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La notion de crime en droit pénal français

La notion de crime en droit pénal français

La notion de crime en droit pénal français :

En France, les infractions pénales sont classées en trois catégories, les contraventions,

les délits et les crimes.

On parle couramment de classification tripartite des infractions.

Chaque catégorie d’infraction relève d’un régime particulier, aussi bien en termes

de poursuites que de peines.

Le crime est l’infraction la plus grave en droit français.

Elle est jugée devant une Cour d’assises disposant d’un jury.

Peuvent être encourues différentes peines, une peine privative de liberté – détention

ou rétention criminelle – ,une peine d’amende et des peines complémentaires.

Le délai de prescription en principe est de 10 ans,

mais celui-ci est rallongé pour certains crimes, ou lorsque la victime est mineure.

Il convient de noter que la tentative de crime est toujours punissable.
Le présent tableau vise à synthétiser les principaux crimes incriminés
par le code pénal, en reprenant l’organisation par titre du code.

Tableaux récapitulatifs des principaux crimes contre :

La répression du crime en droit pénal français

((La notion de crime en droit pénal français))

Au regard de la classification tripartite des infractions, le crime est l’infraction la plus grave après

le délit et la contravention.

Il relève de la délinquance à proprement parler.

Infraction de droit commun ou infraction politique, les crimes sont déterminés par la loi.

Le crime, contrairement au délit qui, dans certaines hypothèses légalement énumérées, ne requiert

pas d’élément moral, est nécessairement

intentionnel (Article 121-3 du Code pénal).

En raison de sa particulière gravité, le crime se voit réservé des sanctions contraignantes :

réclusion criminelle ou détention criminelle à perpétuité ou à temps, voire une peine d’amende

et des peines complémentaires pour les personnes

physiques (Articles 131-1 et 131-2 du Code pénal), pour les personnes morales, une amende,

et dans certains cas prévus par la loi des peines

privatives ou restrictives de droits (Article 131-37 et suivants du Code pénal).

Il est à noter que le régime des peines en matière criminelle est particulier, car contrairement

aux délits et aux contraventions, aucun ajournement

du prononcé de la peine et aucune dispense de peine ne peuvent être décidés en matière criminelle

(Article 132-58 du Code pénal).

De plus, si les peines planchers applicables aux récidivistes ont été supprimées par la loi du

15 août 2014, il existe toujours des peines minimales en matière criminelle.

la cour d’assises   (La notion de crime en droit pénal français)

Une cour d’assises qui aurait reconnu la culpabilité d’un criminel ne peut prononcer une peine

inférieure à un an d’emprisonnement lorsqu’une

réclusion ou détention à temps est encourue, ou deux ans d’emprisonnement lorsque la perpétuité

est encourue (Article 132-19 du Code pénal).

Ces seuils de peine minimale trouvent à s’appliquer à tous les accusés devant la cour d’assises,

qu’il s’agisse de primo-délinquants ou de récidivistes.

La prescription de la peine prononcée en matière criminelle est de vingt ans (Article 133-2 du Code pénal).

Les crimes sont soumis à certaines règles procédurales spécifiques en raison de leur particularité

et de leur gravité.

Tout d’abord, la tentative des crimes est toujours punissable, tandis que pour les délits elle ne

l’est que dans certaines hypothèses légalement

prévues. Ensuite, concernant les modalités de poursuites, l’instruction est obligatoire en matière

criminelle.

Le procureur de la République ne peut saisir directement la juridiction de jugement, mais doit

requérir l’ouverture d’une instruction, confiée

à un juge d’instruction, par la voie d’un réquisitoire introductif

(Article 80 du Code de procédure pénale).

la prescription

Plus spécifiquement en termes de poursuites, le délai de prescription de l’action publique en

la matière a été porté de dix à vingt ans à partir de la commission des faits suite à l’adoption

par l’Assemblée nationale de la loi du 27 février 2017 portant réforme de la prescription

en matière pénale (modification de l’article 8 du Code de procédure pénale).

