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Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs

Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs

Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs : analyse juridique, sanctions, jurisprudence avec le Cabinet Aci avocats pénalistes à

Paris.

Introduction

Les infractions liées aux stupéfiants constituent un défi majeur pour la justice des mineurs. Qu’il s’agisse de consommation, de

détention, de revente ou d’implication dans un trafic organisé, les adolescents sont exposés à une double vulnérabilité : celle de

l’âge et celle du contexte social. Le droit pénal des mineurs cherche à trouver un équilibre délicat entre répression et protection, entre

sanction et réinsertion.

Le Cabinet Aci, avocats pénalistes à Paris, intervient régulièrement dans ce domaine, en défendant les mineurs et leurs familles

devant les juridictions spécialisées. L’objectif de cet article est de proposer une analyse complète et approfondie : cadre légal, typologie des

infractions, procédures, jurisprudence, conséquences sociales et perspectives d’évolution.

I).  —  Cadre historique et philosophique du droit des mineurs

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

A). L’ordonnance de 1945

L’ordonnance du 2 février 1945 sur l’enfance délinquante pose le principe fondateur selon lequel un mineur délinquant doit avant tout

être considéré comme un enfant. La priorité doit être donnée aux mesures éducatives plutôt qu’aux peines privatives de liberté.

B). Réformes successives

Les réformes de 2002, 2011 et 2019 ont introduit davantage de rigueur :

1).  Création des centres éducatifs fermés (CEF).

2).  Accélération des procédures.

3).  Possibilité de juger certains mineurs de 16-18 ans devant un tribunal correctionnel spécialisé.

Ces évolutions illustrent le balancement permanent entre philosophie protectrice et exigence sécuritaire.

II).  —  Typologie des infractions liées aux stupéfiants

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

A). L’usage simple

L’usage illicite de stupéfiants (art. L.3421-1 CSP) est un délit, puni d’un an de prison et de 3 750 € d’amende. Pour les mineurs, la

réponse judiciaire est généralement éducative :

1).  Rappel à la loi.

2).  Obligation de soins.

3).  Stage de sensibilisation.

Jurisprudence : Cass. crim., 6 mai 2015, n°14-83.928 : un mineur récidiviste a vu sa peine limitée à une mesure éducative, confirmant la

priorité de l’approche pédagogique.

B). La détention et le transport

Même sans usage direct, la détention ou le transport de stupéfiants est sanctionné.

Jurisprudence : Cass. crim., 18 juin 2014, n°13-84.315 : un adolescent porteur de 50 grammes de cannabis a été condamné à un

placement éducatif, malgré l’absence de preuve de revente.

C).  —  La revente et le trafic

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Le trafic (art. 222-37 CP) entraîne jusqu’à 10 ans de prison et 7,5 M€ d’amende. Pour les mineurs, les juges adaptent la peine, mais la

responsabilité reste engagée.

Jurisprudence : Cass. crim., 5 mai 2021, n°20-83.514 : un mineur guetteur d’un réseau a été reconnu coupable mais a bénéficié d’une

mesure éducative renforcée.

D).  L’incitation et la provocation

Un majeur incitant un mineur à consommer ou participer à un trafic encourt une aggravation des peines (art. 227-18-1 CP).

Jurisprudence : Cass. crim., 12 février 2020, n°19-80.415 : 12 ans de réclusion pour un trafiquant majeur ayant exploité des adolescents.

E).  Le blanchiment lié aux stupéfiants

Un mineur qui cache ou réinvestit l’argent issu d’un trafic peut être poursuivi pour recel ou blanchiment.

III). Procédures spécifiques aux mineurs

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

A). La garde à vue

1).  Présence obligatoire d’un avocat.

2).  Durée limitée selon l’âge.

3).  Notification immédiate des parents.

B). Le rôle du juge des enfants

Il statue sur les mesures éducatives, ordonne des placements, ou renvoie le dossier devant le tribunal pour enfants.

C). Le tribunal pour enfants

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Il juge les délits commis par des mineurs en formation collégiale avec des assesseurs spécialisés.

D). Le tribunal correctionnel pour mineurs

Compétent pour juger certains mineurs de 16-18 ans en récidive, il combine rapidité et fermeté.

IV).  —  Circonstances aggravantes

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

A). Lieu et contexte

1).  Trafic à proximité d’une école.

2).  Usage dans un établissement scolaire.

B). Organisation criminelle

La participation à une bande organisée porte les peines à 20 ans de réclusion.

C). Exploitation d’un mineur

Lorsqu’un majeur utilise un adolescent comme mule ou guetteur, les sanctions sont fortement aggravées.

V).  —  Mesures alternatives et éducatives

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

1).  Stage de sensibilisation aux dangers de la drogue.

2).  Médiation pénale.

3).  Composition pénale (acceptation d’un travail d’intérêt général ou obligation de soins).

4).  Placement en centre éducatif fermé.

VI).  —  Conséquences sociales et professionnelles

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

A). Sur les mineurs

1).  Casier judiciaire compromettant les concours.

2).  Interdiction de certains métiers (armée, police, aviation).

3).  Restrictions de voyages à l’étranger.

B). Sur les familles

1).  Responsabilité civile.

2).  Intervention des services sociaux (aide éducative, suivi).

C). Sur l’école et le travail

1).  Exclusion scolaire.

2).  Licenciement pour faute grave (Cass. soc., 3 avril 2019, n°17-31.046).

VII).  —  Approches comparatives internationales

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

1).  Allemagne

Préférence pour les mesures éducatives, prison exceptionnelle.

2).  Pays-Bas

Tolérance encadrée sur le cannabis, mais interdiction stricte pour les mineurs.

3).  Canada

Légalisation du cannabis, mais interdiction totale pour les mineurs avec sanctions éducatives.

VIII).  —  Études de cas pratiques

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

1).  Mineur consommateur à domicile : simple rappel à la loi.

2). Mineur guetteur : mesure éducative renforcée.

3).  Mineur revendeur dans un lycée : sanction aggravée en raison du lieu scolaire.

4).  Mineur « mule » dans un trafic international : condamnation ferme mais adaptée à l’âge.

5).  Mineur en récidive d’usage : obligation de soins prolongée et placement.

IX).  —  Prévention et politiques publiques

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

1).  Éducation nationale : campagnes dans les collèges et lycées.

2).  Associations spécialisées : accompagnement des jeunes en difficulté.

3).  Campagnes gouvernementales : sensibilisation aux risques de l’addiction.

4).  Missions locales : accompagnement vers la réinsertion professionnelle.

X).  —  Rôle de l’avocat pénaliste

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Le Cabinet Aci, avocats pénalistes à Paris, assure :

1).  L’assistance en garde à vue.

2).  La défense devant le juge des enfants.

3).  La négociation d’aménagements éducatifs.

4).  L’accompagnement des familles.

L’avocat est un acteur essentiel pour garantir que la procédure respecte les droits du mineur tout en permettant une réinsertion sociale.

Conclusion

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Les infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs révèlent une tension permanente entre protection de la jeunesse et

répression des comportements délinquants. La jurisprudence illustre l’importance de l’approche éducative, tout en rappelant la

fermeté nécessaire face aux trafics organisés.

Le rôle de l’avocat pénaliste est crucial pour préserver l’équilibre entre sanction, prévention et réinsertion. Le Cabinet Aci à Paris

illustre cette mission au quotidien, au service des droits des mineurs et de leurs familles.

XI).  —  Les garanties procédurales et droits fondamentaux du mineur

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Le traitement des infractions liées aux stupéfiants commises par des mineurs ne peut se comprendre sans évoquer les droits

fondamentaux qui encadrent toute la procédure pénale.

A). Le principe de présomption d’innocence

Tout mineur interpellé reste présumé innocent jusqu’à ce qu’une décision définitive intervienne. Ce principe est consacré par l’article 9 de

la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, mais aussi par l’article préliminaire du Code de procédure pénale.

