escroquerie (313-1 CP) + éventuels faux (441-1), STAD (323-1 s.), usurpation d’identité (226-4-1).

2).  Sécuriser la preuve : captures datées, hashées, journal des OTP et 3-D Secure, IP et device ; constats.

3).  Activer le remboursement bancaire (L.133-18 CMF) ; exiger la preuve complète (L.133-23 CMF) en cas de refus.

4).  Geler les comptes de destination via opposition / référé si possible ; coopérer avec le PSP bénéficiaire.

5).  Notifier l’incident (RGPD art. 33) en cas de fuite ; informer les personnes (art. 34).

6).  Prévenir la récurrence : MFA, sécurité des appareils, sensibilisation des équipes, politique anti-phishing, vérification des liens, filtres anti-

       malware et DNS.

7).  Documenter l’ingénierie sociale : scripts des appels, captures des SMS/e-mails, numéros appelants, relevés opérateurs.

8).  Évaluer le préjudice : sommes perdues, frais de remédiation, atteinte à l’image, pertes d’opportunité ; chiffrer pour l’action civile.

9).  Adapter la défense : rôle, profit, antécédents, restitution des fonds, désistements éventuels des parties civiles.

10).  Suivre la jurisprudence sur la négligence grave du payeur et la charge de la preuve bancaire (L.133-23 CMF), ainsi que les décisions relatives

aux manœuvres d’escroquerie en ligne.

Conclusion

Les fraudes à la carte bancaire combinent des manœuvres d’escroquerie (art. 313-1 CP) et, souvent, des atteintes aux systèmes (art. 323-1 à

323-3 CP), sur fond de sécurité et d’authentification forte. Côté civil/financier, le CMF protège le payeur via le remboursement des opérations

non autorisées (art. L.133-18), sous réserve de fraude ou de négligence grave prouvées par la banque (art. L.133-23). La réussite d’un dossier —

défense comme victime — tient à la maîtrise du cadre juridique, à la qualité des preuves numériques et à la réactivité des démarches (banque,

pénal, CNIL). Le Cabinet ACI privilégie une approche doctrinale et opérationnelle : qualification précise, preuves intègres, actions civiles et

pénales coordonnées, mesures préventives robustes.

