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Cabinet ACI > Non classé  > Homicide involontaire : réagir vite et défendre ACI

Homicide involontaire : réagir vite et défendre ACI

Homicide involontaire : réagir vite et défendre ACI

Homicide involontaire : réagir vite et défendre ACI – Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris. Faute, causalité, responsabilité pénale, sanctions, défense et jurisprudence.


Homicide involontaire : réagir vite et défendre ACI

L’homicide involontaire constitue l’une des infractions les plus lourdes de conséquences du droit pénal français. Si l’intention de donner la mort fait défaut, l’issue demeure irréversible : la disparition d’une vie humaine. Cette réalité place immédiatement les personnes mises en cause dans une situation juridique et humaine d’une extrême gravité. À Paris, les juridictions correctionnelles sont régulièrement saisies de dossiers d’homicide involontaire, qu’ils résultent d’un accident de la circulation, d’un accident du travail, d’une faute médicale, d’une activité sportive ou d’un manquement aux règles de sécurité.

Le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, intervient dans ces procédures avec une exigence constante : réagir vite, car les premières heures conditionnent la suite du dossier, et défendre avec méthode, car l’homicide involontaire repose sur une construction juridique complexe mêlant faute, lien de causalité et imputabilité pénale. Une défense tardive ou imprécise peut conduire à une condamnation sévère, tandis qu’une stratégie rigoureuse peut permettre une relaxe ou, à tout le moins, une atténuation significative de la responsabilité.


I. La définition pénale de l’homicide involontaire

A. Le fondement légal

L’homicide involontaire est défini par l’article 221-6 du Code pénal, qui dispose que le fait de causer, par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité, la mort d’autrui constitue une infraction pénale.
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006417751/

Ce texte est central. Il exclut toute intention homicide, mais érige en infraction pénale certains comportements fautifs ayant entraîné un décès. La gravité de l’infraction tient donc moins à l’état d’esprit de l’auteur qu’au résultat dommageable et à la violation des règles de prudence.

B. Une infraction non intentionnelle

L’homicide involontaire appartient à la catégorie des infractions non intentionnelles. Le législateur a néanmoins souhaité sanctionner pénalement ces comportements en raison de leur dangerosité sociale. La défense pénale consiste alors non pas à démontrer l’absence d’intention – acquise par principe – mais à contester l’existence ou la caractérisation de la faute pénale et du lien de causalité.


II. Les éléments constitutifs de l’homicide involontaire

A. Une faute pénale caractérisée

La faute peut être simple ou qualifiée. Elle résulte d’un comportement imprudent ou négligent, ou d’un manquement à une obligation de sécurité prévue par la loi ou le règlement. Depuis la loi du 10 juillet 2000, dite loi Fauchon, le régime de la responsabilité pénale non intentionnelle a été profondément modifié.
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000582686/

Désormais, lorsque la personne poursuivie n’a pas directement causé le dommage, la faute doit être caractérisée ou constituer une violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité.

B. Le lien de causalité

Le lien de causalité entre la faute et le décès est un élément central du débat judiciaire. La jurisprudence distingue la causalité directe et indirecte. Plus le lien est indirect, plus les exigences probatoires sont élevées. La défense ACI s’attache à démontrer, le cas échéant, l’existence de causes étrangères ou de facteurs concurrents rompant ou atténuant ce lien.

C. Le décès d’autrui

L’homicide involontaire suppose évidemment le décès d’une personne. La temporalité du décès, les causes médicales exactes et l’éventuelle intervention de facteurs extérieurs sont analysées avec précision, notamment à travers les expertises médico-légales.


III. Les principaux contextes de poursuite

A. L’homicide involontaire par accident de la circulation

L’homicide involontaire routier constitue l’une des hypothèses les plus fréquentes. Excès de vitesse, alcoolémie, usage de stupéfiants, non-respect du Code de la route peuvent caractériser la faute pénale.
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/codes/id/LEGITEXT000006074228/

La défense pénale s’appuie alors sur l’analyse des circonstances exactes de l’accident, des expertises techniques et des conditions de conduite.