(La notion de crime en droit pénal français)

Entérinant la jurisprudence de la Cour de cassation ce nouveau texte de loi prévoit aussi le

report du point de départ des délais de prescription pour les infractions « occultes » ou

« dissimulées ».

En pareille hypothèse, la prescription court à compter du moment où
« l’infraction est apparue et a pu être constatée »
dans des conditions permettant l’exercice de l’action publique.
(La notion de crime en droit pénal français)
Les parlementaires ont néanmoins entendu limiter le report en instaurant un délai butoir de 30 ans
pour les crimes, délai après lequel l’infraction ne peut plus être poursuivie (délai butoir de 12 ans
en matière délictuelle).

En outre, cette loi, dont la proposition a initialement été

déposée le 1ᵉʳ juillet 2015

par les députés Alain Tourret et Georges Fenech, maintient les délais allongés pour certaines

infractions d’une particulière gravité

(crimes ou délits commis sur les mineurs, crimes ou délits de nature terroriste).

Seuls les crimes contre l’humanité demeureront imprescriptibles.

La cour d’assises

((La notion de crime en droit pénal français))

Enfin, le jugement des crimes relève de la compétence de la cour d’assises.

(La notion de crime en droit pénal français)

La cour d’assises, compétente en premier ressort est une juridiction départementale, non-permanente,

composée de magistrats professionnels (un président et deux assesseurs) et d’un jury formé de six

jurés-citoyens.

Les jurés sont des citoyens tirés au sort par le maire de la commune, sur les listes électorales de celle-ci.

Différentes conditions doivent être satisfaites afin qu’un citoyen puisse être juré d’assises :

il faut être de nationalité française, avoir au moins 23 ans, savoir lire et écrire le français et ne pas se

trouver dans un cas d’incapacité (avoir déjà été condamné pour un crime ou un délit, être sous tutelle…)

ou d’incompatibilité (membre du gouvernement, magistrat, fonctionnaire de police…).

La procédure de jugement est particulière, et la cour d’assises

a une plénitude de juridiction,

ayant compétence pour juger de toutes les autres infractions révélées au cours des débats.

Le procureur général près la cour d’appel représente le ministère public.

(La notion de crime en droit pénal français)

L’accusé est la partie poursuivie, qui sera, selon la décision de la cour d’assises, déclarée coupable

ou acquittée.

La décision de première instance est susceptible de recours, l’appel dit « tournant » étant alors

porté devant la cour d’assises d’appel, composée de magistrats professionnels et d’un jury de

neuf jurés-citoyens.

Les arrêts rendus par la cour d’assises d’appel peuvent

ensuite faire l’objet d’un pourvoi devant la Cour de cassation.

Il faut préciser que si territorialement la cour d’assises compétente est celle vers laquelle la

décision de mise en accusation renvoie l’accusé (Article 231 du Code de procédure pénale),

le principe de plénitude de juridiction de la cour d’assises permet de déroger aux règles de

compétence territoriale en la matière.

L’étude de la criminalité et la politique pénale française

(La notion de crime en droit pénal français)

Concernant la criminalité en tant que telle, elle se présente comme un fait complexe, juridique,

mais aussi réalité humaine et sociale.

Dans l’ensemble, des recherches juridiques sur le crime, effectuées tant par des scientifiques

que des psychologues ou encore des économistes,

deux angles d’approche peuvent être distingués :

     1).  soit les recherches portent sur le délinquant,

—  l’idée étant de se demander, au regard de la psychologie, de la personnalité, ou de leur

environnement,pourquoi les gens deviennent délinquants et quelles causes peuvent expliquer

un tel comportement,

     2).  —  soit les recherches portent sur l’institution,

la question revenant alors à se demander pourquoi les lois pénales sont ce qu’elles sont,

pourquoi certains comportements sont réprimés plus que d’autres.

     3).  —  Cet angle de recherche conduit aussi à s’interroger sur le fonctionnement

en pratique de l’institution pénale,

l’interprétation de la loi, le rôle du juge et de la prison.