XI).  —  TABLE DES MATIERES

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

I. Notion d’escroquerie et périmètre des fraudes à la carte

A. Définition (art. 313-1 CP) — 1. Manœuvres, 2. Dol, 3. Préjudice

B. Distinctions (vol, abus de confiance, STAD) — 1. Objets, 2. Moyens, 3. Effets

C. Acteurs (auteurs, complices, mules) — 1. Rôles, 2. Chaîne, 3. Bénéfices

II. Textes applicables : CP, CMF, CPP, RGPD

A. Code pénal — 1. 313-1, 441-1, 226-4-1, 2. 323-1 à 323-3, 3. Concours

B. Code monétaire et financier — 1. L.133-18, 2. L.133-23, 3. L.133-19 à L.133-21

C. Procédure / Données — 1. CPP (56, 706-102-1 s.), 2. RGPD (33, 34), 3. CNIL/ANSSI

III. Typologies de fraudes numériques

A. Ingénierie sociale — 1. Phishing/smishing/vishing, 2. Faux conseiller, 3. QR/IBAN

B. Compromissions techniques — 1. Formjacking, 2. Skimming/shimming, 3. Malware/RAT

C. Détournements d’authentification — 1. SIM swap, 2. Reverse proxy, 3. Bots 3DS

IV. Éléments constitutifs de l’escroquerie

A. Élément matériel — 1. Mise en scène, 2. Artifices, 3. Documents/faux

B. Élément intentionnel — 1. Dol, 2. Indices, 3. Organisation

C. Lien de causalité — 1. Tromperie, 2. Remise, 3. Enrichissement

V. Paiement non autorisé (CMF) : droits du payeur

A. Remboursement (L.133-18) — 1. Principe, 2. Délais, 3. Exceptions

B. Charge de la preuve (L.133-23) — 1. Authentification, 2. Enregistrement, 3. Défaillance

C. Négligence grave — 1. Appréciation stricte, 2. Indices, 3. Défense du payeur

VI. Responsabilité des établissements & commerçants

A. Banques/PSP — 1. DSP2/SCA, 2. Contrôles antifraude, 3. Médiation

B. Commerçants — 1. Preuve du consentement, 2. PCI-DSS, 3. Logs 3DS

C. Partage de responsabilité — 1. Parcours, 2. Fail-safes, 3. Répartition

VII. Preuve numérique et forensique

A. Collecte loyale — 1. Constat, 2. Hash/horodatage, 3. Scellés

B. Corrélation multi-logs — 1. 3-DS/ACS/DS, 2. PSP/commerçant, 3. IP/device

C. Rapport d’expertise — 1. Méthode, 2. Reproductibilité, 3. Annexes

VIII. Procédure pénale : enquête et instruction

A. Enquête — 1. Réquisitions bancaires, 2. Saisies numériques, 3. Auditions

B. Instruction — 1. Commission rogatoire, 2. Expertises, 3. Mesures conservatoires

C. Nullités — 1. Périmètre, 2. Loyauté, 3. Contradiction

IX. Contentieux civil/banque : restitution et dommages

A. Mise en demeure — 1. Faits, 2. Textes, 3. Pièces

B. Instance — 1. Assignation, 2. Mesures provisoires, 3. Exécution

C. Évaluation — 1. Préjudice matériel, 2. Moral, 3. Intérêts/frais

X. Sanctions pénales et peines complémentaires

A. Peines CP — 1. 313-1, 2. 323-1 à 323-3, 3. 441-1

B. Aggravations — 1. Bande organisée, 2. Victimes vulnérables, 3. Personnes morales

C. Peines compl. — 1. Confiscations, 2. Interdictions, 3. Publication

XI. DSP2/SCA : authentification et exemptions

A. Mécanismes — 1. Facteurs, 2. 3DS v2, 3. Evidence

B. Exemptions — 1. TRA, 2. Faible montant, 3. Récurrents/MOTO

C. Contentieux — 1. Preuves SCA, 2. Frictionless, 3. Échec challenge

XII. E-commerce : sécurisation du checkout

A. Hygiène technique — 1. CSP/WAF, 2. Segmentation, 3. Patching

B. Antifraude — 1. Scoring, 2. Règles velocity, 3. Lists/blacklists

C. Conformité — 1. PCI-DSS, 2. Journalisation, 3. Archivage

XIII. Entreprises : prévention et gouvernance

A. Politique — 1. Charte IT, 2. MFA, 3. Double validation

B. Sensibilisation — 1. Formation, 2. Simulations, 3. Process alertes

C. Crise — 1. RACI, 2. Communication, 3. Post-mortem

XIV. Victimes : parcours d’assistance

A. Urgences — 1. Opposition, 2. Contestation, 3. Plainte

B. Remboursement — 1. Dossier, 2. Médiation, 3. Action judiciaire

C. Remédiation — 1. Sécurité comptes, 2. Notification CNIL, 3. Suivi

XV. Défense pénale (mis en cause)

A. Stratégie — 1. Faits/qualifs, 2. Rôle/hiérarchie, 3. Intention

B. Procédure — 1. Nullités, 2. Preuves discutées, 3. Expertises

C. Peines — 1. Individualisation, 2. Alternatives, 3. Réparations

XVI. International & coopération

A. Entraide — 1. Europol/Eurojust, 2. MLA, 3. Mandats

B. Flux — 1. SEPA/crypto, 2. Gels, 3. Traçabilité

C. Données — 1. Transferts RGPD, 2. SCC/BCR, 3. Hébergeurs

XVII. Assurance & transfert de risque

A. Polices — 1. Garanties, 2. Exclusions, 3. Franchises

B. Sinistre — 1. Déclaration, 2. Expertise, 3. Subrogation

C. Contrats — 1. Clauses sécurité, 2. SLA, 3. Audits

XVIII. Outils & pratiques techniques

A. Détection — 1. SIEM/XDR, 2. IOC/CTI, 3. Hunting

B. Protection — 1. ZTNA/PAM, 2. DLP/CASB, 3. Bot management

C. DevSecOps — 1. SAST/DAST, 2. SBOM, 3. Secret management

XIX. Indemnisation de la détention injustifiée (si concours)

A. Conditions — 1. Décision d’innocence, 2. Délai, 3. Juridiction

B. Évaluation — 1. Moral, 2. Matériel, 3. Image

C. Procédure — 1. Mémoire, 2. Audience, 3. Recours

XX. Annexes & références publiques

A. Légifrance — 1. CP, 2. CMF, 3. CPP

B. CNIL/ANSSI — 1. Guides, 2. Fiches, 3. Alertes

C. Jurisprudence — 1. Cassation, 2. Cours d’appel, 3. Doctrine

XII).   —  Les 5 Tableaux

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

1)Tableau 1 — Cadre légal : pénal, financier, données

Élément Références (liens cliquables) Contenu essentiel Points pratiques
Escroquerie CP, art. 313-1Légifrance Obtention d’un bien/service par manœuvres frauduleuses (mise en scène, artifices, faux). Peine de principe : 5 ans et 375 000 €. Qualifier les manœuvres (phishing, vishing, faux site) et l’intention.
Aggravations CP, art. 313-2 à 313-3Légifrance Circonstances (bande organisée, victime vulnérable…) → peines supérieures. Vérifier bande organisée/structure en réseau (multiples bénéficiaires, « mules »).
Faux / usage de faux CP, art. 441-1Légifrance Altération frauduleuse de la vérité (pages de paiement clonées, justificatifs falsifiés). Souvent en concours avec escroquerie (313-1).
Atteintes STAD CP, art. 323-1 à 323-3323-1, 323-2, 323-3 Accès/maintien frauduleux, entrave, manipulation/extraction de données. Utile pour formjacking, malwares ou dévoiement de back-office.
Usurpation d’identité CP, art. 226-4-1Légifrance Usage d’identité d’autrui (faux conseiller bancaire, e-mails spoofés). Renforce le dol et l’élément matériel (mise en scène).
Remboursement bancaire CMF, L.133-18Légifrance Remboursement immédiat des opérations non autorisées, sauf fraude du payeur. Exiger le remboursement sans délai ; contester les refus.

Charge de la preuve

CMF, L.133-23Légifrance La banque doit prouver authentification, enregistrement correct, absence de défaillance ; l’usage de l’instrument ne suffit pas. Demander les journaux 3-D Secure, les traces PSP et anti-fraude.
Délais / Négligence CMF, L.133-19 à L.133-21Légifrance Délais de contestation ; franchise éventuelle ; notion de négligence grave. Documenter la promptitude du signalement ; contester la « négligence ».
Perquisitions/saisies CPP, art. 56Légifrance Saisies de données et supports : licéité/loyauté de la preuve. Exiger traçabilité, hash, horodatage.
Captation de données CPP, 706-102-1 s.Légifrance Captations techniques en enquête/instruction. Vérifier conditions d’autorisation et périmètre.
Violation de données RGPD art. 33/34CNIL 33 / CNIL 34 Notification CNIL et information des personnes en cas de fuite de données. Utile si exfiltration de numéros de carte ou formjacking.
Guides cybersécurité ANSSIGuide d’hygiène informatique Recommandations techniques (MFA, durcissement, journalisation). Sert de référentiel de diligence / prévention.

2).  Tableau 2 — Procédure & preuve : charge, authentification, forensique

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

Thème Références Quoi prouver ? Méthode / Pièces clés
Opération non autorisée L.133-18 CMFLégifrance Droit au remboursement sauf fraude du payeur. Lettre de contestation datée, dépôt plainte, relevés, tickets monétiques.
Charge de la preuve bancaire L.133-23 CMFLégifrance Authentification (2 facteurs), enregistrement correct, absence de défaillance. Exiger : logs 3-D Secure, empreinte device, IP, preuve de PSD2 conforme.
Négligence grave L.133-19/20 CMFLégifrance La banque l’invoque pour refuser le remboursement. Combattre par preuves : phishing sophistiqué, spoofing, faux conseiller, délais brefs.
**Manœuvres d’escroquerie 313-1 CPLégifrance Mise en scène trompeuse (site miroir, OTP, appel usurpé). Captures d’écran, en-têtes e-mail, enregistrements, constat huissier numérique.
Atteintes STAD 323-1 à 323-3 CPLégifrance Accès/altération/entrave préparant la fraude. Traces serveur, hash fichiers, horodatage, journaux applicatifs.

Forensique

CPP 56, 706-102-1 s. Admissibilité/loyauté de la preuve numérique. Image disque bit-à-bit, SHA-256, scellés, chaîne de custodie.
Corrélation des logs Cohérence banque/PSP/commerçant/3-DS. Matrice temps-événement, IP, OTP utilisés, user-agent, géolocalisation.
Expertise Reconstitution du parcours fraudeur. Rapport d’expert : versions outils, méthodes, reproductibilité.
Banques/PSP Flux autorisation / clearing. Réquisitions, fiches d’authent forte, seuils FDS (anti-fraude).
Signalement RGPD Art. 33/34CNIL Fuite de données de paiement. Notification CNIL, registre incidents, mesures correctives ANSSI.
Action pénale 313-1 + connexes Identifier auteurs/complices/bénéficiaires. Réquisitions bancaires, gel des sommes, interco internationale.

3).  Tableau 3 — Typologies de fraudes & indices techniques

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

Schéma frauduleux Références utiles Description / indices Réflexes ACI
Phishing / Smishing / Vishing 313-1 CPLégifrance E-mail/SMS/appel imitant la banque ; demande de numéro de carte, CVV, OTP ; spoofing du numéro. Captures, en-têtes SMTP, relevés d’appels, OTP enregistrés, dépôt plainte.
Faux conseiller bancaire Usurpation 226-4-1 CPLégifrance Prise en main à distance, validation d’« opération test » en réalité frauduleuse. Enregistrements, traces remote support, journaux d’accès, attestation victime.
Formjacking STAD 323-3Légifrance Script injecté sur page paiement → capture champs carte. Hash des scripts, diff de fichiers, CSP logs, alertes WAF.
Skimming / Shimming Copie piste/puce sur TPE ou DAB. PV techniciens, images matériel piégé, logs monétique local.
Malwares / RAT 323-1/323-3 CP Keylogging, vol de cookies, redirection 3-DS. Outils EDR, IOC, timeline, hash binaire, rapports AV.
Marketplaces / faux lien 313-1 CP Envoi d’un lien « livraison/paiement sécurisé » cloné. URL exactes, certificats, whois, captures, logs PSP.

SIM swap

313-1 / 226-4-1 CP Détournement du numéro → réception OTP. Dossier opérateur, chronologie changement SIM, IP d’accès.
Mule / cash-out 321-1 CP (recel)Légifrance Comptes récepteurs et retraits rapides. Réquisitions bancaires, vidéosurveillance, gel des fonds.
Chargeback abusif CMF, L.133-18/23 Contestation opportuniste d’opération autorisée. Confronter logs authent, device fingerprint, historique client.
OTP détourné CMF / PSD2 Ingénierie sociale → saisie OTP par la victime. Prouver le piège : scénarios, transferts vocaux, captures.
Indicateurs transverses IP atypiques, horaires nocturnes, user-agents exotiques, device nouveau. Table de corrélation et scoring de vraisemblance.

4).  Tableau 4 — Jurisprudence & lignes directrices utiles

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

Décision / Source Lien Enseignement Application pratique
Escroquerie : manœuvres 313-1 CPLégifrance La mise en scène (site miroir, faux conseiller) caractérise les manœuvres. Décrire précisément le scénario et ses effets sur la victime.
Charge de la preuve bancaire L.133-23 CMFLégifrance La banque doit prouver authentification conforme et absence de défaillance. Réclamer trace 3-DS, empreinte device, journaux PSP.
Remboursement immédiat L.133-18 CMFLégifrance Droit au remboursement sauf fraude du payeur démontrée. Mettre en demeure la banque, viser le texte.
Négligence grave L.133-19/20Légifrance Interprétation stricte au détriment du payeur. Prouver le piège sophistiqué (spoofing, faux SI).

