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Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées

Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées

*Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées, analyse juridique détaillée, Code pénal, jurisprudence, Cabinet ACI pénalistes Paris.

Introduction

Les agressions sexuelles tel que (Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées), représentent l’une des infractions les plus graves

prévues par le Code pénal français. Elles constituent une atteinte directe à l’intégrité physique et psychologique des victimes, impliquant un

contact sexuel imposé sans pénétration mais caractérisé par l’usage de violence, contrainte, menace ou surprise. En raison de leur gravité, elles

entraînent des sanctions lourdes allant jusqu’à dix ans de prison et 150 000 euros d’amende (article 222-27 du Code pénal). Associées aux autres

infractions sexuelles, comme le viol, le harcèlement sexuel ou la corruption de mineur, elles traduisent une volonté du législateur de

renforcer la protection des individus, notamment des plus vulnérables.

Le Cabinet ACI, avocats pénalistes à Paris, intervient régulièrement dans ce type de contentieux, tant pour défendre les auteurs présumés que

pour assister les victimes dans leur quête de justice et de réparation.

I).  —  Définition et éléments constitutifs de l’agression sexuelle

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

A). Notion juridique

Selon l’article 222-22 du Code pénal, l’agression sexuelle est définie comme « toute atteinte sexuelle commise avec violence, contrainte, menace

ou surprise ». Contrairement au viol, elle ne suppose pas d’acte de pénétration. La simple imposition de gestes à caractère sexuel suffit.

B). Les éléments constitutifs

1).  Élément matériel : acte sexuel imposé sans pénétration.

2).  Élément moral : volonté délibérée de porter atteinte à la dignité sexuelle de la victime.

3).  Circonstances : présence de contrainte, menace, violence ou surprise.

La jurisprudence a rappelé dans un arrêt Cass. crim., 15 novembre 2016, que l’absence de consentement explicite suffit à caractériser

l’agression sexuelle, même sans violence physique manifeste.

II).  —  Les infractions associées aux agressions sexuelles

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

A). Le viol

L’article 222-23 du Code pénal définit le viol comme tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne

d’autrui par violence, contrainte, menace ou surprise. La peine encourue est de quinze ans de réclusion criminelle, portée à vingt ans en cas de

circonstances aggravantes.

B). Harcèlement sexuel

L’article 222-33 du Code pénal sanctionne le harcèlement sexuel, qui consiste à imposer de façon répétée des propos ou comportements à connotation sexuelle portant atteinte à la dignité de la victime.

C). Corruption et atteintes sur mineurs

Les infractions sexuelles incluent aussi la corruption de mineurs (article 227-22), la pédopornographie (article 227-23) et les atteintes

sexuelles sans violence mais commises sur mineurs de moins de 15 ans (article 227-25).

III).  —  Sanctions pénales applicables

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

A). Agression sexuelle simple

5 ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende (article 222-27).

B). Agression sexuelle aggravée

1).  7 ans d’emprisonnement et 100 000 € d’amende si la victime est mineure de plus de 15 ans.

2).  10 ans d’emprisonnement et 150 000 € d’amende si la victime a moins de 15 ans ou est particulièrement vulnérable (article 222-28).

C). Jurisprudence significative

Dans l’arrêt Cass. crim., 25 octobre 2017, la Cour a confirmé une condamnation à 8 ans de prison pour agression sexuelle aggravée sur mineur,

insistant sur la protection renforcée due aux enfants.

IV).  —  Circonstances aggravantes

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

Les articles 222-28 à 222-30 prévoient des peines aggravées lorsque l’agression sexuelle est commise :

1).  par un ascendant ou une personne ayant autorité sur la victime,

2).  sur un mineur de moins de 15 ans,

3).  par plusieurs auteurs en réunion,

4).  par une personne abusant de sa position professionnelle.

V).  —  Procédure pénale et rôle de l’avocat

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

La plainte déposée entraîne une enquête confiée à la police judiciaire. L’auteur présumé peut être placé en garde à vue, puis mis en examen par un

juge d’instruction.

Le Cabinet ACI accompagne ses clients durant toutes les étapes : garde à vue, instruction, audience correctionnelle ou criminelle.

La jurisprudence Cass. crim., 6 janvier 2021 rappelle l’importance des droits de la défense, notamment le droit à un avocat dès la garde à vue.

VI).  —  Les victimes et leur indemnisation

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

Les victimes peuvent se constituer partie civile afin de réclamer des dommages et intérêts devant la juridiction pénale.

La CIVI (Commission d’indemnisation des victimes d’infractions) peut intervenir même en cas d’insolvabilité de l’auteur.

Exemple : CA Paris, 12 décembre 2019, une victime d’agression sexuelle a obtenu une réparation intégrale de son préjudice moral et corporel,

financée par le Fonds de garantie.

VII).  —  Défense pénale et stratégies de contestation

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

L’avocat de la défense peut soulever :

1).  l’absence de contrainte, violence, menace ou surprise,

2).  la question du consentement,

3).  la contestation des expertises médicales ou psychologiques,

4).  la remise en cause de la crédibilité des témoignages.

Conclusion

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

Les agressions sexuelles et infractions associées constituent des atteintes majeures à la dignité humaine. Le législateur a instauré un arsenal

pénal sévère pour protéger les victimes et sanctionner les auteurs. La jurisprudence illustre l’application stricte de ces dispositions, tout en

rappelant la nécessité de garantir les droits de la défense.

Le Cabinet ACI, pénalistes à Paris, intervient avec rigueur et expérience dans ce type d’affaires sensibles, en veillant à un équilibre entre

protection des victimes et défense des accusés.

VIII).  —  Politique pénale et lutte contre les agressions sexuelles

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

La lutte contre les agressions sexuelles s’inscrit dans une politique pénale renforcée depuis plusieurs décennies. Les législateurs et magistrats

considèrent que ces infractions touchent à l’ordre public et à la dignité humaine, nécessitant des sanctions exemplaires. Ainsi, les peines encourues

ont été alourdies par les réformes successives, notamment la loi du 9 mars 2004 (dite loi Perben II), la loi du 5 mars 2007 relative à la prévention de

la délinquance, et plus récemment la loi du 3 août 2018 renforçant la lutte contre les violences sexuelles et sexistes.

