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Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales

Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales

*Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales — CJPM, CPP, procédures pénales et éducatives, protection des victimes, prévention, défense à Paris – Cabinet ACI.

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Introduction

Les violences entre mineurs – bagarres filmées et diffusées, harcèlement en présentiel ou en ligne, raquettes, violences en réunion, violences

avec ITT, menaces ou extorsions – bousculent l’école, la famille et les institutions. La réponse du droit français, refondue par le Code de la justice

pénale des mineurs (CJPM), articule deux impératifs : protection et éducation d’une part, sanction proportionnée d’autre part. Elle s’inscrit

dans un cadre procédural exigeant (information, assistance, traçabilité) et mobilise un écosystème social (PJJ, ASE, établissements scolaires, associations,

collectivités).

En tant qu’avocats pénalistes, notre rôle est double : défendre le mineur mis en cause (ou victime) avec un haut niveau de garanties procédurales, et

orienter vers les dispositifs éducatifs ou de prise en charge lorsque cela est pertinent. Cet article propose une lecture pratique et doctrinale des textes

clés (CPP, Code pénal, CJPM) et des mécanismes utiles (audition libre, garde à vue, audience, mesures éducatives), avec des renvois cliquables vers les

sources officielles.

I. Qualifications pénales fréquemment retenues entre mineurs

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

A. Violences volontaires

Les violences volontaires sont réprimées selon la gravité de l’atteinte et les circonstances :

1).  Lorsque les violences entraînent une ITT > 8 jours, l’article 222-11 du Code pénal prévoit 3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende.

(Légifrance)

2).  En présence de circonstances aggravantes (violences en réunion, contre mineur de 15 ans, usage d’arme, préméditation, etc.), l’article

       222-13 accroît les peines (jusqu’à 5 ans et 75 000 €, voire plus selon le cumul). (Légifrance)

3).  Pour des atteintes plus graves (infirmité permanente, etc.), se reporter au paragraphe “Des violences” (arts. 222-7 à 222-16-3). (Légifrance)

Points d’attention en pratique : la qualification (contravention/délit), l’ITT (certificat médical circonstancié), l’existence d’aggravations (réunion,

arme, vulnérabilité de la victime, lieu scolaire), la traçabilité des auditions et des constatations médicales.

B. Harcèlement moral et harcèlement scolaire

Le harcèlement moral (y compris cyberharcèlement) est défini et réprimé par l’article 222-33-2-2 du Code pénal, avec des aggravations selon le

nombre de circonstances. (Légifrance) Depuis 2022, le législateur a créé une infraction spécifique de harcèlement scolaire à l’article 222-33-2-3,

lorsque les faits sont commis, au sein d’un établissement, par un élève ou un professionnel au détriment d’un élève. Les peines sont graduées et

tiennent compte notamment de l’ITT. (Légifrance)

Pratique : conserver captures d’écran horodatées, témoignages, signalements scolaires ; vérifier si les messages constituent des menaces, injures ou

diffamations (poursuivies selon la loi du 29 juillet 1881 – v. art. 33 pour l’injure publique). (Légifrance)

C. “Happy slapping” : enregistrement et diffusion d’images de violences

Le fait d’enregistrer sciemment des violences ou d’en diffuser les images est réprimé par l’article 222-33-3 du Code pénal : l’enregistrement

constitue un acte de complicité des atteintes, la diffusion est punie de 5 ans et 75 000 € (sauf exceptions : information du public, preuve en justice).

(Légifrance)

II. Spécificités procédurales applicables aux mineurs

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

A. Audition libre

L’audition libre d’une personne soupçonnée est encadrée par l’article 61-1 du CPP : information claire sur la qualification, le droit de quitter à tout

moment, le droit au silence, la possibilité d’être assisté d’un avocat. Pour un mineur, ces garanties se cumulent avec celles spécifiques du CJPM

(information des représentants légaux, adaptation du langage). (Légifrance)

Bon réflexe : exiger la mention intégrale des droits au PV, solliciter le report si l’avocat n’est pas disponible, demander l’annexion d’observations

de la défense.

B. Garde à vue

Dès le début de la GAV, l’assistance par avocat est obligatoire pour un mineur : CJPM, art. L. 413-9, en lien avec les articles 63-3-1 et suivants du CPP.

L’information doit être immédiate ; à défaut, la nullité guette. (Légifrance)

En pratique :

1).  vérifier l’heure d’appel au barreau, l’heure d’arrivée du conseil ;

2).  contrôler les conditions matérielles adaptées à l’âge (pauses, hydratation, repos) ;

3).  exiger l’enregistrement audiovisuel lorsque prévu ;

4).  consigner toute irrégularité (questions suggestives, pression, défaut d’interprète).

C. Audience, césure et “audience unique”

Le CJPM a généralisé la césure entre culpabilité et prononcé de la sanction/mesure, avec une évaluation éducative entre les deux. Des

dérogations existent : la procédure de jugement en “audience unique” permet, dans certaines hypothèses, de statuer immédiatement sur la

culpabilité et la sanction (v. CJPM, L. 521-26 s. ; fiches techniques Ministère de la justice). (Légifrance)

Point-clé : l’assistance du mineur par avocat est la règle à chaque étape (application des mesures et peines : fiche technique ministère). (Ministère

de la justice)

III. Approche sociale et éducative : PJJ, école, familles

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

A. Mesures éducatives judiciaires

Le Livre I du CJPM organise les mesures éducatives : avertissement judiciaire et mesure éducative judiciaire (MEJ) (v. CJPM, L. 111-1 s. ;

définition et objectifs L. 112-2). L’évaluation, pluridisciplinaire, vise la protection, l’éducation, l’insertion et l’accès aux soins. (Légifrance)

Exemples : réparation envers la victime, stages de citoyenneté, suivi éducatif renforcé, obligation de scolarisation/formation, interdictions de

contact, accompagnement psychologique.

B. Rôle de l’établissement scolaire

L’école a un rôle préventif (programmes de sensibilisation, repérage des signaux faibles) et réactif (procédures internes, signalements, mesures

d’éloignement, suivi éducatif). En cas de harcèlement scolaire, la coordination avec la PJJ, l’ASE et l’avocat est essentielle ; la preuve passe par des

captures d’écran et des témoignages structurés.

C. Familles et représentants légaux

Les représentants légaux doivent être associés sans délai (information, choix de l’avocat). Le cabinet prépare les entretiens (présentiel ou

visioconférence), explique les droits de l’enfant, collecte les documents (certificats médicaux, attestations, relevés de messageries, planning scolaire) et

vérifie la cohérence temporelle des faits.

IV. Stratégie de défense : sécuriser la procédure, choisir la voie utile

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

A. Audit procédural exhaustif

La défense passe par un audit :

1).  Chronologie : interpellation, convocation, audition(s), GAV, avis aux parents, appels au barreau, arrivée de l’avocat, examens médicaux, remises de

documents.

2).  Pièces : PV complets (mentions des droits, horodatages, identités), enregistrements, certificats médicaux d’ITT, scellés (photos/vidéos), logs

numériques (métadonnées, EXIF, captures).

3).  Nullités potentielles : carence d’information (mineur ou parents), absence d’avocat, questions suggestives, pressions, enregistrement

manquant, chaîne de conservation des médias.

B. Choisir la qualification et l’orientation

Selon les éléments, on discute la qualification (violences simples vs aggravées, harcèlement vs injure/diffamation 1881) et l’orientation :

médiation, composition pénale mineur, classement sous condition, poursuites avec demande de mesure éducative adaptée.

1).  En cas de diffusion d’images violentes, on rappelle la portée de 222-33-3 CP et son exception probatoire (utilisation pour prouver la violence

subie plutôt que pour exhiber). (Légifrance)

2).  En harcèlement scolaire, on vise la qualification 222-33-2-3 CP et, au besoin, le harcèlement moral 222-33-2-2 en cumul. (Légifrance)

C. Plaider la proportionnalité et l’éducatif

Même en présence de faits avérés, la proportionnalité de la réponse est cardinale : mesures éducatives ciblées, réparation, soins, interdictions

limitées dans le temps, accompagnement familial. Devant le juge des enfants, on produit un plan d’action : suivi PJJ, horaires aménagés, engagement

scolaire/associatif, stage de responsabilisation, obligation de soins si nécessaire.

V. Preuves et numérique : loyauté, intégrité, conservation

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A. Loyauté de la preuve

Les pièces doivent être licites et loyales : pas d’accès clandestin à un compte tiers ; pas d’enregistrements dissimulés hors cadre légal. Les vidéos de rixes

doivent être versées sous scellés, avec horodatage et chaîne de conservation ; on rappelle que l’enregistrement/diffusion de violences est

pénalement risqué (222-33-3 CP), sauf preuve en justice. (Légifrance)

B. Forensique de base

1).  Captures d’écran : avec date/heure visibles ;

2).  Métadonnées (EXIF, logs de messagerie) : conserver les originaux ;

3).  Messages : sauvegardes chiffrées, exports conformes ;

4).  Témoignages : formulaires normalisés, coordonnées, lien avec l’établissement ;

5).  Certificats d’ITT : datés, détaillés, signés ;

6).  Copies : établir un inventaire ;

7).  Archivage : espace sécurisé, accès restreint, traçabilité.

C. Communication responsable

Aucune publicité autour du dossier : anonymisation, floutage si nécessaire, droit à l’image et protection des données (RGPD mineurs). Rappeler

aux familles l’interdiction de répondre en ligne aux provocations : tout message peut alimenter un contentieux 1881 (injure/diffamation).

(Légifrance)

VI. Voies de recours et contentieux

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A. Nullités et exclusions

En cas d’atteinte aux droits (absence d’avocat en GAV, information lacunaire des représentants légaux, défauts d’horodatage, interrogatoire avant arrivée du

conseil), la nullité est recherchée. L’irrégularité d’un acte d’enquête peut contaminer les actes subséquents.

B. Appel et pourvoi

Les décisions du juge des enfants et du tribunal pour enfants sont susceptibles d’appel ; les questions de droit peuvent fonder un pourvoi (ex.

interprétation des textes, motivation, proportionnalité). La jurisprudence récente précise le régime de la césure et de l’audience unique (v. analyses et

arrêts 2023/2025). (Le Média Social)

VII. Cas pratiques (synthèse)

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A. Rixe filmée devant un collège

Faits : violences en réunion, ITT 5 jours, diffusion sur réseau social.

Qualification : 222-13 (réunion) et 222-33-3 (diffusion) ; possibilité de harcèlement si actes répétés.

Stratégie : verser vidéo sous scellés pour preuve (exception textuelle), confrontations cadrées, médiation avec mesure de réparation ; interdiction

de contact entre élèves. (Légifrance)

B. Cyberharcèlement de classe

Faits : messages répétés, moqueries, menaces légères, usurpations de comptes, sur plusieurs mois.

Qualification : 222-33-2-3 (harcèlement scolaire) et/ou 222-33-2-2 (harcèlement moral) ; compléments possibles (injure/diffamation 1881).

Stratégie : captures horodatées, témoignages, signalement scolaire, demande d’éloignement, stage de responsabilisation, accompagnement

psychologique. (Légifrance)

C. Violences avec ITT > 8 jours, couteau exhibé

Faits : blessure superficielle, 12 jours d’ITT, couteau sorti puis rengainé.