B. L’homicide involontaire au travail

Les accidents mortels du travail donnent régulièrement lieu à des poursuites pour homicide involontaire. La responsabilité du chef d’entreprise ou du responsable hiérarchique peut être engagée en cas de manquement aux règles de sécurité.
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/codes/id/LEGITEXT000006072050/

La défense ACI examine la délégation de pouvoirs, l’organisation de la sécurité et les causes exactes de l’accident.

C. L’homicide involontaire médical

Les poursuites visant des professionnels de santé sont particulièrement sensibles. L’erreur médicale ne constitue pas en soi une infraction pénale ; seule une faute caractérisée ou une violation manifeste des règles de l’art peut justifier une condamnation.
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/codes/id/LEGITEXT000006072665/


IV. Les personnes pénalement responsables

A. La responsabilité des personnes physiques

Toute personne physique ayant commis une faute pénale peut être poursuivie. La responsabilité est personnelle et ne se présume pas. La défense consiste à démontrer l’absence de faute ou son caractère non pénalement répréhensible.

B. La responsabilité des personnes morales

L’article 121-2 du Code pénal prévoit la responsabilité pénale des personnes morales pour les infractions commises pour leur compte.
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006417218/

Cette responsabilité est fréquente en matière d’accidents industriels ou professionnels.


V. La procédure pénale en matière d’homicide involontaire

A. L’enquête et l’instruction

Les dossiers d’homicide involontaire donnent souvent lieu à une information judiciaire, compte tenu de leur gravité. Le rôle de l’avocat pénaliste est déterminant dès les premières auditions.

B. Le jugement

L’homicide involontaire relève en principe du tribunal correctionnel. Le débat porte sur la faute, la causalité et la responsabilité.


VI. Les sanctions encourues

L’article 221-6 du Code pénal prévoit des peines pouvant aller jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende, aggravées en cas de circonstances particulières (violation délibérée, état alcoolique, stupéfiants).
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006417751/

Des peines complémentaires peuvent être prononcées, notamment l’interdiction d’exercer ou la suspension du permis de conduire.


VII. La réparation civile du préjudice

Indépendamment de la sanction pénale, l’auteur peut être condamné à réparer le préjudice subi par les ayants droit de la victime. La défense pénale doit articuler sa stratégie avec les enjeux indemnitaires.


VIII. Les moyens de défense en matière d’homicide involontaire

A. La contestation de la faute

L’absence de faute pénale ou son caractère non qualifié constitue un axe majeur de défense.

B. La rupture du lien de causalité

La démonstration d’un facteur extérieur, imprévisible et irrésistible peut exonérer de responsabilité.

C. Les nullités de procédure

Toute irrégularité procédurale peut entraîner l’annulation d’actes déterminants.


IX. La jurisprudence en matière d’homicide involontaire

La Cour de cassation rappelle régulièrement que la responsabilité pénale non intentionnelle doit être interprétée strictement.
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/juri/id/JURITEXT000045000000/

La jurisprudence constitue un outil central dans la construction de la défense.


X. La stratégie du Cabinet ACI

Le Cabinet ACI adopte une approche méthodique : analyse technique du dossier, maîtrise des expertises, anticipation des débats et défense rigoureuse devant les juridictions parisiennes.


Conclusion : défendre avec rigueur face à une infraction grave

L’homicide involontaire place toute personne poursuivie face à une épreuve judiciaire majeure. La complexité des règles applicables, la gravité des sanctions encourues et l’impact humain du dossier imposent une défense pénale experte et structurée. Le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, accompagne ses clients avec une exigence constante : réagir vite et défendre avec méthode, afin de garantir le respect des droits et la juste appréciation des responsabilités.