Le Parquet adopte une politique de poursuite quasi systématique dès lors que les éléments matériels et légaux sont réunis. Les classements sans

suite sont devenus exceptionnels, notamment grâce à une meilleure prise en compte de la parole des victimes.

IX).  —  La protection internationale et européenne

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

La protection contre les agressions sexuelles ne se limite pas au cadre national. La Convention européenne des droits de l’homme (CEDH),

dans son article 3, prohibe les traitements inhumains et dégradants, interprétés comme incluant les violences sexuelles. La Cour européenne des

droits de l’homme a jugé, dans l’arrêt M.C. c. Bulgarie, 4 décembre 2003, que l’absence de consentement explicite devait suffire à caractériser

une infraction sexuelle, renforçant ainsi la protection des victimes au niveau européen.

De même, la Convention d’Istanbul du Conseil de l’Europe (2011), ratifiée par la France en 2014, impose aux États de prévenir et

sanctionner toutes formes de violences sexuelles. Elle a inspiré le législateur français pour améliorer la définition des infractions sexuelles et

instaurer une meilleure protection des mineurs.

X).  —  La récidive et la réitération des infractions sexuelles

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

La récidive légale en matière d’agressions sexuelles entraîne un alourdissement automatique des peines. Selon l’article 132-9 du Code pénal,

lorsqu’une personne condamnée pour une infraction sexuelle commet de nouveaux faits dans les délais de la récidive, elle encourt le double de la

peine prévue. Ainsi, un individu déjà condamné pour agression sexuelle encourra jusqu’à 20 ans de réclusion criminelle en cas de récidive aggravée.

La jurisprudence illustre cette sévérité : Cass. crim., 22 janvier 2020, un auteur récidiviste a vu sa peine portée de 10 à 18 ans de réclusion

criminelle. Cette sévérité se justifie par la dangerosité accrue des profils récidivistes, souvent évalués par expertise psychiatrique.

Le Cabinet ACI intervient régulièrement dans ces affaires complexes, tant pour obtenir une juste sanction que pour plaider l’atténuation de la

peine lorsque la réinsertion reste possible.

XI).  —  Les débats actuels : consentement et âge minimal

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

La question du consentement occupe une place centrale dans les affaires d’agressions sexuelles. Si la loi française exige violence, menace,

contrainte ou surprise, de nombreux juristes militent pour une reconnaissance explicite de l’absence de consentement comme critère unique, à

l’image de plusieurs pays européens.

La loi du 21 avril 2021 a marqué une avancée en fixant à 15 ans l’âge du consentement sexuel, et à 18 ans pour les relations entre mineurs et

personnes en position d’autorité. Ainsi, tout acte sexuel avec un enfant de moins de 15 ans est désormais automatiquement qualifié de viol ou

d’agression sexuelle, sans qu’il soit nécessaire de prouver la contrainte.

Exemple : dans l’arrêt CA Versailles, 5 mai 2022, un homme de 25 ans a été condamné pour agression sexuelle sur une mineure de 14 ans, le

simple écart d’âge suffisant à caractériser l’absence de consentement.

XII).  —  Le mouvement #MeToo et ses conséquences juridiques

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

Le mouvement #MeToo a profondément modifié la perception sociale et judiciaire des agressions sexuelles. En libérant la parole des victimes, il a

conduit à une augmentation significative des plaintes et des enquêtes. Les juridictions françaises ont dû s’adapter à cette nouvelle réalité, en

renforçant les moyens humains et matériels pour instruire ces affaires sensibles.

Le Cabinet ACI constate que les victimes se présentent plus tôt et plus facilement aux autorités, grâce à la médiatisation et à l’évolution culturelle.

Cette évolution contribue aussi à l’extension jurisprudentielle de la notion d’agression sexuelle, notamment en ce qui concerne les agressions

commises dans le cadre professionnel ou scolaire.

XIII).  —  Les conséquences sociales et professionnelles des agressions sexuelles

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

Les agressions sexuelles produisent des conséquences considérables, non seulement pour les victimes, mais aussi pour la société dans son

ensemble. Sur le plan individuel, la victime peut souffrir de traumatismes psychologiques (syndrome post-traumatique, anxiété, dépression,

isolement social). Les séquelles physiques, bien que moins fréquentes que dans le cas de violences graves, n’en demeurent pas moins significatives.

Au plan professionnel, une victime d’agression sexuelle peut perdre son emploi ou se voir contrainte de changer de poste pour des raisons de

sécurité psychologique. Les employeurs ont une obligation légale de prévention (article L.4121-1 du Code du travail), ce qui implique des

mesures de sensibilisation, de signalement et d’accompagnement. L’arrêt Cass. soc., 1er juin 2016 a d’ailleurs sanctionné une entreprise pour

manquement à son obligation de sécurité, après qu’une salariée victime de harcèlement sexuel n’ait pas été protégée correctement.

Pour les auteurs condamnés, les conséquences professionnelles sont également lourdes : interdictions d’exercer certaines professions

(enseignement, animation, professions de santé), fichage au FIJAIS (Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes),

obligation de suivi socio-judiciaire, et stigmatisation sociale durable.

XIV).  —  Études de cas jurisprudentiels détaillés

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

A). Violences sexuelles en milieu professionnel

Dans l’arrêt CA Paris, 17 novembre 2020, un supérieur hiérarchique a été condamné à 5 ans de prison dont 2 ans ferme pour agression sexuelle

répétée sur une salariée. La cour a souligné le déséquilibre hiérarchique et l’abus d’autorité comme éléments constitutifs.

B). Agressions sexuelles dans le cadre familial

Dans l’arrêt Cass. crim., 12 juillet 2018, un père a été condamné à 12 ans de réclusion criminelle pour agressions sexuelles sur sa fille mineure.

La cour a rappelé que l’autorité parentale ne peut jamais constituer une circonstance atténuante, mais au contraire une circonstance aggravante.