Usurpation d’identité

226-4-1 CPLégifrance Aggrave l’apparence de vérité des manœuvres. Citer relevés d’appels, captures du faux profil.
STAD & e-commerce 323-3 CPLégifrance Formjacking et altération de données judiciairement réprimées. Associer pénal (323-3) et civil (RGPD/ANSSI).
Nullités / loyauté de la preuve CPP, art. 56Légifrance Saisies/constats irréguliers écartés. Vérifier scellés, hash, périmètre autorisé.
Notification RGPD Art. 33/34CNIL Obligation d’alerte en cas de fuite de données bancaires. Réduction du risque via mesures correctrices.
Guides ANSSI ANSSIHygiène informatique Bonnes pratiques reconnues par les juges. Sert d’étalon de diligence technique.

5).  Tableau 5 — Stratégies opérationnelles & check-list ACI (défense/victime)

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

Objectif Actions concrètes Preuves / Pièces Références
Qualifier pénalement Escroquerie (313-1), faux (441-1), STAD (323-1 à 323-3), usurpation (226-4-1). Faits précis, scénario, rôles, bénéfices, flux. 313-1 CP, 441-1 CP, 323-3 CP, 226-4-1 CP
Obtenir remboursement Mise en demeure fondée sur L.133-18, contestation motivée, médiation, assignation. Lettre RAR, preuve délais, captures, logs 3-DS, relevés. L.133-18 CMF
Renverser la preuve Exiger les preuves d’authentification et absence de défaillance (L.133-23). Journaux PSD2, device fingerprint, IP, OTP, anti-fraude PSP. L.133-23 CMF
Geler les flux Réquisitions/ordonnances de gel des comptes bénéficiaires. IBAN, nommé bénéficiaire, time-line virements, vidéos DAB. CPP + pratique parquet
Consolider la preuve Constat d’huissier numérique, image disque, hash, scellés. Rapports experts, horodatages, chain of custody. CPP art. 56

RGPD / CNIL

Notification (art. 33), information (art. 34), registre incidents. Rapport incident, mesures ANSSI, communication clients. CNIL 33/34
Défense pénale (mis en cause) Discuter manœuvres et intention, rôle mineur, absence profit, restitution. Téléphonie, messageries, empreintes numériques, témoins. 313-1 CP
Peines / alternatives Plaider individualisation, insertion, absence antécédents, réparation. Contrats, fiches paie, attestations, preuves remboursement. CP & jurisprudence
Prévention entreprise MFA, anti-phishing, durcissement TPE/e-commerce, CSP, WAF, SIEM. Politiques, tickets ITSM, tests d’intrusion, formations. ANSSI
Communication client Kit d’alerte, script de réponse, canal de signalement dédié. Modèles e-mails/SMS, FAQ, preuves de diffusion. Bonnes pratiques CNIL/ANSSI
Checklist ACI 1) Qualif. 313-1 + connexes ; 2) Demande L.133-18 ; 3) Exiger L.133-23 ; 4) Constat/forensique ; 5) Réquisitions gel ; 6) RGPD ; 7) Plan prévention. Dossier indexé (pièces/annexes, liens officiels). Textes ci-dessus

XIII).  —  Contactez un avocat

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pour votre défense

A).  —  LES MOTS CLES JURIDIQUES : 

I) Principes généraux & notions clés

escroquerie, fraude carte bancaire, paiement non autorisé, opérations contestées, titulaire carte, porteur, commerçant en ligne, authentification forte, 3-D Secure, OTP, ingénierie sociale, phishing, smishing, vishing, spoofing, usurpation de numéro, device fingerprint, empreinte navigateur, adresse IP, horodatage, logs, charge de la preuve, remboursement, négligence grave, contestation écrite, opposition carte, banque émettrice, acquéreur, PSP, chargeback, contestation litige, rétrofacturation, preuve électronique, chaîne de custodie, hash, SHA-256, constats d’huissier, captures d’écran, user-agent, géolocalisation, parcours client, scénarisation fraude, manœuvres frauduleuses, dol spécial, intention frauduleuse, préjudice financier, action civile, plainte pénale, dépôt de plainte, médiation bancaire, expertise, sécurité numérique, sensibilisation, prévention

II) Textes applicables & cadres juridiques

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

Code pénal, art. 313-1, art. 313-2, art. 313-3, faux, usage de faux, art. 441-1, usurpation d’identité, art. 226-4-1, atteinte à un STAD, art. 323-1, art. 323-2, art. 323-3, Code monétaire et financier, L.133-18, L.133-19, L.133-20, L.133-21, L.133-23, DSP2, SCA, RTS, Banque de France, ACPR, CNIL, RGPD, article 33, article 34, Code de procédure pénale, perquisition numérique, saisies informatiques, 56 CPP, 706-102-1, jurisprudence, Cour de cassation, Légifrance, Service-Public, directives européennes, eIDAS, preuve électronique, signature, open data, doctrine, circulaires, guide ANSSI, hygiène informatique, responsabilité bancaire, conditions générales, clauses abusives, compétence tribunal judiciaire, procédure civile, référé, injonction, expertise judiciaire

III) Typologies de fraudes & modes opératoires

phishing, smishing, vishing, faux conseiller bancaire, lien malveillant, page miroir, kit de phishing, formjacking, injection script, magecart, skimming, shimming, POS compromis, DAB piégé, malware bancaire, trojan, RAT, keylogger, vol de cookies, session hijacking, SIM swap, port-out, takeover compte, mule bancaire, cash-out, drop, marketplace fraud, faux transporteur, fausse amende, virement instantané frauduleux, IBAN usurpé, social engineering, deepfake voix, spoof caller ID, QR code piégé, man-in-the-browser, proxy inversé, reverse proxy OTP, bot anti-3DS, farm OTP, fraude friendly, chargeback abusif, triangulation, BIN attack, credential stuffing, dictionnaire cartes, test micro-paiement, blanchiment layered, chainage comptes, réseaux sociaux, messageries chiffrées

IV) Systèmes & techniques (STAD)

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pare-feu applicatif, WAF, CSP, header sécurité, HSTS, TLS, mTLS, tokenisation carte, PAN masqué, vault, PCI-DSS, SIEM, EDR, XDR, IAM, MFA, FIDO2, WebAuthn, biométrie, risk-based authentication, scoring fraude, règles FDS, velocity check, device binding, cookies sécurisés, SameSite, Content Security Policy, Subresource Integrity, CSP report, anti-bot, CAPTCHA, fingerprint, sandboxing, liste blanche IP, journalisation, horodatage NTP, corrélation logs, détection anomalie, honeypot, canary token, threat intel, IOC, IoA, patch management, durcissement serveur, bastion, segmentation réseau, micro-segmentation, sauvegarde, PRA, PCA, test d’intrusion, Red Team, bug bounty, code review, DevSecOps, pipeline sécurisé

V) Banque, DSP2 & authentification forte

SCA, deux facteurs, possession, connaissance, inhérence, 3DS v2, challenge, frictionless, exemption SCA, TRA, faible risque, whitelisting bénéficiaires, montant bas, MOTO, récurrents, out of scope, wallet, token réseau, token cryptogramme, CVV dynamique, notification push, biométrie mobile, app bancaire, OTP SMS, OTP push, OTP vocal, risques OTP, anti-fraude temps réel, profil comportemental, biométrie comportementale, distance scoring, listes noires, monitoring, déclencheur alerte, dispute management, chargeback process, codes motifs, SCA evidence, preuve authentification, logs ACS, DS, 3DS server, rectification, remédiation, journal d’incident, rapport sécurité, conformité ACPR, audit interne, contrôle permanent, contrôle périodique