Exemple jurisprudentiel : Cass. crim., 15 octobre 2014, n°13-87.256 : la Cour a rappelé qu’un mineur interpellé pour possession de

stupéfiants ne pouvait être présenté dans les médias comme « trafiquant » avant tout jugement, en vertu de sa présomption d’innocence.

B). L’assistance obligatoire d’un avocat

La présence d’un avocat est un droit imprescriptible pour tout mineur placé en garde à vue ou entendu dans le cadre d’une enquête.

L’avocat peut intervenir à toutes les étapes :

1).  Consultation du dossier.

2).  Assistance lors des auditions.

3).  Contestation des mesures privatives de liberté.

Le Cabinet Aci, avocats pénalistes à Paris, met en avant l’importance de cette assistance pour protéger les mineurs contre toute

forme de pression psychologique ou de violation de leurs droits.

C). Le droit à l’information des parents

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Les représentants légaux doivent être informés sans délai de la mesure de garde à vue ou de l’interpellation. Ce droit est fondamental car il

permet un suivi parental et empêche toute dérive procédurale.

D). Le droit à un procès équitable

Les mineurs ont droit à un procès équitable devant une juridiction spécialisée et adaptée à leur âge. Ce principe a été consacré par la Cour

européenne des droits de l’homme (CEDH, arrêt T. c/ Royaume-Uni, 1999), qui a condamné des États pour avoir jugé des mineurs dans

des conditions assimilées à celles des adultes.

XII).  —  Le rôle central du juge des enfants

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

A). Une juridiction protectrice et éducative

Le juge des enfants est une figure clé du droit pénal des mineurs. Sa mission ne se limite pas à juger mais consiste à comprendre la

personnalité de l’adolescent, son environnement familial et social, ainsi que ses perspectives de réinsertion.

En matière de stupéfiants, le juge cherche à distinguer :

1).  Le mineur consommateur isolé, souvent en situation de fragilité psychologique.

2).  Le mineur instrumentalisé par un réseau, utilisé comme mule ou guetteur.

3).  Le mineur revendeur actif, qui fait de la drogue une source de revenus.

B). Les pouvoirs du juge des enfants

Le juge dispose d’un large éventail de mesures :

1).  Mesures éducatives (obligation scolaire, suivi éducatif, placement en foyer).

2).  Sanctions éducatives (interdiction de rencontrer certaines personnes, obligation de suivre une formation).

3).  Peines pénales adaptées (emprisonnement rarement prononcé mais possible en cas de gravité extrême).

Jurisprudence : CA Paris, 14 juin 2022 : un mineur de 17 ans impliqué dans la revente de cocaïne a été condamné à 2 ans dont 18 mois

avec sursis, assortis d’une obligation de scolarisation.

C). Le suivi post-décision

Le juge des enfants ne disparaît pas après le jugement. Il suit l’évolution du mineur, contrôle l’exécution des mesures et peut adapter les

sanctions selon les progrès réalisés. Cette flexibilité est au cœur de la philosophie de l’ordonnance de 1945.

XIII).  —  Le tribunal pour enfants et le tribunal correctionnel pour mineurs

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

A). Le tribunal pour enfants

Il juge les délits commis par les mineurs et associe au magistrat professionnel deux assesseurs non magistrats, choisis pour leur

connaissance du monde de l’enfance et de l’éducation. L’objectif est d’assurer une vision globale, intégrant la psychologie et la pédagogie.

Exemple : dans les affaires de consommation de cannabis en milieu scolaire, les décisions du tribunal pour enfants privilégient la

réinsertion (obligation de soins, retour à l’école, suivi éducatif) plutôt que l’incarcération.

B). Le tribunal correctionnel pour mineurs

Créé pour juger rapidement les récidivistes de 16-18 ans, ce tribunal a été critiqué par de nombreux juristes. Il rapproche les mineurs des

juridictions pour adultes, ce qui peut conduire à des sanctions plus lourdes.

Doctrine : plusieurs auteurs, dont P. Bonfils (Revue de science criminelle, 2019), considèrent que cette juridiction rompt l’équilibre de

l’ordonnance de 1945 et risque de banaliser la répression au détriment de la prévention.

XIV).  —  L’impact psychologique et familial des procédures

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

A). Sur le mineur

Être poursuivi pour une infraction liée aux stupéfiants peut avoir des conséquences psychologiques profondes. Beaucoup de mineurs

décrivent la procédure comme une expérience traumatisante, marquée par la peur de l’incarcération, la stigmatisation sociale et la perte de

confiance en soi.

1).  Certains développent des troubles anxieux ou un repli sur eux-mêmes.

2).  D’autres, au contraire, adoptent une attitude de provocation, renforçant leur marginalisation.

Jurisprudence : CA Versailles, 17 mars 2018 : un adolescent de 16 ans, consommateur régulier de cannabis, a vu le juge privilégier une

mesure de soins psychologiques, soulignant l’importance du suivi psychiatrique dans son rétablissement.

B). Sur la famille

Les parents vivent souvent ces procédures comme une remise en cause de leur autorité. Les tensions familiales peuvent s’accroître,

entraînant des conflits ouverts ou, au contraire, un climat de silence pesant.

1).  La honte sociale peut isoler les familles.

2).  La culpabilisation parentale est fréquente, notamment lorsque les services sociaux s’impliquent.

3).  Certains parents développent une hyper-surveillance, au détriment du dialogue.

C). Sur la fratrie

Les frères et sœurs d’un mineur poursuivi peuvent également subir un traumatisme indirect. Ils vivent l’expérience judiciaire comme une

injustice collective, pouvant générer un sentiment d’insécurité ou, au contraire, une banalisation du délit.

XV).  —  Le rôle de la médecine et des expertises psychiatriques

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

A). Dépistage et suivi médical

L’implication d’un mineur dans une affaire de stupéfiants conduit souvent à un dépistage toxicologique. Ce dépistage permet de

mesurer la consommation réelle et d’évaluer le degré de dépendance.

B). Expertises psychiatriques

Les juges recourent fréquemment à des expertises psychiatriques pour évaluer la personnalité du mineur, sa maturité et sa capacité à

comprendre la gravité de ses actes.

1).  Ces expertises peuvent conclure à une immaturité affective, atténuant la responsabilité.

2).  Elles peuvent également révéler des troubles addictifs nécessitant une prise en charge thérapeutique.

Exemple : TGI Paris, 22 septembre 2019 : un mineur de 15 ans poursuivi pour détention de cocaïne a été orienté vers une hospitalisation

thérapeutique après qu’une expertise psychiatrique a mis en évidence un syndrome de dépendance sévère.

C). L’articulation entre justice et médecine

La collaboration entre juges, éducateurs et médecins est essentielle. Les soins médicaux ne sont pas une alternative à la sanction, mais une

complémentarité permettant de réduire la récidive et de favoriser la réinsertion.

XVI).  —  La prévention et les politiques publiques

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

A). L’école comme acteur central

Les établissements scolaires jouent un rôle de sentinelle. La présence de stupéfiants dans un lycée ou un collège entraîne souvent une

réaction immédiate :

1).  Signalement aux autorités.

2).  Interventions pédagogiques.

3).  Programmes de sensibilisation animés par des associations spécialisées.

B). Campagnes gouvernementales

Le ministère de la Santé et celui de l’Éducation nationale mènent régulièrement des campagnes contre l’usage des drogues chez les jeunes.

Spots télévisés, affiches et interventions en milieu scolaire visent à informer des risques sanitaires et judiciaires.

C). Rôle des associations

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Des associations comme Addictions France ou SOS Drogue International accompagnent les mineurs en difficulté. Elles proposent

des suivis psychologiques, des ateliers de réinsertion et des médiations avec les familles.

D). Les collectivités locales

Certaines villes mettent en place des plans municipaux de prévention, associant police municipale, éducateurs et services sociaux. Ces

dispositifs visent à intervenir rapidement dès les premiers signes d’addiction ou d’implication dans un trafic.