Qualification : 222-11 (ITT > 8 jours), aggravation par arme (renvoi à 222-12/222-13 selon circonstances).

Stratégie : expertise médicale, trajectographie des faits, vérification des mentions au PV, proposition d’audience unique si personnalité favorable et

réparation rapide. (Légifrance)

VIII. Sanctionner sans briser : proportion, personnalisation, suivi

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Le CJPM rappelle qu’aucune déchéance automatique ne résulte d’une condamnation d’un mineur et privilégie l’individualisation. Le juge cherche

une réponse proportionnée, parfois hybride (sanction + obligations éducatives + soins), visant la prévention de la récidive. Le suivi par la PJJ et

l’exécution effective des mesures conditionnent l’efficacité : accompagnement, contrôles, évaluations trimestrielles, réajustements.

(Légifrance)

IX. Repères pratiques pour les familles et établissements

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1).  Avant tout acte : ne pas s’auto-incriminer ; contacter un avocat ; éviter toute publication en ligne.

2).  Conserver les preuves : certificats médicaux, captures horodatées, identités des témoins, courriels de l’établissement.

3).  École : alerter le référent ; demander une mesure d’éloignement ; participer au plan d’aide.

4).  Santé : consultation médicale/psychologique ; documenter l’ITT.

5).  Procédure : exiger la traçabilité (droits notifiés, heures, présences) ; solliciter l’enregistrement lorsque prévu.

6).  Orientation : envisager une médiation, réparation, stage, obligation scolaire ; travailler un projet éducatif réaliste.

X. Conclusion : une défense rigoureuse, une réponse utile

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Les violences entre mineurs appellent une défense technique (maîtrise des qualifications, contrôle des actes, nullités), mais aussi une réponse

humaine : écouter, expliquer, accompagner. Les textes – CPP, Code pénal, CJPM – offrent des outils puissants pour protéger le mineur, réparer

les victimes et prévenir la récidive. Notre pratique consiste à sécuriser la procédure (droits notifiés, avocat présent, PV complet), choisir la voie

(pénale, éducative, hybrique), personnaliser le plan d’action (famille, école, soins, PJJ), et garantir que la sanction reste proportionnée, comprise

et utile.

Références principales (sélection cliquable)

1).  Violences volontaires : art. 222-11 CP ; aggravations art. 222-13 CP ; panorama “Des violences” (222-7 à 222-16-3). (Légifrance)

2).  Harcèlement moral : art. 222-33-2-2 CP. Harcèlement scolaire : art. 222-33-2-3 CP. (Légifrance)

3).  Enregistrement/diffusion d’images de violences : art. 222-33-3 CP. (Légifrance)

4).  Audition libre : art. 61-1 CPP. Garde à vue du mineur et avocat : CJPM L. 413-9. (Légifrance)

5).  Mesures éducatives : CJPM L. 111-1 s. ; objectifs L. 112-2. Audience unique : CJPM L. 521-26 s.. (Légifrance)

XI).  —  TABLE DES MATIERES

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

I. Cadre légal des mineurs

  • Objectifs de la justice des mineurs
  • Intérêt supérieur de l’enfant et hiérarchie des normes
  • Rôle du juge des enfants et du tribunal pour enfants
  • Proportionnalité, individualisation, prévention de la récidive

II. Droits procéduraux & garanties

  • Assistance effective de l’avocat, droit au silence, non-auto-incrimination
  • Information adaptée à l’âge, traduction et interprète
  • Observations écrites, consultation des pièces utiles, traçabilité au PV
  • Nullités et voies de recours liées aux atteintes aux droits

III. Garde à vue du mineur

  • Conditions de placement, notification des droits, examen médical
  • Présence préalable de l’avocat, entretien confidentiel
  • Enregistrements, horaires, prolongations motivées
  • Confrontations, perquisitions et scellés : contrôles essentiels

IV. Audition libre du mineur

  • Statut de suspect libre et garanties applicables
  • Information des représentants légaux, commission d’office
  • Conduite de l’audition : langage simple, questions non suggestives
  • Relecture, corrections, annexes et mentions obligatoires

V. Représentants légaux & environnement familial

  • Choix de l’avocat, autorisations, organisation pratique
  • Attestations, documents d’identité et coordination avec l’école
  • Vulnérabilités particulières, handicap, interprétariat
  • Suivi post-audition et prévention numérique familiale

VI. Avocat pénal des mineurs

  • Interventions en commissariat et au parquet des mineurs
  • Audit des PV, détection des vices, stratégie de nullités
  • Plaidoirie, conclusions, coordination PJJ/ASE/établissement
  • Outils pratiques : modèles, check-lists, calendrier procédural

VII. Textes CJPM & CPP (ciblage articles)

  • CJPM : L.412-1, L.412-2, L.413-9, L.521-26 s.
  • CPP : 61-1, 63-1, 63-3-1, 63-4-1, 171, 706-113
  • Code pénal : 222-11 à 222-16-3, 222-33-2-2, 222-33-2-3, 222-33-3
  • Loi du 29 juillet 1881 (injure/diffamation) : rappels utiles

VIII. CEDH & jurisprudence

  • Salduz et assistance d’avocat dès l’origine
  • Équité globale, renonciation éclairée, loyauté des preuves
  • Jurisprudence récente de la Cour de cassation (mineurs)
  • Compatibilité mesures éducatives / exigences conventionnelles

IX. Police, OPJ & pratiques d’enquête

  • Accueil du mineur, salles adaptées, registres et appels barreau
  • Fouilles, saisies numériques, scellés et conservation
  • Confrontations, témoins, transports et sécurité
  • Enregistrements, stockage, réquisitions et indices sérieux

X. Nullités & contentieux

  • In limine litis : cadre, délais et griefs
  • Absence d’avocat, défaut d’avis aux parents, PV lacunaire
  • Saisies irrégulières, enregistrements manquants, contamination des actes
  • Appel, pourvoi, publicité restreinte, anonymisation

XI. Preuves & enregistrements

  • Licéité/loyauté de la preuve et chaîne de conservation
  • Captures d’écran, métadonnées, logs, hash et copies forensiques
  • Témoignages, plans, chronologies et index probatoires
  • Occultation, demandes de retrait, archivage sécurisé

XII. Psychologie, pédagogie & minorité

  • Langage simple, suggestibilité, pauses et gestion du stress
  • Traumatisme, émotions, supports visuels et reformulations
  • Objectifs éducatifs, engagements réalistes, débrief post-audience
  • Suivi psychologique et prévention des réseaux sociaux

XIII. ASE, PJJ & écosystème éducatif

  • Rôle ASE et PJJ : évaluation, rapports, suivi
  • Partenariats école/associations/mairie, réunions pluridisciplinaires
  • Stages, réparation, insertion, missions locales
  • Contrats d’objectifs, points-étapes et indicateurs de progression

XIV. Infractions fréquentes chez les mineurs

  • Vols en réunion, dégradations, violences légères/graves
  • Cyberharcèlement, injure/diffamation, usurpation d’identité
  • Stupéfiants, port d’armes prohibées, outrage et attroupements
  • Escroqueries numériques, recel, fraudes de transport

XV. Numérique & cyber-aspects

  • Saisies téléphones, accès cloud, bases légales
  • Réquisitions plateformes, géolocalisation, IP et VPN
  • Preuves numériques : intégrité, chain of custody, copies
  • E-réputation, retraits, RGPD mineurs et accès audience

XVI. Violence scolaire & environnement

  • Bagarres filmées, humiliations en ligne, chantage
  • Intrusions, rackets, menaces au personnel
  • Discipline interne, médiations, réparations symboliques
  • Réunions de suivi, dispositifs municipaux, retour en classe

XVII. Stupéfiants & conduites à risque

  • Usage/détention, revente locale, dépistages, examens
  • Saisies d’espèces, messages codés, expertises toxicologiques
  • Orientations CJC, stages de prévention, TIG éducatif
  • Sécurité routière, perquisitions, évaluations régulières

XVIII. Stratégie, communication & presse

  • Protection de l’anonymat, floutage, porte-parole unique
  • Veille réseaux, retraits documentés, droits de réponse
  • Coordination parquet/école, éléments vérifiables, ton apaisé
  • Clôture de crise, bilan et amélioration continue

XIX. Paris & territorialité

  • Parquet des mineurs et tribunal pour enfants de Paris
  • Astreintes, distances, permanences du barreau
  • Réseau éducatif, hôpitaux pédiatriques, maisons des ados
  • Partenariats RATP/écoles, cellules municipales, associations locales

XX. Cabinet ACI — services & offres

  • Urgences commissariat, assistance audition/GAV 24h/24
  • Audit procédural, nullités, conclusions et plaidoirie
  • Coordination PJJ/ASE/école, plans éducatifs personnalisés
  • Suivi post-audience, confidentialité, outils et veille juridique

XII).  —  Les 5 tableaux détaillés  avec liens cliquables vers les textes et décisions utiles.

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

1).  Tableau 1 — Qualifications pénales fréquentes entre mineurs : définitions, peines,

aggravations

Thème / infraction Référence cliquable Éléments constitutifs & peines Bonnes pratiques & exemples
Violences avec ITT > 8 jours Code pénal art. 222-11Legifrance Violences volontaires entraînant une incapacité totale de travail > 8 jours. Peine de 3 ans et 45 000 € (base), modulée pour un mineur selon l’atténuation de responsabilité. Importance du certificat médical circonstancié (dates, symptômes, retentissement fonctionnel). Faire établir un certificat d’ITT précis (symptômes, douleurs, traitements). En défense, contester la durée/lien causal si le certificat est elliptique. Exemple : rixe de cour, contusions multiples, 12 jours d’ITT.
Violences aggravées (réunion, arme, mineur de 15 ans, etc.) Code pénal art. 222-13Legifrance Aggravations par circonstances (ex. réunion, arme, victime mineure). Peines pouvant atteindre 5 ans et 75 000 € (selon cumul). Qualification sensible en milieu scolaire (lieu & vulnérabilité). Vérifier réalité de l’aggravation (arme exhibée ou utilisée ? réunion effective ?). Exemple : deux élèves frappent un tiers → réunion avérée si co-action.

Harcèlement moral

Code pénal art. 222-33-2-2Legifrance Agissements répétés dégradant les conditions de vie (atteintes à la dignité, santé). Intègre le cyberharcèlement (messageries, réseaux). Peines variables selon l’ITT, l’âge de la victime, le nombre d’auteurs. Conserver captures horodatées, lister récurrence (dates), démontrer impact (certificats, psychologue).
Harcèlement scolaire Code pénal art. 222-33-2-3Legifrance Harcèlement dans/à l’occasion de l’établissement scolaire, par élève ou personnel, au préjudice d’un élève. Aggravations si diffusion en ligne, ITT, bande organisée. Articuler preuves scolaires (signalements, punitions), témoignages élèves/enseignants, captations réseaux.
“Happy slapping” (enregistrement/diffusion de violences) Code pénal art. 222-33-3Legifrance Enregistrer des violences = complicité ; diffuser = délit (5 ans, 75 000 €). Exception : usage comme preuve en justice ou information légitime du public (encadrée). Informer les familles : filmer la rixe pour « montrer » expose pénalement. Utiliser la vidéo seulement comme preuve (sous scellés).
Menaces / extorsion légère Code pénal art. 222-17 & s.Legifrance Menace de crime/délit, parfois réitérée/conditionnée. L’extorsion suppose violence/menace pour obtenir un bien/un code. Vérifier sincérité de la crainte (contexte scolaire), messages (SMS, DM), présence d’exigences.
Injure / diffamation publiques (réseaux, groupes ouverts) Loi du 29 juillet 1881art. 33 (injure) → Legifrance Injure = expression outrageante ; diffamation = imputation de fait précis portant atteinte à l’honneur. Délais de prescription courts (3 mois), régimes procéduraux techniques. Qualifier publicité (groupe fermé ?), sécuriser actes interruptifs. En défense, évoquer bonne foi/excuse de provocation selon cas.