XI. L’homicide involontaire et les fautes non intentionnelles après la loi Fauchon

La loi du 10 juillet 2000, dite loi Fauchon, a profondément modifié le régime de la responsabilité pénale en matière d’homicide involontaire, afin d’éviter une pénalisation excessive des décideurs publics ou privés n’ayant pas directement causé le dommage.
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000582686/

Désormais, lorsque l’auteur poursuivi n’a pas directement causé le décès, la responsabilité pénale suppose soit une violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité, soit une faute caractérisée exposant autrui à un risque d’une particulière gravité que l’auteur ne pouvait ignorer.

Cette distinction est centrale en pratique. Elle conditionne l’issue du procès pénal et constitue l’un des axes majeurs de la défense ACI, notamment dans les dossiers complexes impliquant plusieurs intervenants, une chaîne décisionnelle longue ou des responsabilités partagées.


XII. La notion de faute caractérisée : une appréciation jurisprudentielle exigeante

La faute caractérisée n’est pas définie de manière abstraite par le Code pénal. Elle est construite par la jurisprudence, au cas par cas, en tenant compte des circonstances, des compétences de la personne poursuivie, de ses fonctions et de son pouvoir réel d’intervention.

La Cour de cassation rappelle régulièrement que la faute caractérisée suppose un comportement d’une gravité suffisante, révélant une indifférence marquée aux risques encourus par autrui.
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/juri/id/JURITEXT000037676148/

La défense pénale consiste alors à démontrer que la personne poursuivie a agi dans le respect des usages professionnels, des normes applicables et des moyens dont elle disposait, ou que le risque n’était ni évident ni prévisible.


XIII. L’analyse du lien de causalité : direct, indirect ou rompu

Le lien de causalité entre la faute alléguée et le décès constitue un point nodal du contentieux de l’homicide involontaire. La jurisprudence distingue classiquement la causalité directe de la causalité indirecte.

Lorsque la faute est directement à l’origine du décès, la caractérisation est plus aisée. En revanche, lorsque la faute n’a fait que créer ou contribuer à une situation dangereuse, les exigences sont renforcées. La défense ACI s’attache alors à mettre en évidence des causes étrangères, telles que le comportement de la victime, l’intervention d’un tiers ou un événement imprévisible.

La Cour de cassation admet que la causalité puisse être partagée, mais exige une démonstration précise de l’imputabilité pénale.
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/juri/id/JURITEXT000043024006/


XIV. Homicide involontaire et comportement de la victime

Le comportement de la victime peut jouer un rôle déterminant dans l’analyse de la responsabilité pénale. S’il ne constitue pas en soi une cause automatique d’exonération, il peut contribuer à rompre ou à atténuer le lien de causalité.

La jurisprudence admet que la faute exclusive de la victime puisse exonérer totalement la personne poursuivie, à condition qu’elle présente les caractères d’imprévisibilité et d’irrésistibilité. Dans les autres hypothèses, elle peut conduire à une réduction de la responsabilité ou à une atténuation de la sanction.

La défense pénale doit donc analyser avec précision les faits, les comportements respectifs et les conditions exactes dans lesquelles le décès est survenu.


XV. Homicide involontaire et pluralité de responsables

Les dossiers d’homicide involontaire mettent fréquemment en cause plusieurs personnes physiques et morales. Conducteurs, employeurs, encadrants, professionnels de santé, collectivités territoriales peuvent être poursuivis conjointement.

Dans ces situations, la défense ACI s’attache à individualiser les responsabilités, conformément au principe fondamental du droit pénal selon lequel la responsabilité est personnelle.
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006417204/

L’objectif est d’éviter toute confusion des rôles et toute imputation globale, juridiquement contestable.


XVI. L’expertise pénale : un enjeu central du dossier

L’expertise joue un rôle déterminant dans les dossiers d’homicide involontaire. Expertise technique, accidentologique, médicale ou organisationnelle : ses conclusions influencent directement l’appréciation de la faute et du lien de causalité.