C). Affaire médiatique et impact sociétal

En 2021, plusieurs affaires médiatisées ont entraîné un renforcement du traitement judiciaire des agressions sexuelles, notamment l’affaire

Duhamel, qui a mis en lumière les carences dans la protection des mineurs et conduit à une réforme de la prescription pénale en matière

d’infractions sexuelles.

XV).  —  Le rôle stratégique du Cabinet ACI

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

Le Cabinet ACI, avocats pénalistes à Paris, est spécialisé dans la défense des affaires de droit pénal sexuel. Son rôle est multiple :

1).  Assistance des victimes :

constitution de partie civile, accompagnement psychologique et judiciaire, obtention d’indemnisations devant les juridictions pénales et civiles.

2).  Défense des auteurs présumés :

vérification de la légalité de la procédure, contestation des expertises, préparation de la stratégie de défense, plaidoirie pour des peines adaptées ou

alternatives.

3). Expertise technique :

connaissance approfondie du Code pénal, de la procédure pénale et de la jurisprudence récente.

Le cabinet s’appuie sur des arrêts récents et marquants pour illustrer ses plaidoiries, comme Cass. crim., 27 janvier 2021, où la cour a annulé

une condamnation pour violation du droit à un procès équitable (article 6 CEDH).

XVI).  —  Les enjeux de prévention et de sensibilisation

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

La prévention est essentielle pour réduire le nombre d’agressions sexuelles. Les campagnes publiques, la formation des personnels éducatifs et

l’information dans les entreprises participent à une meilleure protection. Le gouvernement français a lancé plusieurs campagnes de sensibilisation

depuis 2018, visant à promouvoir le respect du consentement et à encourager les victimes à porter plainte.

Le Cabinet ACI recommande également aux employeurs de mettre en place des cellules de signalement internes, afin de prévenir et traiter

rapidement toute situation de harcèlement ou d’agression sexuelle.

XVII).  —  Conclusion générale

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

Les agressions sexuelles et infractions associées demeurent au cœur des préoccupations sociales, politiques et judiciaires. Le législateur, la

jurisprudence et la doctrine convergent pour renforcer la protection des victimes tout en garantissant les droits des personnes poursuivies.

La sévérité des sanctions, l’élargissement des circonstances aggravantes, l’évolution de la notion de consentement et l’impact du mouvement

#MeToo traduisent une mutation profonde du droit pénal sexuel. Toutefois, chaque affaire doit être examinée individuellement, avec rigueur et

équilibre, afin d’éviter les excès et de préserver le principe de présomption d’innocence.

Le Cabinet ACI, pénalistes à Paris, fort de son expérience et de son engagement, continue d’accompagner ses clients dans ce domaine

complexe, en offrant une défense ferme, humaine et adaptée à chaque situatio

XVIII).  —  LES TABLEAUX

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

A). Tableau des infractions

1).  Agression sexuelle simple : sans pénétration, avec violence, contrainte, menace ou surprise (art. 222-22 et 222-27).

2).  Agression sexuelle aggravée : victime mineure, vulnérable, ou auteur en position d’autorité (art. 222-28).

3).  Viol : acte de pénétration commis par violence, contrainte, menace ou surprise (art. 222-23).

4).  Harcèlement sexuel : comportements répétés ou pression grave à caractère sexuel (art. 222-33).

5).  Atteinte sexuelle sur mineur : acte commis sur mineur de moins de 15 ans sans violence mais sans consentement valable (art. 227-25).

6).  Corruption de mineur : incitation d’un mineur à des comportements sexuels (art. 227-22).

7).  Pédopornographie : production, détention, diffusion d’images pornographiques de mineurs (art. 227-23).

B). Tableau des circonstances aggravantes

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

1).  Victime âgée de moins de 15 ans.

2).  Victime particulièrement vulnérable (maladie, grossesse, handicap).

3).  Auteur ascendant ou en situation d’autorité (parent, enseignant, professionnel de santé).

4).  Actes commis en réunion (par plusieurs personnes).

5).  Usage ou menace avec une arme.

6). Violences habituelles ou répétées.

7).  Circonstances commises dans un cadre professionnel (abus d’autorité hiérarchique).

8).  Victime en situation de dépendance économique ou psychologique.

C). Tableau des références légales

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

1).  Article 222-22 : définition de l’agression sexuelle.

2).  Article 222-23 : définition du viol.

3).  Article 222-27 : agression sexuelle simple (5 ans et 75 000 €).

4).  Article 222-28 : agression sexuelle aggravée (7 à 10 ans, 100 000 à 150 000 €).

5).  Article 222-29 : infractions sexuelles commises par un ascendant.

6).  Article 222-30 : infractions sexuelles commises en réunion.

7).  Article 222-33 : harcèlement sexuel.

8).  Article 227-22 : corruption de mineurs.

9).  Article 227-23 : pédopornographie.

10).  Article 227-25 : atteinte sexuelle sur mineur de 15 ans.

D). Tableau des jurisprudences marquantes

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

1).  Cass. crim., 15 nov. 2016 : absence de consentement explicite suffit à caractériser l’agression sexuelle.

2).  Cass. crim., 25 oct. 2017 : 8 ans ferme pour agression sexuelle aggravée sur mineur.

3).  Cass. crim., 12 juil. 2018 : condamnation aggravée d’un père pour agressions sexuelles sur sa fille.

4).  Cass. crim., 22 janv. 2020 : récidive d’agressions sexuelles, peine portée de 10 à 18 ans.

5).  CA Paris, 17 nov. 2020 : agression sexuelle en milieu professionnel, 5 ans dont 2 ferme.

6).  Cass. crim., 6 janv. 2021 : droit à l’avocat en garde à vue renforcé en matière sexuelle.

7).  CA Versailles, 5 mai 2022 : agression sexuelle sur mineure de 14 ans, condamnation confirmée.

E). Tableau des conséquences

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

1).  Employeurs : obligation de prévention (Code du travail art. L.4121-1), responsabilité civile et pénale en cas de manquement.

2).  Salariés : sanctions disciplinaires (licenciement pour faute grave), responsabilité pénale en cas de faits commis sur le lieu de travail.