2).  Tableau 2 — Procédure mineurs : audition libre, garde à vue, audience (CJPM/CPP)

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Étape Référence cliquable Points clés à vérifier Défense & bonnes pratiques
Audition libre (suspect libre) CPP art. 61-1Legifrance Information claire : qualification des faits, droit de partir, droit au silence, droit à l’avocat. Pour un mineur : langage adapté à l’âge, information des représentants légaux. Exiger traçabilité au PV, report si l’avocat n’est pas disponible, annexion d’observations écrites.
Information des parents / choix de l’avocat CJPM L. 412-1LegifranceCJPM L. 412-2Legifrance Avis immédiat aux représentants légaux ; à défaut d’avocat choisi, commission d’office sans délai par le bâtonnier ; mentions au PV (heures d’appel/arrivée). Demander horodatages (appel barreau), relevés téléphoniques si besoin. Nullité en cas de carence d’avis/retard.
Garde à vue du mineur CJPM L. 413-9LegifranceCPP 63-3-1Legifrance Présence de l’avocat dès le début, avant toute audition ; suppression du délai de carence ; entretien confidentiel ; conditions matérielles adaptées (repos, hydratation, pauses). Refuser tout interrogatoire avant l’arrivée du conseil. Faire consigner les protestations. Vérifier enregistrements si prévus.
Accès à certaines pièces pendant la GAV CPP 63-4-1Legifrance Consultation de PV d’audition utiles, confrontations, éléments nécessaires pour calibrer la défense du mineur. Demander consultation/copies, puis déposer observations écrites annexées.
Césure / audience unique CJPM L. 521-26 s.Legifrance Césure : la juridiction statue sur la culpabilité, puis renvoie pour évaluation éducative avant sanction ; audience unique possible selon critères légaux. En défense : proposer un plan éducatif crédible (scolarité/soins/éloignement), demander délais pour pièces.
Nullités & exclusions CPP art. 171 (exception de nullité) → Legifrance Atteinte aux droits de la défense : absence d’avocat, information lacunaire des parents, PV incomplet → nullité de l’acte et des actes subséquents. Soulever in limine litis, viser CJPM L. 412-1/L. 413-9, CPP 63-3-1/63-4-1, détailler griefs (horodatages, mentions manquantes).

3).  Tableau 3 — Preuves & numérique : licéité, intégrité, chaîne de conservation

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Sujet Référence cliquable Points de droit & méthode Conseils opérationnels
Captures d’écran & messageries Harcèlement : CP 222-33-2-2LegifranceHarcèlement scolaire : CP 222-33-2-3Legifrance Prouver répétition et impact : conserver échanges, horodatages, identifiants ; authentifier les fils de discussion (export, sauvegardes). Capturer intégralement (contexte, date/heure), conserver les originaux (cloud, appareils) ; éviter recadrages agressifs.
Vidéos de rixes (happy slapping) CP 222-33-3Legifrance Enregistrer/diffuser : infraction, sauf exception probatoire ou information légitime. La diffusion publique aggrave la situation. Déposer la vidéo sous scellés, sans publication ; documenter source, date, device ; relever métadonnées si possible.
Intégrité & forensique Bonnes pratiques probatoires (CPP, principes généraux) Chaîne de conservation : inventaire des pièces, scellés, hash/signature numérique lorsque possible ; garder copies et journal des accès. Utiliser un dossier probatoire numéroté ; séparer originaux et copies ; journaliser toute manipulation.
Injure/diffamation en ligne Loi 29/07/1881 – art. 33Legifrance Délais de 3 mois (général) ; distinguer public vs privé (groupes fermés). Attention aux exceptions de vérité (diffamation) et bonne foi. Figer la preuve rapidement (constat) ; vérifier publicité (paramètres du groupe) ; sécuriser assignation dans les délais.
Données d’appareils & cloud CPP (saisies, perquisitions)Legifrance Accès aux terminaux et cloud soumis à cadre légal (réquisitions/autorisation). La consentisation doit être éclairée ; garder trace de l’accord. En défense : contester la base légale d’accès, l’étendue des données copiées, demander filtrage/expertise si nécessaire.
Témoignages & attestations CPP – règles générales Attestations datées, signées, coordonnées du témoin, relation aux faits ; prudence sur témoignages collectifs ou anonymes. Modèles standardisés, check-list de questions, cohérence chronologique ; joindre pièces corroborantes (plan, emploi du temps).

4).  Tableau 4 — Parcours judiciaire CJPM : de l’enquête à la décision (orientation,

césure, audience)  (Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Phase Référence cliquable Objectifs & leviers Conseils de stratégie (défense & familles)
Enquête (audition libre / GAV) CPP 61-1LegifranceCJPM L. 413-9Legifrance Assurer assistance de l’avocat, information des parents, loyauté des actes. Préserver la santé et l’intégrité du mineur. Refuser de répondre sans avocat, exiger mentions PV complètes (horaires, avis, présence), conserver observations écrites.
Saisine du parquet des mineurs CJPM (Titre IV & V)Legifrance Apprécier opportunité des poursuites, envisager alternatives (médiation, composition pénale mineur, classement conditionné). Proposer un plan éducatif dès ce stade (engagements scolaires, médiation victime, soins).
Césure (culpabilité → évaluation → sanction) CJPM L. 521-26 s.Legifrance Décider culpabilité, ordonner évaluation PJJ (personnalité, situation), fixer deuxième audience pour la réponse. Déposer pièces actualisées (bulletins, attestations, suivi PJJ), ajuster la demande (mesure éducative ciblée, interdictions utiles).
Audience unique (hypothèses) CJPM – dispositifLegifrance Dans certains cas (personnalité connue, faits simples), statuer immédiatement. En défense : négocier réparation, éloignement, stage ; fournir projet réaliste pour éviter réponse trop répressive.
Mesures éducatives / peines CJPM L. 111-1 s.Legifrance Protection-éducation-insertion-soins : mesure éducative judiciaire (MEJ), avertissement, obligations, interdictions, stages, suivi PJJ. Personnaliser : horaires, scolarité/alternance, soins, réparations. Prévoir points-étapes avec la PJJ.
Voies de recours CPP & CJPM (procédure)Legifrance Appel (faits & droit), pourvoi (droit). Contrôle de la motivation, proportionnalité, respect des droits. Surveiller délais (courts), figer les moyens (nullités, proportion), documenter évolution du jeune (scolarité, soins).

5).  Tableau 5 — Dispositifs sociaux & stratégie de défense : PJJ, école, familles,

prévention  (Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Axe Référence cliquable Objectifs opérationnels Outils & exemples pratiques
Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) CJPM (principes & mesures)Legifrance Évaluer la personnalité et l’environnement, proposer des mesures éducatives individualisées (temps scolaire, accompagnement, obligations). Rapports PJJ (trimestriels), contrats d’objectifs, suivi santé/psychologique, travaux d’intérêt éducatif, stage citoyenneté.
Établissement scolaire (prévention & réaction) Harcèlement scolaire — CP 222-33-2-3Legifrance Détection précoce (signaux faibles), signalements internes/externes, mesures d’éloignement/interdiction de contact, accompagnement de la victime et de l’auteur. Protocoles anti-harcèlement, cellule 3018, réunions pluridisciplinaires, attestations enseignants/élèves, planning de remédiation.
Familles & représentants légaux CJPM L. 412-1 / L. 412-2L. 412-1L. 412-2 Information immédiate, choix de l’avocat ou commission d’office ; adhésion au projet éducatif, soutien à la compliance (horaires, soins, scolarité). Coaching des parents (posture, communications), attestations circonstanciées, agenda des actes, disponibilités pour RDV PJJ/école.
Prévention numérique & e-réputation Loi 1881 art. 33 (injure) → LegifranceHappy slapping — CP 222-33-3Legifrance Désescalade en ligne, signalement des contenus, retraits documentés, protection de l’image du mineur et de la victime. Modèles de demandes de retrait, preuves de notification, constat horodaté, paramétrage confidentialité des comptes.
Stratégie de défense ACI (check-list) CPP 61-1, 63-3-1, 63-4-1 — CJPM L. 413-961-163-3-163-4-1L. 413-9 Assistance dès le premier acte ; audit PV & horodatages ; observations écrites ; nullités ciblées ; plan éducatif personnalisé. Dossier probatoire numéroté (médical, scolaire, numérique), grille de risques, médiation et réparation rapides, stages/soins, veille avec la famille et la PJJ.

XIII).  —  Contactez un avocat

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

pour votre défense

A).  —  LES MOTS CLES JURIDIQUES : 

1) Cadre légal et principes

violences entre mineurs, droit pénal des mineurs, CJPM, Code pénal, Code de procédure pénale, CPP, responsabilité pénale atténuée, intérêt supérieur de l’enfant, justice des mineurs, tribunal pour enfants, juge des enfants, parquet des mineurs, chambre spéciale mineurs, mesure éducative judiciaire, césure du procès, audience unique, proportionnalité des peines, individualisation, éducatif avant répressif, politique pénale mineurs, protection de la victime mineure, droits de la défense, équité de la procédure, contradictoire, motivation spéciale, huis clos mineurs, anonymisation identité, secret de l’instruction, confidentialité dossier mineur, prévention récidive, insertion sociale, orientation éducative, sanction proportionnée, mesures alternatives, médiation pénale mineur, composition pénale mineur, avertissement judiciaire, réparation symbolique, interdiction de contact, éloignement scolaire, stage de citoyenneté, TIG éducatif, contrôle JLD, aide juridictionnelle mineur, assistance interprète, traduction mineur, vulnérabilité juridique, délai raisonnable, hiérarchie des normes, conformité CEDH

2) Infractions de violences

violences volontaires, violences en réunion, violences avec arme, ITT, coups et blessures, bousculade, rixe scolaire, bagarre filmée, voie de fait, menace, extorsion, chantage, vol avec violence, dégradation volontaire, séquestration brève, intimidation, racket scolaire, harcèlement de couloir, humiliation publique, brimades, violences répétées, guet-apens, attroupement violent, provocation à la violence, tentative de violences, complicité de violences, instigation par messages, préméditation, guet, violence psychologique, violence verbale, injure publique, diffamation, outrage à personne chargée de mission de service public, intrusion établissement, rébellion, réitération des faits, récidive légale, danger arme blanche, couteau scolaire, mortier d’artifice, arme par destination, menace de mort, menace de dégradation, violence commise en transport, violence en milieu festif, violences lors d’un match scolaire, participation à une rixe, violences légères, violences graves