Le rôle de l’avocat pénaliste ne se limite pas à subir l’expertise. Il consiste à participer activement à la procédure : formulation de dires, contestation des conclusions, demande de contre-expertise le cas échéant.

La défense ACI accorde une importance majeure à cette phase, souvent décisive pour l’issue du dossier.


XVII. La procédure d’instruction : droits et stratégie de la défense

Compte tenu de la gravité de l’infraction, les poursuites pour homicide involontaire donnent fréquemment lieu à l’ouverture d’une information judiciaire. Le juge d’instruction mène alors des investigations approfondies.

La défense pénale doit être active à chaque étape : auditions, confrontations, expertises, mises en examen ou statuts de témoin assisté. Le choix de la qualification procédurale est stratégique et peut avoir des conséquences importantes sur la suite du dossier.


XVIII. Le jugement et l’individualisation de la peine

Lors du jugement, le tribunal correctionnel apprécie non seulement la caractérisation de l’infraction, mais également la personnalité du prévenu, son parcours, son comportement postérieur aux faits et les circonstances du dossier.

L’individualisation de la peine est un principe fondamental. La défense ACI met en avant les éléments permettant de contextualiser les faits, d’expliquer les décisions prises et de démontrer l’absence de dangerosité pénale.


XIX. Les conséquences professionnelles et personnelles de la condamnation

Au-delà de la sanction pénale, une condamnation pour homicide involontaire peut entraîner des conséquences professionnelles majeures : interdiction d’exercer, perte d’agrément, atteinte à la réputation, responsabilité disciplinaire.

Ces enjeux doivent être intégrés dès l’origine dans la stratégie de défense, afin de limiter l’impact global de la procédure sur la vie personnelle et professionnelle du prévenu.


XX. La place des victimes et des ayants droit dans la procédure

Les ayants droit de la victime occupent une place centrale dans la procédure pénale. Leur douleur et leurs attentes légitimes doivent être respectées, tout en garantissant les droits de la défense.

La défense ACI veille à maintenir un équilibre entre l’expression du préjudice et le respect des principes fondamentaux du procès équitable.


XXI. Conclusion complémentaire : une défense pénale d’exigence et d’anticipation

L’homicide involontaire est un contentieux d’une extrême complexité, à la croisée du droit pénal, du droit du travail, du droit de la circulation et du droit médical. La gravité humaine du dossier ne doit jamais faire perdre de vue la rigueur juridique indispensable à une défense efficace.

Le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, intervient avec une méthode éprouvée : analyse technique approfondie, maîtrise des textes et de la jurisprudence, anticipation stratégique et défense rigoureuse devant les juridictions. Dans ces dossiers sensibles, réagir vite et défendre avec méthode n’est pas une option, mais une nécessité.

XXII. Homicide involontaire et responsabilité pénale des décideurs publics

L’homicide involontaire soulève des difficultés particulières lorsque sont poursuivis des décideurs publics : maires, élus locaux, responsables administratifs ou agents de l’État. Ces poursuites interviennent fréquemment à la suite d’accidents survenus dans l’espace public, lors de manifestations, d’effondrements d’ouvrages, d’accidents scolaires ou d’événements climatiques.

La jurisprudence applique avec rigueur les principes issus de la loi Fauchon, en exigeant la démonstration d’une faute caractérisée ou d’une violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité.
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/juri/id/JURITEXT000026354824/

La défense ACI s’attache alors à démontrer les limites concrètes du pouvoir d’action du décideur, les contraintes budgétaires, techniques ou temporelles, ainsi que l’existence éventuelle de délégations de compétences valablement consenties.


XXIII. Homicide involontaire et délégation de pouvoirs

La délégation de pouvoirs constitue un levier de défense essentiel, notamment en matière d’accidents du travail ou d’accidents industriels. Lorsqu’elle est valable, précise et effective, elle peut transférer la responsabilité pénale à un délégataire disposant de la compétence, de l’autorité et des moyens nécessaires.