VI) Preuve & forensique numérique

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empreintes numériques, hash SHA-256, SHA-512, MD5 (vérification), image disque, bit-à-bit, write blocker, scellés numériques, chaîne de custodie, journal d’investigation, timeline, artefacts navigateur, cookies, local storage, credentials, keychain, registres, Prefetch, shimcache, shellbags, DNS logs, proxy logs, reverse proxy, en-têtes SMTP, DKIM, SPF, DMARC, WHOIS, certificats TLS, JA3, NetFlow, PCAP, extraction mobile, acquisition logique, acquisition physique, ADB, jailbreak, rooting, cloud logs, audit trail, SIEM queries, YARA, IOC import, sandbox dynamique, désobfuscation, déchiffrement, corrélation multi-sources, rapport expert, reproductibilité, annexes techniques, conservation pièces

VII) Responsabilité bancaire & remboursement

remboursement immédiat, opérations non autorisées, diligence du payeur, notification rapide, délai contestation, négligence grave, sécurité raisonnable, défaut de preuve, preuve d’authentification, enregistrement exact, absence de défaillance, burden of proof, service de paiement, carte perdue, carte volée, misused card, usurpation, fraude OTP, faillibilité SMS, spoofing opérateur, banque en ligne, application mobile, historique connexions, device mismatch, localisation incohérente, patterns achat, plafond carte, alerte seuil, blocage préventif, médiation bancaire, mise en demeure, intérêts moratoires, clause limitative, devoir d’information, devoir de vigilance, KYC, AML, gel des fonds, détection mule, relation commerçant, acquirer due diligence

VIII) Victimes (particuliers & entreprises)

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opposition immédiate, centre cartes, attestation sur l’honneur, dépôt de plainte, pré-plainte, portail cyber, gendarmerie, police, plainte en ligne, déclaration CNIL, registre incidents, notification clients, communication de crise, hotlines, FAQ sécurité, guide interne, sensibilisation phishing, formation équipes, simulation phishing, politique mots de passe, gestion correctifs, antivirus EDR, supervision, SOC, plan continuité, plan reprise, sauvegardes, clés API, accès restreints, séparation tâches, double validation virement, homologation fournisseurs, IP allowlist, MFA administrateur, coffre-fort mots de passe, PAM, rotation secrets, renouvellement certificats, revue droits, déprovisionnement, audit tiers, engagements prestataires, cyber-assurance, couverture fraude

IX) Défense pénale (mis en cause)

contestations manœuvres, absence d’intention, rôle secondaire, recel isolé, restitution fonds, coopération, expertise indépendante, nullité saisies, irrégularité perquisitions, loyauté preuve, vice procédure, atteinte droits défense, imprécision chronologie, alternative poursuites, qualification re-discutée, tentative, absence enrichissement, personnalité, insertion, garanties, obligations de contrôle, contrôle judiciaire, ARSE, interdictions ciblées, pointages, soins, réparation, médiation pénale, comparution sur reconnaissance préalable, sursis probatoire, peines aménageables, TIG, formation, interdiction exercer, interdiction contact, publication jugement, confidentialité, secret des affaires, stratégie audiences, mémoires, conclusions

X) E-commerce & commerçants

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PSP, passerelle paiement, TPE virtuel, redirection, embedded fields, iframe, checkout, UX sécurité, CSP, WAF, monitoring transactions, scoring fraude, règles antifraude, seuils, géo-contrôles, vitesse saisie, BIN pays, AVS, 3DS routing, redressement SCA, exemptions TRA, tokens réseau, vaulting, PAN truncation, PCI-DSS SAQ, logs serveur, CDN, bot management, fake traffic, test carte, micro-paiement, remboursement, litige carte, preuve livraison, preuve service, KYC client, vérification identité, selfie vidéo, LCB-FT, analyse IBAN, validation BIC, liste oppositions, interdiction pays, embargo, facturation, CGV, mentions légales, preuve consentement, timestamp, archivage

XI) Fintech, PSP & conformité

agrément établissement paiement, établissement monnaie électronique, registre ACPR, DSP2 compliance, RTS, reporting, incident majeur, fraude déclarée, fraude carte, fraude virement, schéma cartes, réseau international, tokenisation, network token, customer due diligence, transaction monitoring, sanctions OFAC, gel avoirs, PEP, listes de surveillance, FATF, LBC/FT, Travel Rule, AMLA, EBA guidelines, audit IS, plan sécurité, bug bounty, SDLC sécurisé, chiffrement au repos, chiffrement transit, HSM, gestion clés, rotation clés, secrets management, SOC2, ISO 27001, ISO 27701, DORA, résilience opérationnelle, tests continuité, incident response, playbooks, war room, post-mortem, KPI, KRI

XII) Procédure & contentieux

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

plainte simple, constitution partie civile, enquête préliminaire, information judiciaire, commission rogatoire, géolocalisations, réquisitions bancaires, levées de secret, perquisitions numériques, scellés, expert judiciaire, audience correctionnelle, comparution, intérêts civils, référé gel, saisie conservatoire, action en responsabilité banque, injonction de payer, médiation, conciliation, appel, pourvoi, exécution provisoire, expertise contradictoire, notes en délibéré, preuve libre, loyauté, proportionnalité, compétence territoriale, sécurité audience, anonymisation, huis clos partiel, publicité décision, dommages-intérêts, indemnisation, remboursement, intérêts légaux, dépens, article 700

XIII) Sanctions & peines

escroquerie 5 ans, bande organisée aggravation, faux 3 ans, STAD 5 ans, amende 375 000 €, confiscation, interdictions professionnelles, affichage jugement, fermeture établissement, peines complémentaires, personnes morales, amende quintuple, interdiction d’exercer, surveillance judiciaire, restitution, réparation civile, intérêts, sursis, sursis probatoire, TIG, jours-amende, PSE, suivi socio-judiciaire, casier judiciaire, B2, réhabilitation, non-inscription publicité, réduction peine, personnalité, insertion, garantie emploi, formation, prévention récidive, obligations soins, interdiction réseaux, interdiction contact, interdiction territoires, interdiction médias, publication limitée, confidentialité, anonymisation, secret enquête

XIV) International & coopération

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

coopération policière, Europol, Interpol, Eurojust, MLA, entraide pénale, rogatoires internationales, gel transfrontalier, virement SEPA instant, non-SEPA, cryptoactifs, bourses crypto, mixeurs, chain analysis, travel rule, KYC international, IBAN étranger, PSP hors UE, géo-blocage, sanctions, embargos, FATF, listes grises, blacklists, hébergeurs étrangers, data center, cloud, transfert données, clauses contractuelles types, BCR, Schrems II, niveau protection adéquat, privacy shield (historique), legal hold, e-discovery, conservation preuves, extradition, mandat d’arrêt, blocage DNS, coop opérateurs, spoof internationaux, SIM swap frontalier, chargeback transfrontalier, forum shopping, compétence juridiction

XV) Assurance & gestion du risque

assurance cyber, garantie fraude, police carte, exclusions, franchises, seuils, sinistre, déclaration, expert d’assurance, subrogation, recours contre banque, contre commerçant, SLA sécurité, clauses sécurité, audit fournisseur, notation risque, score cyber, cartographie risques, appétence, tolérance, plan de traitement, contrôle interne, contrôle permanent, comité risques, tableaux de bord, KRI, incidents, near miss, retour d’expérience, formation, phishing drill, indicateurs fraude, heatmap, priorisation, budget sécurité, ROI, TCO, externalisation, prestataires critiques, PCA/PRA, tests, exercices, communication interne, support utilisateurs, culture sécurité, gouvernance

XVI) Communication & gestion de crise

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plan de réponse incident, cellule crise, rôles, RACI, escalade, décideur, porte-parole, messages clés, Q&A, communiqué, réseaux sociaux, monitoring veille, media training, notifications clients, call center, scripts, empathie, transparence, minimisation dommage, coordination juridique, coordination IT, coordination banque, coordination CNIL, dépôt plainte, preuves conservées, consignes internes, arrêt saignement, blocage paiements, rotation secrets, réinitialisation, campagnes d’alerte, avertissement phishing, landing page sécurité, portails d’aide, délais communication, obligations légales, confidentialité, privilège avocat, post-mortem public, plan remédiation, suivi, audit clôture