3).  Victimes : droit à réparation intégrale (corporel, moral, économique), accès à la CIVI et au Fonds de garantie.

4).  Auteurs condamnés : inscription au FIJAIS, interdictions professionnelles, obligation de suivi socio-judiciaire, peines de prison.

5).  Société : coût économique et social, atteinte à la confiance publique, nécessité de politiques de prévention et de réinsertion.

XIX).  —  Contactez un avocat

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

pour votre défense

A).  —  LES MOTS CLES JURIDIQUES : 

1). Agressions sexuelles

agression sexuelle, Code pénal, consentement, contrainte, menace, surprise, contact sexuel, dignité, atteinte sexuelle, procédure, ITT, victime, auteur, infraction, atteinte à l’intégrité, tentative, poursuites, condamnation, juge, violence, preuve, jurisprudence, enquête, partie civile, prescription

2). Viol et viol aggravé

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

viol, pénétration, réclusion criminelle, viol aggravé, ascendant, arme, réunion, mineur, autorité, contrainte, menace, violence, consentement, Code pénal, agression, condamnation, ITT, assises, circonstance aggravante, jurisprudence, arrêt, victime, culpabilité, condamnation ferme, amende

3). Harcèlement sexuel

harcèlement sexuel, propos, comportement, répétition, pression, dignité, travail, supérieur hiérarchique, salarié, menace, autorité, contrainte, consentement, infraction, Code pénal, plainte, juge, condamnation, avocat, Cabinet ACI, audience, dommages-intérêts, indemnisation, droit du travail, prévention

4). Atteintes sexuelles sur mineurs

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

atteinte sexuelle, mineur, moins de 15 ans, consentement, vulnérabilité, contrainte, viol, autorité, ascendant, école, enseignant, famille, obligation de protection, Code pénal, condamnation, assises, prison, réclusion, infraction, préjudice, CIVI, réparation, victime mineure, enquête, partie civile

5). Corruption de mineurs et pédopornographie

corruption de mineur, pédopornographie, images, vidéos, diffusion, détention, internet, réseau, infraction, Code pénal, article 227, mineur, exploitation, abus, contrainte, autorité, production, sanction, confiscation, juridiction, amende, prison, enquête, preuve, préjudice, protection

6). Circonstances aggravantes

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

circonstances aggravantes, arme, réunion, bande organisée, ascendant, autorité, vulnérable, mineur, contrainte, préméditation, répétition, violences habituelles, position hiérarchique, abus d’autorité, tribunal correctionnel, cour d’assises, aggravation de peine, récidive, ITT, Code pénal, preuve, auteur, jurisprudence, arrêt

7). Sanctions pénales

sanction, peine, prison, amende, réclusion, contrainte, sursis, suivi socio-judiciaire, interdiction professionnelle, interdiction de contact, TIG, casier judiciaire, FIJAIS, aggravation, tribunal, assises, condamnation ferme, alternative, mesure de sûreté, obligation de soins, confiscation, préjudice, réparation, indemnisation

8). Victimes et droits

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

victime, préjudice moral, préjudice corporel, réparation, dommages-intérêts, CIVI, indemnisation, Fonds de garantie, plainte, constitution de partie civile, protection, ordonnance, aide juridictionnelle, avocat, soutien, accompagnement, associations, Cabinet ACI, tribunal, assises, audience, droit des victimes, reconnaissance, jugement, arrêt

9). Auteurs et responsabilité

auteur, responsabilité pénale, responsabilité civile, contrainte, menace, violence, consentement, récidive, réitération, culpabilité, défense, avocat, juge, tribunal correctionnel, assises, témoin, enquête, audition, garde à vue, mise en examen, condamnation, procédure, preuve, stratégie, plaidoirie

10). Code pénal et textes de loi

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

Code pénal, article 222-22, article 222-23, article 222-27, article 222-28, article 222-29, article 222-30, article 222-33, article 227-22, article 227-23, article 227-25, ITT, procédure, plainte, condamnation, jurisprudence, arrêt, juge, tribunal, assises, infraction, sanction, condamnation ferme, loi

11). Procédure pénale

procédure pénale, plainte, dépôt de plainte, enquête, audition, garde à vue, perquisition, instruction, juge d’instruction, partie civile, tribunal correctionnel, cour d’assises, comparution immédiate, mise en examen, appel, cassation, recours, droits de la défense, avocat, nullité, preuve, contradictoire, témoins, expertise, tribunal

12). Jurisprudences

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

jurisprudence, Cass. crim., Cour de cassation, CA Paris, CA Versailles, CA Lyon, arrêt, décision, condamnation, acquittement, relaxe, jurisprudence constante, jurisprudence évolutive, interprétation, juge, jurisprudence européenne, CEDH, protection des victimes, condamnation ferme, prescription, jurisprudence marquante, arrêt récent, jurisprudence sexuelle

13). Légitime défense et contestation

légitime défense, contestation, absence de consentement, disproportion, riposte, défense, avocat, plaidoirie, stratégie, nullité, expertise médicale, expertise psychologique, preuve, témoignage, présomption d’innocence, droits de la défense, Cabinet ACI, cassation, relaxe, acquittement, cause d’irresponsabilité, article 122-5, juge, audience, assises

14). Mineurs et protection

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

mineur, protection, juge des enfants, Code de justice pénale des mineurs, vulnérabilité, ascendant, autorité, école, enseignant, agression sexuelle, viol, atteinte sexuelle, corruption, pédopornographie, préjudice, réparation, indemnisation, assistance éducative, tribunal pour enfants, centre éducatif fermé, récidive mineurs, mesures éducatives, assistance, CIVI, arrêt

15). Employeurs et travail

employeur, obligation de sécurité, Code du travail, responsabilité civile, responsabilité pénale, harcèlement sexuel, agression sexuelle au travail, salarié, hiérarchie, licenciement, faute grave, prud’hommes, prévention, sanction disciplinaire, obligation de signalement, tolérance zéro, entreprise, syndicats, contrat de travail, contentieux, jurisprudence sociale, arrêt, condamnation