3) Harcèlement scolaire & cyber

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

harcèlement scolaire, cyberharcèlement, harcèlement moral, insultes en ligne, moqueries répétées, diffusion d’images, doxing, usurpation d’identité, faux profil, groupe de classe, messagerie instantanée, story humiliante, commentaire haineux, raid numérique, menaces DM, sextorsion adolescente, partage non consenti, revenge porn mineur, rumeurs en ligne, exclusion sociale, ostracisme, défi humiliation, défis réseaux sociaux, viralité, capture d’écran, horodatage, signalement plateforme, 3018, protocole anti-harcèlement, référent harcèlement, plan d’accompagnement, prévention scolaire, discipline interne, sanctions éducatives, confrontation encadrée, médiation scolaire, parole de la victime, impact psychologique, absentéisme, phobie scolaire, sécurité numérique, paramétrage confidentialité, modération contenus, droit à l’image, droit de retrait contenu, suivi psychologique, cellule de crise, charte d’usage numérique, ateliers de sensibilisation, preuve numérique

4) Procédure (audition & GAV)

audition libre, suspect libre, information des droits, droit au silence, droit à l’avocat, commission d’office, avis aux parents, représentants légaux, langage adapté, mention au procès-verbal, horodatage, arrivée de l’avocat, entretien confidentiel, enregistrement audiovisuel, consultation des PV, observations écrites, questions non suggestives, reformulation, interprète assermenté, nullité de procédure, in limine litis, exclusion des déclarations, garde à vue mineur, durée GAV, conditions matérielles, pauses et hydratation, examen médical, confrontation, perquisition encadrée, saisie du téléphone, accès au cloud, scellés numériques, chaîne de conservation, consultation dossier, remise de copies, refus de signer, main courante, registre GAV, contrôle parquet, JLD, médiation pénale, composition pénale, convocation par officier de police, déferrement, audience de cabinet, audience tribunal pour enfants, césure du procès, audience unique, voies de recours, exécution des mesures

5) Textes CJPM / CPP / CP

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

CJPM L.412-1, CJPM L.412-2, CJPM L.413-9, CJPM L.111-1, CJPM L.112-2, CJPM L.521-26, CJPM principes directeurs, CPP 61-1, CPP 63-1, CPP 63-3-1, CPP 63-4-1, CPP 63-4-2, CPP 171, Code pénal 222-11, Code pénal 222-12, Code pénal 222-13, Code pénal 222-14-3, Code pénal 222-33-2-2, Code pénal 222-33-2-3, Code pénal 222-33-3, loi 29 juillet 1881, injure publique art 33, diffamation publique, responsabilité civile mineur, réparation civile, dommages et intérêts, constitution de partie civile, action publique, action civile jointe, compétence tribunal pour enfants, compétence juge des enfants, parquet mineurs Paris, circulaires DGT anti-harcèlement, circulaires ministère éducation, protection données mineurs RGPD, CNIL mineurs, droit à l’image élève, secret professionnel avocat, aide juridictionnelle, huis clos obligatoire, anonymisation décisions, motivation spéciale peines, contrôle conventionnalité, CEDH article 6, CEDH jurisprudence mineurs, principes directeurs PJJ, référentiel éducation nationale, protocole établissement scolaire, médiation pénale textes, composition pénale textes

6) Preuves & forensique

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

preuve licite, preuve loyale, constats d’huissier, capture d’écran authentifiée, métadonnées EXIF, horodatage serveur, logs de messagerie, sauvegarde cloud, copie forensique, empreinte hash, scellé numérique, intégrité des fichiers, chaîne de custody, export WhatsApp, export Instagram, export Snapchat, téléchargement légal, réquisition judiciaire, expertise IT, audit smartphone, récupération SMS, bornage téléphonique, géolocalisation légale, adresse IP, identifiant compte, cookies et sessions, preuve vidéo, qualité d’image, audio authentifié, transcription chronologique, témoin oculaire, attestation manuscrite, formulaire CERFA attestations, plan des lieux, reconstitution, timeline des faits, carte mentale dossier, index probatoire, numérotation des pièces, table de renvoi, archivage sécurisé, coffre-fort numérique, contrôle accès, sauvegarde chiffrée, restitution scellés, purge données illicites, confidentialité preuves, occultation identité, pseudonymisation, consentement éclairé

7) Santé & psychologie

traumatisme psychique, stress post-incident, anxiété scolaire, dépression adolescente, risque suicidaire, pédopsychiatrie, psychologue scolaire, infirmier scolaire, évaluation clinique, certificat médical ITT, violence intrafamiliale, violences scolaires, humiliation persistante, estime de soi, harcèlement chronique, fatigue cognitive, troubles de l’attention, TDAH, TSA, dyslexie, phobie scolaire, somatisation, crise d’angoisse, gestion émotions, respiration contrôlée, pauses nécessaires, écoute active, alliance thérapeutique, consentement soins, secret médical, orientation CMP, consultation jeunes consommateurs, addiction réseaux sociaux, hyperconnexion, sommeil perturbé, impulsivité, désescalade, médiation familiale, soutien parental, guidance éducative, mentorat, activités sportives, atelier citoyenneté, réparation envers victime, prévention rechute, suivi pluridisciplinaire, compte rendu thérapeutique, coordination PJJ santé, bilan psychologique, projet de soins

8) École & environnement

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

chef d’établissement, CPE, enseignants référents, protocole établissement, règlement intérieur, sanctions disciplinaires, conseil de discipline, accompagnement éducatif, cellule harcèlement, 3018, vie scolaire, médiation par les pairs, surveillants, association de parents, infirmière scolaire, médecin scolaire, psychologue EN, assistant social, proviseur adjoint, dossier scolaire, emploi du temps, attestations enseignants, témoignages élèves, exclusion temporaire, mesure d’éloignement, interdiction de contact, plan de prévention, affichage droits, ateliers numériques, charte smartphone, contrôle des sacs, sécurité portail, encadrement sorties, partenariat police, convention parquet-éducation, parcours citoyen, stage de sensibilisation, atelier gestion conflits, médiation éducative, coaching scolaire, retour en classe, accompagnement victime, accompagnement auteur, suivi absences, bulletin scolaire, PAI projet accueil individualisé, orientation psychologue, réunion pluridisciplinaire, compte rendu incident, communication familles

9) PJJ & ASE

protection judiciaire de la jeunesse, PJJ, éducateur PJJ, rapport éducatif, évaluation de personnalité, mesure éducative judiciaire, contrôle obligations, point étape trimestriel, référent PJJ, activité structurée, réparation envers victime, TIG éducatif, stage citoyenneté, suivi scolaire, apprentissage, insertion professionnelle, mission locale, médiation pénale éducative, composition éducative, accompagnement psychologique, coordination famille, coordination école, réseau associatif, coach sportif, tuteur bénévole, association de quartier, ASE, assistance éducative, AEMO, placement provisoire, foyer éducatif, famille d’accueil, travail avec juge des enfants civil, articulation pénal-civil, visite médiatisée, retour en famille, projet individualisé, objectifs mesurables, calendrier de suivi, compte rendu PJJ, indicateurs de progression, prévention récidive, partenariat mairie, atelier prévention violences, atelier numérique, médiation culturelle, sport insertion, pair-aidance, bénévolat encadré, clôture de mesure

10) Stratégies de défense

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

audit de procédure, cartographie des risques, grille d’horodatages, vérification des PV, nullités ciblées, exception de nullité, exclusion d’aveux, contestation ITT, débat sur qualification, requalification, disproportion des peines, argument éducatif, projet de soins, plan scolaire, engagement associatif, réparation volontaire, médiation rapide, négociation parquet, audience de cabinet, conclusions structurées, plaidoirie pédagogique, pièces annexées, chronologie claire, tableaux de synthèse, schémas procéduraux, check-list défense, contrôle des enregistrements, expertise informatique, expertise médicale, témoins clé, contradictions horaires, contradictions récits, stratégie de communication, confidentialité presse, anonymisation mineur, droit de réponse, préparation audition, coaching témoignage, simulation questions, Q&A parents, hotline cabinet, disponibilité 24h/24, déplacement commissariat, coordination multi-professionnelle, tableau des options, évaluation coûts risques, calendrier procédural, relances parquet, suivi post-jugement, retour d’expérience

11) Contentieux & recours

jugement tribunal pour enfants, ordonnance juge des enfants, appel mineurs, appel parquet, exécution provisoire, pourvoi en cassation, moyens de cassation, dénaturation des pièces, motivation insuffisante, manque de base légale, violation des droits de la défense, atteinte à l’équité, contradiction de motifs, excès de pouvoir, nullité d’acte, contamination actes subséquents, irrecevabilité demande, prescription, délais de recours, signification régulière, débats en chambre du conseil, huis clos, publicité restreinte, anonymisation arrêts, indemnisation victime, CIVI, réparation du préjudice, intérêts civils, expertise judiciaire, médiation judiciaire, transaction, exécution des mesures, modification des obligations, révocation mesure, mainlevée interdictions, conversion peine, aménagements éducatifs, suivi PJJ, évaluation finale, clôture du dossier, archivage décision, bulletin n°1 mineur, casier judiciaire, effacement inscription, réhabilitation, incidence scolaire, communication établissement, réinsertion, soutien associatif, prévention secondaire

12) Communication & presse

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

communication de crise, anonymat du mineur, floutage d’images, protection identité, présomption d’innocence, communiqué d’avocat, porte-parole unique, Q&A journalistes, éléments vérifiables, ton apaisé, pédagogie juridique, modération réseaux sociaux, droit de réponse, retrait contenus, preuve de retrait, veille médias, hashtags sensibles, rumeurs en ligne, fact-checking, messages aux familles, consignes internes, charte de communication, confidentialité dossier, interdiction de commenter, relation parquet, relation école, note d’information, réunion parents, médiation communautaire, bilan post-crise, retour d’expérience, bonnes pratiques, calendrier messages, gestion commentaires, protection image victime, consentement parental, risques 1881, e-réputation, documentation retrait, capture de page, archives web, contact plateforme, formulaire signalement, influenceurs locaux, médiation réseaux, avertissement légal, mentions obligatoires, sensibilisation publique, prévention médiatique, clôture communication

13) Paris & territorialité

avocat pénaliste Paris, avocat mineurs Paris, brigade des mineurs Paris, commissariats parisiens, hôtel de police, parquet de Paris mineurs, tribunal pour enfants Paris, audience Paris, PJJ Île-de-France, ASE Paris, rectorat de Paris, établissements scolaires parisiens, RATP procédures, interpellation métro, zone scolaire parisienne, quartiers sensibles, médiateurs scolaires Paris, associations jeunesse Paris, maisons des adolescents, CMP pédopsy Paris, hôpitaux pédiatriques, médecins légistes Paris, distances commissariat, astreinte nuit, barreau de Paris, bâtonnier de Paris, commission d’office Paris, aide juridictionnelle Paris, honoraires transparents, consultation urgente, déplacement rapide avocat, délais parquet, expertise locale, réseau associatif Paris, cellules municipales, conseils de quartier, prévention mairie, médiation police-école, conventions locales, stages citoyens Paris, structures insertion, missions locales, ateliers prévention, centres sportifs, bibliothèques jeunesse, maisons de quartier, dispositifs culturels, partenariat RATP-écoles, campagne anti-harcèlement Paris, hotline Cabinet ACI