     4).  —  Enfin, au-delà de l’institution se pose la question de l’évaluation de

celle-ci par rapport à l’objectif fixé de vaincre la récidive et lutter contre de nouveaux

types de délinquance.

Les sciences criminelles juridiques, sciences de la norme, relatives à la

loi pénale,

sont à distinguer des sciences criminologiques, s’intéressant au crime en tant que fait,

les deux étant deux sciences différentes, bien que s’intéressant au même sujet qu’est

la criminalité.

Les perspectives et méthodes sont propres à chacune de ces sciences et les résultats

qu’elles permettent d’obtenir sont différents.

En effet, si le droit pénal cherche à énoncer ce qui doit être, s’intéresse à la norme,

la criminologie s’efforce de découvrir ce qui est,

elle s’intéresse au fait (La notion de crime en droit pénal français)

Bien que distinctes, ces deux disciplines entretiennent néanmoins des relations étroites,

chacune étant susceptible d’influencer l’autre.

La criminologie :

((La notion de crime en droit pénal français))

La criminologie, science criminelle qui s’efforce de prévoir, d’expliquer et de décrire le

comportement des délinquants dans son aspect général, vise à appliquer les connaissances

collectées au titre d’une triple démarche, préventive, clinique et critique, à la lutte contre

le crime, afin de le contenir, voire de le réduire.

Les premières recherches empiriques sur le crime sont le fait du statisticien QUETELET

qui a analysé ce qu’il a appelé  »

le penchant pour le crime ».

Il parle de physique sociale.

En se fondant sur des statistiques administratives disponibles au début du XIXᵉ siècle,

il a cherché toutes les différences statistiques entre

les criminels et le reste de la population.

Il observera ainsi que le crime est lié à l’âge, au sexe, ou encore à la pauvreté, l’éducation

et l’alcoolisme.

Toutefois, la spécialité criminologique en tant que telle n’apparaîtra réellement qu’à

la fin du XIXe siècle en Italie dans une école de recherches,

« L’école du positivisme italien ».

((La notion de crime en droit pénal français))

Les positivistes italiens s’attaquent à l’école classique à laquelle ils reprochent de supposer

que les hommes ont un libre arbitre.

En effet, le cœur de la théorie classique était que les hommes sont libres de leur choix ;

et que dès lors il ne faut pas s’étonner qu’il y en ait qui nuisent à autrui, le rôle du législateur

étant de mettre un prix sur les actes qui nuisent à autrui, ce prix devenant suffisamment

élevé qu’il dissuade les criminels potentiels.

Les positivistes italiens, attaquant cette théorie, ont essayé de prouver qu’il existait un

« type criminel », précisant ainsi que la politique pénale devait se concentrer sur

l’identification de ce type afin de le neutraliser plutôt que de chercher à dissuader la totalité

de la population.

Le chef de file des positivistes italiens est le médecin

CESARE LOMBROSO

dont l’idée était dans le prolongement de la théorie darwinienne selon laquelle l’homme

descendait d’un primate et avait, au fil du temps,

acquis les caractéristiques qu’il a aujourd’hui.

Pour Lombroso, il y aurait au sein de la population un certain nombre de personnes souffrant

de la réémergence de caractéristiques primitives, qui pourraient se voir tant physiquement

que dans leur personnalité.

On parle alors d’atavisme.

À partir de mesures anthropométriques de cadavres de criminels, il prétendait qu’il était

possible, au regard de la forme du crâne, de distinguer un meurtrier, un violeur, un voleur…

Toutefois, les premiers chercheurs qui ont tenté de

reproduire ces données au début du XXème siècle n’ont

jamais réussi à confirmer ces résultats.

Bien qu’ayant été immédiatement diabolisé, notamment par l’école humaniste française,

deux de ses élèves ont néanmoins poursuivi son axe de recherche tout en abandonnant

entièrement, les références à l’anthropométrie.

Pour GAROFALO qui avait une approche privilégiant la psychologie, il y aurait indéniablement

des types de personnalité présentant

des caractéristiques ataviques (sauvagerie, impulsivité).