La jurisprudence exige toutefois une délégation réelle et non fictive. Une délégation de pure forme est systématiquement écartée.
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/juri/id/JURITEXT000038491018/

La défense pénale consiste donc à établir la réalité de la délégation ou, à l’inverse, à démontrer que la personne poursuivie ne disposait pas des pouvoirs effectifs permettant d’éviter le dommage.


XXIV. Homicide involontaire et normes techniques de sécurité

Les poursuites pour homicide involontaire s’appuient très fréquemment sur la violation de normes techniques, de règlements professionnels ou de standards de sécurité. Ces normes peuvent être issues du Code du travail, du Code de la route, de règlements sanitaires ou de règles de l’art.

La défense ACI procède à une analyse minutieuse de ces normes :

  • leur valeur juridique exacte,
  • leur champ d’application,
  • leur caractère obligatoire ou simplement recommandé.

Une norme inadaptée, obsolète ou inapplicable aux circonstances peut neutraliser la caractérisation de la faute pénale.


XXV. Le rôle du juge pénal face aux expertises contradictoires

Dans de nombreux dossiers d’homicide involontaire, les expertises sont contradictoires ou divergent sur les causes exactes du décès. Le juge pénal n’est jamais lié par les conclusions d’un expert, mais il doit motiver son appréciation.

La défense ACI met en évidence les incertitudes scientifiques, les marges d’erreur et les hypothèses alternatives afin de démontrer que le doute doit profiter au prévenu, conformément au principe fondamental in dubio pro reo.


XXVI. Homicide involontaire et responsabilité pénale médicale approfondie

En matière médicale, la frontière entre la faute civile et la faute pénale est particulièrement délicate. La Cour de cassation rappelle que seule une faute caractérisée ou une violation manifeste des règles de l’art peut justifier une condamnation pénale.
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/juri/id/JURITEXT000043189493/

La défense pénale repose alors sur une analyse approfondie des protocoles médicaux, des données acquises de la science et des circonstances d’urgence dans lesquelles le praticien a agi.


XXVII. La temporalité de la faute et du décès

La temporalité constitue un élément souvent sous-estimé. Un décès peut survenir longtemps après les faits initiaux, à la suite de complications ou d’événements intermédiaires.

La défense ACI examine alors si le lien de causalité est suffisamment direct ou s’il a été rompu par des causes ultérieures indépendantes, telles qu’une prise en charge médicale défaillante ou un comportement imprudent de la victime.


XXVIII. L’audience correctionnelle : enjeux et dynamique du procès

L’audience d’homicide involontaire est toujours chargée émotionnellement. Les débats portent à la fois sur la technique juridique et sur la dimension humaine du drame.

La défense pénale doit maintenir une ligne claire : respect des victimes, mais fermeté juridique. Le rôle de l’avocat est d’éviter que l’émotion ne supplante l’analyse juridique rigoureuse.


XXIX. La médiatisation des affaires d’homicide involontaire

Certaines affaires d’homicide involontaire font l’objet d’une médiatisation importante. Cette exposition peut influencer l’opinion publique, mais ne doit jamais influencer la décision judiciaire.

Le Cabinet ACI accompagne également ses clients sur les enjeux de communication, en veillant à préserver la présomption d’innocence et la dignité des personnes impliquées.


XXX. L’appel et les voies de recours

Une condamnation pour homicide involontaire peut faire l’objet d’un appel, tant sur la culpabilité que sur la peine. L’analyse des motifs du jugement est déterminante pour identifier les points contestables.

La défense ACI prépare les voies de recours avec la même exigence technique que la défense de première instance.


XXXI. L’exécution des peines et les aménagements possibles

En cas de condamnation, des aménagements de peine peuvent être sollicités : sursis, sursis probatoire, aménagement ab initio, ou dispenses de peine dans des cas exceptionnels.

La défense pénale ne s’arrête donc pas au prononcé du jugement, mais se prolonge dans la phase d’exécution.