14) Stupéfiants & armes

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

usage cannabis, détention minime, revente de proximité, argent liquide, balance de précision, sachets zip, plan hall, livraison à vélo, messages codés, numéraire saisi, test salivaire, dépistage, examen médical, orientation santé, CJC consultation jeunes consommateurs, ivresse publique, sécurité routière, scooter, trottinette, accident mineur, délit de fuite, couteau, cutter, bombe lacrymogène prohibée, arme par destination, mortier d’artifice, objet contondant, fouille encadrée, contrôle de sacs, saisie arme blanche, interdiction port d’armes, provocation à l’usage, apologie violence, vente en ligne stupéfiants, réseau social crypté, pseudonyme, perquisition domiciliaire, ouverture coffre, scellés stupéfiants, analyse toxicologique, orientation soins addictologie, stage sensibilisation drogues, suivi parental, prévention collège, médiation quartier, caméra surveillance légale, preuve financière, virement suspect, cash app, traçabilité numéraire

15) Victimologie & réparation

victime mineure, traumatisme, écoute spécialisée, dépôt de plainte, main courante, certificat ITT, suivi psychologique, aide juridictionnelle victime, association d’aide aux victimes, médiation pénale, confrontation protégée, éloignement auteur, interdiction de contact, interdiction réseaux, aménagement scolaire, tiers de confiance, évaluation danger, plan de sécurité, accompagnement parental, demande d’indemnisation, provision à valoir, expertise médicale, quantum du préjudice, souffrances endurées, déficit fonctionnel, préjudice d’angoisse, préjudice scolaire, frais médicaux, frais psychologue, frais transport, préjudice moral, préjudice esthétique, CIVI, FGTI, exécution de la décision, recouvrement, saisie sur allocation, échéancier, reconnaissance des faits, excuses publiques encadrées, réparation symbolique, travaux d’intérêt éducatif, lettre d’excuses, rencontre restaurative, cercle de parole, suivi post-accord, évaluation satisfaction, prévention secondaire, désengagement réseaux, confidentialité

16) CEDH & jurisprudence

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

CEDH article 6, droit à un procès équitable, assistance avocat dès l’origine, Salduz, jurisprudence mineurs CEDH, équité globale, renonciation éclairée, pression policière, enregistrement interrogatoire, exclusion des aveux, motivation renforcée, contrôle de proportionnalité, marge d’appréciation, arrêt de principe, Cour de cassation criminelle, chambre criminelle, nullité audition mineur, information des parents, contamination des actes, arrêts récents, doctrine pénale des mineurs, commentaires universitaires, notes de jurisprudence, compilation d’arrêts, veille juridique, applicabilité directe, contrôle conventionnalité, interprétation conforme, standard européen, comparaisons européennes, Belgique jeunesse, Suisse mineurs, Allemagne Jugendgericht, Italie minorenni, Espagne menores, Royaume-Uni youth justice, tendances protectrices, seuils de tolérance, preuve numérique et CEDH, durée procédure, huis clos justifié, intérêt supérieur, vulnérabilité enfant, assistance psychologique, droit au silence, non-auto-incrimination, qualités de l’avocat, effectivité défense, publicité restreinte, réparation du grief

17) Organisation du dossier

data room sociale, index de pièces, numérotation continue, sommaire dynamique, marque-pages PDF, renommage fichiers, convention d’honoraires, mandat de représentation, pouvoir des parents, autorisation de soins, consentement image, autorisation établissement, planning des actes, calendrier d’audience, échéancier des conclusions, rappels automatiques, table de jurisprudence, base de modèles, modèles d’observations, modèles de demandes, trame de conclusions, canevas de plaidoirie, fiche d’audience, check-list police, check-list scolaire, check-list PJJ, fiches réflexes familles, protocole de sauvegarde, chiffrement des dossiers, politique d’accès, confidentialité emails, canal sécurisé, signature électronique, dépôt dématérialisé, lecteur sécurisé, sauvegarde hors site, politique RGPD, registre traitement, purge documentaire, archivage long terme, transfert sécurisé, journal d’accès, preuve de dépôt, accusé de réception, accusé de lecture, procès-verbal interne, procédure de crise, plan de continuité, retour d’expérience, amélioration continue

18) Prévention & pédagogie

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

programme prévention, ateliers collégiens, ateliers lycéens, modules anti-violence, gestion des conflits, communication non violente, médiation par les pairs, ambassadeurs anti-harcèlement, tutorat, mentorat, sport éducatif, théâtre forum, vidéo pédagogique, affiches établissement, charte de classe, règlement clair, sanctions graduées, récompenses positives, implication parents, réunions régulières, bulletin d’information, newsletter école, plateforme signalement, formulaire anonyme, boîte à idées, groupe de parole, partenariat police municipale, gendarmerie prévention, mairie jeunesse, associations spécialisées, protocoles d’urgence, plan évacuation, sécurisation périmètre, surveillance cour, caméras légales, rondes adultes, accompagnement sortie, horaires échelonnés, encadrement transport, sensibilisation réseaux sociaux, paramétrage parental, contrat d’engagement élève, évaluation annuelle, indicateurs comportement, rapport d’incident, retour pédagogique, plan d’amélioration, cérémonie de valorisation, journée thématique, forum partenaires

19) Cabinet ACI — services

Cabinet ACI Paris, avocat pénaliste Paris, défense mineurs, urgence commissariat, intervention 24h/24, assistance audition libre, assistance garde à vue, préparation audience, stratégie de défense, audit de procédure, détection de nullités, rédaction de conclusions, plaidoirie tribunal enfants, coordination PJJ, coordination ASE, relation école, coaching familles, médiation pénale, composition pénale, plan éducatif personnalisé, suivi post-audience, check-lists cabinet, modèles de courriers, veille jurisprudentielle, partenaires psychologues, partenaires IT forensics, interprètes assermentés, déplacements rapides, confidentialité stricte, éthique professionnelle, honoraires transparents, devis immédiat, aide juridictionnelle, rendez-vous au cabinet, visioconférence sécurisée, compte rendu d’audience, contact site web, formulaire sécurisé, hotline cabinet, mise en conformité RGPD, gestion presse, media training, protocole de crise, retour d’expérience, amélioration continue, satisfaction clients, indicateurs qualité, disponibilité réelle, équipe dédiée mineurs, engagement déontologique

20) SEO local & contextes

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

violences scolaires Paris, avocat violences mineurs, avocat harcèlement scolaire, défense cyberharcèlement, aide victime mineure, plainte rixe scolaire, vidéo bagarre collège, procédure CJPM Paris, tribunal enfants Paris, commissariat 15e, commissariat 18e, commissariat 19e, commissariat 20e, garde à vue mineur Paris, audition libre Paris, avocat urgence nuit, ITT certificat Paris, psychologue adolescent Paris, PJJ Paris, ASE Île-de-France, rectorat Paris harcèlement, médiation scolaire Paris, prévention violences Paris, stage citoyenneté Paris, TIG éducatif Paris, association victime Paris, aide juridictionnelle Paris mineur, maison des ados Paris, CMP pédopsy Paris, mission locale Paris, médiateur scolaire Paris, cellule harcèlement académique, 3018 Paris, police municipale Paris, réseau associatif 75, transport RATP sécurité, brigades de quartier, mairie d’arrondissement, conseil local sécurité, CLSPD Paris, plan anti-violence scolaire, coordination parquet Paris, convention école-parquet, protocole IGPN, expertise médicale légale, médecin légiste Paris, service d’urgences pédiatriques, assistance traduction Paris, rendez-vous rapide avocat, contact Cabinet ACI

B).  —  LES PHRASES JURIDIQUES :

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

 I. Cadre légal des mineurs

II. Droits procéduraux & garanties

III. Garde à vue du mineur

IV. Audition libre du mineur

V. Représentants légaux & environnement familial

VI. Avocat pénal des mineurs

VII. Textes CJPM & CPP (ciblage articles)

VIII. CEDH & jurisprudence

IX. Police, OPJ & pratiques d’enquête

X. Nullités & contentieux

XI. Preuves & enregistrements

XII. Psychologie, pédagogie & minorité

XIII. ASE, PJJ & écosystème éducatif

XIV. Infractions fréquentes chez les mineurs

XV. Numérique & cyber-aspects

XVI. Violence scolaire & environnement

XVII. Stupéfiants & conduites à risque

XVIII. Stratégie, communication & presse

XIX. Paris & territorialité

XX. Cabinet ACI — services & offres

I. Cadre légal des mineurs

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. Le mineur mis en cause bénéficie d’un cadre juridique protecteur en France.
  2. Le CJPM organise la justice pénale des mineurs autour de garanties renforcées.
  3. La procédure pénale des mineurs privilégie l’éducatif sur le répressif.
  4. L’intérêt supérieur de l’enfant guide l’ensemble des décisions.
  5. Les droits de la défense s’appliquent pleinement au mineur entendu.
  6. L’équité de la procédure est contrôlée à chaque étape.
  7. Le juge des enfants joue un rôle central dans l’orientation éducative.
  8. Le parquet des mineurs apprécie l’opportunité des poursuites.
  9. Les mesures éducatives sont individualisées selon l’âge et la maturité.
  10. Le tribunal pour enfants statue dans un cadre adapté à la minorité.
  11. La confidentialité protège l’identité et la dignité du mineur.
  12. Le respect du contradictoire s’impose dès les premiers actes.
  13. Les délais doivent rester raisonnables pour préserver l’équité.
  14. La proportionnalité des réponses pénales demeure un principe cardinal.
  15. La responsabilité pénale des mineurs est atténuée par la loi.
  16. La procédure garantit une information claire et compréhensible.
  17. Les décisions sont spécialement motivées lorsqu’un mineur est concerné.
  18. La prévention de la récidive passe par un suivi éducatif sérieux.
  19. Les mesures civiles et pénales peuvent se combiner au profit du mineur.
  20. La hiérarchie des normes inclut les exigences de la CEDH.
  21. L’évaluation pluridisciplinaire éclaire la réponse judiciaire.
  22. Le respect des formes protège le fond du dossier.
  23. Les actes doivent être traçables, lisibles et vérifiables.
  24. Les garanties procédurales ne sont jamais purement symboliques.
  25. La justice des mineurs cherche un équilibre entre protection et ordre public.

II. Droits procéduraux & garanties

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. Le mineur a droit à l’assistance effective d’un avocat.
  2. Le droit au silence s’exerce à tout moment de l’audition.
  3. La non-auto-incrimination est explicitement rappelée.
  4. L’entretien confidentiel prépare l’enfant à répondre sereinement.
  5. L’avocat assiste aux interrogatoires et pose des questions via l’OPJ.
  6. La consultation des procès-verbaux utiles est encadrée par la loi.
  7. Les observations écrites de l’avocat sont annexées au dossier.
  8. L’information sur les droits doit être claire et adaptée à l’âge.
  9. Le choix de l’avocat appartient à la famille ou au mineur discernant.
  10. La commission d’office est organisée sans délai par le bâtonnier.
  11. La traduction est assurée en présence d’un interprète qualifié.
  12. Les pressions psychologiques sont prohibées durant l’audition.
  13. La proportionnalité des moyens d’enquête est vérifiée.
  14. Les enregistrements audiovisuels sécurisent la loyauté des actes.
  15. Les pauses et besoins de santé du mineur sont pris en compte.
  16. La durée de l’audition doit rester raisonnable et motivée.
  17. Les représentants légaux sont informés et associés aux décisions.
  18. Les nullités sanctionnent les atteintes aux droits de la défense.
  19. Les voies de recours permettent un contrôle complet du dossier.
  20. La médiation pénale peut constituer une alternative utile.
  21. L’accès au dossier s’exerce dans le respect du secret.
  22. Les décisions sont notifiées avec indication des délais.
  23. La charge de la preuve respecte les principes du procès équitable.
  24. Les circulaires orientent les pratiques sans déroger à la loi.
  25. La traçabilité des notifications conditionne la validité des auditions.