16). Récidive et réitération

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

récidive, réitération, alourdissement de peine, peine plancher, dangerosité, expertise psychiatrique, réinsertion, détention, tribunal correctionnel, assises, contrainte, condamnation, suivi socio-judiciaire, FIJAIS, sursis, aggravation, Cass. crim., arrêt, jurisprudence, protection société, prévention, récidive sexuelle, obligation de soins, réclusion, réitération d’infractions

17). Responsabilité civile

responsabilité civile, réparation, dommages-intérêts, préjudice corporel, préjudice moral, préjudice matériel, tribunal civil, intérêts civils, constitution de partie civile, indemnisation, avocat, Cabinet ACI, jurisprudence, arrêt, Code civil, procédure, plainte, victime, audience, jugement, expertise, provision, obligation de réparation, réparation intégrale, indemnisation financière

18). Prévention et sensibilisation

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

prévention, sensibilisation, campagne, éducation, école, entreprise, association, société civile, médiation, cellule de signalement, protection, prévention violences sexuelles, prévention mineurs, prévention travail, sensibilisation consentement, stage, formation, médiatisation, tolérance zéro, #MeToo, gouvernement, police, gendarmerie, justice, prévention récidive

19). Peines alternatives

peines alternatives, travail d’intérêt général, TIG, sursis probatoire, amende, médiation pénale, réparation pénale, stage de sensibilisation, bracelet électronique, obligation de soins, suivi, réinsertion, alternative prison, prévention récidive, juge de l’application des peines, JAP, Cabinet ACI, stratégie, plaidoirie, avocat, jurisprudence, réduction peine, suspension, contrôle judiciaire

20). Conséquences sociales

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

conséquences sociales, traumatisme, syndrome post-traumatique, anxiété, dépression, isolement, perte d’emploi, stigmatisation, exclusion, impact économique, coût public, santé publique, système judiciaire, récidive, insécurité, cohésion sociale, climat professionnel, victime, famille, entourage, société, impact médiatique, réputation, atteinte dignité, réparation, prévention

B).  —  LES PHRASES JURIDIQUES :

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

1). Agressions sexuelles

  1. L’agression sexuelle est définie par l’article 222-22 du Code pénal.
  2. Elle suppose violence, menace, contrainte ou surprise.
  3. L’agression sexuelle se distingue du viol par l’absence de pénétration.
  4. La jurisprudence rappelle que le simple contact sexuel imposé suffit.
  5. L’article 222-27 prévoit 5 ans de prison et 75 000 € d’amende.
  6. Le Cabinet ACI intervient régulièrement dans ce type d’affaires.
  7. Une ITT peut être retenue comme preuve d’agression sexuelle.
  8. Les victimes peuvent se constituer partie civile.
  9. L’agression sexuelle peut être commise par un proche ou un inconnu.
  10. La contrainte psychologique suffit à caractériser l’infraction.
  11. Le juge apprécie les circonstances de l’agression sexuelle.
  12. La procédure débute par une plainte de la victime.
  13. L’agression sexuelle porte gravement atteinte à la dignité humaine.
  14. La jurisprudence sanctionne aussi les agressions sexuelles verbales.
  15. La répression des agressions sexuelles vise à protéger les plus vulnérables.

2). Viol et viol aggravé

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. Le viol est défini par l’article 222-23 du Code pénal.
  2. Il suppose une pénétration sexuelle par violence, contrainte, menace ou surprise.
  3. La peine est de 15 ans de réclusion criminelle.
  4. En cas de circonstances aggravantes, la peine est portée à 20 ans.
  5. Le viol commis par ascendant est particulièrement réprimé.
  6. La jurisprudence applique strictement la notion de viol.
  7. Le Cabinet ACI assiste les victimes de viol devant les assises.
  8. La défense peut contester les expertises médicales.
  9. Le viol sur mineur est jugé par la cour d’assises.
  10. La tentative de viol est punie comme le viol consommé.
  11. Le viol en réunion constitue une circonstance aggravante.
  12. La preuve du non-consentement est essentielle.
  13. La récidive de viol entraîne des peines planchers.
  14. Les victimes de viol peuvent saisir la CIVI.
  15. Le viol est l’une des infractions les plus sévèrement sanctionnées.

3). Harcèlement sexuel

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. Le harcèlement sexuel est réprimé par l’article 222-33 du Code pénal.
  2. Il suppose des propos ou comportements répétés à connotation sexuelle.
  3. Le harcèlement sexuel peut avoir lieu sur le lieu de travail.
  4. Le Cabinet ACI défend salariés et employeurs dans ces affaires.
  5. Le harcèlement sexuel porte atteinte à la dignité de la victime.
  6. La peine est de 2 ans de prison et 30 000 € d’amende.
  7. En cas de circonstances aggravantes, les peines sont doublées.
  8. Les entreprises doivent mettre en place une prévention spécifique.
  9. Les victimes peuvent saisir le conseil de prud’hommes.
  10. La jurisprudence sociale sanctionne les employeurs négligents.
  11. Le harcèlement sexuel est aussi une faute disciplinaire grave.
  12. La récidive entraîne un alourdissement de la sanction.
  13. Les victimes de harcèlement sexuel peuvent bénéficier d’une protection spéciale.
  14. Le juge évalue le contexte et la répétition des faits.
  15. La prévention du harcèlement sexuel est une obligation légale.

4). Atteintes sexuelles sur mineurs

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. L’atteinte sexuelle sur mineur est définie par l’article 227-25 du Code pénal.
  2. Elle vise les actes commis sans violence mais sur mineurs de moins de 15 ans.
  3. Le consentement du mineur est juridiquement inopérant.
  4. La peine est de 7 ans d’emprisonnement et 100 000 € d’amende.
  5. L’atteinte sexuelle sur mineur est jugée au correctionnel.
  6. Le Cabinet ACI défend régulièrement victimes et accusés.
  7. La jurisprudence renforce la protection des mineurs.
  8. L’âge de consentement sexuel est fixé à 15 ans.
  9. Les atteintes sexuelles par ascendant sont aggravées.
  10. Les atteintes sexuelles en milieu scolaire sont fréquentes.
  11. L’absence de contrainte n’exonère pas l’auteur.
  12. Le juge apprécie l’écart d’âge entre auteur et victime.
  13. Les atteintes sexuelles sont imprescriptibles dans certains cas.
  14. La récidive entraîne des peines plus lourdes.
  15. Les mineurs bénéficient d’une protection juridique renforcée.