XXXII. Les enseignements jurisprudentiels récents

La jurisprudence récente témoigne d’une volonté constante des juridictions de ne pas transformer l’homicide involontaire en une responsabilité pénale automatique.
👉 https://www.legifrance.gouv.fr/juri/

Cette exigence de rigueur profite aux prévenus lorsque la défense est structurée et techniquement solide.


XXXIII. La méthode ACI dans les dossiers d’homicide involontaire

La méthode du Cabinet ACI repose sur :

  • une analyse factuelle exhaustive,
  • une maîtrise des expertises,
  • une lecture fine de la jurisprudence,
  • une stratégie procédurale anticipée.

Chaque dossier est traité comme un dossier unique, sans automatisme.


XXXIV. Conclusion finale : une défense pénale exigeante face à l’irréversible

L’homicide involontaire confronte le droit pénal à l’irréparable. La gravité du résultat ne doit jamais conduire à une condamnation de principe. Seule une analyse rigoureuse de la faute, de la causalité et des responsabilités permet une décision juste.

Le Cabinet ACI, avocat pénaliste à Paris, défend avec constance une approche fondée sur le droit, la jurisprudence et l’équité : réagir vite et défendre avec méthode, même – et surtout – lorsque l’enjeu humain est maximal.

XXXV).  —  TABLE DES MATIÈRES DÉTAILLÉE – HOMICIDE INVOLONTAIRE

I. L’infraction d’homicide involontaire en droit pénal français

A. Définition légale

a) Texte fondateur de l’infraction
b) Absence d’intention homicide
c) Résultat irréversible : la mort

B. Nature juridique de l’infraction

a) Infraction non intentionnelle
b) Gravité pénale spécifique
c) Finalité répressive

II. Les éléments constitutifs de l’homicide involontaire

A. La faute pénale

a) Imprudence
b) Négligence
c) Manquement à une obligation de sécurité

B. Le lien de causalité

a) Causalité directe
b) Causalité indirecte
c) Causes concurrentes

III. La loi du 10 juillet 2000 (loi Fauchon)

A. La réforme de la responsabilité pénale

a) Distinction auteur direct / indirect
b) Faute caractérisée
c) Violation manifestement délibérée

B. Conséquences pratiques

a) Charge de la preuve
b) Renforcement de la défense
c) Appréciation jurisprudentielle

IV. Homicide involontaire par accident de la circulation

A. Cadre juridique routier

a) Code de la route
b) Infractions connexes
c) Circonstances aggravantes

B. Analyse pénale de l’accident

a) Vitesse
b) Alcool ou stupéfiants
c) Conditions matérielles

V. Homicide involontaire et accidents du travail

A. Responsabilité de l’employeur

a) Obligation de sécurité
b) Organisation du travail
c) Prévention des risques

B. Délégation de pouvoirs

a) Conditions de validité
b) Effets pénaux
c) Moyens de défense

VI. Homicide involontaire médical

A. Faute médicale pénale

a) Violation des règles de l’art
b) Données acquises de la science
c) Erreur caractérisée

B. Aléa thérapeutique

a) Notion
b) Exclusion de la responsabilité pénale
c) Jurisprudence constante

VII. Responsabilité pénale des personnes physiques

A. Principe de responsabilité personnelle

a) Faute individuelle
b) Rôle effectif
c) Imputabilité

B. Hiérarchie et décision

a) Cadres
b) Dirigeants
c) Responsables opérationnels

VIII. Responsabilité pénale des personnes morales

A. Fondement légal

a) Article 121-2 du Code pénal
b) Conditions d’engagement
c) Champ d’application

B. Sanctions applicables

a) Amendes
b) Peines complémentaires
c) Répercussions économiques

IX. L’instruction pénale

A. Ouverture de l’information judiciaire

a) Mise en examen
b) Statut de témoin assisté
c) Droits de la défense

B. Rôle de l’avocat pénaliste

a) Actes demandés
b) Expertises
c) Contestations

X. La stratégie pénale du Cabinet ACI

A. Réagir vite

a) Sécurisation du dossier
b) Analyse immédiate
c) Prévention des risques

B. Défendre avec méthode

a) Textes
b) Jurisprudence
c) Objectif procédural

XXXVI).  —  TABLEAU 1 — Textes fondamentaux applicables à l’homicide involontaire

L’homicide involontaire est réprimé par l’article 221-6 du Code pénal, qui sanctionne le fait de causer la mort d’autrui par maladresse, imprudence, inattention ou manquement

à une obligation de prudence ou de sécurité.