III. Garde à vue du mineur

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. La garde à vue du mineur obéit à des règles strictes et spécifiques.
  2. L’avocat doit être présent avant tout interrogatoire.
  3. La suppression du délai de carence renforce la protection.
  4. L’information des parents est immédiate et vérifiable.
  5. L’examen médical est organisé en cas de besoin.
  6. Les conditions matérielles de la GAV sont adaptées à l’âge.
  7. L’enregistrement des auditions garantit la loyauté.
  8. Le droit de prévenir un proche est effectif et tracé.
  9. Les horaires de début et de fin sont consignés précisément.
  10. La prolongation de GAV est spécialement motivée pour un mineur.
  11. L’entretien confidentiel précède la première audition.
  12. La consultation de PV permet d’ajuster la stratégie de défense.
  13. Les confrontations se déroulent sous le contrôle de l’avocat.
  14. Les questions suggestives doivent être reformulées.
  15. Les pauses régulières évitent la fatigue et la confusion.
  16. Les objets saisis sont listés et placés sous scellés.
  17. Les perquisitions se rattachent à des indices précis.
  18. L’accès aux enregistrements peut être sollicité par la défense.
  19. Les observations au PV sont systématiquement annexées.
  20. Le contrôle du parquet encadre toute la mesure.
  21. Le JLD veille au respect des libertés en cas de détention.
  22. Les incohérences horaires sont relevées et contestées.
  23. Les déclarations initiales sans avocat peuvent être écartées.
  24. La fin de la GAV donne lieu à un récapitulatif des droits exercés.
  25. La stratégie contentieuse s’appuie sur la traçabilité complète.

IV. Audition libre du mineur

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. L’audition libre n’exclut jamais les garanties fondamentales.
  2. Le statut de suspect libre doit être clairement expliqué.
  3. Les parents sont informés avant le recueil des propos.
  4. L’avocat peut assister même hors garde à vue.
  5. Le mineur peut mettre fin à l’audition à tout moment.
  6. Les droits au silence et à l’avocat sont rappelés d’emblée.
  7. Les questions doivent être simples et non suggestives.
  8. La compréhension effective du mineur est vérifiée.
  9. Les observations de l’avocat sont annexées à la procédure.
  10. La relecture et les corrections sont proposées avant signature.
  11. Un exemplaire du PV peut être consulté en fin d’acte.
  12. Les horaires d’appel au barreau sont consignés.
  13. Le report est possible pour garantir l’assistance.
  14. Les vulnérabilités particulières sont prises en compte.
  15. L’interprète est requis en cas de barrière linguistique.
  16. Le cadre de l’audition reste non coercitif et respectueux.
  17. L’éducateur PJJ peut être un relais utile pour l’enfant.
  18. Les échanges avec l’école sont strictement encadrés.
  19. Les supports numériques produits sont vérifiés en licéité.
  20. Les témoignages extérieurs sont recueillis dans les formes.
  21. La chronologie des faits est clarifiée avec l’avocat.
  22. Les contradictions apparentes sont discutées calmement.
  23. La présence d’un parent rassurant facilite l’expression.
  24. Les suites procédurales sont expliquées sans jargon.
  25. La décision finale respecte l’intérêt de l’enfant.

V. Représentants légaux & environnement familial

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. Les représentants légaux sont des acteurs clés de la défense.
  2. Le choix de l’avocat se fait en lien avec la famille.
  3. La commission d’office intervient en cas d’urgence.
  4. La langue des parents est prise en compte avec un interprète.
  5. La disponibilité familiale influence la stratégie temporelle.
  6. L’accompagnement parental rassure le mineur entendu.
  7. Les difficultés sociales sont intégrées au dossier.
  8. La scolarité et les enseignants apportent des repères.
  9. L’éducateur référent relaye les besoins du jeune.
  10. L’ASE peut signaler des protections nécessaires.
  11. La confidentialité des échanges protège l’intimité familiale.
  12. Les parents reçoivent des conseils procéduraux concrets.
  13. Les attestations familiales sont recueillies dans les formes.
  14. La préparation au récit évite les approximations.
  15. Les horaires d’actes sont coordonnées avec la famille.
  16. L’adaptation au handicap cognitif est anticipée.
  17. Les émotions du jeune sont encadrées par l’avocat.
  18. La communication interne reste sobre et factuelle.
  19. Les autorisations écrites sont conservées au dossier.
  20. Les documents d’identité sont présentés sans délai.
  21. Les déplacements au commissariat sont organisés.
  22. La reprise scolaire est soutenue après l’audition.
  23. La prévention des réseaux sociaux est expliquée aux parents.
  24. Le calendrier des suites est partagé en toute transparence.
  25. La famille est associée au suivi éducatif.

VI. Avocat pénal des mineurs

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. L’avocat pénaliste guide le mineur à chaque étape.
  2. La disponibilité 24h/24 est un atout en cas d’urgence.
  3. L’intervention au commissariat sécurise la procédure.
  4. L’audit des PV détecte les vices exploitables.
  5. Les nullités sont soulevées in limine litis.
  6. La plaidoirie s’appuie sur des pièces vérifiées.
  7. L’avocat coordonne PJJ, ASE et famille.
  8. La médiation pénale peut être négociée utilement.
  9. La composition pénale éducative est parfois indiquée.
  10. Les conclusions écrites structurent les moyens.
  11. Le cabinet informe sur les droits sans jargon.
  12. Le secret professionnel protège les confidences.
  13. Les honoraires sont expliqués avec clarté.
  14. L’aide juridictionnelle peut être sollicitée.
  15. Les comptes rendus d’audience sont remis rapidement.
  16. La veille juridique alimente la stratégie.
  17. Le réseau d’experts complète la défense.
  18. Les interprètes assermentés sont mobilisés.
  19. Les déplacements de nuit sont organisés.
  20. La relation de confiance est prioritaire.
  21. Les familles disposent d’une hotline de contact.
  22. Les rendez-vous sont adaptés aux contraintes scolaires.
  23. Les modèles de courriers facilitent les démarches.
  24. Les délais sont suivis sur un calendrier partagé.
  25. La stratégie s’ajuste aux évolutions du dossier.

VII. Textes CJPM & CPP (ciblage articles)

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. Le CJPM L.412-1 organise l’information des parents.
  2. Le CJPM L.412-2 prévoit la commission d’office sans délai.
  3. Le CJPM L.413-9 impose l’assistance en GAV.
  4. Le CPP 61-1 encadre l’audition libre du suspect.
  5. Le CPP 63-1 liste les notifications de la GAV.
  6. Le CPP 63-3-1 exige la présence préalable de l’avocat.
  7. Le CPP 63-4-1 autorise la consultation de pièces utiles.
  8. Le CPP 63-4-2 précise les droits complémentaires de défense.
  9. Le CPP 706-113 adapte la procédure au mineur.
  10. L’article 171 CPP fonde l’exception de nullité.
  11. Les délais de prescription sont vérifiés au cas par cas.
  12. Les voies de recours assurent un contrôle effectif.
  13. Les actes irréguliers peuvent être écartés des débats.
  14. La motivation spéciale accompagne les mesures privatives.
  15. La proportionnalité s’évalue au regard de l’âge.
  16. Les confrontations suivent un protocole loyal.
  17. Les scellés sont conservés avec une chaîne fiable.
  18. Les perquisitions respectent les autorisations légales.
  19. Les saisies numériques obéissent à un cadre formel.
  20. Les enregistrements sont archivés selon les règles.
  21. Les expertises psychologiques sont ordonnées si utile.
  22. Les notifications sont signées et horodatées.
  23. Les mentions au PV conditionnent la validité de l’acte.
  24. Les circulaires ne dérogent jamais au texte.
  25. La CEDH oriente l’interprétation de ces dispositions.

VIII. CEDH & jurisprudence

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. L’arrêt Salduz consacre l’avocat dès les premiers interrogatoires.
  2. L’équité de la procédure est appréciée globalement.
  3. Les déclarations sans avocat peuvent être exclues.
  4. La Cour de cassation aligne sa jurisprudence sur la CEDH.
  5. La décision du 16 octobre 2019 illustre la nullité d’une audition.
  6. Les standards européens renforcent la protection des mineurs.
  7. La motivation des juges doit être concrète et précise.
  8. Les irrégularités initiales contaminent les actes suivants.
  9. La défense invoque l’article 6 de la Convention.
  10. Les juridictions internes contrôlent la loyauté des preuves.
  11. Les enregistrements audiovisuels sécurisent l’analyse.
  12. La renonciation aux droits doit être claire et éclairée.
  13. La vulnérabilité du mineur pèse dans l’appréciation.
  14. Les décisions de principe structurent la pratique.
  15. Les comparaisons européennes enrichissent l’argumentaire.
  16. Les droits conventionnels s’appliquent sans réserve d’âge.
  17. La présence de l’avocat n’est pas une simple formalité.
  18. Les juges sanctionnent les pressions psychologiques.
  19. Les délais excessifs entament l’équité globale.
  20. La contradiction doit être respectée à chaque étape.
  21. Les nullités réparent les atteintes aux garanties.
  22. Les mesures éducatives restent compatibles avec la CEDH.
  23. Les arrêts récents confirment la tendance protectrice.
  24. La doctrine commente et éclaire la portée des jugements.
  25. Les plaidoiries s’appuient sur un corpus solide.

IX. Police, OPJ & pratiques d’enquête

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. Les OPJ sont formés aux spécificités de la minorité.
  2. L’accueil en commissariat tient compte de l’âge.
  3. Les convocations précisent le statut procédural.
  4. Les salles d’audition adaptées protègent l’enfant.
  5. Les registres consignent les appels au barreau.
  6. La charte des droits du mineur est affichée clairement.
  7. Les fouilles sont limitées et motivées.
  8. Les saisies numériques sont inventoriées sous scellés.
  9. Les confrontations sont planifiées en présence du conseil.
  10. Les transports se déroulent en sécurité et discrétion.
  11. Les témoins sont entendus dans un cadre loyal.
  12. Les rapporteurs synthétisent sans biais les éléments.
  13. Les horaires d’actes sont cohérents avec les plannings.
  14. Les questions évitent toute suggestion ou pression.
  15. Les pauses sont accordées à la demande de l’avocat.
  16. Les agents consignent les protestations de la défense.
  17. Les main-courantes servent de vérification interne.
  18. Les enregistrements sont stockés selon les règles.
  19. Les scellés sont numérotés et inviolables.
  20. Les réquisitions s’appuient sur des indices sérieux.
  21. Les mineurs vulnérables bénéficient d’un accompagnement.
  22. Les éducateurs PJJ interviennent en appui.
  23. Les relations avec l’école sont strictement encadrées.
  24. Les délais d’audition respectent le rythme du mineur.
  25. Les retours d’expérience améliorent les pratiques.