5). Corruption de mineurs et pédopornographie

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. La corruption de mineurs est prévue à l’article 227-22 du Code pénal.
  2. Elle consiste à inciter un mineur à des comportements sexuels.
  3. La pédopornographie est sanctionnée par l’article 227-23.
  4. La détention d’images pédopornographiques est réprimée.
  5. La diffusion de tels contenus constitue une infraction aggravée.
  6. Le Cabinet ACI intervient dans les affaires de cybercriminalité sexuelle.
  7. Les peines peuvent atteindre 5 ans de prison et 75 000 € d’amende.
  8. La production d’images pédopornographiques est sévèrement punie.
  9. Les réseaux de diffusion sont démantelés par la police judiciaire.
  10. La jurisprudence sanctionne aussi la simple consultation.
  11. La récidive entraîne l’inscription au FIJAIS.
  12. Les mineurs victimes bénéficient d’une protection renforcée.
  13. La corruption de mineurs en ligne est en forte augmentation.
  14. Le juge peut ordonner la confiscation du matériel informatique.
  15. La lutte contre la pédopornographie est une priorité internationale.

6). Circonstances aggravantes

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. Les circonstances aggravantes sont prévues aux articles 222-28 à 222-30 du Code pénal.
  2. L’usage ou la menace d’une arme constitue une circonstance aggravante.
  3. Le fait que la victime soit mineure de moins de 15 ans aggrave la peine.
  4. La vulnérabilité de la victime est expressément visée par la loi.
  5. L’agression sexuelle commise en réunion est une circonstance aggravante.
  6. L’abus d’autorité professionnelle est également retenu comme circonstance aggravante.
  7. Le Cabinet ACI plaide souvent dans des affaires avec circonstances aggravantes.
  8. La préméditation augmente la gravité de l’infraction.
  9. La réitération d’actes de violences sexuelles constitue une circonstance aggravante.
  10. Les violences habituelles sont lourdement sanctionnées.
  11. Les infractions commises dans le cadre familial sont aggravées par la loi.
  12. La jurisprudence applique strictement ces circonstances aggravantes.
  13. L’article 222-29 vise l’abus d’autorité d’un ascendant.
  14. L’article 222-30 vise les actes commis en réunion.
  15. La présence de circonstances aggravantes double souvent la peine encourue.

7). Sanctions pénales

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. Les sanctions pénales varient selon la gravité de l’infraction.
  2. L’agression sexuelle simple est punie de 5 ans d’emprisonnement.
  3. Les agressions sexuelles aggravées sont punies de 7 à 10 ans de prison.
  4. Le viol est puni de 15 ans de réclusion criminelle.
  5. Le viol aggravé est puni de 20 ans de réclusion criminelle.
  6. La récidive entraîne un doublement des peines.
  7. Les sanctions incluent aussi des amendes importantes.
  8. Les peines peuvent inclure un suivi socio-judiciaire.
  9. Le juge peut prononcer des interdictions professionnelles.
  10. La confiscation de matériel est une sanction fréquente.
  11. Les peines alternatives sont parfois prononcées.
  12. Le Cabinet ACI plaide souvent pour l’atténuation des peines.
  13. Les sanctions visent aussi la protection de la société.
  14. Les juges individualisent toujours la peine selon le dossier.
  15. Les sanctions pénales incluent aussi des mesures de sûreté.

8). Victimes et droits

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. Les victimes d’agressions sexuelles ont droit à une réparation intégrale.
  2. Elles peuvent se constituer partie civile devant le juge pénal.
  3. La CIVI permet une indemnisation même si l’auteur est insolvable.
  4. Les victimes ont droit à une protection renforcée en procédure.
  5. Le préjudice moral est indemnisé par les juridictions.
  6. Le préjudice corporel fait l’objet d’une expertise médicale.
  7. Le Cabinet ACI accompagne les victimes dans leurs démarches.
  8. Les victimes mineures bénéficient d’une protection spécifique.
  9. Les associations d’aide aux victimes apportent un soutien psychologique.
  10. Les victimes peuvent bénéficier de l’aide juridictionnelle.
  11. La jurisprudence reconnaît la souffrance psychologique des victimes.
  12. Les ordonnances de protection assurent la sécurité immédiate.
  13. Les victimes peuvent demander réparation devant le civil.
  14. La victime peut être assistée par un avocat dès le dépôt de plainte.
  15. La protection des victimes est un objectif central du droit pénal sexuel.

9). Auteurs et responsabilité

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. L’auteur d’une agression sexuelle engage sa responsabilité pénale.
  2. Il peut être poursuivi même en cas de tentative.
  3. L’auteur encourt des peines aggravées en cas de récidive.
  4. L’auteur peut être jugé au correctionnel ou aux assises.
  5. Sa responsabilité civile peut aussi être engagée.
  6. Le Cabinet ACI assure aussi la défense des auteurs présumés.
  7. Les auteurs sont inscrits au fichier FIJAIS.
  8. La responsabilité pénale est personnelle et directe.
  9. L’auteur peut être soumis à un suivi socio-judiciaire.
  10. L’auteur récidiviste est considéré comme dangereux par la jurisprudence.
  11. L’auteur peut bénéficier de circonstances atténuantes.
  12. La défense peut plaider l’absence de contrainte.
  13. L’auteur peut contester les expertises médicales.
  14. La responsabilité civile vise la réparation des victimes.
  15. L’auteur doit répondre de ses actes devant la justice.