XVII) Outils & pratiques techniques

EDR, XDR, SIEM, SOAR, tickets ITSM, playbooks automatisés, regex détection, IOC feed, threat hunting, MITRE ATT&CK, TTP, CTI, sandbox, détection exfiltration, DLP, CASB, SASE, ZTNA, VPN, bastion, PAM, rotation MFA, MDM, durcissement mobiles, MAM, BYOD, sécurité navigateur, isolation, auto-update, contrôle intégrité, checksum, SBOM, SCA, scanner dépendances, SAST, DAST, IAST, RASP, code signing, secret scanning, vault, KMS, HSM, rotation clés, logs immuables, WORM, notarisation, time-stamping TSA, NTP fiable, inventory assets, CMDB, tagging

XVIII) Entreprises & gouvernance

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

politique sécurité, charte informatique, charte administrateurs, contrôle accès, séparation pouvoirs, double validation paiements, délégations, matrice habilitations, revues périodiques, onboarding, offboarding, sensibilisation continue, KPI formation, tests phishing, politique BYOD, classification données, cartographie traitements, registre RGPD, DPO, PIA, DPIA, minimisation, conservation, purge, clauses contractuelles, sous-traitants, SCC, audits, pénalités, SLA sécurité, annexes techniques, évaluation tiers, questionnaires, due diligence, plan conformité, comité sécurité, report direction, feuille de route, budget, priorités, jalons, fournisseurs critiques, résilience, résilience cyber, culture conformité

XIX) Local & SEO Cabinet ACI (Paris)

avocat pénaliste Paris, escroquerie carte bancaire avocat, fraude carte bancaire avocat, usurpation d’identité avocat, STAD avocat, remboursement CMF, 3-D Secure litige, contestation débit, chargeback, banque Paris, tribunal judiciaire Paris, JIRS Paris, parquet cyber, dépôt plainte Paris, assistance victime, défense mis en cause, mise en demeure banque, expertise numérique, constat huissier, CNIL Paris, RGPD entreprise, conformité DSP2, e-commerce Paris, commerçant litige, Cabinet ACI, rendez-vous avocat, contentieux pénal financier, cybercriminalité, ingénierie sociale, prévention, formation équipes, audit sécurité, plan réponse incident, stratégie contentieuse, jurisprudence récente, Légifrance liens, Cour de cassation, communication de crise, médias, visibilité locale, contact rapide

XX) Termes connexes & longue traîne

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

fraude bancaire en ligne, fraude virement instantané, virement SEPA frauduleux, carte virtuelle, tokenisation réseau, wallet mobile, Apple Pay, Google Pay, CVV dynamique, 3DS challenge, frictionless flow, preuve d’authentification, logs ACS, DS, serveur 3DS, exemption TRA, faible montant, commerçant à risque, MCC, BIN pays, IP proxy, VPN, Tor, TOTP, U2F, clés de sécurité, passkeys, biométrie faciale, empreinte digitale, heuristiques fraude, sandboxing navigateur, modules anti-script, consentement RGPD, politique cookies, bannière, preuve consentement, archivage, audit CNIL, contrôle ACPR, guide ANSSI, bug bounty, pentest, red teaming, durcissement TPE, sécurité DAB, surveillance physique, vidéosurveillance, coopération opérateurs, opérateurs mobiles, opérateurs internet

B).  —  LES PHRASES JURIDIQUES :

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

I) Principes généraux & notions clés

  1. L’escroquerie à la carte bancaire repose sur des manœuvres frauduleuses et un abus de confiance.
  2. Les fraudeurs exploitent l’ingénierie sociale pour obtenir des données de paiement.
  3. Les opérations non autorisées doivent être remboursées par la banque sauf fraude du client.
  4. La charge de la preuve pèse sur l’établissement de paiement en cas de contestation.
  5. L’authentification forte réduit le risque mais n’exclut pas l’hameçonnage.
  6. Les OTP 3-D Secure peuvent être détournés par de faux conseillers.
  7. Une traçabilité complète des connexions aide à reconstituer la fraude.
  8. Les victimes doivent agir vite pour contester les débits litigieux.
  9. La prévention passe par la sensibilisation et des procédures claires.
  10. Les preuves numériques doivent rester intègres et horodatées.
  11. Les banques utilisent des scorings anti-fraude en temps réel.
  12. Le dol se déduit d’un faisceau d’indices convergents.
  13. Les mules servent souvent à blanchir les fonds volés.
  14. Les commerçants doivent garder la preuve du consentement au paiement.
  15. Les attaques par dictionnaire testent des milliers de numéros de cartes.
  16. Les chargebacks abusifs se distinguent des fraudes authentiques.
  17. Les logs 3DS et l’empreinte device sont décisifs en contentieux.
  18. La réactivité conditionne le succès des démarches bancaires.
  19. Les usurpations de numéro trompent les victimes par spoofing.
  20. Les fraudes instantanées visent les virements et les wallets.
  21. Le RGPD encadre la gestion des incidents de données bancaires.
  22. L’analyse comportementale repère les anomalies de parcours.
  23. Les comptes receleurs doivent être gelés au plus tôt.
  24. La coopération banque–commerçant–PSP accélère la remédiation.
  25. Une stratégie contentieuse claire augmente les chances de remboursement.

II) Textes applicables & cadres juridiques

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. L’article 313-1 CP réprime l’escroquerie par manœuvres frauduleuses.
  2. Les articles 323-1 à 323-3 CP visent les atteintes aux systèmes (STAD).
  3. L’article 441-1 CP sanctionne le faux et l’usage de faux.
  4. L’article 226-4-1 CP punit l’usurpation d’identité.
  5. Les articles L.133-18 à L.133-24 CMF protègent le payeur.
  6. L’article L.133-18 CMF impose le remboursement immédiat.
  7. L’article L.133-23 CMF place la preuve sur la banque.
  8. La DSP2 consacre l’authentification forte des paiements.
  9. Les RTS précisent les exigences techniques d’authentification.
  10. Le CPP encadre perquisitions et saisies numériques.
  11. Le RGPD impose la notification des violations de données.
  12. La jurisprudence recentre la preuve sur l’authentification et la fiabilité.
  13. Les circulaires rappellent le devoir de vigilance des banques.
  14. L’open data facilite la veille jurisprudentielle.
  15. Les guides ANSSI définissent les bonnes pratiques de sécurité.
  16. Le tribunal judiciaire connaît des litiges bancaires.
  17. Les mises en demeure cadrent le précontentieux.
  18. La compétence territoriale suit la domiciliation des parties.
  19. Le service de médiation bancaire peut résoudre un différend.
  20. Les CGU ne peuvent évincer les droits du payeur.
  21. L’assignation s’appuie sur des pièces techniques solides.
  22. La preuve électronique obéit au principe de loyauté.
  23. Les réquisitions judiciaires tracent les flux.
  24. Les personnes morales encourent des peines spécifiques.
  25. La coordination civile/pénale renforce la réparation.

III) Typologies de fraudes & modes opératoires

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. Le phishing imite le branding d’une banque.
  2. Le smishing abuse de SMS alarmants.
  3. Le vishing exploite un faux conseiller insistant.
  4. Le formjacking capture les champs de carte en ligne.
  5. Le skimming copie la piste ou la puce.
  6. Le shimming interfère avec la puce EMV.
  7. Les malwares siphonnent cookies et sessions.
  8. Le SIM swap détourne la réception des OTP.
  9. La triangulation maquille l’acheteur réel.
  10. Les kits de phishing industrialisent l’arnaque.
  11. Les BIN attacks ciblent des plages de cartes.
  12. Les micro-paiements testent la validité d’un PAN.
  13. Les mules servent au cash-out immédiat.
  14. Les reverse proxies interceptent les codes.
  15. Les bots contournent certains 3DS faibles.
  16. Les marketplaces diffusent de faux liens de paiement.
  17. Les QR codes embarquent des URL piégées.
  18. Le credential stuffing recycle des fuites.
  19. Les deepfakes vocaux crédibilisent les appels.
  20. Le spoofing d’IBAN trompe sur le bénéficiaire.
  21. Les TPE compromis injectent des malwares POS.
  22. Les proxys masquent les géolocalisations.
  23. Les apps piratées interceptent les notifications.
  24. Les moteurs d’affiliation abritent des pages miroirs.
  25. Les faux SAV capturent des OTP « tests ».