Il proposa de repenser le droit pénal non plus par rapport à la gravité des infractions, mais

en organisant une réponse adaptée à la dangerosité

de chacun.

Pour FERRY, autre élève de Lombroso, il faut insister sur

la dualité du déterminisme criminel,

((La notion de crime en droit pénal français))

tant des éléments de personnalité que la conjoncture socio-économique expliquant la

commission des crimes.

La contribution la plus célèbre de Ferri est sa « loi de saturation criminelle », démonstration

statistique selon laquelle les peines de prison ne sont pas dissuasives.

Il en déduira que les hommes n’ont pas de libre arbitre et que la seule fonction efficace

que peut avoir le droit pénal est d’évaluer la dangerosité.

Par la suite, d’autres recherches axées plus particulièrement
sur le comportement et la psychologie des criminels existent.

À la fin des années 1960, BECKER a proposé une « théorie du crime rationnel », qui avait

pour but de rompre avec une tradition qui cherchait des explications particulières pour le

fait de commettre un crime.

Il proposa alors de considérer le criminel comme une personne prenant une décision

rationnelle, estimant que le bénéfice du crime pourrait être supérieur à son coût.

Du fait de la loi de l’offre et de la demande, la seule façon de lutter contre la délinquance

serait donc d’augmenter le coût du crime (en allongeant les peines ou en augmentant

les possibilités de répression), ou alors de réduire le bénéfice du crime (en augmentant

les autres opportunités criminelles).

Dans les années 1980,

(La notion de crime en droit pénal français)

certains développements ont tendu à rapprocher la vision des économistes et des psychiatres

sur la question des criminels.

En effet, un certain nombre de chercheurs se sont rendu compte que le problème avec

l’équation de Becker, est que chaque individu,

en raison de sa personnalité, a une façon particulière d’estimer les coûts.

Selon les économistes, la plus grosse différence est le goût pour le risque ou à l’inverse

l’aversion au risque.

Ils ont ainsi souligné que le fait de commettre un crime implique une estimation relativement

basse du coût et notamment des risques de faire l’objet d’une répression.

Les criminels seraient alors des gens ayant un fort goût pour le risque.

À la suite de ces études et de ces développements une part substantielle des économistes

s’est mise à arrêter les recommandations en termes de dissuasion, estimant qu’il valait mieux

neutraliser le plus longtemps possible les personnes ayant un très fort goût pour le risque,

démontré par leurs antécédents, plutôt que de chercher à dissuader tout le monde en même

temps.

Partis d’une volonté de prôner la dissuasion, les économistes ont ainsi favorisé l’idée de

neutraliser les personnes ayant un goût prononcé pour le risque.

Parallèlement à ces recherches sur le criminel en tant que personne, des recherches sur l

’apprentissage social du crime ont pu se mener, se concentrant pour l’essentiel sur la

reproduction par les enfants du comportement de leurs parents.

Dans un même ordre d’idée, on démontre que différents facteurs, notamment structurels

et culturels, influaient sur la survenance de certains crimes.

L’objectif de ces différentes recherches sur la criminologie

(Crime en droit pénal français)

De ces différentes études, il a pu ressortir que certains facteurs et certains contextes

peuvent favoriser la commission de crime, qu’il s’agisse de parents violents, d’un niveau

de culture faible, ou encore d’un certain marginalisme par rapport à la société.

est de permettre à la fois au législateur et aux autorités de poursuites d’adopter une politique

criminelle adaptée à la situation.

Néanmoins, une politique criminelle ne semble plus pouvoir seulement se fonder sur des

données criminologiques et qu’il y a aussi un choix éthique à faire, la science ne pouvant

à elle seule résoudre le problème de la criminalité.

À l’heure actuelle, il ressort un écart entre les différentes données

scientifiques criminologiques provenant des différentes études, menées

notamment au cours du XXᵉ siècle, et la politique criminelle adoptée

en France.