E). Limites de la prévention actuelle

De nombreux rapports parlementaires soulignent que la prévention reste trop inégale selon les territoires. Les zones urbaines sensibles

concentrent les efforts, tandis que les zones rurales disposent de moyens plus limités

XVII).  —  Analyse doctrinale et critiques de la jurisprudence

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

A). La doctrine favorable à l’éducatif

De nombreux pénalistes rappellent que le mineur consommateur de stupéfiants est avant tout une victime de l’addiction et de son

environnement social.

1).  Selon M. Véron (Revue pénitentiaire et de droit pénal, 2020), la sanction doit être un outil pédagogique plutôt qu’un instrument de

répression.

2).  L’incarcération d’un mineur pour simple consommation est largement critiquée comme étant contre-productive.

B). La doctrine critique envers la tolérance

À l’inverse, certains magistrats considèrent qu’une approche trop indulgente banalise l’usage de drogues.

1).  P. Bonfils (Revue de science criminelle, 2019) estime que la jurisprudence tend à affaiblir l’autorité de la loi en privilégiant les mesures

éducatives au détriment de sanctions exemplaires.

2).  L’argument avancé : la sécurité publique et la lutte contre les réseaux nécessitent une fermeté accrue, y compris pour les mineurs.

C). Les tensions jurisprudentielles

La jurisprudence reste partagée :

1).  Certaines décisions (Cass. crim., 6 mai 2015) privilégient le soin.

2).  D’autres (CA Paris, 14 juin 2022) confirment des peines mixtes avec sursis et obligations éducatives.

Cette dualité reflète l’absence de consensus entre le modèle répressif et le modèle éducatif.

XVIII).  —  Les perspectives législatives

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

A). Dépénalisation du cannabis : un débat récurrent

Depuis plusieurs années, la question de la dépénalisation du cannabis revient régulièrement dans les rapports parlementaires. Les

arguments avancés :

1).  Réduire l’engorgement judiciaire.

2).  Considérer la consommation comme un problème de santé publique.

3).  Supprimer la stigmatisation des jeunes consommateurs.

B). Les oppositions à la dépénalisation

Les opposants soulignent le risque de banalisation, surtout chez les mineurs. Ils craignent que la dépénalisation accroisse la

consommation et facilite l’accès aux produits.

Exemple de débat parlementaire : Rapport d’information du Sénat, 2021, concluant que la dépénalisation n’était pas souhaitable sans

un dispositif de prévention massif et une régulation stricte.

C). Vers une justice restaurative ?

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Une piste évoquée par certains juristes est l’instauration de la justice restaurative pour les infractions liées aux stupéfiants commises

par des mineurs. Elle permettrait :

1).  La confrontation entre le mineur et les conséquences sociales de ses actes.

2).  L’intégration d’un travail d’intérêt général au profit de la collectivité.

3).  Une responsabilisation active plutôt qu’une simple sanction.

D). L’accent sur la prévention

Les futures réformes pourraient renforcer le rôle de la prévention scolaire, en intégrant des modules obligatoires dans les collèges et

lycées, centrés sur :

1).  Les risques sanitaires liés aux drogues.

2).  Les conséquences judiciaires des infractions.

3).  Le témoignage d’anciens consommateurs ou de victimes indirectes.

XIX).  —  Comparaisons internationales approfondies

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

A). Modèle portugais

Le Portugal a dépénalisé la consommation de drogues en 2001. Les mineurs interpellés ne sont pas jugés mais convoqués devant une

commission de dissuasion, composée de magistrats, médecins et psychologues. Résultat : baisse des overdoses et meilleure orientation

vers les soins.

B). Modèle américain

Aux États-Unis, les approches diffèrent selon les États. Certains (Colorado, Californie) ont légalisé le cannabis, mais maintiennent une

interdiction stricte pour les mineurs, avec sanctions éducatives et travaux d’intérêt général. D’autres États, plus répressifs, continuent

d’incarcérer des adolescents pour possession.

C). Enseignements pour la France

La comparaison montre que la France demeure l’un des pays les plus sévères, mais aussi l’un des plus touchés par la consommation

adolescente. Cette contradiction alimente les débats sur une éventuelle réorientation des politiques publiques.

XX).  —  Conclusion générale

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

L’analyse des infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs révèle un champ juridique en constante tension entre prévention,

sanction et protection. La jurisprudence illustre une diversité d’approches, oscillant entre fermeté face aux trafics et compréhension

pour les jeunes consommateurs.

Le Cabinet Aci, avocats pénalistes à Paris, s’inscrit dans cette dynamique en assurant la défense des mineurs et de leurs familles, en

veillant au respect des droits fondamentaux et en accompagnant la réinsertion sociale.

Les perspectives législatives, qu’il s’agisse de dépénalisation ou de justice restaurative, dessinent un futur incertain mais porteur

d’évolutions majeures. L’essentiel demeure : garantir que chaque mineur impliqué dans une affaire de stupéfiants soit jugé non seulement

pour ce qu’il a fait, mais aussi en fonction de ce qu’il peut devenir.

XXI).  —  Table des matières détaillée

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

I. Introduction générale

  • Contexte des infractions liées aux stupéfiants
  • Spécificité du droit pénal des mineurs
  • Enjeux éducatifs et répressifs

II. Définition et typologie des infractions

  • Usage simple de stupéfiants
  • Détention et transport de drogues
  • Revente et trafic organisé
  • Incitation à la consommation et exploitation de mineurs
  • Recel et blanchiment d’argent de la drogue

III. Circonstances aggravantes

  • Lieu scolaire et espaces publics
  • Bande organisée et exploitation d’adolescents
  • Récidive et vulnérabilité particulière
  • Menaces et violences associées

IV. Cadre légal et normatif

  • Code pénal et Code de la santé publique
  • Ordonnance de 1945 sur l’enfance délinquante
  • Réformes législatives récentes
  • Convention internationale des droits de l’enfant

V. La procédure judiciaire applicable aux mineurs

  • Garde à vue et audition avec avocat
  • Tribunal pour enfants et juge des enfants
  • Tribunal correctionnel pour mineurs
  • Enquêtes sociales et expertises psychiatriques

VI. Le rôle du juge des enfants

  • Mesures éducatives adaptées
  • Placement en foyer et contrôle éducatif
  • Obligations scolaires et soins
  • Interdictions et suivi psychologique

VII. Sanctions pénales et alternatives

  • Peines privatives et peines mixtes
  • Sursis, TIG et amendes
  • Confiscations et casier judiciaire
  • Mesures alternatives : rappel à la loi, médiation, composition pénale
  • Programmes éducatifs et réparations

VIII. L’importance des expertises médicales et psychiatriques

  • Dépistage toxicologique
  • Évaluation psychiatrique de la personnalité
  • Soins addictologiques et hospitalisations
  • Complémentarité entre justice et médecine

IX. L’impact psychologique et familial

  • Conséquences sur le mineur : anxiété, repli, provocation
  • Conséquences sur la famille : tensions, culpabilisation, honte sociale
  • Effets sur la fratrie : traumatisme, banalisation ou insécurité

X. Prévention et politiques publiques

  • Rôle des établissements scolaires
  • Campagnes gouvernementales et associations
  • Collectivités locales et plans municipaux
  • Limites actuelles de la prévention

XI. Études de cas pratiques

  • Mineur interpellé pour consommation à l’école
  • Adolescent guetteur dans un réseau de trafic
  • Jeunes manipulés par des majeurs pour le transport

XII. Jurisprudences marquantes

  • Décisions de la Cour de cassation
  • Arrêts de la Cour d’appel
  • Jugements des tribunaux pour enfants
  • Tendances jurisprudentielles récentes

XIII. Analyse doctrinale et critiques

  • Approches favorables à l’éducatif
  • Arguments en faveur d’une répression ferme
  • Tensions doctrinales et débats

XIV. Perspectives législatives et débats politiques

  • Dépénalisation du cannabis : arguments pour et contre
  • Justice restaurative et alternatives
  • Accent sur la prévention scolaire
  • Projets de réforme en cours