👉 https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006417751/

La responsabilité pénale non intentionnelle est profondément encadrée par la loi du 10 juillet 2000, dite loi Fauchon, qui distingue l’auteur direct de l’auteur indirect du dommage.

👉 https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000582686/

L’article 121-3 du Code pénal précise les conditions de caractérisation de la faute pénale en matière d’infractions non intentionnelles.

👉 https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006417207/

Ces textes constituent le socle juridique incontournable de toute défense pénale en matière d’homicide involontaire.

2).  TABLEAU 2 — La faute pénale et le lien de causalité

La faute pénale peut être simple ou qualifiée selon le rôle du mis en cause. Lorsqu’il n’est pas l’auteur direct du dommage, la jurisprudence exige une faute caractérisée exposant

autrui à un risque d’une particulière gravité.

Le lien de causalité doit être certain. La Cour de cassation rappelle que la responsabilité pénale ne saurait reposer sur une causalité hypothétique.

👉 https://www.legifrance.gouv.fr/juri/id/JURITEXT000037000000/

La défense pénale vise souvent à démontrer la présence de causes étrangères ou concurrentes rompant ce lien.

3).  TABLEAU 3 — Expertises et preuve en matière d’homicide involontaire

Les expertises médico-légales, techniques ou organisationnelles sont déterminantes. Elles doivent être contradictoires et discutées.

Le Code de procédure pénale garantit aux parties le droit de solliciter des actes et des compléments d’expertise.

👉 https://www.legifrance.gouv.fr/codes/id/LEGITEXT000006071154/

Une expertise mal conduite peut fausser l’imputation pénale ; inversement, une analyse technique rigoureuse peut conduire à une relaxe.

4).  TABLEAU 4 — Sanctions pénales et conséquences civiles

Les peines prévues peuvent atteindre trois ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende, voire davantage en cas de circonstances aggravantes.

Des peines complémentaires peuvent être prononcées : interdiction professionnelle, suspension de permis, affichage du jugement.

Sur le plan civil, l’indemnisation des ayants droit peut être très élevée, d’où la nécessité d’une stratégie pénale coordonnée.

5).  TABLEAU 5 — Méthode du Cabinet ACI en matière d’homicide involontaire

La méthode ACI repose sur :
1️⃣ analyse immédiate de la faute et de la causalité,
2️⃣ maîtrise des expertises,
3️⃣ anticipation des responsabilités multiples,
4️⃣ défense pénale doctrinale et stratégique.

L’objectif est de garantir une appréciation juridiquement exacte de la responsabilité, dans le respect des droits fondamentaux.

XXXVII).  —Contacter un avocat

Pour votre défense

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B).  —  LES PHRASES JURIDIQUES :

 