X. Nullités & contentieux

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. L’exception de nullité se soulève in limine litis.
  2. L’absence d’avocat avant audition justifie l’annulation.
  3. Le défaut d’information des parents fragilise le PV.
  4. Les mentions lacunaires entraînent l’exclusion des propos.
  5. Les pressions et questions suggestives sont proscrites.
  6. Les incohérences horaires font naître un doute sérieux.
  7. Les saisies irrégulières sont écartées du débat.
  8. Les enregistrements manquants affaiblissent l’accusation.
  9. La chaîne de conservation doit rester intacte.
  10. Les droits conventionnels servent d’assise principale.
  11. Les conclusions écrites structurent les griefs.
  12. Les pièces annexes étayent les moyens de défense.
  13. Les décisions de principe renforcent la demande.
  14. L’argument de proportionnalité complète la stratégie.
  15. Les mesures éducatives substitutives peuvent être proposées.
  16. Les auditions ultérieures ne purgent pas l’irrégularité initiale.
  17. Les voies de recours réparent les erreurs d’appréciation.
  18. La publicité de l’audience est modulée pour les mineurs.
  19. Les identités sont protégées de toute divulgation.
  20. Le ministère public répond point par point aux moyens.
  21. Le juge motive ses décisions sur chaque demande.
  22. Les délais de procédure sont surveillés attentivement.
  23. La jurisprudence récente oriente la plaidoirie.
  24. Les nullités servent la loyauté du procès.
  25. La relaxe peut suivre l’exclusion de pièces décisives.

XI. Preuves & enregistrements

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. La preuve doit être licite et loyale.
  2. Les enregistrements audiovisuels sécurisent le dossier.
  3. Les métadonnées et horodatages sont vérifiés.
  4. Les logs d’appels et de barreau apportent la traçabilité.
  5. Les scellés numériques sont intégrés et numérotés.
  6. Les copies forensiques préservent l’intégrité des données.
  7. Les captures d’écran sont datées et expliquées.
  8. Les messages réseaux sociaux sont contextualisés.
  9. Les témoignages sont recueillis sans pression.
  10. Les contradictions apparentes sont discutées techniquement.
  11. Les expertises informatiques éclairent les usages réels.
  12. La conservation des pièces suit un protocole strict.
  13. Les pièces confidentielles sont occultées publiquement.
  14. Les demandes de retrait de contenu sont tracées.
  15. Les éléments médicaux sont annexés si pertinents.
  16. Les plans des lieux peuvent aider la compréhension.
  17. Les chronologies visuelles réduisent les confusions.
  18. Les versions successives des déclarations sont comparées.
  19. Les renvois aux textes légaux sont précis et sourcés.
  20. Les index probatoires facilitent la lecture du dossier.
  21. Les annexes sont numérotées et paginées.
  22. Les pièces illicites sont écartées sans délai.
  23. Les duplicatas sont certifiés conformes si nécessaire.
  24. La défense conserve ses propres copies sécurisées.
  25. L’audience se fonde sur un dossier clair et ordonné.

XII. Psychologie, pédagogie & minorité

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. L’audition d’un mineur exige un langage simple.
  2. La suggestibilité de l’adolescent impose prudence et pauses.
  3. La gestion du stress passe par l’accompagnement de l’avocat.
  4. Les émotions influencent la qualité des réponses.
  5. Les traumatismes sont pris en compte dans l’échange.
  6. Les schémas et exemples concrets facilitent la compréhension.
  7. La reformulation vérifie la bonne assimilation des droits.
  8. L’enfant ne doit jamais être humilié ou stigmatisé.
  9. Les pauses régulières aident à maintenir l’attention.
  10. Les troubles cognitifs imposent des adaptations.
  11. La présence d’un adulte rassurant sécurise l’acte.
  12. Les objectifs éducatifs sont clairement présentés.
  13. Les engagements réalistes soutiennent la prévention.
  14. La cohérence temporelle du récit est travaillée.
  15. Les contradictions sont abordées avec bienveillance.
  16. Les supports visuels valorisent la pédagogie juridique.
  17. Les explications évitent le jargon inutile.
  18. Les retours immédiats renforcent la compréhension.
  19. Le mineur est acteur de sa propre défense.
  20. Le secret professionnel assure un espace de confiance.
  21. Les risques de mimétisme sont identifiés par l’avocat.
  22. Les échanges restent calmes et respectueux.
  23. Le suivi psychologique peut être proposé si besoin.
  24. La prévention des réseaux sociaux est discutée.
  25. La sortie d’audience s’accompagne d’un débrief clair.

XIII. ASE, PJJ & écosystème éducatif

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. L’ASE intervient lorsque la protection l’exige.
  2. La PJJ accompagne le jeune dans le parcours judiciaire.
  3. L’éducateur référent participe aux réunions clés.
  4. L’école demeure un partenaire essentiel.
  5. Les absences scolaires sont traitées avec nuance.
  6. Les médiations scolaires désamorcent certains conflits.
  7. Les stages de citoyenneté renforcent la prévention.
  8. Les réunions pluridisciplinaires coordonnent les efforts.
  9. Les échanges d’informations sont strictement encadrés.
  10. Les autorisations parentales sont conservées.
  11. Les mesures de placement sont proportionnées.
  12. Les rapports éducatifs éclairent la décision du juge.
  13. Les activités sportives soutiennent l’insertion.
  14. Les associations locales proposent des relais.
  15. Les cellules de crise gèrent les situations sensibles.
  16. Les dispositifs municipaux complètent l’action éducative.
  17. Les missions locales accompagnent l’orientation.
  18. Les psychologues scolaires apportent un soutien ciblé.
  19. Les médiateurs de quartier facilitent les retours au calme.
  20. Les contrats d’objectifs motivent le jeune.
  21. Les suivis trimestriels mesurent les progrès.
  22. Les mentors et bénévoles offrent un cadre positif.
  23. Les partenariats long terme sécurisent les parcours.
  24. Les comptes rendus sont partagés avec prudence.
  25. L’amélioration continue demeure la règle.

XIV. Infractions fréquentes chez les mineurs

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. Les vols en réunion appellent une réponse éducative.
  2. Les dégradations scolaires doivent être contextualisées.
  3. Les violences légères se traitent avec prudence.
  4. Le cyberharcèlement nécessite un accompagnement numérique.
  5. L’injure en ligne appelle des preuves horodatées.
  6. L’accès frauduleux à un système doit être caractérisé.
  7. Les partages d’images intimes sont gravement sanctionnés.
  8. Les usages de stupéfiants imposent une orientation santé.
  9. Les reventes de proximité sont strictement encadrées.
  10. Les port d’armes prohibés sont rappelés à la loi.
  11. Les outrages doivent être replacés dans le contexte.
  12. Les conduites sans permis sont abordées avec pédagogie.
  13. Les incendies volontaires relèvent d’un traitement ferme.
  14. Les tags et graff peuvent donner lieu à réparation.
  15. Les escroqueries numériques exigent une expertise IT.
  16. Les usurpations d’identité se prouvent techniquement.
  17. Les fraudes de transport sont régularisées avec dialogue.
  18. Les attroupements perturbateurs appellent la prévention.
  19. Les menaces en ligne sont documentées et signalées.
  20. Les diffamations exigent une qualification précise.
  21. Les recels s’analysent selon la connaissance du risque.
  22. Les vols de vélos sont fréquents et prouvés par images.
  23. Les fuites en scooter doivent être contextualisées.
  24. Les paris en ligne sont interdits aux mineurs.
  25. Les reventes contrefaites exposent à des poursuites.

XV. Numérique & cyber-aspects

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. Les saisies de téléphones suivent un protocole légal.
  2. L’accès au cloud nécessite une base juridique claire.
  3. Les données WhatsApp sont extraites sous contrôle.
  4. Les messages Instagram exigent un horodatage précis.
  5. Les captures Snapchat demandent prudence et contexte.
  6. La géolocalisation est strictement encadrée.
  7. Les adresses IP ne suffisent pas toujours à identifier l’auteur.
  8. Les proxies et VPN brouillent parfois l’analyse.
  9. Les métadonnées d’images révèlent des indices utiles.
  10. Les historiques de positions doivent être corroborés.
  11. Les codes d’accès sont demandés dans le respect des droits.
  12. Les plateformes répondent aux réquisitions judiciaires.
  13. Les preuves numériques exigent une chaîne de custody.
  14. Les copies forensiques assurent l’intégrité des fichiers.
  15. Les témoignages en ligne sont authentifiés avec prudence.
  16. Les chartes numérique scolaires posent des repères.
  17. Les paramètres de confidentialité sont revus avec les parents.
  18. Les demandes de retrait de contenus sont tracées.
  19. Les faux profils nécessitent des vérifications croisées.
  20. Les jeux en ligne peuvent générer des contentieux.
  21. Les sextorsions exigent une prise en charge immédiate.
  22. Les e-réputations se protègent par des actions rapides.
  23. Les preuves cloud doivent rester accessibles à l’audience.
  24. Les bases légales RGPD sont respectées pour les mineurs.
  25. Les rapports IT complètent utilement la plaidoirie.

XVI. Violence scolaire & environnement

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. Les bagarres filmées doivent être replacées dans le contexte.
  2. Les humiliations en ligne justifient des mesures rapides.
  3. Les chantages suivent un protocole de preuve strict.
  4. Les intrusions dans l’établissement sont fermement traitées.
  5. Les rackets nécessitent des témoignages précis.
  6. Les menaces aux personnels appellent une protection renforcée.
  7. Les dégradations de matériel sont réparées pédagogiquement.
  8. Les plans de prévention limitent la récidive.
  9. Les cellules harcèlement coordonnent la réponse.
  10. Les médiations entre élèves apaisent les tensions.
  11. Les enregistrements vidéo doivent être licites.
  12. Les interdictions de contact protègent les victimes.
  13. Les accompagnements psychologiques aident la résilience.
  14. Les QRT scolaires réagissent avec mesure.
  15. Les ateliers de citoyenneté valorisent les comportements.
  16. Les témoignages enseignants sont structurés au dossier.
  17. Les relations familles-école sont clarifiées.
  18. Les sanctions disciplinaires sont proportionnées.
  19. Les réparations symboliques responsabilisent les auteurs.
  20. Les réunions de suivi consolident la paix scolaire.
  21. Les réseaux sociaux sont surveillés avec pédagogie.
  22. Les dispositifs municipaux soutiennent les équipes.
  23. Les retours en classe sont préparés en amont.
  24. Les évaluations post-incident mesurent l’efficacité.
  25. Les bonnes pratiques sont diffusées largement.

XVII. Stupéfiants & conduites à risque

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. Les usages expérimentaux appellent une réponse de santé.
  2. Les détentions minimes sont contextualisées médicalement.
  3. Les reventes locales sont traitées avec fermeté éducative.
  4. Les dépistages suivent des règles précises.
  5. Les examens médicaux protègent la santé du jeune.
  6. Les saisies d’espèces sont justifiées et tracées.
  7. Les messages codés sont interprétés avec prudence.
  8. Les expertises confirment ou infirment les soupçons.
  9. Les orientations CJC soutiennent la prévention.
  10. Les mélanges alcool-médicaments sont expliqués aux familles.
  11. Les réseaux sociaux de vente sont surveillés légalement.
  12. Les scooters et trottinettes impliquent la sécurité routière.
  13. Les délit de fuite sont replacés dans le contexte.
  14. Les travaux d’intérêt éducatif responsabilisent.
  15. Les stages de prévention complètent la réponse pénale.
  16. Les récidives sont traitées par un suivi renforcé.
  17. Les perquisitions domiciliaires respectent les formes.
  18. Les cash et balances sont listés sous scellés.
  19. Les analyses toxicologiques sont croisées.
  20. Les témoins confirment les pratiques réelles.
  21. Les alternatives aux poursuites sont discutées.
  22. Les peines éducatives sont individualisées.
  23. Les réparations symboliques réparent la communauté.
  24. Les évaluations régulières mesurent les progrès.
  25. Les familles sont associées à la prévention durable.