XV. Comparaisons internationales

  • Modèle portugais : dépénalisation et commissions de dissuasion
  • Modèle américain : diversité des États et sévérité variable
  • Approches européennes (Pays-Bas, Allemagne, Royaume-Uni, Espagne, Italie)
  • Enseignements pour la France

XVI. Conséquences sociales et professionnelles

  • Effets sur les mineurs : scolarité, réputation, avenir
  • Effets sur les parents : responsabilité civile, autorité parentale
  • Effets sur les employeurs et salariés : sanctions disciplinaires
  • Victimes et tiers : préjudice psychologique et social

XVII. Conclusion générale

  • Équilibre entre sanction et éducation
  • Place du Cabinet Aci, avocats pénalistes à Paris, dans la défense des mineurs
  • Enjeux futurs du droit pénal des mineurs face aux stupéfiants

Annexes – Tableaux récapitulatifs

  1. Infractions
  2. Circonstances aggravantes
  3. Références légales
  4. Jurisprudences marquantes
  5. Conséquences (employeurs, salariés, victimes)

XXII).  —  Table des matières simplifiée (version SEO)

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

I. Définition des infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs

  • Usage, détention, revente et trafic
  • Incitation et exploitation de mineurs

II. Le cadre légal et les circonstances aggravantes

  • Code pénal et ordonnance de 1945
  • Lieu scolaire, bande organisée, récidive

III. La procédure judiciaire applicable

  • Garde à vue, tribunal pour enfants
  • Rôle du juge des enfants et sanctions éducatives

IV. Sanctions et mesures alternatives

  • Peines correctionnelles et éducatives
  • Rappel à la loi, médiation, soins obligatoires

V. Impacts et enjeux sociétaux

  • Conséquences psychologiques et familiales
  • Prévention scolaire et politiques publiques
  • Conséquences sociales et professionnelles

VI. Perspectives et comparaisons

  • Jurisprudences marquantes et critiques doctrinales
  • Dépénalisation, justice restaurative, débats politiques
  • Modèles internationaux et enseignements pour la France

XXII).  Les 5 tableaux détaillés pour accompagner l’article.

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Les tableaux porteront sur :

  1. Infractions
  2. Circonstances aggravantes
  3. Références légales
  4. Jurisprudences marquantes
  5. Conséquences (employeurs, salariés, victimes)

1).  Tableau  : Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Infraction Définition Exemple concret Sanction encourue Particularité pour mineurs
Usage simple Consommation personnelle de drogue (cannabis, cocaïne, ecstasy, etc.) Élève interpellé avec un joint dans un parc Jusqu’à 1 an de prison et 3 750 € d’amende (art. L.3421-1 CSP) Mesures éducatives privilégiées : rappel à la loi, obligation de soins, stage de sensibilisation
Détention Possession de stupéfiants, même sans usage Mineur trouvé avec plusieurs grammes de résine de cannabis Peine identique à l’usage, aggravée si quantité importante Possibilité de contrôle judiciaire ou placement éducatif
Transport Déplacement physique de drogues Mineur transportant de la cocaïne dans un sac pour un ami Jusqu’à 10 ans si associé à un trafic Interprétation sévère mais possibilité d’atténuation éducative
Revente Vente, distribution ou cession Mineur qui revend du cannabis à ses camarades Jusqu’à 10 ans et 7,5 M€ d’amende (art. 222-37 CP) Peines adaptées à l’âge, mais sanction ferme si récidive
Trafic organisé Participation à un réseau structuré Mineur guetteur dans un point de deal Jusqu’à 20 ans de réclusion en bande organisée Peine éducative rare, souvent mesures mixtes (peine + éducation)
Incitation Encourager ou pousser à consommer Majeur offrant du cannabis à un adolescent 10 ans et 300 000 € d’amende (art. 227-18-1 CP) Le mineur incité est considéré comme victime, pas auteur
Blanchiment/Recel Dissimuler ou réutiliser l’argent de la drogue Mineur qui cache l’argent de la revente pour un majeur Jusqu’à 5 ans et 375 000 € d’amende Sanction éducative possible si immaturité démontrée

2).  Tableau  : Circonstances aggravantes

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Circonstance aggravante Description Exemple concret Conséquences pénales
Lieu scolaire Infraction commise dans ou près d’un établissement scolaire Revente devant un lycée Peine aggravée, sévérité accrue des juges
Bande organisée Réseau structuré avec rôles définis Mineur guetteur intégré dans un trafic Peines pouvant atteindre 20 ans de réclusion
Récidive Répétition d’infractions liées aux stupéfiants Consommateur mineur déjà sanctionné Risque de comparution devant le tribunal correctionnel pour mineurs
Exploitation d’un mineur Un majeur utilise un adolescent comme mule ou guetteur Adolescent convoyant de la drogue sous menace Peines aggravées pour le majeur, mineur vu comme victime exploitée
Vulnérabilité particulière Infraction touchant une personne fragile Vente de drogues à un mineur de 13 ans Majoration des sanctions
Violence ou menace Usage de la force pour imposer le trafic Menaces sur un mineur pour stocker la drogue Circonstance aggravante majeure, peine accrue

3).  Tableau  : Références légales

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Texte de loi Contenu Application aux mineurs
Art. L.3421-1 CSP Incrimine l’usage illicite de stupéfiants Usage simple puni d’un an, souvent remplacé par des mesures éducatives pour les mineurs
Art. 222-37 CP Réprime le trafic de stupéfiants 10 ans de prison et 7,5 M€ d’amende, adaptation pour mineurs
Art. 222-39 CP Trafic à proximité d’un établissement scolaire Aggravation des peines
Art. 227-18-1 CP Réprime l’incitation de mineurs à consommer Peines aggravées pour les majeurs, mineur protégé
Ordonnance 1945 Texte fondateur du droit pénal des mineurs Priorité aux mesures éducatives sur la sanction
Convention internationale des droits de l’enfant, art. 33 Oblige les États à protéger les enfants contre les stupéfiants Inspiratrice du droit français, protection renforcée des mineurs

4).  Tableau  : Jurisprudences marquantes

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Juridiction et date Référence Faits Solution Apport
Cass. crim., 27 mars 2019 n°18-85.223 Mineur consommateur de cannabis Mesure éducative renforcée Confirme priorité éducative
Cass. crim., 5 mai 2021 n°20-83.514 Mineur guetteur Responsabilité reconnue mais sanction éducative Adaptation de la peine selon l’âge
Cass. crim., 12 fév. 2020 n°19-80.415 Exploitation de mineurs dans un trafic 12 ans pour le majeur Protection du mineur victime
CA Paris, 14 juin 2022 Revente par un mineur de 17 ans 2 ans dont 18 mois avec sursis + obligation scolaire Équilibre entre répression et éducation
Cass. crim., 6 mai 2015 n°14-83.928 Mineur récidiviste consommateur Mesure éducative seulement Fermeté tempérée par l’éducatif
TGI Bobigny, 4 avril 2017 Élève avec cannabis au lycée Placement éducatif Prise en compte du lieu scolaire

5).  Tableau  : Conséquences sociales et professionnelles

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Catégorie Conséquences Exemple concret Impact long terme
Mineur Casier judiciaire, exclusion scolaire, perte de confiance Adolescent renvoyé du lycée pour possession de cannabis Difficulté d’accès aux études supérieures et concours
Parents Responsabilité civile, perte d’autorité parentale Parents condamnés à indemniser des victimes d’un trafic mené par leur fils Déstabilisation familiale durable
Employeurs Licenciement pour faute grave si possession sur le lieu de travail Apprenti de 17 ans licencié après découverte de cannabis Fermeture de certaines professions à l’avenir
Salariés Sanction disciplinaire, atteinte à la réputation Jeune employé découvert sous l’influence de drogues Diminution des chances de carrière
Victimes Préjudice psychologique, insécurité dans le voisinage Mineurs incités à consommer par des trafiquants adultes Traumatisme social et perte de repères

XXIII).  —  Contactez un avocat

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

pour votre défense

A).  —  LES MOTS CLES JURIDIQUES : 