Il apparaît que souvent les nouvelles lois pénales répondent à une opportunité ou à une

réaction d’un contexte particulier, mais sans recherches préalables afin de les asseoir.

C’est la pratique qui vient enrichir ces questions, les données scientifiques étant souvent

tenues à l’écart de la politique criminelle en France.

     Outre ces différentes études scientifiques menées, ces 10 dernières années certaines
prisons se sont ouvertes à des études ethnographiques,

c’est-à-dire à des observations de terrain avec des chercheurs tentant de saisir

le « mécanisme criminel » et leur comportement en détention.

On peut noter, à cet égard, l’analyse de FASSIN sur les logiques de bouc-émissaire

et de stigmatisation, ou encore, de DURAND sur les revendications en prison.

Au-delà des études et recherches, depuis 2008 un devoir d’information commence

à émerger.

Désormais une certaine pression s’exerce sur les travailleurs pénitentiaires

(La notion de crime en droit pénal français)

afin de les encourager à repérer les détenus à risque (risque de délinquance sexuelle

et maintenant, risque de radicalisation), l’idée étant, à terme, de pouvoir identifier

certains profils particuliers.

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il est question de,

de même,

Il s’agit de,

il y a aussi,

Mais (La notion de crime en droit pénal français)

Malgré cela,

Malgré tout,

Néanmoins,

Outre cela,

Par ailleurs ,

Par conséquent,

et aussi,

Par contre,

par exemple,

évidemment,

Par la suite,

par rapport à,

parce que,

plus précisément,

plus tard,

Pour commencer (La notion de crime en droit pénal français)

Pour conclure,

Pourtant,

Premièrement,

Prenons le cas de,

Puis,

puisque,

Qui plus est,

Selon,

Suivant,

Tandis que,

touchant à,

Tout d’abord,

Toutefois,

troisièmement

et ensuite,

Une fois de plus,

et puis,

et aussi,

De la même manière,

du cabinet Aci assurera efficacement votre défense.

Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone ou bien en envoyant un mail.

Quelle que soit votre situation : victime ou auteur de l’infraction,

nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase d’enquête (garde à vue) ;

d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la chambre de jugement

et enfin, pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration pénitentiaire par exemple).

Les domaines d’intervention du cabinet Aci

(La notion de crime en droit pénal français)

Cabinet d’avocats pénalistes parisiens 

D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo

Puis, 75003 PARIS

Ensuite, Tél : 01.42.71.51.05

Également, Fax : 01.42.71.66.80

Aussi, E-mail : contact@cabinetaci.com

Enfin, Catégories

Premièrement, LE CABINET  (La notion de crime en droit pénal français)

Deuxièmement, SPÉCIALISTE DROIT PÉNAL   (La notion de crime en droit pénal français)

En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste   (La notion de crime en droit pénal français)

En second lieu, Droit pénal  (La notion de crime en droit pénal français)

Tout d’abord, pénal général  (La notion de crime en droit pénal français)

Ensuite, Droit pénal spécial : les infractions du code pénal

Puis, pénal des affaires (La notion de crime en droit pénal français)

Aussi, Droit pénal fiscal (La notion de crime en droit pénal français)

Également, Droit pénal de l’urbanisme (La notion de crime en droit pénal français)

De même, Le droit pénal douanier (La notion de crime en droit pénal français)

Et aussi, Droit pénal de la presse (La notion de crime en droit pénal français)

                 Et ensuite,    

pénal des nuisances

Et plus, pénal routier infractions

Après, Droit pénal du travail

Davantage encore, Droit pénal de l’environnement

Surtout, pénal de la famille

Par ailleurs, Droit pénal des mineurs

Ainsi, Droit pénal de l’informatique

Tout autant, pénal international

Que, Droit pénal des sociétés

En dernier, Le droit pénal de la consommation

Troisièmement, Lexique de droit pénal

Quatrièmement, Principales infractions en droit pénal

Et puis, Procédure pénale

Ensuite, Notions de criminologie

Également, DÉFENSE PÉNALE

Aussi, AUTRES DOMAINES

Enfin, CONTACT

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