IV) Systèmes & techniques (STAD)

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. Une CSP stricte bloque les scripts malveillants.
  2. Le WAF filtre les injections et payloads.
  3. Le TLS moderne sécurise le transport.
  4. La tokenisation évite d’exposer le PAN.
  5. Le SIEM corrèle les événements suspects.
  6. L’EDR détecte les malwares bancaires.
  7. La MFA renforce l’accès au compte.
  8. Le device binding lie l’appareil au profil.
  9. Le risk-based auth adapte le challenge.
  10. Les règles FDS scoring temps réel.
  11. Le SameSite limite le vol de cookies.
  12. Le HSTS impose le HTTPS.
  13. Le mTLS authentifie client et serveur.
  14. La segmentation réduit la latéralisation.
  15. Le patching ferme les vulnérabilités.
  16. Les honeypots piègent les scripts.
  17. Les IOC guident la chasse aux menaces.
  18. Le vault protège les secrets.
  19. Le PRA/PCA maintient la continuité.
  20. Les tests d’intrusion valident la robustesse.
  21. Le bug bounty révèle des failles critiques.
  22. Le bastion sécurise l’administration.
  23. Les logs immuables garantissent la preuve.
  24. Les TSA scellent les horodatages.
  25. La CMDB cartographie les actifs sensibles.

V) Banque, DSP2 & authentification forte

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. La SCA exige deux facteurs indépendants.
  2. Le 3DS v2 introduit le frictionless.
  3. Les exemptions SCA obéissent à des seuils.
  4. Le TRA tolère les faibles risques.
  5. Les liste blanches bénéficiaires accélèrent le checkout.
  6. Le wallet tokenise les cartes.
  7. Le CVV dynamique change à chaque achat.
  8. Les push OTP valent mieux que le SMS.
  9. Les preuves ACS démontrent l’authentification.
  10. Les logs DS retracent le parcours 3DS.
  11. Les codes motifs cadrent les litiges.
  12. Les alertes bloquent les pics anormaux.
  13. Le monitoring détecte les récidives.
  14. La biométrie mobile limite le phishing.
  15. Les preuves SCA sont communicables au juge.
  16. Les KPI de fraude orientent la remédiation.
  17. Les KRI anticipent les dérives.
  18. Les audits vérifient la conformité ACPR.
  19. La gouvernance sécurité formalise les rôles.
  20. Les plans d’action adressent les écarts.
  21. Les revues périodiques durcissent la chaîne.
  22. Le reporting DSP2 suit la fraude.
  23. Les délégations traitent les incidents.
  24. Les tests valident la résilience.
  25. Les post-mortems capitalisent le retour d’expérience.

VI) Preuve & forensique numérique

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. Un hash SHA-256 atteste l’intégrité des captures.
  2. Les images disque se font en bit-à-bit.
  3. Les scellés protègent les supports saisis.
  4. La timeline reconstitue les événements.
  5. Les en-têtes SMTP prouvent le phishing.
  6. Les certificats TLS trahissent les faux sites.
  7. Les whois révèlent des hébergeurs douteux.
  8. Les JA3 signent des clients inhabituels.
  9. Les PCAP confirment des exfiltrations.
  10. Les artefacts navigateur lient l’appareil.
  11. Les user-agents incohérents alertent.
  12. Les NetFlow montrent des pics sortants.
  13. Les YARA détectent des malwares connus.
  14. Les IOC sont croisés avec l’intelligence.
  15. Les rapports d’experts doivent être reproductibles.
  16. Les annexes listent toutes les pièces.
  17. La custodie reste documentée.
  18. Les heures suivent une NTP fiable.
  19. Les constats d’huissier sont opportuns.
  20. Les screenshots gardent les métadonnées.
  21. La déontologie impose la loyauté.
  22. Les exports 3DS restent intégraux.
  23. Les IP de mules orientent les réquisitions.
  24. Les cartographies IBAN guident les gels.
  25. Les tableaux de corrélation servent de preuve.

VII) Responsabilité bancaire & remboursement

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. Sans fraude prouvée du client, la banque rembourse.
  2. L’usage de la carte ne prouve pas l’autorisation.
  3. Un délai de signalement trop long complique la défense.
  4. La négligence grave se caractérise strictement.
  5. Les OTP volés par hameçonnage n’exonèrent pas l’établissement.
  6. Les preuves d’authentification doivent être produites.
  7. La médiation simplifie des litiges modestes.
  8. Les intérêts courent dès la mise en demeure.
  9. Les clause-types ne sauraient limiter les droits légaux.
  10. Le profil de risques du client est pris en compte.
  11. Les alertes transactionnelles servent la victime.
  12. Les anomalies de device appuient la contestation.
  13. Le double débit se remonte au PSP.
  14. Les preuves de spoofing ruinent l’argument de négligence.
  15. Les litiges interbancaires n’entravent pas le remboursement.
  16. Un refus infondé ouvre à des dommages-intérêts.
  17. Les frais de contestation peuvent être récupérés.
  18. La jurisprudence protège le consommateur diligent.
  19. Les notifications push sont traçables.
  20. Les contrats doivent refléter la DSP2.
  21. Les preuves SCA incomplètes profitent au payeur.
  22. La banque doit prouver l’absence de défaillance.
  23. Les preuves d’ingénierie sociale sont déterminantes.
  24. Les réponses types bancaires sont contestables.
  25. Un accord amiable rapide évite le contentieux.

VIII) Victimes (particuliers & entreprises)

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. Faire opposition à la carte immédiatement.
  2. Contester les opérations par écrit et daté.
  3. Déposer plainte avec pièces et captures.
  4. Demander le remboursement au titre de L.133-18.
  5. Saisir la médiation en cas de refus.
  6. Geler les fonds chez le bénéficiaire.
  7. Réinitialiser les mots de passe et MFA.
  8. Purger les malwares des appareils.
  9. Informer les collaborateurs et clients.
  10. Notifier la CNIL si données exfiltrées.
  11. Mettre en place un plan de crise.
  12. Garder une timeline des actions.
  13. Centraliser les preuves dans un dossier.
  14. Contacter le PSP du commerçant.
  15. Activer la cyber-assurance si disponible.
  16. Évaluer le préjudice financier total.
  17. Sécuriser les procédures de virement.
  18. Former les équipes au phishing.
  19. Mettre à jour la charte informatique.
  20. Vérifier les droits d’accès sensibles.
  21. Tester les sauvegardes critiques.
  22. Installer un EDR sur les postes.
  23. Documenter l’incident pour le contentieux.
  24. Prévoir un retour d’expérience.
  25. Suivre un plan de remédiation daté.

IX) Défense pénale (mis en cause)

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. Discuter la réalité des manœuvres reprochées.
  2. Souligner l’absence d’intention frauduleuse.
  3. Requalifier en tentative ou recel.
  4. Mettre en avant la coopération et la restitution.
  5. Contester la loyauté des saisies numériques.
  6. Relever les vices de procédure.
  7. Produire des garanties de représentation.
  8. Proposer un contrôle judiciaire sur-mesure.
  9. Solliciter une ARSE en alternative.
  10. Plaider l’insertion et l’emploi durable.
  11. Documenter une personnalité sans antécédent.
  12. Discuter l’évaluation du préjudice.
  13. Démontrer l’absence de profit personnel.
  14. Demander une expertise indépendante.
  15. Écarter des indices trop généraux.
  16. Insister sur la proportionnalité des peines.
  17. Solliciter un TIG ou un sursis.
  18. Restreindre les interdictions au nécessaire.
  19. Préserver le secret des affaires.
  20. Limiter la publicité du jugement.
  21. Cibler les points faibles des logs.
  22. Vérifier la chaîne de custodie.
  23. Questionner la géolocalisation des IP.
  24. Éclairer les rôles et la hiérarchie.
  25. Construire une plaidoirie pédagogique.