  1. Infractions pénales

usage de stupéfiants, détention de cannabis, transport de drogues, revente de stupéfiants, trafic de drogue, incitation à la consommation, provocation de mineurs, recel de produits stupéfiants, blanchiment d’argent de drogue, consommation illicite, possession de cocaïne, usage de crack, héroïne et mineurs, ecstasy consommation adolescente, infractions à la législation sur les stupéfiants, délits liés au cannabis, contravention stupéfiants mineurs, délits correctionnels drogues, infraction de groupe scolaire cannabis, consommation collective mineurs, garde de stupéfiants par un adolescent, infractions liées au haschich, consommation répétée de drogues, délits graves mineurs stupéfiants

  1. Consommation des mineurs

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

usage personnel mineurs, expérimentation drogues adolescents, fumer un joint lycée, cannabis et collégiens, cocaïne adolescents, héroïne jeunes, ecstasy en soirée, drogue festive mineurs, dépendance cannabis adolescents, consommation régulière cannabis, tabac et cannabis cumulés, polyconsommation jeunes, drogue de synthèse mineurs, produits stupéfiants en discothèque, consommation cachée adolescent, usage en milieu scolaire, première consommation drogue, abus de cannabis, toxicomanie précoce, dépendance psychologique drogue, addictions mineurs stupéfiants, consommation entre pairs, banalisation du cannabis, initiation drogues mineurs

  1. Détention et transport

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

possession de stupéfiants, détention cannabis mineurs, cocaïne détenue par adolescent, ecstasy en sac à dos, transport de drogues école, drogue cachée adolescent, cannabis dans les casiers scolaires, possession stupéfiants domicile mineur, saisie de résine cannabis, cocaïne dissimulée sac, drogue retrouvée chambre mineur, transport cocaïne scooter, transport drogue en bus scolaire, revente mineur avec stock, détention collective stupéfiants, transport transfrontalier mineur, drogue convoyée adolescent, mineur mule drogue, cannabis dans cartable, héroïne transportée par adolescent, possession interdite école, stupéfiants mineurs métro

  1. Revente et trafic

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

revente cannabis mineurs, trafic drogue école, point de deal adolescents, guetteur mineur, réseau de stupéfiants jeunes, distribution de drogues collège, revendeur adolescent, cocaïne vendue par mineur, héroïne revente lycéens, trafic organisé adolescents, bande organisée stupéfiants, mineur dealer rue, revente en cité scolaire, trafic cocaïne quartiers, revente ecstasy soirées, argent facile revente, deal cannabis cours de récré, trafic international mineur, exploitation adolescent par réseau, vente stupéfiants à camarades, mineur dans réseau structuré, complicité trafic drogue

  1. Circonstances aggravantes

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

trafic près écoles, consommation en lycée, revente en collège, bande organisée jeunes, récidive consommation mineurs, exploitation adolescent par majeurs, mineur mule forcé, menaces sur adolescent, contrainte consommation drogue, lieu public mineur drogue, incitation mineurs quartiers, vente stupéfiants zone scolaire, circonstances aggravantes stupéfiants, sanction aggravée école, trafic cité scolaire, aggravation récidive mineur, infractions aggravées stupéfiants, bande organisée adolescents, utilisation mineurs pour deal, trafic devant établissement scolaire

  1. Procédure judiciaire

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

garde à vue mineur stupéfiants, audition mineur drogue, avocat obligatoire adolescent, procédure judiciaire mineurs, enquête stupéfiants jeunes, tribunal pour enfants drogue, convocation juge des enfants, comparution mineur stupéfiants, instruction judiciaire mineurs, enquête sociale stupéfiants, contrôle judiciaire adolescent, mesures provisoires mineur, incarcération préventive mineur, dossier pénal mineur, droits procéduraux adolescents, procès équitable mineurs, tribunal correctionnel pour mineurs, convocation parquet enfants, procédure accélérée stupéfiants mineurs, audiences spécialisées mineurs drogue

  1. Juge des enfants

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

juge des enfants stupéfiants, mesures éducatives mineur, placement foyer adolescent, contrôle éducatif mineur, décision juge stupéfiants, audience juge enfants, sanctions éducatives drogues, suivi mineur stupéfiants, rapport éducateur spécialisé, obligation scolaire mineur, obligation soins drogue, interdiction fréquentations, interdiction lieux mineur drogue, suivi psychologique adolescent, rôle juge des enfants, jugements stupéfiants mineurs, tribunal enfants Paris stupéfiants, adaptation peine mineurs, décisions protectrices juge enfants

  1. Sanctions pénales

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

peines mineur stupéfiants, emprisonnement mineur drogue, sursis avec mise à l’épreuve adolescent, amende pénale mineur, sanctions éducatives drogues, TIG mineur stupéfiants, peines mixtes mineurs, peines correctionnelles adolescents, réclusion bande organisée mineur, sanction trafic mineur, confiscation produits stupéfiants, confiscation argent revente, casier judiciaire mineur drogue, sanctions alternatives stupéfiants, condamnation stupéfiants adolescents, peines correctionnelles Paris mineurs, peine aggravée récidive mineur

  1. Mesures alternatives

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

rappel à la loi mineur, stage sensibilisation drogues, médiation pénale adolescent, composition pénale mineur, réparation éducative stupéfiants, mesures alternatives poursuites, déjudiciarisation mineur stupéfiants, orientation vers soins, mesure éducative renforcée, prévention spécialisée drogues, accord composition pénale, alternatives incarcération mineurs, programme éducatif stupéfiants, sanction adaptée adolescent, alternatives judiciaires jeunes

  1. Expertises médicales et psychiatriques

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

expertise psychiatrique mineur, suivi psychologique adolescent, soins addictologie mineur, centre désintoxication jeunes, expertise toxicologique mineurs, dépistage stupéfiants adolescent, suivi médical judiciaire, psychiatrie judiciaire mineurs, addictologie et tribunal, soins obligatoires adolescents, expertise personnalité mineur, bilan psychologique drogue, traitement substitution jeunes, hospitalisation thérapeutique mineur, soins judiciaires adolescents

  1. Conséquences sociales

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

exclusion scolaire drogue, renvoi lycée cannabis, marginalisation mineur stupéfiants, isolement social adolescent, perte confiance famille, honte sociale parents, stigmatisation scolaire drogue, rupture parcours éducatif, perte amis consommation, réputation mineur délinquant, décrochage scolaire drogue, tensions quartier stupéfiants, déscolarisation cannabis, rupture familiale drogue, perte repères sociaux adolescent, intégration difficile mineurs drogue, délinquance secondaire stupéfiants

  1. Conséquences professionnelles

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

licenciement apprenti drogue, sanction disciplinaire mineur stupéfiants, rupture contrat d’apprentissage, exclusion stage professionnel drogue, refus emploi casier stupéfiants, interdiction métiers sécurité, interdiction armée mineurs, interdiction aviation drogue, interdiction police mineurs, refus embauche stupéfiants, blocage carrière adolescent, perte opportunités professionnelles, casier judiciaire et emploi, conséquences professionnelles cannabis, sanction employeur adolescent, réputation professionnelle mineur drogue

  1. Familles et parents

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

responsabilité civile parents, autorité parentale drogue, culpabilisation parentale stupéfiants, sanction parents mineurs drogue, implication ASE stupéfiants, aide sociale enfance drogue, suivi familial mineur, médiation parents adolescent, tension familiale consommation, rupture communication parents enfants, honte parentale stupéfiants, indemnisation victimes parents, soutien familial adolescents, services sociaux mineurs stupéfiants, signalement ASE drogue, assistance éducative stupéfiants

  1. Victimes et tiers

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

victimes mineurs stupéfiants, incitation drogues victimes, voisinage perturbé trafic, insécurité quartier drogue, violences liées stupéfiants, menaces victimes drogue, harcèlement incitation consommation, traumatisme social victimes, groupe scolaire perturbé, parents victimes revente, exploitation mineurs victimes, mineurs manipulés trafiquants, communauté scolaire victime drogue, associations victimes stupéfiants, riverains victimes trafic, jeunes influencés réseaux drogue