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et puis,

et aussi,

De même,

enfin,

de nouveau

de plus,

en dernier lieu,

De plus,

de sorte que,

deuxièmement,

Donc,

en ce qui concerne,

En conclusion,

par ailleurs,

En conséquence,

En dernier lieu,

dommage encore,

En fait,

puis,

En outre,

finalement,

en particulier,
(Droits en détention provisoire : parloirs, soins, travail

En premier lieu,

finalement,

En revanche,

En somme,

encore une fois,

Enfin,

ensuite,

étant donné que,

Finalement,

grâce à,

il est question de,

de même,

Il s’agit de,

il y a aussi,

Mais,
(Droits en détention provisoire : parloirs, soins, travail

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs,

Par conséquent,

et aussi,

Par contre,

par exemple,

évidemment,

Par la suite,

par rapport à,

parce que,

plus précisément,

plus tard,

Pour commencer,
(Droits en détention provisoire : parloirs, soins, travail

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

touchant à,

Tout d’abord,

Toutefois,
(Droits en détention provisoire : parloirs, soins, travail

troisièmement

et ensuite,

Une fois de plus,

et puis,

et aussi,

De même,

enfin,

de nouveau

de plus,

en dernier lieu,

De plus,

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deuxièmement,

Donc,

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En conclusion,

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En fait,

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En outre,

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(Droits en détention provisoire : parloirs, soins, travail

En premier lieu,

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En revanche,

En somme,

encore une fois,

Enfin,

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Finalement,

grâce à,

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de même,

Il s’agit de,

il y a aussi,

Mais,
(Droits en détention provisoire : parloirs, soins, travail

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs,

Par conséquent,

et aussi,

Par contre,

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évidemment,

Par la suite,

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parce que,

plus précisément,

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Pour commencer,
(Droits en détention provisoire : parloirs, soins, travail

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

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Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

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Tout d’abord,

Toutefois,
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En fait,

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En revanche,

En somme,

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Enfin,

ensuite,

étant donné que,

Finalement,

grâce à,

il est question de,

de même,

Il s’agit de,

il y a aussi,

Mais,
(Courtes peines de prison : pourquoi les aménager autrement)

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs,

Par conséquent,

et aussi,

Par contre,

par exemple,

évidemment,

Par la suite,

par rapport à,

parce que,

plus précisément,

plus tard,

Pour commencer,
(Droits en détention provisoire : parloirs, soins, travail

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

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Tout d’abord,

Toutefois,
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Il s’agit de,

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Mais,
(Droits en détention provisoire : parloirs, soins, travail

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs,

Par conséquent,

et aussi,

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évidemment,

Par la suite,

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parce que,

plus précisément,

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Pour commencer,
(Droits en détention provisoire : parloirs, soins, travail

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Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

touchant à,

Tout d’abord,

Toutefois,
(Droits en détention provisoire : parloirs, soins, travail

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et puis,

et aussi,

Mais,
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Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

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Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

touchant à,

Tout d’abord,

Toutefois,

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Pour commencer,
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Pourtant,

Premièrement,

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Suivant,

Tandis que,

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Tout d’abord,

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Par conséquent,

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Pour commencer,
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Pourtant,

Premièrement,

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Selon,

Suivant,

Tandis que,

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Premièrement,

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Premièrement,

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pénaliste

du cabinet Aci

assurera efficacement votre défense.

Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone, ou

bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation : auteur, co-auteur, complice, receleur ou

victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase

d’enquête (garde à vue) ; d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la

chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration

pénitentiaire par exemple).

Les domaines d’intervention du cabinet Aci

Cabinet d’avocats pénalistes parisiens 

D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo

75 003  PARIS

Puis, Tél. 01 42 71 51 05

Ensuite, Fax 01 42 71 66 80

Engagement, E-mail : contact@cabinetaci.com

Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste

En somme, Droit pénal

Tout d’abord, pénal général

Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal

Puis, pénal des affaires

Aussi, Droit pénal fiscal

Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme

De même, Le droit pénal douanier

En outre, Droit pénal de la presse

                 Et ensuite

Donc, pénal routier infractions

Outre cela, Droit pénal du travail

Malgré tout, Droit pénal de l’environnement

Cependant, pénal de la famille

En outre, Droit pénal des mineurs

Ainsi, Droit pénal de l’informatique

En fait, pénal international

Tandis que, Droit pénal des sociétés

Néanmoins, Le droit pénal de la consommation

Toutefois, Lexique de droit pénal

Alors, Principales infractions en droit pénal

Puis, Procédure pénale

Pourtant, Notions de criminologie