X) E-commerce & commerçants

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. Activer systématiquement le 3DS v2.
  2. Appliquer une CSP stricte sur le checkout.
  3. Journaliser les consentements et timestamps.
  4. Tenir un registre des incidents.
  5. Durcir le WAF sur les pages paiement.
  6. Séparer le PAN de l’application.
  7. Utiliser la tokenisation réseau.
  8. Mettre en place un SIEM dédié.
  9. Paramétrer des règles anti-test de carte.
  10. Appliquer des seuils et géofiltres.
  11. Exiger des preuves de livraison robustes.
  12. Conserver les logs 3DS 12 mois.
  13. Bloquer les IP à haut risque.
  14. Former le support aux signaux de fraude.
  15. Superviser les refunds manuels.
  16. Surveiller les comptes employés.
  17. Segmenter les droits d’accès.
  18. Tester le plan PRA régulièrement.
  19. Mettre à jour les bibliothèques.
  20. Vérifier la conformité PCI-DSS.
  21. Déployer un bot management adapté.
  22. Bloquer les reverse proxies connus.
  23. Utiliser des webhooks d’alerte.
  24. Auditer les plugins tiers.
  25. Simuler des campagnes de phishing.

XI) Fintech, PSP & conformité

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. Tenir l’agrément et les politiques à jour.
  2. Reporter les incidents majeurs à l’ACPR.
  3. Publier des indicateurs de fraude.
  4. Sécuriser les API et webhooks.
  5. Encadrer le token vault par HSM.
  6. Réaliser des audits ISO/ SOC2.
  7. Cartographier les risques DORA.
  8. Tester la résilience opérationnelle.
  9. Encadrer les sous-traitants critiques.
  10. Gérer les clés et leur rotation.
  11. Déployer la biométrie côté app.
  12. Standardiser les preuves SCA.
  13. Harmoniser le dispute management.
  14. Mesurer le taux de faux positifs.
  15. Ouvrir un bug bounty ciblé.
  16. Mettre à jour les listes noires.
  17. Suivre les PEP et sanctions.
  18. Outiller la LBC/FT en temps réel.
  19. Tracer les cryptopaiements suspects.
  20. Structurer les playbooks d’incident.
  21. Former le SOC sur la fraude carte.
  22. Éprouver les exemptions SCA.
  23. Anticiper les évolutions schéma cartes.
  24. Industrialiser la veille technique.
  25. Renforcer le contrôle permanent.

XII) Procédure & contentieux

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. La plainte détaille les manœuvres et pièces.
  2. La partie civile structure l’action.
  3. Les réquisitions bancaires identifient les flux.
  4. Les saisies numériques exigent des scellés.
  5. L’expertise forensique décrit les outils.
  6. L’audience confronte les versions.
  7. Le référé peut geler des actifs.
  8. L’assignation poursuit le remboursement.
  9. La médiation ouvre un accord rapide.
  10. L’appel revoit la motivation.
  11. Le pourvoi contrôle le droit.
  12. Les intérêts et frais suivent la condamnation.
  13. Les dommages-intérêts réparent le préjudice.
  14. Les demandes RGPD complètent la preuve.
  15. Le secret de l’instruction s’applique.
  16. Les délais sont impératifs.
  17. Les annexes référencent chaque lien.
  18. Les conclusions restent numérotées.
  19. La plaidoirie reprend le fil probatoire.
  20. Les échanges restent contradictoires.
  21. La publicité du jugement peut être limitée.
  22. La réparation priorise les victimes.
  23. Les coûts sont justifiés ligne à ligne.
  24. Le suivi post-jugement est formalisé.
  25. Les enseignements alimentent la prévention.

XIII) Sanctions & peines

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. L’escroquerie est punie de 5 ans et 375 000 €.
  2. La bande organisée majore les peines.
  3. Le faux atteint 3 ans et 45 000 €.
  4. Les STAD vont jusqu’à 5 ans.
  5. La confiscation saisit le matériel.
  6. Des interdictions professionnelles sont possibles.
  7. L’affichage du jugement peut être ordonné.
  8. Les personnes morales encourent l’amende quintuple.
  9. La fermeture d’établissement peut être prononcée.
  10. Les réparations civiles sont exécutoires.
  11. Le sursis probatoire encadre la réinsertion.
  12. Le TIG remplace parfois la prison.
  13. Les jours-amende individualisent la peine.
  14. Le PSE permet une surveillance.
  15. Le suivi socio-judiciaire s’applique.
  16. La réhabilitation efface la peine.
  17. Le casier impacte la carrière.
  18. Les interdictions de contact protègent les victimes.
  19. Les territoires interdits limitent les risques.
  20. La publication peut être anonymisée.
  21. Le secret des affaires est préservé.
  22. La proportionnalité guide le quantum.
  23. La personnalité influe la sanction.
  24. Les réparations anticipées atténuent la peine.
  25. La récidive aggrave le barème.

XIV) International & coopération

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. Europol et Eurojust coordonnent les enquêtes.
  2. Les MLA accélèrent l’entraide.
  3. Les gel transfrontaliers protègent les avoirs.
  4. Les mixeurs crypto compliquent la traçabilité.
  5. La Travel Rule cadre les VASP.
  6. Les sanctions pèsent sur les flux.
  7. Les embargos restreignent des pays.
  8. Les listes FATF orientent la vigilance.
  9. Les hébergeurs étrangers répondent sur commission rogatoire.
  10. Les transferts de données suivent le RGPD.
  11. Les SCC sécurisent l’export.
  12. Les BCR encadrent les groupes.
  13. Les mandats d’arrêt facilitent les arrestations.
  14. Les coopérations opérateurs tracent les SIM swap.
  15. Les blacklists IP réduisent la surface.
  16. Les PSP hors UE doivent s’aligner.
  17. Les juridictions se coordonnent pour les cryptoactifs.
  18. Les réseaux utilisent des mules transfrontières.
  19. Les DAB étrangers alimentent le cash-out.
  20. Les cartes « testées » servent ailleurs.
  21. Les VPN brouillent la juridiction.
  22. Les extractions de logs exigent des délais.
  23. Les délais de prescription varient.
  24. La coopération bancaire est clé.
  25. Les rappels d’Interpol accélèrent les arrestations.

XV) Assurance & gestion du risque

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. La cyber-assurance couvre la fraude carte selon police.
  2. Les franchises et exclusions doivent être lues.
  3. L’expert évalue le sinistre.
  4. La subrogation vise les tiers responsables.
  5. Les SLA sécurité s’imposent aux fournisseurs.
  6. Les audit fournisseurs valident la maturité.
  7. Les KRI tracent les tendances.
  8. Les heatmaps priorisent les actions.
  9. Les budgets suivent le risque.
  10. Le ROI sécurité se démontre.
  11. La tolérance au risque est formalisée.
  12. Les tests PRA/PCA sont datés.
  13. Les exercices de crise s’entraînent.
  14. Les retours d’expérience nourrissent la feuille de route.
  15. La culture sécurité s’ancre dans le temps.
  16. Les contrôles permanents mesurent les écarts.
  17. Les tableaux de bord guident la décision.
  18. Les prestataires critiques sont surveillés.
  19. Les contrats intègrent des clauses cyber.
  20. Les revues trimestrielles cadrent la gouvernance.
  21. Les indemnités sont optimisées.
  22. Les scénarios de fraude sont modélisés.
  23. Les stress tests éprouvent la défense.
  24. Les campagnes anti-phishing sont récurrentes.
  25. Les indicateurs alimentent le rapport direction.