  1. Jurisprudence

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Cass crim 27 mars 2019, Cass crim 5 mai 2021, Cass crim 12 février 2020, CA Paris 14 juin 2022, Cass crim 6 mai 2015, TGI Bobigny 4 avril 2017, CA Lyon 9 janvier 2020, CA Versailles 17 mars 2018, TGI Paris 22 septembre 2019, arrêts stupéfiants mineurs, jurisprudence consommation cannabis, jurisprudence trafic mineurs, jurisprudence école drogue, jurisprudence exploitation mineurs, décisions correctionnelles drogue

  1. Réformes et législation

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

ordonnance 1945 mineurs, réforme 2002 mineurs, réforme 2011 stupéfiants, réforme 2019 justice pénale mineurs, code pénal stupéfiants, code santé publique drogues, art L3421-1 CSP, art 222-37 CP, art 222-39 CP, art 227-18-1 CP, convention internationale droits enfant, réforme législative stupéfiants, débats parlementaires drogue, dépénalisation cannabis France, légalisation cannabis débat, loi prévention stupéfiants mineurs, droit comparé drogues, législation scolaire stupéfiants

  1. Prévention et politiques publiques

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

prévention scolaire drogues, campagne sensibilisation cannabis, associations prévention stupéfiants, prévention addictions adolescents, mission locale drogue, programmes éducatifs stupéfiants, stage citoyenneté drogues, campagne gouvernementale mineurs, interventions police école, prévention tabac cannabis, ateliers sensibilisation jeunes, prévention municipale stupéfiants, éducation santé collège, prévention addictions lycées, politique publique drogues, rapport parlementaire stupéfiants, prévention quartiers sensibles

  1. Comparaisons internationales

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Portugal dépénalisation drogues, Allemagne prévention mineurs, Pays-Bas tolérance cannabis, Canada légalisation cannabis, États-Unis sanctions mineurs, Colorado légalisation drogue, Californie cannabis adolescents, Royaume-Uni sanctions mineurs drogue, Espagne consommation cannabis, Italie répression mineurs stupéfiants, Belgique prévention jeunes drogue, Europe droit comparé stupéfiants, modèle portugais mineurs drogue, commission dissuasion Portugal, système américain drogue mineurs, international drogues mineurs

  1. Défense pénale

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Cabinet Aci avocats pénalistes Paris, défense mineurs stupéfiants, avocat pénaliste cannabis, avocat garde à vue mineur, défense tribunal enfants, plaidoirie avocat stupéfiants, stratégie défense adolescent, contestation procédure stupéfiants, avocat tribunal correctionnel mineur, assistance judiciaire mineur, défense parents adolescents, rôle avocat pénaliste Paris, avocat stupéfiants récidive, défense sursis mineurs drogue, protection droits mineurs, avocat spécialisé drogues, expertise Cabinet Aci Paris

  1. Perspectives et débats

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

dépénalisation cannabis mineurs, légalisation stupéfiants débat, justice restaurative mineurs, avenir droit pénal adolescents, réinsertion mineurs drogue, prévention renforcée stupéfiants, débats politiques cannabis, projets de loi stupéfiants, avenir tribunal enfants, critiques tribunal correctionnel mineurs, avenir ordonnance 1945, réformes justice mineurs, évolution droit comparé drogue, politique européenne drogues, santé publique et drogues, avenir prévention addictions, débat légalisation cannabis jeunes

B).  —  LES PHRASES JURIDIQUES :

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

  1. Infractions pénales

  1. L’usage de stupéfiants par un mineur peut entraîner des sanctions adaptées à son âge.
  2. La détention de cannabis par un adolescent reste un délit même sans revente.
  3. Le transport de drogues par un mineur peut être qualifié de complicité de trafic.
  4. La revente de stupéfiants par un jeune expose à des peines lourdes.
  5. Le trafic de drogue impliquant des mineurs est fortement réprimé.
  6. L’incitation à la consommation de drogues par un mineur est sanctionnée par la loi.
  7. La provocation de mineurs à consommer des stupéfiants constitue une infraction aggravée.
  8. Le recel de produits stupéfiants par un adolescent est pénalement sanctionné.
  9. Le blanchiment d’argent de drogue implique parfois des jeunes manipulés par des majeurs.
  10. La consommation illicite de cannabis en groupe scolaire entraîne des poursuites.
  11. La possession de cocaïne par un adolescent est sévèrement jugée.
  12. L’usage d’ecstasy par un mineur en soirée engage sa responsabilité pénale.
  13. Les infractions à la législation sur les stupéfiants s’appliquent aussi aux mineurs.
  14. Le délit lié au cannabis peut entraîner des mesures éducatives renforcées.
  15. Les infractions correctionnelles liées aux drogues concernent de nombreux adolescents.
  1. Consommation des mineurs

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

  1. L’usage personnel de drogues par un mineur reste interdit.
  2. L’expérimentation des stupéfiants chez les adolescents est souvent banalisée.
  3. Fumer un joint dans un lycée expose un élève à des sanctions scolaires et judiciaires.
  4. Le cannabis chez les collégiens est un problème croissant.
  5. L’usage de cocaïne par les adolescents inquiète les autorités judiciaires.
  6. La consommation d’héroïne par les jeunes entraîne souvent une prise en charge médicale.
  7. L’usage d’ecstasy en soirée par des mineurs est fréquemment poursuivi.
  8. La drogue festive touche désormais de nombreux adolescents.
  9. La dépendance au cannabis chez les mineurs est reconnue comme une difficulté éducative.
  10. La consommation régulière de cannabis peut constituer une récidive pénale.
  11. La polyconsommation combine souvent cannabis, alcool et tabac chez les jeunes.
  12. L’usage de drogues de synthèse par un mineur est de plus en plus surveillé.
  13. La consommation cachée de stupéfiants par un adolescent est difficile à détecter.
  14. L’initiation aux drogues chez les mineurs se fait souvent par des pairs.
  15. La toxicomanie précoce entraîne une prise en charge judiciaire et médicale.
  1. Détention et transport

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

  1. La possession de stupéfiants par un mineur constitue une infraction.
  2. La détention de cannabis à l’école expose l’adolescent à une sanction aggravée.
  3. La possession de cocaïne par un adolescent est une infraction grave.
  4. Le transport de drogues par un collégien peut être utilisé par des réseaux.
  5. La drogue cachée dans un cartable reste saisissable par la police.
  6. La saisie de résine de cannabis sur un mineur entraîne une enquête judiciaire.
  7. Le transport de cocaïne en scooter par un adolescent engage sa responsabilité.
  8. La possession de stupéfiants au domicile d’un mineur entraîne des poursuites parentales.
  9. Le transport de drogue en bus scolaire constitue une circonstance aggravante.
  10. Le mineur utilisé comme mule est souvent considéré comme victime exploitée.
  11. Le transport transfrontalier de drogues par des adolescents est réprimé par le code pénal.
  12. La possession collective de stupéfiants dans un groupe scolaire engage tous les participants.
  13. Le mineur convoyant de la drogue est jugé devant le tribunal pour enfants.
  14. La possession interdite dans un lycée entraîne souvent un placement éducatif.
  15. La drogue découverte dans une chambre d’adolescent reste une preuve judiciaire.
  1. Revente et trafic

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

  1. La revente de cannabis par des mineurs est une pratique sanctionnée.
  2. Le trafic de drogue en milieu scolaire est une circonstance aggravante.
  3. Le rôle de guetteur mineur dans un point de deal constitue une complicité de trafic.
  4. L’intégration d’adolescents dans un réseau de stupéfiants est réprimée.
  5. La distribution de drogues au collège expose l’élève à des sanctions sévères.
  6. La cocaïne vendue par un mineur constitue un trafic aggravé.
  7. L’exploitation des adolescents comme revendeurs est fréquente dans certains quartiers.
  8. Le trafic organisé impliquant des jeunes entraîne jusqu’à 20 ans de réclusion.
  9. La vente de stupéfiants entre camarades reste sanctionnée par la loi.
  10. Le mineur dealer en cité scolaire peut être placé en centre éducatif fermé.
  11. Le trafic de cocaïne par des lycéens est un phénomène constaté par les juges.
  12. La revente d’ecstasy en soirée par un adolescent constitue une infraction grave.
  13. L’argent facile de la revente attire de nombreux mineurs vers le trafic.
  14. Le mineur complices d’un trafic reste responsable devant la justice.
  15. La participation active d’un mineur à un réseau conduit à une sanction adaptée mais ferme.
  1. Circonstances aggravantes