10). Code pénal et textes de loi

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. Le Code pénal encadre toutes les infractions sexuelles.
  2. L’article 222-22 définit l’agression sexuelle.
  3. L’article 222-23 définit le viol.
  4. L’article 222-27 fixe la peine de l’agression sexuelle simple.
  5. L’article 222-28 prévoit les sanctions aggravées.
  6. L’article 222-29 vise les abus d’autorité par ascendant.
  7. L’article 222-30 vise les infractions commises en réunion.
  8. L’article 222-33 sanctionne le harcèlement sexuel.
  9. L’article 227-22 sanctionne la corruption de mineurs.
  10. L’article 227-23 punit la pédopornographie.
  11. L’article 227-25 sanctionne les atteintes sexuelles sur mineurs.
  12. Le Cabinet ACI utilise systématiquement ces références en plaidoirie.
  13. La jurisprudence complète ces dispositions légales.
  14. Les textes sont interprétés strictement par les juges.
  15. Le Code pénal constitue le socle des poursuites pour agressions sexuelles.

11). Procédure pénale

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. La procédure pénale débute par une plainte déposée par la victime.
  2. L’enquête est conduite par la police ou la gendarmerie.
  3. L’auteur présumé peut être placé en garde à vue.
  4. Le juge d’instruction peut décider d’une mise en examen.
  5. La partie civile peut être constituée à tout moment.
  6. Le Cabinet ACI assiste les clients dès la garde à vue.
  7. L’affaire peut être jugée au tribunal correctionnel ou aux assises.
  8. La procédure peut donner lieu à un appel.
  9. La Cour de cassation contrôle la correcte application du droit.
  10. Le contradictoire est un principe fondamental de la procédure.
  11. Les expertises médicales et psychologiques sont souvent ordonnées.
  12. La défense peut soulever des nullités de procédure.
  13. Le ministère public représente l’intérêt de la société.
  14. Les délais de prescription encadrent les poursuites.
  15. La procédure pénale garantit aussi les droits de la défense.

12). Jurisprudences

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. La jurisprudence précise l’interprétation des infractions sexuelles.
  2. L’arrêt Cass. crim., 15 nov. 2016 a défini l’absence de consentement.
  3. Cass. crim., 25 oct. 2017 a confirmé une peine de 8 ans pour agression aggravée.
  4. Cass. crim., 12 juil. 2018 a sanctionné un père pour agressions sexuelles sur sa fille.
  5. Cass. crim., 22 janv. 2020 a alourdi une peine en cas de récidive.
  6. CA Paris, 17 nov. 2020 a condamné un supérieur hiérarchique pour agression sexuelle.
  7. Cass. crim., 6 janv. 2021 a rappelé le droit à un avocat dès la garde à vue.
  8. CA Versailles, 5 mai 2022 a jugé une affaire d’agression sexuelle sur mineure de 14 ans.
  9. Cass. crim., 3 mai 2022 a appliqué strictement la préméditation.
  10. La jurisprudence adapte la loi aux cas concrets.
  11. Le Cabinet ACI utilise systématiquement la jurisprudence en défense.
  12. Les arrêts de la CEDH influencent la jurisprudence française.
  13. La jurisprudence garantit une protection effective des victimes.
  14. Elle veille aussi à respecter les droits de la défense.
  15. La jurisprudence évolue avec la société et ses valeurs.

13). Légitime défense et contestation

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. La légitime défense est une cause d’irresponsabilité pénale.
  2. L’article 122-5 du Code pénal en définit les conditions.
  3. La défense peut invoquer l’absence de contrainte ou menace.
  4. L’avocat peut contester la crédibilité d’un témoignage.
  5. Les expertises médicales peuvent être contestées.
  6. Le Cabinet ACI plaide souvent la nullité de procédure.
  7. La présomption d’innocence protège l’accusé.
  8. La défense peut invoquer le doute au bénéfice de l’accusé.
  9. L’absence de preuves matérielles peut entraîner une relaxe.
  10. Le juge apprécie librement les éléments de preuve.
  11. La stratégie de défense varie selon le dossier.
  12. L’acquittement est possible devant les assises.
  13. La relaxe est possible devant le tribunal correctionnel.
  14. Le contradictoire permet d’assurer une défense équilibrée.
  15. La contestation vise à éviter une condamnation injustifiée.

14). Mineurs et protection

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. Les mineurs bénéficient d’une protection renforcée par le Code pénal.
  2. L’âge de consentement est fixé à 15 ans.
  3. Les relations sexuelles entre adulte et mineur de moins de 15 ans sont interdites.
  4. L’article 227-25 sanctionne les atteintes sexuelles sur mineurs.
  5. L’atteinte sexuelle est punie même sans violence.
  6. Le Cabinet ACI défend aussi les mineurs victimes.
  7. Les infractions commises par ascendant sont aggravées.
  8. Les enseignants ont une responsabilité particulière.
  9. Le juge des enfants peut être saisi pour protection.
  10. Les mesures éducatives visent à protéger le mineur.
  11. La CIDE (Convention internationale des droits de l’enfant) renforce la protection.
  12. La jurisprudence protège strictement les mineurs.
  13. Le mineur victime peut être indemnisé par la CIVI.
  14. La prescription est allongée pour les infractions sexuelles sur mineurs.
  15. La prévention scolaire vise à limiter les infractions sexuelles.

15). Employeurs et travail

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. Les employeurs ont une obligation légale de sécurité au travail.
  2. L’article L.4121-1 du Code du travail impose la prévention.
  3. Le harcèlement sexuel sur le lieu de travail est interdit.
  4. Le conseil de prud’hommes peut être saisi par la victime.
  5. La jurisprudence sanctionne les employeurs négligents.
  6. Le Cabinet ACI assiste aussi en droit du travail.
  7. Le harcèlement sexuel constitue une faute grave.
  8. Le salarié victime peut demander réparation.
  9. Le licenciement de l’auteur peut être immédiat.
  10. La prévention du harcèlement est une obligation de l’entreprise.
  11. Les syndicats peuvent accompagner la victime.
  12. Le harcèlement sexuel entraîne aussi des poursuites pénales.
  13. Les employeurs doivent mettre en place des cellules de signalement.
  14. Le non-respect des obligations de sécurité entraîne une condamnation.
  15. Le climat de travail doit protéger contre les agressions sexuelles.