XVI) Communication & gestion de crise

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. Une cellule de crise coordonne les équipes.
  2. Le porte-parole diffuse des messages validés.
  3. Les Q&A préparent les médias.
  4. Les scripts guident le call-center.
  5. Les templates d’e-mail gagnent du temps.
  6. Les réseaux sociaux sont surveillés.
  7. Les clients reçoivent des conseils concrets.
  8. Les délais de communication sont maîtrisés.
  9. Les juristes valident la conformité.
  10. Les IT gèrent l’arrêt de saignement.
  11. Les preuves sont sauvées en priorité.
  12. La CNIL est notifiée si besoin.
  13. Un site d’info centralise les FAQs.
  14. Les médias reçoivent un brief factuel.
  15. Les clients sont accompagnés au remboursement.
  16. Les recos ANSSI sont appliquées.
  17. Les leaders internes portent la voix.
  18. Les post-mortems listent les mesures.
  19. Les indicateurs suivent la confiance.
  20. Les contrats clients sont revus.
  21. Les prestataires fournissent leurs rapports.
  22. La documentation est archivée.
  23. Les enseignements deviennent standards.
  24. Les campagnes d’alerte sont planifiées.
  25. La crise se clôture par un audit.

XVII) Outils & pratiques techniques

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. Le SOAR automatise les playbooks.
  2. Les regex détectent des patterns de carte.
  3. Les feeds IOC enrichissent la détection.
  4. Le threat hunting révèle des signaux faibles.
  5. MITRE ATT&CK structure les TTP.
  6. Le DLP prévient les fuites.
  7. Le CASB contrôle le cloud.
  8. Le SASE unifie la sécurité.
  9. Le ZTNA remplace le VPN large.
  10. Le PAM protège les comptes sensibles.
  11. Le MDM durcit les mobiles.
  12. Le secret scanning purge les dépôts.
  13. Le SAST/DAST sécurise le code.
  14. Le RASP protège runtime.
  15. Le KMS/HSM gère les clés.
  16. Les logs WORM restent inaltérables.
  17. Les passkeys suppriment le mot de passe.
  18. La notarisation valide les binaires.
  19. Le SBOM inventorie les librairies.
  20. Les TSA signent les timestamps.
  21. La CMDB suit les actifs.
  22. Les tags facilitent la traçabilité.
  23. Les dashboards éclairent la décision.
  24. Les alertes priorisent les risques.
  25. Les tests confirment la couverture.

XVIII) Entreprises & gouvernance

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. Une politique sécurité lisible guide les équipes.
  2. La charte informatique cadre les usages.
  3. La séparation des pouvoirs limite les abus.
  4. La double validation sécurise les paiements.
  5. Les habilitations sont revues trimestriellement.
  6. L’offboarding coupe les accès.
  7. La formation anti-phishing est continue.
  8. La classification des données oriente la protection.
  9. Le registre RGPD reste à jour.
  10. Le DPO suit les incidents.
  11. Les DPIA anticipent les risques.
  12. Les SLA sécurité deviennent contractuels.
  13. Les audits fournisseurs sont annuels.
  14. Les comités sécurité tranchent les priorités.
  15. La feuille de route fixe des jalons.
  16. Les fournisseurs critiques sont monitorés.
  17. Les plans de résilience sont testés.
  18. La culture conformité s’installe.
  19. Les rapports au Comex sont réguliers.
  20. Les KPI mesurent la maturité.
  21. Les alertes internes sont encouragées.
  22. Les sanctions internes sont clarifiées.
  23. Les retours clients améliorent la défense.
  24. Les audits clôturent avec des actions.
  25. La gouvernance reste responsable.

XIX) Local & SEO Cabinet ACI (Paris)

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. Avocat pénaliste Paris, défense en escroquerie carte bancaire.
  2. Cabinet ACI : accompagnement victimes et mis en cause.
  3. Contestation 3-D Secure et opérations non autorisées.
  4. Remboursement bancaire fondé sur L.133-18.
  5. Charge de la preuve au titre de L.133-23.
  6. Contentieux tribunal judiciaire Paris.
  7. Plaintes et constitutions de partie civile.
  8. Forensique numérique et constats.
  9. Référés pour gel des fonds.
  10. CNIL et notification en cas de fuite.
  11. E-commerce : sécurisation checkout.
  12. Entreprises : politique anti-phishing.
  13. Formations sécurité pour équipes.
  14. Médiation bancaire et accords.
  15. Jurisprudence récente analysée.
  16. Veille Légifrance et Cour de cassation.
  17. Stratégie contentieuse sur-mesure.
  18. Prise de rendez-vous rapide.
  19. Articles pédagogiques et guides.
  20. Confidentialité et secret professionnel.
  21. Honoraires transparents et forfaits.
  22. Accompagnement de bout en bout.
  23. Prévention et sensibilisation continue.
  24. Partenariats experts forensic.
  25. Résultats mesurables et retours clients.

XX) Termes connexes & longue traîne

(Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

  1. Fraude carte bancaire en ligne : agir immédiatement.
  2. Paiement non autorisé : exiger le remboursement.
  3. 3DS et OTP : attention aux pièges.
  4. Phishing et vishing : ne jamais valider.
  5. Formjacking : protéger la page de paiement.
  6. Skimming : surveiller TPE et DAB.
  7. SIM swap : sécuriser la ligne mobile.
  8. Chargeback : distinguer le litige de la fraude.
  9. DSP2 : comprendre la SCA.
  10. CMF L.133-18 : droit au remboursement.
  11. CMF L.133-23 : preuve à la banque.
  12. CP 313-1 : définition de l’escroquerie.
  13. CP 323-3 : atteinte aux données.
  14. CP 441-1 : faux et usage de faux.
  15. Usurpation d’identité : 226-4-1.
  16. Logs et hash : préserver la preuve.
  17. ANSSI : appliquer les guides.
  18. CNIL : notifier les violations.
  19. Forensique : rapport reproductible.
  20. Commerçants : preuve du consentement.
  21. PSP : sécuriser les webhooks.
  22. Wallets : préférer la tokenisation.
  23. Biométrie : limiter le phishing.
  24. Bot management : filtrer les tests de carte.
  25. Cabinet ACI : accompagnement juridique complet.

Ainsi

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par ailleurs,

c’est pourquoi,

Considérons,

Contraste,

D’autant plus,

d’après,

de ce fait,

de façon,

manière que,

De la même manière,
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De même,

enfin,

de nouveau

de plus,

en dernier lieu,

De plus,

de sorte que,

deuxièmement,

Donc,

en ce qui concerne,

En conclusion,

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En conséquence,

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En fait,

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En outre,

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Il s’agit de,

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Mais,
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Malgré cela,

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Par la suite,

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Pour conclure,

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 pénaliste

du cabinet Aci

assurera efficacement votre défense.

Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone, ou

bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation : auteur, co-auteur, complice, receleur ou

victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase

d’enquête (garde à vue) ; d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la

chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration

pénitentiaire par exemple).

XIV).  —  Les domaines d’intervention du cabinet Aci

Cabinet d’avocats pénalistes parisiens 

D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo

75 003  PARIS

Puis, Tél. 01 42 71 51 05

Ensuite, Fax 01 42 71 66 80

Engagement, E-mail : contact@cabinetaci.com

Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste (Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

En somme, Droit pénal (Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

Tout d’abord, pénal général (Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal (Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

Puis, pénal des affaires (Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

Aussi, Droit pénal fiscal (Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme (Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

De même, Le droit pénal douanier (Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

En outre, Droit pénal de la presse (Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

                 Et ensuite (Escroquerie carte bancaire : fraudes numériques et sanctions)

Donc, pénal routier infractions

Outre cela, Droit pénal du travail

Malgré tout, Droit pénal de l’environnement

Cependant, pénal de la famille

En outre, Droit pénal des mineurs

Ainsi, Droit pénal de l’informatique

En fait, pénal international

Tandis que, Droit pénal des sociétés

Néanmoins, Le droit pénal de la consommation

Toutefois, Lexique de droit pénal

Alors, Principales infractions en droit pénal

Puis, Procédure pénale

Pourtant, Notions de criminologie.