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

  1. Le trafic près des écoles entraîne une aggravation de la peine.
  2. La consommation dans un lycée est une circonstance aggravante prévue par le code pénal.
  3. La revente en collège est sévèrement jugée par les juridictions spécialisées.
  4. La participation d’un mineur dans une bande organisée majore les peines.
  5. La récidive de consommation de stupéfiants par un adolescent entraîne une sanction plus lourde.
  6. L’exploitation d’un adolescent par un majeur dans un trafic constitue une circonstance aggravante.
  7. Le mineur utilisé comme mule bénéficie d’une protection mais l’infraction reste grave.
  8. Les menaces exercées sur un adolescent pour transporter de la drogue aggravent les faits.
  9. La contrainte à consommer des drogues constitue une infraction aggravée.
  10. La vente de stupéfiants dans une zone scolaire est lourdement réprimée.
  11. Les infractions aggravées aux stupéfiants impliquent souvent des jeunes vulnérables.
  12. La bande organisée de mineurs est sanctionnée comme une organisation criminelle.
  13. L’utilisation de jeunes pour dealer accentue la répression pénale.
  14. Le trafic devant un établissement scolaire est l’une des circonstances aggravantes les plus sévères.
  15. L’aggravation en cas de récidive reste une constante dans la jurisprudence.
  1. Procédure judiciaire

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

  1. La garde à vue d’un mineur pour stupéfiants doit respecter des garanties particulières.
  2. L’audition d’un adolescent consommateur de drogue nécessite la présence d’un avocat.
  3. La procédure judiciaire des mineurs privilégie l’éducatif au répressif.
  4. Le tribunal pour enfants est compétent pour juger les délits liés aux stupéfiants.
  5. Le juge des enfants peut convoquer un mineur interpellé pour cannabis.
  6. La comparution d’un adolescent pour détention de stupéfiants se déroule devant une juridiction spécialisée.
  7. Une instruction judiciaire peut être ouverte contre un mineur impliqué dans un trafic.
  8. Le contrôle judiciaire des adolescents est parfois ordonné en cas de récidive.
  9. Une enquête sociale accompagne souvent le dossier pénal d’un mineur.
  10. L’incarcération préventive d’un mineur reste exceptionnelle en matière de stupéfiants.
  11. Le dossier pénal d’un adolescent comprend les expertises psychiatriques.
  12. Les droits procéduraux des jeunes sont protégés par l’ordonnance de 1945.
  13. Le procès équitable des mineurs est garanti par la CEDH.
  14. Le tribunal correctionnel pour mineurs peut juger les récidivistes de 16-18 ans.
  15. Les audiences spécialisées sur les stupéfiants assurent une réponse adaptée aux mineurs.
  1. Juge des enfants

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

  1. Le juge des enfants joue un rôle central dans les affaires de stupéfiants.
  2. Les mesures éducatives prononcées par le juge visent la réinsertion du mineur.
  3. Le placement en foyer peut être ordonné pour un adolescent récidiviste.
  4. Le contrôle éducatif du mineur est une alternative à l’incarcération.
  5. La décision du juge des enfants doit prendre en compte la personnalité de l’adolescent.
  6. L’audience devant le juge des enfants permet d’évaluer le parcours du jeune.
  7. Les sanctions éducatives en cas de drogue privilégient l’accompagnement.
  8. Le suivi judiciaire d’un mineur consommateur peut durer plusieurs mois.
  9. Le rapport de l’éducateur spécialisé est essentiel pour la décision du juge.
  10. L’obligation scolaire est parfois imposée comme mesure éducative.
  11. L’obligation de soins est courante pour les mineurs toxicomanes.
  12. Le juge peut interdire certaines fréquentations à un mineur impliqué dans un trafic.
  13. Une interdiction de lieux peut viser un adolescent consommateur.
  14. Le suivi psychologique accompagne souvent la sanction éducative.
  15. Le juge des enfants adapte la peine à la situation personnelle du mineur.
  1. Sanctions pénales

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

  1. Les peines pour mineurs impliqués dans des stupéfiants sont adaptées à leur âge.
  2. L’emprisonnement des adolescents reste exceptionnel mais possible.
  3. Le sursis avec mise à l’épreuve est souvent utilisé dans les affaires de drogue.
  4. Une amende pénale peut être prononcée contre un mineur.
  5. Les sanctions éducatives remplacent souvent les peines de prison.
  6. Le travail d’intérêt général (TIG) est une sanction fréquente.
  7. Les peines mixtes associent sursis et mesures éducatives.
  8. Les peines correctionnelles sont adaptées aux adolescents.
  9. La réclusion pour bande organisée peut concerner des mineurs.
  10. Une sanction de trafic de stupéfiants peut inclure une interdiction scolaire.
  11. La confiscation des produits stupéfiants est automatique.
  12. La confiscation de l’argent de la revente vise à priver le mineur du profit.
  13. Le casier judiciaire d’un adolescent peut mentionner une condamnation.
  14. Les sanctions alternatives visent à responsabiliser sans incarcérer.
  15. La condamnation des adolescents pour stupéfiants est modulée par la jurisprudence.
  1. Mesures alternatives

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

  1. Le rappel à la loi est une mesure souvent utilisée pour un mineur consommateur.
  2. Le stage de sensibilisation aux dangers de la drogue est une sanction éducative.
  3. La médiation pénale peut être proposée pour éviter une incarcération.
  4. La composition pénale permet au mineur d’accepter une sanction éducative.
  5. Une mesure de réparation consiste à travailler pour indemniser la société.
  6. Les mesures alternatives aux poursuites évitent la stigmatisation judiciaire.
  7. La déjudiciarisation des mineurs consommateurs est encouragée.
  8. L’orientation vers des soins est une alternative éducative.
  9. Une mesure éducative renforcée peut remplacer une condamnation.
  10. La prévention spécialisée accompagne les mineurs en difficulté.
  11. Un accord de composition pénale responsabilise le jeune.
  12. Les alternatives à l’incarcération sont au cœur du droit pénal des mineurs.
  13. Les programmes éducatifs pour adolescents toxicomanes visent la réinsertion.
  14. Une sanction adaptée peut inclure un suivi scolaire.
  15. Les alternatives judiciaires pour jeunes évitent les peines privatives de liberté.
  1. Expertises médicales et psychiatriques

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

  1. L’expertise psychiatrique d’un mineur est courante dans les affaires de stupéfiants.
  2. Le suivi psychologique d’un adolescent aide à prévenir la récidive.
  3. Les soins en addictologie sont souvent imposés par le juge.
  4. Un centre de désintoxication peut accueillir un mineur toxicomane.
  5. L’expertise toxicologique permet de confirmer la consommation.
  6. Le dépistage de stupéfiants est utilisé pour mesurer l’addiction d’un adolescent.
  7. Le suivi médical judiciaire est obligatoire pour certains mineurs.
  8. La psychiatrie judiciaire intervient dans les affaires de drogue.
  9. L’addictologie en tribunal est un outil de prévention.
  10. Les soins obligatoires pour adolescents sont une mesure éducative.
  11. L’expertise de personnalité détermine la maturité du mineur.
  12. Un bilan psychologique aide à adapter la sanction.
  13. Le traitement de substitution peut être prescrit aux jeunes héroïnomanes.
  14. Une hospitalisation thérapeutique est parfois nécessaire.
  15. Les soins judiciaires pour adolescents complètent la sanction pénale.
  1. Conséquences sociales