16). Récidive et réitération

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. La récidive en matière d’agressions sexuelles entraîne un doublement des peines.
  2. L’article 132-9 du Code pénal encadre la récidive légale.
  3. La réitération d’actes sexuels est aussi sanctionnée.
  4. La récidive est souvent constatée par expertise psychiatrique.
  5. Les récidivistes sont inscrits au fichier FIJAIS.
  6. Le Cabinet ACI défend aussi des dossiers de récidive.
  7. Les peines planchers s’appliquent aux récidives sexuelles.
  8. La réitération traduit une dangerosité criminologique.
  9. Le juge peut prononcer une réclusion criminelle plus longue.
  10. La jurisprudence confirme la sévérité en cas de récidive.
  11. Cass. crim., 22 janv. 2020 a alourdi une peine de 10 à 18 ans.
  12. La récidive entraîne aussi un suivi socio-judiciaire obligatoire.
  13. La réitération peut entraîner des peines complémentaires.
  14. Les auteurs récidivistes ont un régime de détention plus strict.
  15. La récidive sexuelle est une priorité de la politique pénale.

17). Responsabilité civile

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. La responsabilité civile de l’auteur vise à réparer les dommages causés.
  2. La constitution de partie civile permet de réclamer des dommages-intérêts.
  3. Le préjudice moral est indemnisé devant le juge pénal.
  4. Le préjudice corporel donne lieu à une expertise médicale.
  5. Le Cabinet ACI assiste les victimes dans leur demande d’indemnisation.
  6. La réparation inclut aussi les pertes économiques.
  7. La responsabilité civile est distincte de la responsabilité pénale.
  8. Le tribunal civil peut compléter la réparation pénale.
  9. Le Fonds de garantie indemnise en cas d’insolvabilité de l’auteur.
  10. La jurisprudence reconnaît la réparation intégrale du dommage.
  11. L’arrêt Cass. crim., 5 avr. 2018 a consacré l’indemnisation du préjudice moral distinct.
  12. Les victimes peuvent saisir la CIVI pour indemnisation.
  13. La responsabilité civile impose une réparation intégrale.
  14. La réparation vise à compenser toutes les conséquences de l’infraction.
  15. Le juge civil fixe le montant des dommages-intérêts.

18). Prévention et sensibilisation

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. La prévention est un axe majeur de lutte contre les agressions sexuelles.
  2. Les campagnes publiques sensibilisent au respect du consentement.
  3. Le mouvement #MeToo a favorisé la libération de la parole.
  4. Les écoles organisent des séances de prévention.
  5. Les entreprises doivent mettre en place des formations internes.
  6. Le Cabinet ACI encourage la prévention en milieu professionnel.
  7. La sensibilisation vise à protéger les mineurs et les vulnérables.
  8. Les associations participent aux actions de prévention.
  9. La prévention passe aussi par la médiatisation des affaires.
  10. Les forces de l’ordre sont formées à recueillir la parole des victimes.
  11. Les stages de sensibilisation sont utilisés comme peine alternative.
  12. Le gouvernement français a renforcé les dispositifs en 2018.
  13. La prévention réduit la récidive des auteurs condamnés.
  14. Les campagnes visent aussi à encourager le dépôt de plainte.
  15. La prévention participe à la protection globale de la société.

19). Peines alternatives

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. Les peines alternatives permettent d’éviter la prison dans certains cas.
  2. Le travail d’intérêt général est une peine fréquente.
  3. Le sursis probatoire accompagne souvent une condamnation.
  4. Le juge peut imposer un stage de sensibilisation.
  5. Le bracelet électronique est une mesure de substitution.
  6. Le Cabinet ACI plaide parfois pour des peines alternatives.
  7. L’obligation de soins accompagne souvent ces mesures.
  8. Le suivi socio-judiciaire est une alternative à la détention.
  9. La médiation pénale peut être ordonnée.
  10. Le juge de l’application des peines gère ces mesures.
  11. Les peines alternatives visent la réinsertion des condamnés.
  12. Elles évitent la surpopulation carcérale.
  13. Elles responsabilisent l’auteur de l’infraction.
  14. Les peines alternatives incluent la réparation pénale.
  15. Ces peines sont strictement encadrées par le Code pénal.

20). Conséquences sociales

(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

  1. Les conséquences sociales des agressions sexuelles sont considérables.
  2. Les victimes souffrent de traumatismes psychologiques.
  3. Elles peuvent développer un syndrome post-traumatique.
  4. Les conséquences incluent aussi des troubles anxieux.
  5. La victime peut perdre son emploi après une agression.
  6. Le Cabinet ACI assiste les victimes dans leur reconstruction.
  7. Les familles des victimes subissent aussi des répercussions.
  8. Les auteurs condamnés subissent une stigmatisation sociale.
  9. Les agressions sexuelles affectent la cohésion sociale.
  10. La récidive accentue le sentiment d’insécurité.
  11. Les conséquences économiques pour la société sont importantes.
  12. Les campagnes de prévention visent à réduire ces impacts.
  13. Les victimes peuvent être exclues de leur milieu social.
  14. La société doit favoriser la réinsertion des auteurs condamnés.
  15. Les conséquences sociales rappellent la gravité de ces infractions.
à cause de cela,
(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

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(Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

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Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone, ou

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d’enquête (garde à vue) ; d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la

chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration

pénitentiaire par exemple).

XX).  —  Les domaines d’intervention du cabinet Aci

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Engagement, E-mail : contact@cabinetaci.com

Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste (Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

En somme, Droit pénal (Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

Tout d’abord, pénal général (Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal

Puis, pénal des affaires (Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

Aussi, Droit pénal fiscal (Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

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De même, Le droit pénal douanier (Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

En outre, Droit pénal de la presse (Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

                 Et ensuite (Agressions sexuelles : sanctions et infractions associées)

Donc, pénal routier infractions

Outre cela, Droit pénal du travail

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Ainsi, Droit pénal de l’informatique

En fait, pénal international

Tandis que, Droit pénal des sociétés

Néanmoins, Le droit pénal de la consommation

Toutefois, Lexique de droit pénal

Alors, Principales infractions en droit pénal

Puis, Procédure pénale

Pourtant, Notions de criminologie

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