XVIII. Stratégie, communication & presse

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. La communication protège l’anonymat du mineur.
  2. Le floutage et l’occultation sont systématiques.
  3. Les communiqués d’avocat sont sobres et factuels.
  4. Les Q&A anticipent les questions sensibles.
  5. La coordination avec le parquet évite les maladresses.
  6. La présomption d’innocence est rappelée clairement.
  7. Les messages aux familles rassurent sans promettre.
  8. Les réseaux sociaux nécessitent une veille constante.
  9. Les demandes de retrait sont documentées.
  10. Le porte-parole unique assure la cohérence.
  11. Le ton apaisé favorise la compréhension.
  12. La pédagogie explique le cadre juridique.
  13. Les rumeurs sont traitées sans amplifier.
  14. Les journalistes reçoivent des éléments vérifiables.
  15. Les droits de réponse sont exercés à bon escient.
  16. Les contenus illicites sont signalés sans délai.
  17. Les preuves de retrait sont conservées.
  18. Les familles sont accompagnées en media-training.
  19. Les crises sont clôturées par un bilan mesuré.
  20. Les retours d’expérience améliorent les procédures.
  21. Les partenaires scolaires sont associés prudemment.
  22. Les communautés en ligne sont modérées.
  23. Les chartes internes clarifient les obligations.
  24. Les priorités restent juridiques et éducatives.
  25. La réputation du mineur est protégée à long terme.

XIX. Paris & territorialité

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. À Paris, l’avocat pénaliste intervient rapidement en commissariat.
  2. Les brigades des mineurs parisiennes sont spécialement formées.
  3. Le parquet de Paris traite les dossiers de mineurs avec priorité.
  4. Le tribunal pour enfants de Paris assure une audience adaptée.
  5. Les distances réduites facilitent l’arrivée du conseil.
  6. Les astreintes nocturnes permettent une réponse immédiate.
  7. Les réseaux éducatifs parisiens soutiennent les familles.
  8. Les hôpitaux pédiatriques offrent un relais médical.
  9. Les maisons des ados accueillent la parole du jeune.
  10. Les médiateurs scolaires parisiens sont mobilisés.
  11. Les missions locales accompagnent l’insertion.
  12. Les transports facilitent les comparutions rapides.
  13. Les interprètes assermentés sont disponibles.
  14. Les associations de quartier participent à la prévention.
  15. Les structures culturelles offrent des alternatives positives.
  16. Les cellules municipales gèrent les situations sensibles.
  17. Les éducateurs de rue complètent le maillage.
  18. Les écoles parisiennes coopèrent avec prudence.
  19. Les procédures RATP sont connues des praticiens.
  20. Les commissariats parisiens coordonnent les convocations.
  21. Le bâtonnier de Paris organise les permanences mineurs.
  22. Les AJ sont traitées efficacement par le barreau.
  23. Les audiences sont programmées avec réactivité.
  24. Les délais de traitement restent maîtrisés.
  25. La défense du mineur bénéficie d’un réseau dense.

XX. Cabinet ACI — services & offres

(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

  1. Le Cabinet ACI assiste les mineurs à chaque étape.
  2. Une intervention 24h/24 est possible en urgence.
  3. Les auditions libres sont préparées avec rigueur.
  4. Les GAV sont encadrées par une présence effective.
  5. Les nullités sont identifiées et plaidées méthodiquement.
  6. Les familles reçoivent des conseils clairs et utiles.
  7. Les stratégies privilégient l’intérêt du jeune.
  8. Les relations avec PJJ et ASE sont coordonnées.
  9. Les alternatives aux poursuites sont négociées.
  10. Les audiences au tribunal pour enfants sont maîtrisées.
  11. Les conclusions sont rédigées avec références exactes.
  12. Les comptes rendus sont transmis rapidement.
  13. Les honoraires sont transparents et prévisibles.
  14. L’aide juridictionnelle est étudiée systématiquement.
  15. Les rendez-vous s’adaptent aux contraintes scolaires.
  16. Les modèles de courriers accélèrent les démarches.
  17. Les check-lists facilitent la préparation.
  18. La veille juridique dédiée alimente les dossiers.
  19. Les experts IT et psychologues complètent la défense.
  20. La confidentialité est garantie sans concession.
  21. Les retours d’expérience améliorent les pratiques.
  22. Les formations internes entretiennent l’excellence.
  23. Les outils numériques sécurisent les échanges.
  24. Le suivi post-audience soutient le parcours du jeune.
  25. Le Cabinet ACI demeure un interlocuteur engagé et fiable.
Ainsi
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

à partir de là,

Ainsi,

Alors que,

Alors,

Après cela,

Après que,

Aussi,

bien que,

car,

Cependant,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

c’est ainsi que,

c’est pour cela que,

par ailleurs,

c’est pourquoi,

Considérons,

Contraste,

D’autant plus,

d’après,

de ce fait,

de façon,

manière que,

De la même manière,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

De même,

enfin,

de nouveau

de plus,

en dernier lieu,

De plus,

de sorte que,

deuxièmement,

Donc,

en ce qui concerne,

En conclusion,

par ailleurs,

En conséquence,

En dernier lieu,

dommage encore,

En fait,

puis,

En outre,

finalement,

en particulier,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

En premier lieu,

finalement,

En revanche,

En somme,

encore une fois,

Enfin,

ensuite,

étant donné que,

Finalement,

grâce à,

il est question de,

de même,

Il s’agit de,

il y a aussi,

Mais,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs ,

Par conséquent,

et aussi,

Par contre,

par exemple,

évidemment,

Par la suite,

par rapport à,

parce que,

plus précisément,

plus tard,

Pour commencer,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

touchant à,

Tout d’abord,

Toutefois,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

troisièmement

et ensuite,

Une fois de plus,

et puis,

et aussi,

à cause de cela,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

à cause de,

ainsi,

à nouveau,

à partir de là,

Ainsi,

Alors que,

Alors,

Après cela,

Après que,

Aussi,

bien que,

car,

Cependant,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

c’est ainsi que,

c’est pour cela que,

par ailleurs,

c’est pourquoi,

Considérons,

Contraste,

D’autant plus,

d’après,

de ce fait,

de façon,

manière que,

De la même manière,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

De même,

enfin,

de nouveau

de plus,

en dernier lieu,

De plus,

de sorte que,

deuxièmement,

Donc,

en ce qui concerne,

En conclusion,

par ailleurs,

En conséquence,

En dernier lieu,

dommage encore,

En fait,

puis,

En outre,

finalement,

en particulier,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

En premier lieu,

finalement,

En revanche,

En somme,

encore une fois,

Enfin,

ensuite,

étant donné que,

Finalement,

grâce à,

il est question de,

de même,

Il s’agit de,

il y a aussi,

Mais,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs ,

Par conséquent,

et aussi,

Par contre,

par exemple,

évidemment,

Par la suite,

par rapport à,

parce que,

plus précisément,

plus tard,

Pour commencer,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

touchant à,

Tout d’abord,

Toutefois,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

troisièmement

et ensuite,

Une fois de plus,

et puis,

et aussi,

à cause de cela,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

à cause de,

ainsi,

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Ainsi,

Alors que,

Alors,

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Après que,

Aussi,

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(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

c’est ainsi que,

c’est pour cela que,

par ailleurs,

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Considérons,

Contraste,

D’autant plus,

d’après,

de ce fait,

de façon,

manière que,

De la même manière,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

De même,

enfin,

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de plus,

en dernier lieu,

De plus,

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deuxièmement,

Donc,

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En dernier lieu,

dommage encore,

En fait,

puis,

En outre,

finalement,

en particulier,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

En premier lieu,

finalement,

En revanche,

En somme,

encore une fois,

Enfin,

ensuite,

étant donné que,

Finalement,

grâce à,

il est question de,

de même,

Il s’agit de,

il y a aussi,

Mais,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs ,

Par conséquent,

et aussi,

Par contre,

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évidemment,

Par la suite,

par rapport à,

parce que,

plus précisément,

plus tard,

Pour commencer,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

touchant à,

Tout d’abord,

Toutefois,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

troisièmement

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Une fois de plus,

et puis,

et aussi,

à cause de cela,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

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Ainsi,

Alors que,

Alors,

Après cela,

Après que,

Aussi,

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car,

Cependant,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

c’est ainsi que,

c’est pour cela que,

par ailleurs,

c’est pourquoi,

Considérons,

Contraste,

D’autant plus,

d’après,

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De la même manière,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

De même,

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deuxièmement,

Donc,

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En conclusion,

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En dernier lieu,

dommage encore,

En fait,

puis,

En outre,

finalement,

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(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

En premier lieu,

finalement,

En revanche,

En somme,

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Enfin,

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Finalement,

grâce à,

il est question de,

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Il s’agit de,

il y a aussi,

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(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs ,

Par conséquent,

et aussi,

Par contre,

par exemple,

évidemment,

Par la suite,

par rapport à,

parce que,

plus précisément,

plus tard,

Pour commencer,
(Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

touchant à,

Tout d’abord,

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Une fois de plus,

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Ainsi,

Alors que,

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Après cela,

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Mais,
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Malgré cela,

Malgré tout,

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Premièrement,

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Mais,
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Malgré cela,

Malgré tout,

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Malgré cela,

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Premièrement,

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Tout d’abord,

 pénaliste

du cabinet Aci

assurera efficacement votre défense.

Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone, ou

bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation : auteur, co-auteur, complice, receleur ou

victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase

d’enquête (garde à vue) ; d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la

chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration

pénitentiaire par exemple).

Les domaines d’intervention du cabinet Aci

Cabinet d’avocats pénalistes parisiens 

D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo

75 003  PARIS

Puis, Tél. 01 42 71 51 05

Ensuite, Fax 01 42 71 66 80

Engagement, E-mail : contact@cabinetaci.com

Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste (Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

En somme, Droit pénal (Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Tout d’abord, pénal général (Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal (Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Puis, pénal des affaires (Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Aussi, Droit pénal fiscal (Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme (Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

De même, Le droit pénal douanier (Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

En outre, Droit pénal de la presse (Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

                 Et ensuite (Violences entre mineurs : approches judiciaires et sociales)

Donc, pénal routier infractions

Outre cela, Droit pénal du travail

Malgré tout, Droit pénal de l’environnement

Cependant, pénal de la famille

En outre, Droit pénal des mineurs

Ainsi, Droit pénal de l’informatique

En fait, pénal international

Tandis que, Droit pénal des sociétés

Néanmoins, Le droit pénal de la consommation

Toutefois, Lexique de droit pénal

Alors, Principales infractions en droit pénal

Puis, Procédure pénale

Pourtant, Notions de criminologie