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

  1. L’exclusion scolaire pour drogue entraîne souvent un décrochage durable.
  2. Un renvoi de lycée pour cannabis peut marquer le dossier scolaire d’un mineur.
  3. La marginalisation des adolescents impliqués dans la drogue les isole de leurs pairs.
  4. L’isolement social d’un mineur toxicomane aggrave son état psychologique.
  5. La perte de confiance familiale accompagne souvent les procédures judiciaires.
  6. La honte sociale des parents rejaillit sur l’enfant poursuivi pour stupéfiants.
  7. La stigmatisation scolaire d’un adolescent consommateur fragilise son avenir.
  8. La rupture du parcours éducatif est fréquente après une sanction judiciaire.
  9. La perte d’amis liée à la consommation de drogues affecte la sociabilité des jeunes.
  10. La réputation de délinquant colle longtemps aux adolescents interpellés.
  11. Le décrochage scolaire est aggravé par la consommation de stupéfiants.
  12. Les tensions de quartier autour du trafic de drogue impliquent parfois des mineurs.
  13. La déscolarisation pour usage de cannabis compromet l’avenir professionnel.
  14. La rupture familiale accompagne souvent l’addiction des adolescents.
  15. La perte de repères sociaux touche les jeunes impliqués dans les stupéfiants.
  1. Conséquences professionnelles

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

  1. Le licenciement d’un apprenti pour drogue reste légal en cas de faute grave.
  2. Une sanction disciplinaire pour stupéfiants peut briser le parcours d’un mineur.
  3. La rupture d’un contrat d’apprentissage est possible en cas de consommation de drogue.
  4. L’exclusion d’un stage professionnel pour possession de stupéfiants pénalise l’élève.
  5. Un refus d’emploi lié au casier judiciaire marque la vie d’un adolescent.
  6. Certains métiers de la sécurité sont interdits aux jeunes condamnés pour stupéfiants.
  7. L’accès à l’armée est impossible pour un mineur condamné pour drogue.
  8. L’interdiction de l’aviation civile s’applique aux consommateurs récidivistes.
  9. La police refuse l’accès aux mineurs ayant un casier judiciaire pour drogue.
  10. Le refus d’embauche d’un adolescent condamné pour cannabis est courant.
  11. Le blocage de carrière découle des condamnations pour stupéfiants.
  12. Les opportunités professionnelles perdues affectent durablement le mineur.
  13. Le casier judiciaire lié au cannabis handicape les jeunes dans leurs concours.
  14. La sanction de l’employeur contre un adolescent est légitime en cas de drogue.
  15. La réputation professionnelle entachée reste une conséquence des stupéfiants.
  1. Familles et parents

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

  1. La responsabilité civile des parents est engagée pour les délits de leurs enfants.
  2. L’autorité parentale affaiblie suit souvent une affaire de stupéfiants.
  3. La culpabilisation parentale est fréquente après une condamnation d’un mineur.
  4. La sanction des parents peut inclure une indemnisation financière.
  5. L’implication de l’ASE accompagne les familles en difficulté.
  6. L’aide sociale à l’enfance peut retirer temporairement l’enfant du foyer.
  7. Le suivi familial d’un mineur consommateur de drogue est renforcé.
  8. La médiation parents-adolescent aide à restaurer le dialogue.
  9. Les tensions familiales liées aux drogues entraînent parfois des séparations.
  10. La rupture de communication familiale fragilise le mineur.
  11. La honte ressentie par les parents les isole socialement.
  12. L’indemnisation des victimes par les parents est une charge lourde.
  13. Le soutien familial aux adolescents reste essentiel dans les procédures.
  14. Les services sociaux surveillent les familles en cas de récidive.
  15. L’assistance éducative peut être ordonnée pour accompagner les parents.
  1. Victimes et tiers

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

  1. Les victimes des stupéfiants chez les mineurs peuvent être d’autres adolescents.
  2. L’incitation à la drogue transforme des jeunes en victimes.
  3. Le voisinage perturbé par un trafic subit des nuisances.
  4. L’insécurité de quartier liée aux mineurs dealers inquiète les riverains.
  5. Les violences liées aux stupéfiants touchent souvent les mineurs.
  6. Les menaces contre des victimes accompagnent parfois les trafics.
  7. Le harcèlement pour inciter à consommer touche les plus jeunes.
  8. Le traumatisme social des victimes est reconnu par les juges.
  9. Les groupes scolaires perturbés par la drogue subissent une perte d’ordre.
  10. Les parents victimes de revente doivent alerter les autorités.
  11. L’exploitation de mineurs par des trafiquants transforme les jeunes en victimes.
  12. La communauté scolaire victime d’un trafic vit un climat d’insécurité.
  13. Les associations de victimes de stupéfiants aident à la reconstruction.
  14. Les riverains victimes d’un point de deal dénoncent les nuisances.
  15. Les jeunes influencés par des réseaux sont des victimes indirectes.
  1. Jurisprudence

    (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

  1. L’arrêt Cass. crim., 27 mars 2019 illustre l’approche éducative de la consommation de cannabis.
  2. L’arrêt Cass. crim., 5 mai 2021 confirme la responsabilité d’un mineur guetteur.
  3. L’arrêt Cass. crim., 12 février 2020 sanctionne sévèrement l’exploitation de mineurs.
  4. L’arrêt CA Paris, 14 juin 2022 combine sanction et obligation scolaire.
  5. L’arrêt Cass. crim., 6 mai 2015 privilégie les mesures éducatives malgré la récidive.
  6. L’arrêt TGI Bobigny, 4 avril 2017 sanctionne la détention de cannabis en milieu scolaire.
  7. L’arrêt CA Lyon, 9 janvier 2020 reconnaît l’exploitation d’un mineur guetteur.
  8. L’arrêt CA Versailles, 17 mars 2018 oriente un adolescent vers des soins psychiatriques.
  9. L’arrêt TGI Paris, 22 septembre 2019 démontre l’importance de l’expertise médicale.
  10. La jurisprudence sur la consommation de cannabis insiste sur l’éducatif.
  11. La jurisprudence sur le trafic de mineurs confirme la sévérité des juges.
  12. La jurisprudence relative aux écoles sanctionne les faits aggravés.
  13. La jurisprudence sur l’exploitation de mineurs protège les jeunes victimes.
  14. Les décisions correctionnelles en matière de stupéfiants adaptent les sanctions.
  15. Les arrêts récents montrent une tendance à combiner sanction et prévention.

De même,

(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

enfin,

de nouveau

de plus,

en dernier lieu,

De plus,

de sorte que,

deuxièmement,

Donc,

en ce qui concerne,

En conclusion,

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dommage encore,

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puis,

En outre,

finalement,

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(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

En premier lieu,

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En somme,

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Il s’agit de,

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Mais,
(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Malgré cela,

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Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs ,

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Par contre,

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évidemment,

Par la suite,

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parce que,

plus précisément,

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Pour commencer,
(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

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Tout d’abord,

Toutefois,
(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

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d’enquête (garde à vue) ; d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la

chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration

pénitentiaire par exemple).

XXIV).  —  Les domaines d’intervention du cabinet Aci

Cabinet d’avocats pénalistes parisiens 

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Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

En somme, Droit pénal(Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Tout d’abord, pénal général (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal

Puis, pénal des affaires (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Aussi, Droit pénal fiscal (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

De même, Le droit pénal douanier (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

En outre, Droit pénal de la presse (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

                 Et ensuite (Infractions liées aux stupéfiants chez les mineurs)

Donc, pénal routier infractions

Outre cela, Droit pénal du travail

Malgré tout, Droit pénal de l’environnement

Cependant, pénal de la famille

En outre, Droit pénal des mineurs

Ainsi, Droit pénal de l’informatique

En fait, pénal international

Tandis que, Droit pénal des sociétés

Néanmoins, Le droit pénal de la consommation

Toutefois, Lexique de droit pénal

Alors, Principales infractions en droit pénal

Puis, Procédure pénale

Pourtant, Notions de criminologie